La police nationale détourne un reportage du Parisien
Le compte Twitter de la police nationale de Loire-Atlantique a cru bon d'illustrer un tweet sur les incivilités des cyclistes avec une vidéo du Parisien... tronquée. La direction du quotidien a demandé et obtenu son retrait auprès de la plateforme. De son côté, la police nationale plaide une simple volonté d'alerter les cyclistes sur les dangers de la route.
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Finalement la police nationale fait comme le documentaire Hold-Up, elle ne garde que ce qui l'arrange, l'auteure de la vidéo demande à faire la faire supprimer sur twitter tant l'extrait déforme son propos initiale.
Quoiqu'on pense de Hold up, il a au(...)
Ce qui est terrible c'est qu'en l’absence d'éléments matériels, les magistrats s'obstinent à condamner des prévenus en se basant sur la parole de la police.
...de falsifications en falsifications , une autre branche du réel s'ouvre sous nos yeux consternés.
Derniers commentaires
La DGPN précise par ailleurs que la vidéo du Parisien était en libre accès (et non réservée aux abonnés du journal).
Donc selon la DGPN, libre accès, signifie qu'on peut en faire ce qu'on veut ? La propriété intellectuelle doit être un concept dépassé.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Ce qui est terrible c'est qu'en l’absence d'éléments matériels, les magistrats s'obstinent à condamner des prévenus en se basant sur la parole de la police.
...de falsifications en falsifications , une autre branche du réel s'ouvre sous nos yeux consternés.
Finalement la police nationale fait comme le documentaire Hold-Up, elle ne garde que ce qui l'arrange, l'auteure de la vidéo demande à faire la faire supprimer sur twitter tant l'extrait déforme son propos initiale.
Quoiqu'on pense de Hold up, il a au moins l'excuse d'être une production privée. A moins que la police ait été privatisée dans la nuit (faudrait vérifié, on ne sait jamais), elle fait une concurrence déloyale à BFM TV et c'est interdit par le traité de Lisbonne, que le parlement a ratifié, contrairement au résultat du référendum de 2005.
Passé les bornes, y'a plus de limites, on peut donc tout se permettre. Un reportage bidonné ce n'est rien par rapport à l'interdiction de filmer, qui n'est rien par rapport à la mort d'un être humain.