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La douleur des autres, façon H&M
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Derniers commentaires
Merci d'avoir rendu ce texte accessible .
j'avais essayé en vain de le partager hier.
Merci Alain pour ce travail
j'avais essayé en vain de le partager hier.
Merci Alain pour ce travail
En tout cas faussaire ca sert parfois ...faire des faux-billets c'est le top du top surtout qu'on vous dis en haut non non ces billets là sont infalsifiables comme l'Euro par exemple, résultat ? Il y a plein de faux euros qui se promènent ....
Sur la copie, je me souviens du cas particulier d'un certain Magritte, René, qui avait vendu (fait vendre) deux tableaux d'une version de l'Empire des Lumières à deux commanditaires différents (l'un aux USA, l'autre en Europe), en indiquant expressément, "mais oui mais oui, c'est ma toute dernière œuvre ! "
Les deux tableaux sont à tel point identiques que les historiens de l'art ne savent toujours pas lequel a été peint en premier. Les deux tableaux ont été exposés côte à côte lors de la grande exposition Magritte en 1998 aux Musées royaux des Beaux-Arts de Bruxelles.
Bref, Magritte a réussi le malicieux exploit d'être son propre faussaire.
Les deux tableaux sont à tel point identiques que les historiens de l'art ne savent toujours pas lequel a été peint en premier. Les deux tableaux ont été exposés côte à côte lors de la grande exposition Magritte en 1998 aux Musées royaux des Beaux-Arts de Bruxelles.
Bref, Magritte a réussi le malicieux exploit d'être son propre faussaire.
GALANGA : Magritte a fait encore plus fort que ça parce que des Empire des lumières, il en existe au moins quatre datés de 1952, 1954,1958 et 1961. Ceux de 1952 et 1961 se ressemblent très fort, sont de format horizontal. Ceux de 1954 et 1958 se ressemblent pas mal itou maos on ne peut pas les confondre, ils sont de format vertical, le plus célèbre est celui de 1954. C'est celui-là que j'ai plusieurs fois montré dans des chroniques ou vite dits.
Il a reproduit ainsi plusieurs autres tableaux en double, voire en triple exemplaire. Chez lui c'était quasiment une industrie, comme chez les peintres des siècles passés.
Et n'oublions pas que Le Cri de Munch existe en cinq exemplaires, quatre en couleurs et un en noir et blanc.
Il a reproduit ainsi plusieurs autres tableaux en double, voire en triple exemplaire. Chez lui c'était quasiment une industrie, comme chez les peintres des siècles passés.
Et n'oublions pas que Le Cri de Munch existe en cinq exemplaires, quatre en couleurs et un en noir et blanc.
Tûtafé, j'aime bien toutes les variantes de ce tableau, car quelque soit la variante, une personne qui en voit un pour la première fois ne trouve que rarement quel est le problème, quel est le surréaliste truc... testé personnellement de nombreuses fois dans ma chambre d'étudiant à Toulouse, tapissée de posters et de cartes postales du monsieur. (aahhh le bon vieux temps de la jeunesse...)
Ce qui me semble intéressant en fait n'est pas tant la copie de cette œuvre, c'est l'histoire que j'avais lu lors de l'expo de 1998 concernant le fait qu'il avait fait croire à deux commanditaires en même temps qu'ils avaient chacun la primeur d'un nouveau tableau. Ce qui est bizarre, c'est que les deux tableaux exposés à l'époque à Bruxelles (j'avais fait l'aller-retour en Thalys dans la journée rien que pour y aller : aahhh le bon vieux temps de la jeunesse...) étaient selon mon souvenir parfaitement identiques, et verticaux (et grands : hauteur d'homme). Je peux donc me tromper de tableau de Magritte.
Ce qui me semble intéressant en fait n'est pas tant la copie de cette œuvre, c'est l'histoire que j'avais lu lors de l'expo de 1998 concernant le fait qu'il avait fait croire à deux commanditaires en même temps qu'ils avaient chacun la primeur d'un nouveau tableau. Ce qui est bizarre, c'est que les deux tableaux exposés à l'époque à Bruxelles (j'avais fait l'aller-retour en Thalys dans la journée rien que pour y aller : aahhh le bon vieux temps de la jeunesse...) étaient selon mon souvenir parfaitement identiques, et verticaux (et grands : hauteur d'homme). Je peux donc me tromper de tableau de Magritte.
