Commentaires
La solitude, c'est meilleur à plusieurs
Pendant le mois d'août, chaque semaine, Alain Korkos rapproche deux zeuvres. Sans transition
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Derniers commentaires
Un tel guide fidèle, aussi savant que fantaisiste,puissions-nous le garder longtemps à ASI ! Martine Duclos
Superbe chronique, comme la dernière, et comme les autres, alors que les oeuvres ne m'intéressent pas outre mesure. Si, ai adoré la transition, et l'oeuvre "en plus" commentée de Hooper.
J'ai eu une pensée aussi pour La Ménagerie de verre de Tennessee Williams, description d'un enfermement palpable et incompréhensible dans une prison aux murs translucides.
A la prochaine transition
J'ai eu une pensée aussi pour La Ménagerie de verre de Tennessee Williams, description d'un enfermement palpable et incompréhensible dans une prison aux murs translucides.
A la prochaine transition
C'est superbe, merci! Je reviendrai plus tard lire tout en détail.
Sinon, mon avis est que la solitude c'est meilleur tout seul !
Sinon, mon avis est que la solitude c'est meilleur tout seul !
youpiiii ben moi elles me bottent [s]de foin[/s] vos transitions qui tuent, m'sieur Korkos
"Par les soirs bleus d'été...." c'était aussi une merveilleuse chanson de Charlebois, reprises un autre soir d'été dans les plaines d'Abraham avec ses deux potes Leclerc et Vigneault : Sensations...
comme quoi, la solitude c'est effectivement meilleur à plusieurs....voire à des milliers réunis dans un même chœur ...
"Par les soirs bleus d'été...." c'était aussi une merveilleuse chanson de Charlebois, reprises un autre soir d'été dans les plaines d'Abraham avec ses deux potes Leclerc et Vigneault : Sensations...
comme quoi, la solitude c'est effectivement meilleur à plusieurs....voire à des milliers réunis dans un même chœur ...
oui oui oui à cette chronique assurez moi qu'elle va devenir quotidienne
merci alain korkos pour cette chronique
pour l'illustrer, sur ces deux tableaux, hooper et degas, la chanson de bécaud reprise par nicoletta
LA SOLITUDE ÇA N'EXISTE PAS
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
Chez moi il n'y a plus que moi
Et pourtant ça ne me fait pas peur
La radio, la télé sont là
Pour me donner le temps et l'heure
J'ai ma chaise au Café du Nord
J'ai mes compagnons de flipper
Et quand il fait trop froid dehors
Je vais chez les petites sœurs des cœurs
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
Peut-être encore pour quelques loups
Quelques malheureux sangliers
Quelques baladins, quelques fous
Quelques poètes démodés
Il y a toujours quelqu'un pour quelqu'un
Il y a toujours une société
Non, ce n'est pas fait pour les chiens
Le Club Méditerranée
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
Tu te trompes, petite fille
Si tu me crois désespéré
Ma nature a horreur du vide
L'univers t'a remplacée
Si je veux, je peux m'en aller
A Hawaii, à Woodstock ou ailleurs
Et y retrouver des milliers
Qui chantent pour avoir moins peur
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
pour l'illustrer, sur ces deux tableaux, hooper et degas, la chanson de bécaud reprise par nicoletta
LA SOLITUDE ÇA N'EXISTE PAS
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
Chez moi il n'y a plus que moi
Et pourtant ça ne me fait pas peur
La radio, la télé sont là
Pour me donner le temps et l'heure
J'ai ma chaise au Café du Nord
J'ai mes compagnons de flipper
Et quand il fait trop froid dehors
Je vais chez les petites sœurs des cœurs
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
Peut-être encore pour quelques loups
Quelques malheureux sangliers
Quelques baladins, quelques fous
Quelques poètes démodés
Il y a toujours quelqu'un pour quelqu'un
Il y a toujours une société
Non, ce n'est pas fait pour les chiens
Le Club Méditerranée
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
Tu te trompes, petite fille
Si tu me crois désespéré
Ma nature a horreur du vide
L'univers t'a remplacée
Si je veux, je peux m'en aller
A Hawaii, à Woodstock ou ailleurs
Et y retrouver des milliers
Qui chantent pour avoir moins peur
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
La solitude ça n'existe pas
"Dans le silence et la solitude on entend plus que l'essentiel"..."parle si tu as des mots plus forts que le silence, ou garde le silence"...Camille Belguise et Euripide. Voila ce que m'inspire cette Kro et comme à chaque fois cela révèle en moi des sentiments nobles...
