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La patronne du Guardian, et sa vérité perdue
Dans la désolation de l'après Brexit, une journaliste contemple le paysage de ruines.
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Derniers commentaires
Bonnes vacances Daniel ! ;D
Même les chats donnent leur avis sur le Brexit.
Honnêtement, pour avoir suivi la campagne du Brexit et les affrontements post-Brexit, elle a raison. Le rapport à la vérité est complètement problématique dans la politique anglaise - plus encore qu'en France j'ai l'impression.
Les arguments du camp du Leave étaient intenables depuis le début, dans la mesure où c'est une partie du parti de Margareth Thatcher qui a vendu le retrait de l'UE aux anglais en prétendant qu'ils allaient se servir de l'argent économisé pur renfluer les services publics et augmenter les salaires. Des services publics dont les Tories, partisans du Leave ou du Remain, coupent régulièrement les fonds et alors qu'ils votent des lois pour faire pression sur les salaires. Il y a un mot pour ça, c'est du foutage de gueule.
De la même façon, tout l'argumentaire puant sur les réfugiés lié à l'Union Européenne, alors que les accords internationaux protégeant les réfugiés existent au niveau mondial, pas au niveau de l'UE. Mais comme disait je ne sais plus qui, peut être que le Royaume-Uni voulait aussi quitter l'ONU.
Ceci étant dit, les politiques anglais qui ont porté ce genre de discours étaient dans la droite ligne des tabloïds anglais, qui ont sans doute fait plus pour démolir le principe de vérité que les réseaux sociaux.
Les anglais ne s'en sortent pas trop mal, dans la mesure ou tous les Tories du Leave se sont effondrés comme un château de carte et laissent la place à Theresa May qui présente le double avantage de vouloir respecter le choix des anglais, même si elle était contre la sortie de l'UE (ce qui est une bonne chose pour la démocratie en général), et d'avoir tiré semble-t-il les vraies conséquences de la campagne en défendant dans son premier discours économique un rôle plus fort de l'état dans l'économie (pour autant qu'un Tory puisse défendre ça).
Le camp du Remain a également fait une campagne assez naze, en appuyant surtout sur la peur de la sortie. Jeremy Corbyn est le seul a avoir été honnête, en étant assez ambivalent sur l'Europe (ce que certains dans son camp lui reprochent, mais en même temps, il a raison quand on voit ce que devient l'UE) mais en défendant le fait d'y rester et de la réformer. Lui aussi prend acte du référendum ceci dit, donc si le Chicken Coup contre lui échoue, comme on peut l'espérer, la démocratie en sortira grandie.
Ce qui nous amène au point sur lequel Daniel a raison : c'est que quand il s'agit de Corbyn, le Guardian s'embarrasse beaucoup moins des faits, ce qui est un énorme problème et nuit à la crédibilité du journal. Ils ont relayé sans sourciller des énormité comme les soi-disant 500 élus signataires d'une pétition contre Corbyn (en fait un très grand nombre de ces élus n'étaient pas contre Corbyn et l'ont signalé), ou les campagnes de dénigrement lancées par des lobbies et l'aile blairiste du parti, qui nécessitent pour le bien de la démocratie un démontage en règle.
En un sens, c'est complètement stupide : le Guardian se plaint du populisme des populistes xénophobes de droite, mais ignore les causes sociales profondes qui expliquent pourquoi des gens votent pour ces populistes et tente de démonter le leader de gauche qui essaie d'apporter une vraie réponse à cette demande sociale (et qui essaie, pour le coup, de réellement sauver l'UE en faisant contrepoids, dans le projet européen, au néo-libéralisme béat de ses dirigeants actuels).
Les arguments du camp du Leave étaient intenables depuis le début, dans la mesure où c'est une partie du parti de Margareth Thatcher qui a vendu le retrait de l'UE aux anglais en prétendant qu'ils allaient se servir de l'argent économisé pur renfluer les services publics et augmenter les salaires. Des services publics dont les Tories, partisans du Leave ou du Remain, coupent régulièrement les fonds et alors qu'ils votent des lois pour faire pression sur les salaires. Il y a un mot pour ça, c'est du foutage de gueule.