Difficile de trouver de quels tableaux il s'agit. Peut-être les Amants dont il existe quatre versions réalisées en 1928. Mais seules deux sont similaires.
Voir par ici.
Et par là.
Voir par ici.
Et par là.
J'ai cédé à la facilité, c'était trop tentant, c'est par là.
J'ai fait un cauchemar, cette nuit.
J'étais face à face avec Sarkozy ! Je l'ai aperçu hier soir à la télé dans les tribunes du Parc des Princes, c'est pour ça.
Je m'étais retrouvé, je sais pas comment et lui non plus, dans son appartement. Il avait l'air aussi surpris que moi.
On savait pas trop de quoi parler. Mais le pire c'est que j'étais pas du tout agressif. Presque amical.
Il a fini par me demander quelle route il devait prendre pour se rendre dans les Alpes.
Et moi, au lieu de lui répondre : "Tu peux pas utiliser un GPS, pauv' con ?", je cherchais quel était le meilleur itinéraire à lui indiquer. Anesthésié, j'étais. Une vraie chiffe.
A la réflexion, c'était sûrement pas moi dans l'appart, mais mon double de droite.
Si ça se trouve, on a tous des clones qui vivent dans des mondes parallèles, qui pensent pas du tout comme nous, et qui entrent parfois dans nos rêves par effraction.
Mais j'irai pas jusqu'à imaginer qu'un de mes sosies puisse être militant anti-IVG sur Bételgeuse, imam ou rabbin sur Sirius.
Mon délire a ses propres limites.
J'étais face à face avec Sarkozy ! Je l'ai aperçu hier soir à la télé dans les tribunes du Parc des Princes, c'est pour ça.
Je m'étais retrouvé, je sais pas comment et lui non plus, dans son appartement. Il avait l'air aussi surpris que moi.
On savait pas trop de quoi parler. Mais le pire c'est que j'étais pas du tout agressif. Presque amical.
Il a fini par me demander quelle route il devait prendre pour se rendre dans les Alpes.
Et moi, au lieu de lui répondre : "Tu peux pas utiliser un GPS, pauv' con ?", je cherchais quel était le meilleur itinéraire à lui indiquer. Anesthésié, j'étais. Une vraie chiffe.
A la réflexion, c'était sûrement pas moi dans l'appart, mais mon double de droite.
Si ça se trouve, on a tous des clones qui vivent dans des mondes parallèles, qui pensent pas du tout comme nous, et qui entrent parfois dans nos rêves par effraction.
Mais j'irai pas jusqu'à imaginer qu'un de mes sosies puisse être militant anti-IVG sur Bételgeuse, imam ou rabbin sur Sirius.
Mon délire a ses propres limites.
magnifique topo sur la copie...et merci d'avoir (enfin) réhabilité la lorraine Grumpff , précurseuse en matière d'art et qui pourtant, tel Monsieur JOURDAIN avec sa prose, a toujours fait de la peinturlure sans le savoir....et d'ailleurs sans que quiconque ne le sache sniff et humpfff
...alors merci pour elle...
en ce qui concerne les peintres copistes, leur chance est de n'avoir pas eu une contemporaine du talent de Cecilia Giménez pour retravailler les oeuvres passées sinon jamais ils n'auraient pu percer et toc !
que vaut le visage de la Joconde, le visage de la Vierge peint par le Caravage, ou celui du Christ dans la mise au tombeau à côté de son ecce homo hein ??......
...ils n'auraient jamais souffert la comparaison épicétou...
...alors merci pour elle...
en ce qui concerne les peintres copistes, leur chance est de n'avoir pas eu une contemporaine du talent de Cecilia Giménez pour retravailler les oeuvres passées sinon jamais ils n'auraient pu percer et toc !
que vaut le visage de la Joconde, le visage de la Vierge peint par le Caravage, ou celui du Christ dans la mise au tombeau à côté de son ecce homo hein ??......
