La "malédiction" qui poursuit Gilliam et fascine les médias
C'est une saga qui n'en finit jamais. La justice a autorisé ce 9 mai la projection du film de Terry Gilliam "L'homme qui tua Don Quichotte" au festival de Cannes. Déboutant ainsi un producteur, Paulo Branco, qui estime, contre l'avis du réalisateur, des producteurs et du distributeur français, détenir les droits de ce film. L'énième épisode judiciaire dans cette histoire qui n'en finit pas de fasciner les médias, accros à la "malédiction" du "Don Quichotte".
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Commentaires préférés des abonnés
A vous lire, on a l'impression que les médias montent cette histoire en épingle pour faire croire à une histoire folle qui n'en est pas une... mais.... C'EST UNE HISTOIRE FOLLE... La presse a raison de traiter ce sujet de manière fleuve :
- le roman e(...)
Merci Juliette pour la narration de cette passionnante saga
Derniers commentaires
France Culture donnait en avril une belle adaptation de l'ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche
Oser entrevoir un assassinat de Don Quijote, c'est se jeter irrémédiablement dans la malédiction car le héros ne pouvait pour conclure sa belle existence chevaleresque dérisoire que mourir dans son lit, entouré des siens
Le contraire serait comme imaginer la mort de Trump dans son lit sans compagnie et sans or, celle de Thatcher dans une coloc ou un pub, celle de César dans un Ehpad, etc etc
Merci Juliette pour la narration de cette passionnante saga
A vous lire, on a l'impression que les médias montent cette histoire en épingle pour faire croire à une histoire folle qui n'en est pas une... mais.... C'EST UNE HISTOIRE FOLLE... La presse a raison de traiter ce sujet de manière fleuve :
- le roman en lui-même est un sommet de littérature
- Don Quichotte est un mythe absolu.
- la trajectoire du projet de Gilliam est Dantesque (le terme est totalement en adéquation avec la situation).
Au niveau projets avortés, vous auriez pu remonter à celui de Welles.
Cette histoire a accompagné le cinéma depuis ses débuts (le 1er film remonte a 1903).
A lire la fiche wikipéd : des opéras, des suites de livre ont été composées et écrites. Je ne parles même pas des essais pour tenter de décortiquer le mythe.
Si on y ajoute le drame personnel de Rochefort lié au 1er projet de Gilliam, je trouve complétement normal et logique que toute la presse en fasse tout un foin.
Cordialement,
Cyril..
Et les moulins à vent ? qu'est ce qu'ils en disent de tout cela ? Jean Rochefort a disparu trop tôt .