De la même façon, tout l'argumentaire puant sur les réfugiés lié à l'Union Européenne, alors que les accords internationaux protégeant les réfugiés existent au niveau mondial, pas au niveau de l'UE. Mais comme disait je ne sais plus qui, peut être que le Royaume-Uni voulait aussi quitter l'ONU.
Ceci étant dit, les politiques anglais qui ont porté ce genre de discours étaient dans la droite ligne des tabloïds anglais, qui ont sans doute fait plus pour démolir le principe de vérité que les réseaux sociaux.
Les anglais ne s'en sortent pas trop mal, dans la mesure ou tous les Tories du Leave se sont effondrés comme un château de carte et laissent la place à Theresa May qui présente le double avantage de vouloir respecter le choix des anglais, même si elle était contre la sortie de l'UE (ce qui est une bonne chose pour la démocratie en général), et d'avoir tiré semble-t-il les vraies conséquences de la campagne en défendant dans son premier discours économique un rôle plus fort de l'état dans l'économie (pour autant qu'un Tory puisse défendre ça).
Le camp du Remain a également fait une campagne assez naze, en appuyant surtout sur la peur de la sortie. Jeremy Corbyn est le seul a avoir été honnête, en étant assez ambivalent sur l'Europe (ce que certains dans son camp lui reprochent, mais en même temps, il a raison quand on voit ce que devient l'UE) mais en défendant le fait d'y rester et de la réformer. Lui aussi prend acte du référendum ceci dit, donc si le Chicken Coup contre lui échoue, comme on peut l'espérer, la démocratie en sortira grandie.
Ce qui nous amène au point sur lequel Daniel a raison : c'est que quand il s'agit de Corbyn, le Guardian s'embarrasse beaucoup moins des faits, ce qui est un énorme problème et nuit à la crédibilité du journal. Ils ont relayé sans sourciller des énormité comme les soi-disant 500 élus signataires d'une pétition contre Corbyn (en fait un très grand nombre de ces élus n'étaient pas contre Corbyn et l'ont signalé), ou les campagnes de dénigrement lancées par des lobbies et l'aile blairiste du parti, qui nécessitent pour le bien de la démocratie un démontage en règle.
En un sens, c'est complètement stupide : le Guardian se plaint du populisme des populistes xénophobes de droite, mais ignore les causes sociales profondes qui expliquent pourquoi des gens votent pour ces populistes et tente de démonter le leader de gauche qui essaie d'apporter une vraie réponse à cette demande sociale (et qui essaie, pour le coup, de réellement sauver l'UE en faisant contrepoids, dans le projet européen, au néo-libéralisme béat de ses dirigeants actuels).
Notons quand même qu'il existe des responsables politiques pour valider le résultat d'un référendum, résultat qui n'avait pas leur préférence, et qui acceptant la responsabilité et l'expression des urnes semblent avoir compris le message, parlent d'œuvrer pour que cette évolution soit un succès.
[quote=@si]C'est vrai que le camp du Leave a beaucoup menti. Effrontément. Avec un insoutenable cynisme, sans précédent connu à l'époque moderne. La reconnaissance par Nigel Farage, dès le lendemain du scrutin, du caractère mensonger d'une promesse majeure (qu'il n'avait d'ailleurs pas formulée lui-même, soit dit en passant) est sans précédent.
Je suis assez stupéfait de ce passage. J'ai beau me gratter la tête, j'ai du mal à voir comment on peut avoir assez d'angle mort pour dire qu'un camp à menti et prendre en exemple un mensonge absolument énorme du camp opposé, en mentionnant d'ailleurs que c'en était un, puis en concluant sur un énorme mensonge de son cru. Reprenons la séquence:
- la campagne du Leave est animée par deux mouvements, UKIP et Vote Leave. Ces deux mouvements étaient bien séparés, ne voulaient rien à avoir à faire ensemble. Ils n'avaient pas de ligne commune, de message commun, ne manifestaient pas ensemble etc.
- le camp du Vote Leave, sensé être plus institutionnel/serieux, a affirmé qu'une somme versé selon lui intégralement chaque semaine de l'UK à l'EU pourrait immédiatement être utilisée à la place pour la NHS (sécu UK). Cet argument était au moins faux sur le montant hebdo, ce qui dénotait effectivement soit une mauvaise foi soit une incompétence crasse (à moins bien sur qu'il ne s'agisse des deux). Néanmoins le Royaume Unis va bien faire l'économie de 7 milliards d'Euros par ans, ce qui sans être incroyable est tout de même susceptible d'être un calcul défendable sur le mode: "si je mets 7Md dans l'éducation, ça se verra plus que dans s'ils payent des technocrates à Bruxelles". Je le mentionne car cet argument, qui sait, reviendra peut être un jour ici.