...ils n'auraient jamais souffert la comparaison épicétou...
Exemple (très connu) en matière de musique : une excellente chanson soi disant copiée pour faire une autre excellente chanson, et même encore une chanson qui raconte toute l'histoire, c'est ça la création ;)
et les Grumpff en Lorraine, c'est bien simple, ça pullule...
et les Grumpff en Lorraine, c'est bien simple, ça pullule...
je suis heureux de lire votre article. j'ai moi même été très énervé par le travail de cette photographe en achetant le dernier polka. cela me rappele un défilé de mode il y a quelques années ou le "créateur" avait jugé bon de s'inspirer des tenus que portait les prisonniers de camps durant la seconde guerre mondiale (cela avait fait scandale si je me souvient bien).
décidément je hais l'univers de la mode.
décidément je hais l'univers de la mode.
"si on était parti 3/4 d'heure en avance, ça ferait 45 minutes qu'on serait arrivé" -
Johnny Hallyday, Dakar, 2002
Johnny Hallyday, Dakar, 2002
Et la double Joconde , c'est quoi l'histoire ?
Il pleut sur la ville
et la pluie inonde la chaussée, répand le désastre
et le manque de rencontre
et elle cherche à abattre les palmiers qui à la fin de l’aprés-midi
voulaient à peine – grâce pleine – les étoiles.
Le tonnerre retentit, épouvantant les oiseaux
qui sont venus se réfugier dans ma chambre.
Les éclairs, photographes de l’ absolu, illuminent les gens qui passent- ce sont d’autres visages, ma sœur, ce sont les faces
révoltées parce que les divinités ont rendu impossibles leurs idylles,
l’ arrivée à l’heure dans une maison, le déjà ajourné transperce l’ ineffable.
Les rigoles d’écoulements reçoivent finalement la Poésie. Comme
ils sont beaux
et nets les bateaux en papiers
qui naviguent en cherchant les règnes fantastiques, les règnes inaccessibles!
La pluie a une chanson. Jamais une élégie
pour saluer sa gentillesse. Jamais une ode,
un hyménée, une églogue de déploration.
Mon frère, laisse la gouttière tremper tes dernières
poésies. Peu importe que demain tu te réconcilies avec les grands
thèmes poétiques.
Le lendemain n’est pas consommable. La pluie t’enseigne
à être invariable sans te répéter.
Lêdo Ivo ~ Anthologie “Poésie du Brésil » Paris, septembre 1997. Traductions Lucilo Varejão, Maria Nilda Miranda
et la pluie inonde la chaussée, répand le désastre
et le manque de rencontre
et elle cherche à abattre les palmiers qui à la fin de l’aprés-midi
voulaient à peine – grâce pleine – les étoiles.
Le tonnerre retentit, épouvantant les oiseaux
qui sont venus se réfugier dans ma chambre.
Les éclairs, photographes de l’ absolu, illuminent les gens qui passent- ce sont d’autres visages, ma sœur, ce sont les faces
révoltées parce que les divinités ont rendu impossibles leurs idylles,
l’ arrivée à l’heure dans une maison, le déjà ajourné transperce l’ ineffable.
Les rigoles d’écoulements reçoivent finalement la Poésie. Comme
ils sont beaux
et nets les bateaux en papiers
qui naviguent en cherchant les règnes fantastiques, les règnes inaccessibles!
La pluie a une chanson. Jamais une élégie
pour saluer sa gentillesse. Jamais une ode,
un hyménée, une églogue de déploration.
Mon frère, laisse la gouttière tremper tes dernières
poésies. Peu importe que demain tu te réconcilies avec les grands
thèmes poétiques.
Le lendemain n’est pas consommable. La pluie t’enseigne
à être invariable sans te répéter.
