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La semaine où la presse mondiale a observé la Grèce
Le sauvetage des banques espagnoles, des recettes poaradoxales de journalisme sur l'Afrique, le tweet de Trierweiler, et évidemment le compte à rebours avant les législatives grecques.
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Derniers commentaires
Je ne sais pas si vous avez lu les titres des articles sur ces élections. Ou si vous avez écouté les radios qui en parlaient.
Affligeant.
France inter, qui nous parle de droite européïste et favorable au pacte budgétaire, juste parce que se limiter au mot "européïste" aurait pu leur valoir quelques attaques, Syriza étant elle aussi favorable à l'Euro. Et une intervention d'Aubry qui se réjouit de ces résultats.
Lamentable.
Le retour à la drachme évoqué dans les titres des articles sur google actualité, mais, après avoir cliqué sur le lien, pouf, le titre a changé.
Syriza repeint en "gauche radicale", contrairement au Dimar, "gauche démocratique". Un parti "mélenchoniste" d'après le Figaro, "une victoire serrée mais cruciale du camp pro-euro", quand Syriza est pour l'euro, et n'a pas attendu Mélenchon pour se créer. Une belle mise en exergue sur les 19 députés d'Aube dorée qui "a réussi à conserver son succès du 6 mai". Mais ne surtout pas dire qu'ils ont perdu deux sièges. "Une majorité ou le chaos" peut-on lire aussi chez 20minutes. Belle leçon de démocratie. La palme revient tout de même au Figaro, qui nous place un magnifique "Votant avec son cœur plus qu'avec rationalité économique" pour décrire la sympathisante de gauche typique.
Bref, le journal à grand tirage, je me le garde pour la cheminée.
Affligeant.
France inter, qui nous parle de droite européïste et favorable au pacte budgétaire, juste parce que se limiter au mot "européïste" aurait pu leur valoir quelques attaques, Syriza étant elle aussi favorable à l'Euro. Et une intervention d'Aubry qui se réjouit de ces résultats.
Lamentable.
Le retour à la drachme évoqué dans les titres des articles sur google actualité, mais, après avoir cliqué sur le lien, pouf, le titre a changé.
Syriza repeint en "gauche radicale", contrairement au Dimar, "gauche démocratique". Un parti "mélenchoniste" d'après le Figaro, "une victoire serrée mais cruciale du camp pro-euro", quand Syriza est pour l'euro, et n'a pas attendu Mélenchon pour se créer. Une belle mise en exergue sur les 19 députés d'Aube dorée qui "a réussi à conserver son succès du 6 mai". Mais ne surtout pas dire qu'ils ont perdu deux sièges. "Une majorité ou le chaos" peut-on lire aussi chez 20minutes. Belle leçon de démocratie. La palme revient tout de même au Figaro, qui nous place un magnifique "Votant avec son cœur plus qu'avec rationalité économique" pour décrire la sympathisante de gauche typique.
Bref, le journal à grand tirage, je me le garde pour la cheminée.
ouf !! [s]la gauche[/s] l'anti Europe a perdu en Grèce !!
l'anti Europe qui avait failli dire non à maastricht, l'anti Europe qui a dit non en 2005, l'anti Europe enfin vaincue...
l'anti Europe qui avait failli dire non à maastricht, l'anti Europe qui a dit non en 2005, l'anti Europe enfin vaincue...
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Je disais rien mais comme personne ne dit rien non plus:
La revue se termine en queue de poisson, "du grand quot", et puis plus rien.
Sur l'Afrique et le guide du correspondant, une remarque: l'efficacité de l'ironie quand même! a-t-on inventé autre chose de mieux pour retourner les mentalités, éveiller les consciences, faire bouger les lignes, déplaire aux potentats?
La revue se termine en queue de poisson, "du grand quot", et puis plus rien.
Sur l'Afrique et le guide du correspondant, une remarque: l'efficacité de l'ironie quand même! a-t-on inventé autre chose de mieux pour retourner les mentalités, éveiller les consciences, faire bouger les lignes, déplaire aux potentats?
Absolument ;-)
Merci de titrer sur la Grèce.
Il ne faudrait pas que nos élections locales nous fassent oublier ce scrutin majeur.
Mais Anne-Sophie veille...
Il ne faudrait pas que nos élections locales nous fassent oublier ce scrutin majeur.
Mais Anne-Sophie veille...