- l'UKIP n'a jamais repris cet argument et pour cause, Nigel Farage est liberal de la plus belle eau et ne partage probablement pas le sentiment commun en UK (positif) sur le NHS. Néanmoins, cohérent avec ses objectifs (vote brexit) il ne se tire pas une balle dans le pieds et laisse dire, comme n'importe quel parti à sa place. (voir plus bas)
- après l'élection, Farage comment négativement cet argument du Vote Leave.
- assez incroyablement, hors UK (là bas ça se serait vu), les rédactions européennes, y compris @si donc, prétendent que "le camp du leave", qui n'est pas une entité liée par autre chose que par son vote, revient sur une promesse qu'il n'a par définition pas pu tenir en tant que tel, n'ayant jamais été un camp unis (pas plus que les partis de Labour et Tories votant Stay ne synchronisaient leur message). Au final, il s'agit de prétendre que quelqu'un dénonçant le propos d'un autre comme mensonge a au lieu de ça reconnu qu'un des propos qu'il avait tenu était un mensonge. Autrement dire décrire une situation différente de celle qui a eu lieu: mentir, en bon français. Un vrai bon gros mensonge médiatique français qu'il eut été bon de voir décortiqué sur @si au lieu du spectacle embarrassant de cette reprise. Et surtout cette étrangeté de décrire un mensonge comme si ça n'en était pas un, puisqu'au moins Daniel Schneiderman est au courant que c'est l'UKIP parlant du Vote Leave, et qu'en bon français il y a désaccord ou polémique mais que personne n'a reconnu avoir menti (même si le Vote Leave a au moins menti sur le montant, mais il ne l'a pas reconnu pour ce que j'en sais).
- Et au passage, cette configuration est parfaitement normale ici. On n'a pas vu, par exemple, au moment du vote de Maastricht, le PC se sentir tenu par les arguments de Philippe Séguin ou de Jean Marie Lepen, alors qu'ils avaient en commun de soutenir le "votez non". Configuration tout à fait similaire au moment du rejet du TCE. Par contre à l'époque on n'a pas eu l'idée de sauter sur une quelconque déclaration rappellant les désaccords du camp gagnant du non. S'il y a jamais vu ici, c'est dans la mauvaise foi de la presse à user de ce type là de mensonge.
Je précise que je ne prends parti pour aucun camp de ce référendum auquel je n'étais de toutes façons pas appeller à voter. Par contre quand mes médias me mentent, je ne suis pas content, et quand mon site de critique des médias ment en coeur avec eux, tout en reconnaissant le mensonge mais comme si ça n'en était pas un gros, puis en en ajoutant un de son cru, je ne suis pas content du tout.
Je suis assez stupéfait de ce passage. J'ai beau me gratter la tête, j'ai du mal à voir comment on peut avoir assez d'angle mort pour dire qu'un camp à menti et prendre en exemple un mensonge absolument énorme du camp opposé, en mentionnant d'ailleurs que c'en était un, puis en concluant sur un énorme mensonge de son cru. Reprenons la séquence:
- la campagne du Leave est animée par deux mouvements, UKIP et Vote Leave. Ces deux mouvements étaient bien séparés, ne voulaient rien à avoir à faire ensemble. Ils n'avaient pas de ligne commune, de message commun, ne manifestaient pas ensemble etc.
- le camp du Vote Leave, sensé être plus institutionnel/serieux, a affirmé qu'une somme versé selon lui intégralement chaque semaine de l'UK à l'EU pourrait immédiatement être utilisée à la place pour la NHS (sécu UK). Cet argument était au moins faux sur le montant hebdo, ce qui dénotait effectivement soit une mauvaise foi soit une incompétence crasse (à moins bien sur qu'il ne s'agisse des deux). Néanmoins le Royaume Unis va bien faire l'économie de 7 milliards d'Euros par ans, ce qui sans être incroyable est tout de même susceptible d'être un calcul défendable sur le mode: "si je mets 7Md dans l'éducation, ça se verra plus que dans s'ils payent des technocrates à Bruxelles". Je le mentionne car cet argument, qui sait, reviendra peut être un jour ici.