T'chô.
T'chô.
Merci Alain.
C'est chouettos, cette ambiance de fête entre les émissions sur la guerre, la chronique sur la solitude
avec en fond sonore la pluie qui gazouille.
Pour bien profiter de ce moment d'été, un petit Bill Evans que j'imagine volontiers en bande sonore de Nighthawks.
C'est chouettos, cette ambiance de fête entre les émissions sur la guerre, la chronique sur la solitude
avec en fond sonore la pluie qui gazouille.
Pour bien profiter de ce moment d'été, un petit Bill Evans que j'imagine volontiers en bande sonore de Nighthawks.
Et c'est quoi cette solitude a plusieurs dans un bocal sinon secret story et autre?
La une et la 6 seraient elles inspirées par Hopper?
La une et la 6 seraient elles inspirées par Hopper?
Bon là c'est Dennis Hopper (pas Edward), l'acteur, réalisateur (Easy Rider, au hasard...) et photographe qui fait le shoot, du beau monde : Warhol, Hockney, Geldzahler, Goodman... Et ils fument bien, en plus !
Et pis j'te frais dire que tu peux aussi nous montrer des peinturlures estivales et bandantes de notre ami Edward (Summer Interior), c'est tout à fait autorisé : il y a écrit à l'entrée 'Interdit aux moins de 18 ans"
Et pis j'te frais dire que tu peux aussi nous montrer des peinturlures estivales et bandantes de notre ami Edward (Summer Interior), c'est tout à fait autorisé : il y a écrit à l'entrée 'Interdit aux moins de 18 ans"
Merci... En lisant cette chronique, j'avais l'impression d'être dans une expo avec un guide qui me fait remarquer des tas de choses intéressantes que je n'aurais jamais remarqué seule...
Vraiment M’sieur Alain, heureusement que tu nous fais poiler et que tu nous instruis passe ka force de squeezer l’aurtôgraf et de quiller les transitions, c’est nous que tu quill, Bill ! (comme dirait Quentin Tarantino, qui, lui, sait écrire en amerlocain sans fôte et sans se prendre les pinceaux dans la moquette)
En plus c’est vache de tronquer dès le départ le nom d’Edgar de Gas à Tous les Étages, pour économiser le clavier, peut-être ?
Et le lien qui unit Vermeer (son petit pan de mur jaune en particulier) à Marcel Proust, tu y as pensé aussi ?
Je viens de finir cette cro, Mister Kos… J’ai pris tout mon temps pour la savourer, lentement, avec volupté et délectation ! On est plus culturé quand on lit bien les liaisons dangereuses que tu entretiens !
Il se trouve de plus que j’ai quelques liens avec le cinoche (Wim Wenders en particulier) et que Hopper a été, très curieusement – avec Hockney en comparse - la mèche improbable, pour ne pas dire impossible, qui a allumé un fabuleux feu d’artifice sentimental dans ma propre ma vie… Je ne raconte pas comment ici, les MP en direction d’éventuels curieux si d’aventure on me le demande seraient bien plus appropriés, mais l’histoire est aussi étrange que belle !
En bonus track sur la solitude :
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi ça et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais vraiment pas jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Georges Moustaki
En plus c’est vache de tronquer dès le départ le nom d’Edgar de Gas à Tous les Étages, pour économiser le clavier, peut-être ?
Et le lien qui unit Vermeer (son petit pan de mur jaune en particulier) à Marcel Proust, tu y as pensé aussi ?