Lêdo Ivo ~ Anthologie “Poésie du Brésil » Paris, septembre 1997. Traductions Lucilo Varejão, Maria Nilda Miranda
Dictionnaire d'Emile Littré
1 Faire une copie. Copier fidèlement un texte.
PASC.: « Je ne fais que copier leurs paroles »
ROLLIN: « On peut juger des efforts qu'il [Démosthène] fit pour se perfectionner en tout genre par la peine qu'il prit de copier de sa propre main jusqu'à huit fois l'histoire de Thucydide pour se rendre plus familier le style de ce grand homme »
J. J. ROUSS.: « Je vous ai dit que je l'avais trouvé copiant de la musique à dix sous la page »
2 Par extension, reproduire une oeuvre d'art. Copier un tableau, une statue.
MARMONT.: « Vous copiez un vase étrusque, et vous lui donnez l'élégance grecque ; ce n'est point là ce qu'on vous demande et ce qu'on attend de vous »
DELILLE: « Dans l'asile honteux des amours mercenaires Il cherche une Vénus qu'il copie au hasard, L'opprobre de son sexe et la honte de l'art »
3 Copier un auteur, un artiste, imiter son style, sa manière.
MARMONT.: « Comme les vices des Grecs avaient passé chez les Romains, Térence, pour les imiter, ne fit que copier Ménandre »
On dit qu'un écrivain, qu'un artiste copie la nature, quand ses productions ont un cachet de naturel et de vérité.
Absolument.
LA MOTTE: « Qui, c'est être inventeur que si bien copier »
4 Imiter les manières d'une autre personne.
PASC.: « Il n'est rien tel que les jésuites ; j'ai bien vu des jacobins, des docteurs.... mais une pareille visite manquait à mon instruction ; les autres ne font que les copier »
HAMILT.: « C'était l'original que toutes les femmes copiaient pour le goût des habits et l'air de la coiffure »
SÉV.: « Il imite M. d'Agen sans le copier »
MASS.: « On croit, en copiant leurs moeurs [des grands], entrer en part de leur grandeur »
MASS.: « La ville croirait dégénérer en ne copiant pas les moeurs de la cour »
Au collége, copier, c'est, au lieu de faire son devoir, copier celui d'un camarade. C'est un paresseux, il copie tous ses devoirs. Comme il avait copié, il fut mis hors de composition.
5 Contrefaire. Il n'est pas bien de copier les gens.
6 Se copier , v. réfl. S'imiter soi-même, c'est-à-dire en parlant d'un écrivain ou d'un artiste, produire des oeuvres qui ont entre elles beaucoup de ressemblance. Cet artiste n'a point d'invention, il se copie sans cesse.
Se copier, s'imiter les uns les autres. Ces jeunes gens ne font que se copier .
1 Faire une copie. Copier fidèlement un texte.
PASC.: « Je ne fais que copier leurs paroles »
ROLLIN: « On peut juger des efforts qu'il [Démosthène] fit pour se perfectionner en tout genre par la peine qu'il prit de copier de sa propre main jusqu'à huit fois l'histoire de Thucydide pour se rendre plus familier le style de ce grand homme »
J. J. ROUSS.: « Je vous ai dit que je l'avais trouvé copiant de la musique à dix sous la page »
2 Par extension, reproduire une oeuvre d'art. Copier un tableau, une statue.
MARMONT.: « Vous copiez un vase étrusque, et vous lui donnez l'élégance grecque ; ce n'est point là ce qu'on vous demande et ce qu'on attend de vous »
DELILLE: « Dans l'asile honteux des amours mercenaires Il cherche une Vénus qu'il copie au hasard, L'opprobre de son sexe et la honte de l'art »
3 Copier un auteur, un artiste, imiter son style, sa manière.
MARMONT.: « Comme les vices des Grecs avaient passé chez les Romains, Térence, pour les imiter, ne fit que copier Ménandre »
On dit qu'un écrivain, qu'un artiste copie la nature, quand ses productions ont un cachet de naturel et de vérité.
Absolument.