- l'UKIP n'a jamais repris cet argument et pour cause, Nigel Farage est liberal de la plus belle eau et ne partage probablement pas le sentiment commun en UK (positif) sur le NHS. Néanmoins, cohérent avec ses objectifs (vote brexit) il ne se tire pas une balle dans le pieds et laisse dire, comme n'importe quel parti à sa place. (voir plus bas)
- après l'élection, Farage comment négativement cet argument du Vote Leave.
- assez incroyablement, hors UK (là bas ça se serait vu), les rédactions européennes, y compris @si donc, prétendent que "le camp du leave", qui n'est pas une entité liée par autre chose que par son vote, revient sur une promesse qu'il n'a par définition pas pu tenir en tant que tel, n'ayant jamais été un camp unis (pas plus que les partis de Labour et Tories votant Stay ne synchronisaient leur message). Au final, il s'agit de prétendre que quelqu'un dénonçant le propos d'un autre comme mensonge a au lieu de ça reconnu qu'un des propos qu'il avait tenu était un mensonge. Autrement dire décrire une situation différente de celle qui a eu lieu: mentir, en bon français. Un vrai bon gros mensonge médiatique français qu'il eut été bon de voir décortiqué sur @si au lieu du spectacle embarrassant de cette reprise. Et surtout cette étrangeté de décrire un mensonge comme si ça n'en était pas un, puisqu'au moins Daniel Schneiderman est au courant que c'est l'UKIP parlant du Vote Leave, et qu'en bon français il y a désaccord ou polémique mais que personne n'a reconnu avoir menti (même si le Vote Leave a au moins menti sur le montant, mais il ne l'a pas reconnu pour ce que j'en sais).
- Et au passage, cette configuration est parfaitement normale ici. On n'a pas vu, par exemple, au moment du vote de Maastricht, le PC se sentir tenu par les arguments de Philippe Séguin ou de Jean Marie Lepen, alors qu'ils avaient en commun de soutenir le "votez non". Configuration tout à fait similaire au moment du rejet du TCE. Par contre à l'époque on n'a pas eu l'idée de sauter sur une quelconque déclaration rappellant les désaccords du camp gagnant du non. S'il y a jamais vu ici, c'est dans la mauvaise foi de la presse à user de ce type là de mensonge.
Je précise que je ne prends parti pour aucun camp de ce référendum auquel je n'étais de toutes façons pas appeller à voter. Par contre quand mes médias me mentent, je ne suis pas content, et quand mon site de critique des médias ment en coeur avec eux, tout en reconnaissant le mensonge mais comme si ça n'en était pas un gros, puis en en ajoutant un de son cru, je ne suis pas content du tout.
Trouvé sur lemonde.fr :
Jeremy Corbyn, 67 ans, issu de l’aile gauche du parti, a été élu en septembre 2015 à la surprise générale avec une nette majorité (59,5 %) à la faveur d’une nouvelle règle qui permettait d’adhérer au parti moyennant le paiement de 3 livres sterling (3,60 euros) sur Internet.
...
les modérés, proches de Mme Eagle, ont obtenu l’adoption, lundi par le comité exécutif, de mesures en leur faveur : les personnes ayant adhéré dans les six derniers mois ne pourront participer au scrutin, sauf s’ils paient 25 livres dans un laps de temps de deux jours.
Le vieux Labour ne le cède en rien à notre Fromage de Luxe sur le mépris des sans-dents. Sa devise : salauds de pauvres ! Comme ont été salauds, idiots, toussa, ceux de l'étage du dessous qui ont voté le Brexit, hein mon Cohn-Bendit, hein mon Minc.
Jeremy Corbyn, 67 ans, issu de l’aile gauche du parti, a été élu en septembre 2015 à la surprise générale avec une nette majorité (59,5 %) à la faveur d’une nouvelle règle qui permettait d’adhérer au parti moyennant le paiement de 3 livres sterling (3,60 euros) sur Internet.