Je viens de finir cette cro, Mister Kos… J’ai pris tout mon temps pour la savourer, lentement, avec volupté et délectation ! On est plus culturé quand on lit bien les liaisons dangereuses que tu entretiens !
Il se trouve de plus que j’ai quelques liens avec le cinoche (Wim Wenders en particulier) et que Hopper a été, très curieusement – avec Hockney en comparse - la mèche improbable, pour ne pas dire impossible, qui a allumé un fabuleux feu d’artifice sentimental dans ma propre ma vie… Je ne raconte pas comment ici, les MP en direction d’éventuels curieux si d’aventure on me le demande seraient bien plus appropriés, mais l’histoire est aussi étrange que belle !
En bonus track sur la solitude :
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi ça et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais vraiment pas jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Georges Moustaki
Evidemment, pour nous les ex-fans de la Boite a Images, c'est un peu du déjà vu/lu... bis repetita placent mais faut pas trop quand même.
La solitude à plusieurs, derrière la vitre:
http://lagene.files.wordpress.com/2010/04/image-7.png
http://lagene.files.wordpress.com/2010/04/image-7.png
Votre rapprochement est curieux, inattendu... En contemplant ce portrait de groupe, avec ces personnages hiératiques et comme insensibles, je pense plutôt aux portraits de Bronzino ; à la peinture italienne du quattrocento (Piero dela Francesca pour le côté très construit), ou bien aux primitifs flamands (pour le rendu des matières).
Superbe ! A lire a relire, à revoir, à s'imprégner de ces belles zimages.
La solitude, vaste sujet .... "Plus on est de fous plus on est seul".
La solitude est nécessaire pour avoir du recul sur soi, sur le monde qui en entoure, qui nous emm ..... souvent.
La solitude, vaste sujet .... "Plus on est de fous plus on est seul".
La solitude est nécessaire pour avoir du recul sur soi, sur le monde qui en entoure, qui nous emm ..... souvent.
fascinant de rassembler ainsi des oeuvres on comprend que les peintres s inspirent les uns des autres tout en maitrisant une technique personnelle et leur vision du monde : c est cela le génie ( apporter à ce qui a déja été fait sa vision personnelle )
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Bravo !
Je trouve cette chronique beaucoup plus convaincante que la précédente, même si c'est un peu tiré par les cheveux.
Enfin ! Disons, littéraire
Je trouve cette chronique beaucoup plus convaincante que la précédente, même si c'est un peu tiré par les cheveux.
Enfin ! Disons, littéraire
Très agréable chronique, merci Magic Korkos.
Je ne sais pas pourquoi, mais en voyant ces peintures et en lisant de ce que vous mettez dans la tête des personnages, je me dis : ça manque de phylactères tout ça.
du genre (sans aucun talent d'humour, je compte sur les PowWow gemp et autres IT):
La mère : "Mon Dieu que je me fais ch... Vivement que Rocco le jardinier vienne Samedi..."
Giovanna : Koâ ? Tu veux ma photo ?
Giulia : Balançoire, balançoire, balançoire, balançoire, balançoire, balançoire !
Le père :
Un nouveau concours photoshopien à lancer ?
(je suis sûr que ça doit déjà exister un site ouèbe qui fait ça, mais zoù ?)
Je ne sais pas pourquoi, mais en voyant ces peintures et en lisant de ce que vous mettez dans la tête des personnages, je me dis : ça manque de phylactères tout ça.
du genre (sans aucun talent d'humour, je compte sur les PowWow gemp et autres IT):
La mère : "Mon Dieu que je me fais ch... Vivement que Rocco le jardinier vienne Samedi..."
Giovanna : Koâ ? Tu veux ma photo ?
Giulia : Balançoire, balançoire, balançoire, balançoire, balançoire, balançoire !
Le père :
Un nouveau concours photoshopien à lancer ?
(je suis sûr que ça doit déjà exister un site ouèbe qui fait ça, mais zoù ?)
Toujours un plaisir, Alain, de se plonger dans ces œuvres et leur répons.
Et le petit tour par Charleville était bien agréable.
Merci.
Et le petit tour par Charleville était bien agréable.
Merci.