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L'arrêt de "Hôtel Europe" : cartographie des réseaux BHL
Même si vous êtes actuellement en stage aux iles Kerguelen, vous avez entendu parler
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Derniers commentaires
Arrêtez, vous allez lui faire saigner des mains.
Dans un article du Nouvel observateur daté du 9 juillet 1979, Cornelius Castoriadis admettant sa perplexité devant le « phénomène BHL », écrivait : « Sous quelles conditions sociologiques et anthropologiques, dans un pays de vieille et grande culture, un « auteur » peut-il se permettre d’écrire n’importe quoi, la « critique » le porter aux nues, le public le suivre docilement – et ceux qui dévoilent l’imposture, sans nullement être réduits au silence ou emprisonnés, n’avoir aucun écho effectif ? » Castoriadis ajoutait néanmoins : « Que cette camelote doive passer de mode, c’est certain : elle est, comme tous les produits contemporains, à obsolescence incorporée. »
Source Wikipedia
Source Wikipedia
Je trouve l'article un peu dur avec Bernard Henry Levy . Tout de même , c'est grâce a lui que nous sommes tous réunis , la , mes frères !
Il a , en plus , susciter un des plus beaux articles d'arrêt sur images , site que je vous conseil pour l'immense variété de ses articles et.....
Vous connaissez cette impression de "déja vu".....?
Salut Daniel , petite semaine chez asi non....? pourtant , nous sommes a la veille d'une nouvelle crise bancaire !
ton Bastou
P.S. quelqu'un a des nouvelles de yèza...?
Il a , en plus , susciter un des plus beaux articles d'arrêt sur images , site que je vous conseil pour l'immense variété de ses articles et.....
Vous connaissez cette impression de "déja vu".....?
Salut Daniel , petite semaine chez asi non....? pourtant , nous sommes a la veille d'une nouvelle crise bancaire !
ton Bastou
P.S. quelqu'un a des nouvelles de yèza...?
mais quel est le dessous des cartes?
Vous avez osé cliquer sur les liens du 9h15 de Daniel?
"Cabale" pour le Point.
"Boycott" d'après larègledujeu.
Victime de boycott et de cabale à travers son oeuvre. Oui, celui là même qui est passé sur les plateaux tévé. Celui là même qui est sur l'estrade à coté de M.Valls.
Vous connaissez des écrivains et des artistes boycottés et victimes de cabales médiatiques? Je suis certain que le nom de BHL n'aurai pas été le premier qui vous soit venu à l'esprit.
"Cabale" pour le Point.
"Boycott" d'après larègledujeu.
Victime de boycott et de cabale à travers son oeuvre. Oui, celui là même qui est passé sur les plateaux tévé. Celui là même qui est sur l'estrade à coté de M.Valls.
Vous connaissez des écrivains et des artistes boycottés et victimes de cabales médiatiques? Je suis certain que le nom de BHL n'aurai pas été le premier qui vous soit venu à l'esprit.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Il ne passera donc jamais en province ? :(
Si on a l’humeur sombre, il faut aller lire le péan (pas fait exprès...) de Gégé l'alter-nigaud sur le site du Point. Rire garanti. Dans la catégorie cirage de pompes, le porte-coton du Génie du botulisme est grandiose ! Et ne parlons pas de son style, sucré, faussement simple, digne d'un localier débutant du Télégramme de Jouy-en-Josette !
C'est pas "jolie-jolie" de tirer sur l'ambulance...
gamma
gamma
BHL a même offert des places aux spectateurs présents lors de l'émission " On n'est pas couché". Ils ont du être contents du cadeau !
Ah, BHL
Le découvreur, que dis-je, l'exhumateur botulien,
Ah, BHL
Le Trans Europ Express ( non, Le Point) Du RhumEnQuête de canne à sucre,
Ah, BHL
Sors de ce corps, on t'a reconnu
Du Panthéon
Tu ne verras que le cul.
Le théâtre de l'Atelier manquait de dimension,
Je m'en vais de ce pas créer le Théâtre Cosmique.
Il sera très à l'aise au milieu des comiques.
Ah, ce Bernard, J'en ris dès que je le vis!
Le découvreur, que dis-je, l'exhumateur botulien,
Ah, BHL
Le Trans Europ Express ( non, Le Point) Du RhumEnQuête de canne à sucre,
Ah, BHL
Sors de ce corps, on t'a reconnu
Du Panthéon
Tu ne verras que le cul.
Le théâtre de l'Atelier manquait de dimension,
Je m'en vais de ce pas créer le Théâtre Cosmique.
Il sera très à l'aise au milieu des comiques.
Ah, ce Bernard, J'en ris dès que je le vis!
c'est avoir l'esprit commun que de ne pas apprécier l'art théatral de BHL, puisqu'il est aimé d' esthètes comme Sarkozy et Hollande. Les princes ne sauraient avoir mauvais goût.
Ha, la poilade !