...
les modérés, proches de Mme Eagle, ont obtenu l’adoption, lundi par le comité exécutif, de mesures en leur faveur : les personnes ayant adhéré dans les six derniers mois ne pourront participer au scrutin, sauf s’ils paient 25 livres dans un laps de temps de deux jours.
Le vieux Labour ne le cède en rien à notre Fromage de Luxe sur le mépris des sans-dents. Sa devise : salauds de pauvres ! Comme ont été salauds, idiots, toussa, ceux de l'étage du dessous qui ont voté le Brexit, hein mon Cohn-Bendit, hein mon Minc.
Comment fact-checker une prévision,
Mais comme chaque été, il ne dormira que d'un oeil.
Cette affirmation sera soumise à un fact-checking rigoureux.
A moins qu'il ne s'agisse que d'une manifestation de la post-vérité.
Vonnes bacances.
.
Mais comme chaque été, il ne dormira que d'un oeil.
Cette affirmation sera soumise à un fact-checking rigoureux.
A moins qu'il ne s'agisse que d'une manifestation de la post-vérité.
Vonnes bacances.
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La chronique gagnerait à se passer de condescendance ("Donc, la grande patronne du Guardian, en 2016, découvre la puissance des algorithmes. Mieux vaut tard que jamais. Bientôt, elle découvrira le pouvoir de la télé") et de mauvaise foi ("Autrement dit, la rédactrice en chef du Guardian reproche à la BBC de ne pas avoir fait campagne aveuglément pour le Remain")
Sachant que le salaire mensuel brut d'un artisan-capilliculteur est de 2266 €, et que le nombre de cheveux d'un humain se situe entre 100 000 et 150 000 - disons 100 000 pour la moyenne de ses clients - le tarif par cheveu est de 0.0266 €.
Pour le coiffeur élyséen rémunéré à 9895 €, travaillant sur un crâne présidentiel qui n'est plus garni que d'environ 60 000 cheveux - je compte large - ce tarif unitaire s'élève à 0.165 €, soit 1 € tous les 6 cheveux.
Dans le même temps, le merlan de base devra en couper pas moins de 38 pour gagner cet euro !
OK, les soins capillaires du locataire de l'Elysée nécessitent des produits haut de gamme, en particulier des teintures de grandes marques résistant aux fortes pluies.
Mais on peut tout de même émettre quelques doutes sur le rapport qualité-prix.
Pour le coiffeur élyséen rémunéré à 9895 €, travaillant sur un crâne présidentiel qui n'est plus garni que d'environ 60 000 cheveux - je compte large - ce tarif unitaire s'élève à 0.165 €, soit 1 € tous les 6 cheveux.
Dans le même temps, le merlan de base devra en couper pas moins de 38 pour gagner cet euro !
OK, les soins capillaires du locataire de l'Elysée nécessitent des produits haut de gamme, en particulier des teintures de grandes marques résistant aux fortes pluies.
Mais on peut tout de même émettre quelques doutes sur le rapport qualité-prix.
"C'est vrai que le camp du Leave a beaucoup menti. Effrontément. Avec un insoutenable cynisme, sans précédent connu à l'époque moderne."
Sans précédent ? Vraiment ?
Et Tony Blair et ses armes de destruction massive...
Perfide Albion !
Sans précédent ? Vraiment ?
Et Tony Blair et ses armes de destruction massive...
Perfide Albion !
Bonnes vacances à vous, donc !
Bonjour
C'est vrai qu'il va falloir s'accrocher avant les prochaines vacances avec tout le binz et les menteurs officiels (avec Bismuth et Normal 1er c'est devenu irrémédiable) que proposeront les partis accrocs au pouvoir et manipulés par les oligarques.
Bonnes vacances
C'est vrai qu'il va falloir s'accrocher avant les prochaines vacances avec tout le binz et les menteurs officiels (avec Bismuth et Normal 1er c'est devenu irrémédiable) que proposeront les partis accrocs au pouvoir et manipulés par les oligarques.
Bonnes vacances
"...Le Remain, lui, a moins menti que le Leave. Il a procédé différemment. Il a multiplié les prévisions apocalyptiques en cas de Brexit...." D.S. , il y a la une belle contradiction .
Tu seras toujours un socialiste , tu n'y peux rien .......Qui puis-je....?
