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La semaine où Rajoy, rattrapé par la corruption...
Civils victimes de la guerre française au Mali, un footballeur et sa fausse petite amie bernent les médias US, l'enquête de France Football sur le "Qatargate", qui met notamment en cause Michel Platini, reprise dans le monde entier, et le chef du parti conservateur au pouvoir en Espagne, Mariano Rajoy, accusé de corruption, qui n'apparait devant la presse que par écran interposé.
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Derniers commentaires
La semaine où j'ai pris ma carte à l'UMP. Avec la promesse d'une rapide promotion.
Dans un parti comptant vingt vice-présidents et onze nouveaux secrétaires généraux adjoints, il faudrait être la dernière des buses pour rester simple militant.
Dans un parti comptant vingt vice-présidents et onze nouveaux secrétaires généraux adjoints, il faudrait être la dernière des buses pour rester simple militant.
Bonjour
La politique 2.0 de Rajoy n'est pas faite pour nous rassurer envers les politiques.
La politique 2.0 de Rajoy n'est pas faite pour nous rassurer envers les politiques.
Super boulot, merci :-)
Je ne comprends pas très bien la place prise par le canular du footballer (si ce n'est que Jon Stewart s'en repait depuis 10 jours).
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Grâce à Klein et Rochat, je me réconcilie sur le tard avec le mot de Hegel: " La lecture du journal est ma prière du matin".