LA MOTTE: « Qui, c'est être inventeur que si bien copier »
4 Imiter les manières d'une autre personne.
PASC.: « Il n'est rien tel que les jésuites ; j'ai bien vu des jacobins, des docteurs.... mais une pareille visite manquait à mon instruction ; les autres ne font que les copier »
HAMILT.: « C'était l'original que toutes les femmes copiaient pour le goût des habits et l'air de la coiffure »
SÉV.: « Il imite M. d'Agen sans le copier »
MASS.: « On croit, en copiant leurs moeurs [des grands], entrer en part de leur grandeur »
MASS.: « La ville croirait dégénérer en ne copiant pas les moeurs de la cour »
Au collége, copier, c'est, au lieu de faire son devoir, copier celui d'un camarade. C'est un paresseux, il copie tous ses devoirs. Comme il avait copié, il fut mis hors de composition.
5 Contrefaire. Il n'est pas bien de copier les gens.
6 Se copier , v. réfl. S'imiter soi-même, c'est-à-dire en parlant d'un écrivain ou d'un artiste, produire des oeuvres qui ont entre elles beaucoup de ressemblance. Cet artiste n'a point d'invention, il se copie sans cesse.
Se copier, s'imiter les uns les autres. Ces jeunes gens ne font que se copier .
Un autre photographe qui revisite des photos célébrissimes, et notamment la Migrant Mother, qui est devenue Latino:
http://6thfloor.blogs.nytimes.com/2011/09/23/how-to-restage-an-iconic-photograph/
http://6thfloor.blogs.nytimes.com/2011/09/23/how-to-restage-an-iconic-photograph/
Merci pour la chro.
Je suis un peu ennuyée, quand même, il s'agit de photos de mode pour un magazine de mode (Marie pas très Claire Italie).
On ne s'attend pas à des photos réalistes dans ce genre de magazines. Si ?
Il ne s'agit pas d'un reportage sur les personnes cruellement touchées par la crise.
Certes, elle dit s'inspirer des trois photographes cités, mais elle a réalisé ces images (elles apparaissent dans MC en avril 2007)
avant le début de la crise financière. Aujourd'hui, elles paraissent encore plus choquantes qu'elles ne pourraient l'être si on les replace
en 2007, où la volonté de la photographe d'insérer - dans l'univers totalement factice de la mode - quelques gouttes de réel
(« J’ai voulu minimiser le côté mode pour m’approcher d’une réalité ») pourrait aussi éventuellement être jugé comme louable.
Edit : parfois, on fait des fautes, alors qu'on avait bien fait attention, à croire que le clavier n'en fait qu'à sa tête !
Je suis un peu ennuyée, quand même, il s'agit de photos de mode pour un magazine de mode (Marie pas très Claire Italie).
On ne s'attend pas à des photos réalistes dans ce genre de magazines. Si ?
Il ne s'agit pas d'un reportage sur les personnes cruellement touchées par la crise.
Certes, elle dit s'inspirer des trois photographes cités, mais elle a réalisé ces images (elles apparaissent dans MC en avril 2007)
avant le début de la crise financière. Aujourd'hui, elles paraissent encore plus choquantes qu'elles ne pourraient l'être si on les replace
en 2007, où la volonté de la photographe d'insérer - dans l'univers totalement factice de la mode - quelques gouttes de réel
(« J’ai voulu minimiser le côté mode pour m’approcher d’une réalité ») pourrait aussi éventuellement être jugé comme louable.
Edit : parfois, on fait des fautes, alors qu'on avait bien fait attention, à croire que le clavier n'en fait qu'à sa tête !
Haha, super, la chute :-)
Je n'ose calculer tout le temps que je vais devoir rattraper quand j'arriverai à m'éloigner un peu d@si, mais, Alain, rien au monde ne m'empêcherait de lire vos chroniques aux tissages de liens en arborescence, j'adore.
Cette précision était inutile, mais ça me plait de l'écrire quand même :-)
Je n'ose calculer tout le temps que je vais devoir rattraper quand j'arriverai à m'éloigner un peu d@si, mais, Alain, rien au monde ne m'empêcherait de lire vos chroniques aux tissages de liens en arborescence, j'adore.
Cette précision était inutile, mais ça me plait de l'écrire quand même :-)
Tellement c'est beau, que çà laisse sans voix...La preuve, RIEN sur ce forum !