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La mère porteuse du Parisien était mythomane
Bidonnage ou erreur de bonne foi ? Samedi 9 mars Le Parisien publie le témoignage de Raphaella - une jeune mère porteuse de 24 ans - qui accepte d'expliquer pourquoi elle a décidé de devenir mère porteuse. L'histoire est belle. Mais fausse. C'est une journaliste de BFM TV qui lève le lièvre. Du coup, Le Parisien est obligé de s'excuser et de plaider pour une erreur de "bonne foi". Retour sur un emballement.
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Il faut également signaler un sujet dans le JT de canal dimanche midi...
A croire qu'il n'existe plus beaucoup de journalistes dans les rédactions!
A croire qu'il n'existe plus beaucoup de journalistes dans les rédactions!
"Ainsi, la belle histoire du Parisien a du plomb dans l'aile."
Une jeune femme de 24 ans louant son ventre à plusieurs reprises pour vendre ses enfants à d'autres par le biais de site internet : je pense que votre "belle histoire" était fortement ironique....si cette histoire avait été entièrement vraie je l'aurais trouvée atroce.
Gageons que les "journalistes" qui ont accordé crédit à cette histoire abracadabrantesque souhaitaient accomplir un acte militant : quand le prosélytisme se substitue au devoir d'information....si la vérité résiste travestissons-la !
Si d'aventure ces "journalistes" avaient véritablement un but militant sous-jacent ils doivent pavoiser : ils ont diffuser leurs (fausses) idées et ils ont gagné au moins deux choses :
- les spectateurs ou lecteurs qui ont vu ou lu cela ont une "chance" de ne pas avoir connaissance du démenti et de persister à croire à cette fable
- le débat, ici, se focalise sur leurs mensonges (ou ceux de cette jeune femme) en laissant se banaliser cette idée de la GPA en toile de fond.
C'est dans le sens de l'histoire : mentir, tricher et profiter de notre société du spectacle pour promouvoir un "progrès" : Youpi !!!
Une jeune femme de 24 ans louant son ventre à plusieurs reprises pour vendre ses enfants à d'autres par le biais de site internet : je pense que votre "belle histoire" était fortement ironique....si cette histoire avait été entièrement vraie je l'aurais trouvée atroce.
Gageons que les "journalistes" qui ont accordé crédit à cette histoire abracadabrantesque souhaitaient accomplir un acte militant : quand le prosélytisme se substitue au devoir d'information....si la vérité résiste travestissons-la !
Si d'aventure ces "journalistes" avaient véritablement un but militant sous-jacent ils doivent pavoiser : ils ont diffuser leurs (fausses) idées et ils ont gagné au moins deux choses :
- les spectateurs ou lecteurs qui ont vu ou lu cela ont une "chance" de ne pas avoir connaissance du démenti et de persister à croire à cette fable
- le débat, ici, se focalise sur leurs mensonges (ou ceux de cette jeune femme) en laissant se banaliser cette idée de la GPA en toile de fond.
C'est dans le sens de l'histoire : mentir, tricher et profiter de notre société du spectacle pour promouvoir un "progrès" : Youpi !!!
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Bon ! le principal est que la vérité ait été mise à jour ! Comme quoi ça arrive !
C'est Le Parisien!C'est tout.Ceci explique cela.
"À raconter" pas "à racer" bien sur.
Toujours la même histoire : le journaliste ( ou son redac chef ) a une idée d'histoire à racer et il cherche et selectionne alors un témoignage qui cautionne son discours. Il présente cela ensuite comme vrai, avec sincérité puisque c'est vraisemblable et tellement ce qu''il veut.
J'espère que cette femme malfaisante, qui n'a pas hésité à trahir la confiance désintéressée de journalistes uniquement mus par le souci d'informer et de contribuer à l'approfondissement d'un grand débat sociétal qui nous concerne tous, virgule, sera sévèrement châtiée.
Il m'arrive parfois de lire d'un derrière distrait Le Parisien. Les faits divers sordides y sont recensés avec une gourmandise assez écoeurante. Si c'est BFM où les talents ne brillent pas qui a fait le boulot de démystification, ça en dit beaucoup sur le niveau de la feuille de chou.
franchement, quelqu'un qui me dit habiter à Calais dans un département appelé Pas de Calais, je sais d'entrée que j'ai affaire à un mytho.