Quand a michael gove , en quoi son parallèle est-il populiste....? comparer ceux qui soutiennent le remain a ces journalistes et hommes politiques qui soutenaient le nazisme est profondément juste ( fabrication d'un état basé sur l'exploitation du peuple eupéen via un état centrale , esclavage de certains renommé "libre circulation des personnes et des biens" , etc...."
Tu seras toujours un socialiste , tu n'y peux rien .......Qui puis-je....?
Quand a michael gove , en quoi son parallèle est-il populiste....? comparer ceux qui soutiennent le remain a ces journalistes et hommes politiques qui soutenaient le nazisme est profondément juste ( fabrication d'un état basé sur l'exploitation du peuple eupéen via un état centrale , esclavage de certains renommé "libre circulation des personnes et des biens" , etc...."
Quand a michael gove , en quoi son parallèle est-il populiste....? comparer ceux qui soutiennent le remain a ces journalistes et hommes politiques qui soutenaient le nazisme est profondément juste ( fabrication d'un état basé sur l'exploitation du peuple eupéen via un état centrale , esclavage de certains renommé "libre circulation des personnes et des biens" , etc...."
Euh... vous croyez vraiment à ce que vous écrivez, là ?
Vous vivez dans un univers parallèle où les membres de l'Union Européenne subissent vraiment le même sort que les pays sous occupation nazie ?
"fabrication d'un état basé sur l'exploitation du peuple eupéen via un état centrale"
Excepté que tous les partisans du Remain n'étaient pas pour un état fédéral européen, loin s'en faut... état fédéral qui est très très loin d'être réalisé, soit dit en passant.
esclavage de certains renommé "libre circulation des personnes et des biens"
Euh... si la "libre circulation des personnes et des biens" a clairement des aspects négatifs, il faudrait peut-être redescendre sur Terre et se rappeler ce qu'est la réalité de l'esclavage, hein...
Euh... vous croyez vraiment à ce que vous écrivez, là ?
Vous vivez dans un univers parallèle où les membres de l'Union Européenne subissent vraiment le même sort que les pays sous occupation nazie ?
"fabrication d'un état basé sur l'exploitation du peuple eupéen via un état centrale"
Excepté que tous les partisans du Remain n'étaient pas pour un état fédéral européen, loin s'en faut... état fédéral qui est très très loin d'être réalisé, soit dit en passant.
esclavage de certains renommé "libre circulation des personnes et des biens"
Euh... si la "libre circulation des personnes et des biens" a clairement des aspects négatifs, il faudrait peut-être redescendre sur Terre et se rappeler ce qu'est la réalité de l'esclavage, hein...
[quote=NonooStar]Euh... vous croyez vraiment à ce que vous écrivez, là ?
Vous vivez dans un univers parallèle où les membres de l'Union Européenne subissent vraiment le même sort que les pays sous occupation nazie ?
En matière économique et dans le cas de la Grèce, le parallèle avec le IIIième Reich me semble justifié. Sinon, pour ce qui est de "l'autre Europe" version Mélenchon, ça me laisse comme un arrière goût de Napoléon. Le seul truc réjouissant dans ces entreprises "d'unification européenne", c'est qu' historiquement elles ont toujours échouées.
Vous vivez dans un univers parallèle où les membres de l'Union Européenne subissent vraiment le même sort que les pays sous occupation nazie ?
En matière économique et dans le cas de la Grèce, le parallèle avec le IIIième Reich me semble justifié. Sinon, pour ce qui est de "l'autre Europe" version Mélenchon, ça me laisse comme un arrière goût de Napoléon. Le seul truc réjouissant dans ces entreprises "d'unification européenne", c'est qu' historiquement elles ont toujours échouées.
En matière économique et dans le cas de la Grèce, le parallèle avec le IIIième Reich me semble justifié.
Ah ? C'est marrant, mais les mesures drastiques en termes économiques qui favorisent la montée de groupuscules fascistes, personnellement, ça me rappelle plutôt le traité de Versailles et les conditions imposées par, entre autres, la France. Mais après tout, si on peut faire un parallèle avec le IIIe Reich, pourquoi se priver d'un tel épouvantail ?
Ah ? C'est marrant, mais les mesures drastiques en termes économiques qui favorisent la montée de groupuscules fascistes, personnellement, ça me rappelle plutôt le traité de Versailles et les conditions imposées par, entre autres, la France. Mais après tout, si on peut faire un parallèle avec le IIIe Reich, pourquoi se priver d'un tel épouvantail ?
Bien sur ! Vous avez raison sur le fait que "l'Allemagne paiera" façon Clémenceau et que ça eu certaines conséquences. Alors pourquoi recommencer avec la Grèce ? Qui je vous rappelle, avait bien repoussée les armées de Mussolini...
pub : https://www.etat-durgence.com/ prix libre.
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Paysage de ruines, c'est bien vu. Et comme souvent, seules les maisons les plus fragiles se sont écroulées : m'étonnerait que West end tombe, je pense même que c'est là, entre autres, qu'on trouvera les pillards d'après désastre, les charognards qui se font du gras sur les cadavres des vaincus. Penser à ceux de nos voisins qui imaginent déjà la City en nouveau Panama. Voir comment les nouveaux dirigeants vont réussir à obtenir de la Commission Européenne, qui cache de moins en moins bien sa goldmannsachisation, un statut encore plus avantageux (pour leur upper class).
Quant aux divers instances et pouvoirs européens, Commission et duo Allemagne-France, ils n'en sont même pas à « il faut tout changer pour que rien ne change », juste à « il ne faut rien changer ou alors, en pire avec des Macron partout ».
Quant aux divers instances et pouvoirs européens, Commission et duo Allemagne-France, ils n'en sont même pas à « il faut tout changer pour que rien ne change », juste à « il ne faut rien changer ou alors, en pire avec des Macron partout ».
Soi dit en passant, j'ai entendu que près de 50% des Français n'iront pas en vacances cette année...
Triste constat.
Mais bon, les "socialistes" au pouvoir nous affirme que si on veut "s'acheter un costard, il suffit de travailler" !!!
Ah ah ah. C'est la meilleure celle-là.
C'est encore plus fort que le coup de la "Rolex à 50 ans".
Quel mépris de dire que ces ouvriers doivent s'acheter une chemise, un pantalon !
Le même Macron affirmait que des ouvrières ne pouvaient pas être recasées car "analphabètes" (sic).
Ainsi, cette clique au pouvoir, qui crache sur le peuple, est aveugle. Et cet aveuglement a touché également les Britanniques mais à la différence que les Britanniques ont été plus démocrates que les Français.
Félicitations aux Britanniques.
La clique au pouvoir en France :
- s'est assis sur la volonté populaire
- nous a imposé le travail du dimanche et le travail de nuit
- a permis le travail pour les personnes mineures
- a criminalisé le travail des syndicats mais aussi les militants des droits de l'homme même !
Hollande et sa coupe de cheveux à presque 10000 euros par mois !
Malgré tout bonnes vacances à vous et le "socialisme" est définitivement mort.
Triste constat.
Mais bon, les "socialistes" au pouvoir nous affirme que si on veut "s'acheter un costard, il suffit de travailler" !!!
Ah ah ah. C'est la meilleure celle-là.
C'est encore plus fort que le coup de la "Rolex à 50 ans".
Quel mépris de dire que ces ouvriers doivent s'acheter une chemise, un pantalon !
Le même Macron affirmait que des ouvrières ne pouvaient pas être recasées car "analphabètes" (sic).
Ainsi, cette clique au pouvoir, qui crache sur le peuple, est aveugle. Et cet aveuglement a touché également les Britanniques mais à la différence que les Britanniques ont été plus démocrates que les Français.
Félicitations aux Britanniques.
La clique au pouvoir en France :
- s'est assis sur la volonté populaire
- nous a imposé le travail du dimanche et le travail de nuit
- a permis le travail pour les personnes mineures
- a criminalisé le travail des syndicats mais aussi les militants des droits de l'homme même !
Hollande et sa coupe de cheveux à presque 10000 euros par mois !
Malgré tout bonnes vacances à vous et le "socialisme" est définitivement mort.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Macron, il me fait de plus en plus penser à Coluche, quand il s'est mis à croire lui-même à sa blague.
Pour moi, il y a une combine entre Hollande et Macron....Hollande conserverait la place en 2017 avec l'aide de Macron , parfait pour contrer Sarkozy (il lui ressemble ) .Et en 2022, Hollande aiderait Macron à décrocher le pompon. Bon, je sais, c'est nul!