Pourquoi voudriez-vous que BHL bourre les salles avec ses pièces... alors qu'il ne vend, depuis déjà des années, plus ses livres ? Déjà, à l'époque de "l'affaire Botul", il avait publié concomitamment deux ouvrages, promus dans un rouleau compresseur médiatique colossal (pensez, deux BHL en quelques jours !)... et les chiffres de ventes avaient été de respectivement 2500 et 7000 !
Quant à sa pièce...
...Il se trouve que chaque jour, chaque théâtre (privé) déclare sa recette à la SACD afin que soient ensuite calculés et reversés les droits d'auteur. Ce bulletin quotidien des recettes de tous les théâtres est disponible pour chaque direction de salle parisienne tous les jours... quand on y a accès, on voit quel spectacle marche réellement ou peine à trouver son public... ou "coule" littéralement ce qui arrive malheureusement.
Dans le théâtre privé (et les contrats des acteurs sont généralement rédigés dans ce contexte), on produit un spectacle "pour sa durée"... terme bizarre qui signifie une chose bien simple : il n'y pas de durée fixe d'exploitation (sauf des cas particuliers : une star à l'affiche qu'un précédent contrat, de cinéma par exemple, va éloigner de Paris, ou une tournée... auquel cas on annonce "50 représentations exceptionnelles", formulation marketing signifiant : "si vous voulez voir Adjani, grouillez-vous, dans deux mois, ce sera trop tard"). En d'autre terme, si la pièce fonctionne, elle reste à l'affiche... si elle cartonne, elle peut rester longtemps. Très longtemps... et c'est ceci et rien d'autre qui décide de la durée de vie d'une pièce dans les "grands" théâtres privés. Prenons deux exemples :
- En ce moment, à l'affiche, "Thé à la menthe ou t'es citron" au Théâtre de la Renaissance. Le spectacle a été créé au Théâtre Fontaine il y a 5 ans. Reprise d'un grand succès des années fin 80/début 90. Débuts calmes en 2009 donc : pas de star à l'affiche, mais tout de même, un acteur/auteur qui a connu de très grands succès et qu'une partie du public identifie très bien... donc, ça fonctionne pas trop mal. Et puis, le bouche-à-oreille (oui, pas de promo. Pas de "star" = pas de promo) aidant, assez vite, c'est complet : 620 fauteuils vendus chaque jour... puis complet 8 à 10 jours à l'avance... les mois passent, c'est un carton, un Molière à la clé et la pièce part en tournée en France. Il serait stupide de casser la dynamique du spectacle : une seconde équipe répète donc la pièce et reprend les rôles à Paris tandis que la troupe initiale part en tournée... les années passent... seconde tournée... nouveau théâtre... troisième tournée... 1500 représentations environ, et une présence à Paris permanente pendant 5 ans.
- Il y a 5 ans, dans un très grand Théâtre Parisien, une belle comédie musicale américaine de patrimoine est adaptée et montée. A l'affiche, une star du cinéma de divertissement très très très populaire. Décors énormes, comédiens, musiciens, danseurs... énorme production... Engagement financier important, promotion à l'avenant et rouleau compresseur médiatique. Normal, le coût d'une telle opération est prohibitif. Artistiquement ? Le résultat n'est pas "indigne", mais la star en question n'étant pas chanteur (??? hé oui !) et étant très peu rompu à la scène peine à convaincre... le reste de la troupe fait de tels efforts pour combler ce "vide" qu'on ne voit plus que ça... le bouche à oreille ne prend pas... la salle est aux trois quarts vides et chaque jour, la production perd les 15 ou 20 000 euros qui permettraient d'équilibrer le budget. C'est à dire qu'il manque environ 250 à 300 personnes pour atteindre ce point d'équilibre. 7 représentations par semaine... 150 000 euros perdus par semaine. Et là la question se pose dans le tour de table des producteurs : on fait quoi ? On escompte une reprise au moment des fêtes et on prolonge au risque que "ça" ne prenne jamais et nous mène à la ruine ? Ou on arrête les frais au plus vite avant la catastrophe ? C'est ainsi que ça se passe, et je l'ai vécu sur certaines productions... Bilan : Le spectacle aura connu 10 semaines de vie... décision a été prise de le stopper au bout de 6 semaines*. Deux millions de perte.
On lit parfois sur des affiches, à la fin octobre : "TRIOMPHE ! Prolongations jusqu'au 3 janvier"... bien souvent, c'est l'appel à l'aide d'un spectacle en peine, dont les producteurs se payent une dernière campagne d'affichage pour tenter de mobiliser du public au moment des fêtes de fin d'année (période faste pour le théâtre)... alors qu'un fait, il n'y a rien à "prolonger" à proprement parler puisqu'il n'y a pas de date de "fin"... généralement...
Dans le cas de la pièce de BHL... effectivement, les données chiffrées de fréquentation étaient préoccupantes. Et dans les cas de pièces aussi "parisiennes", les apparences ne disent pas grand chose en début d'exploitation : oui, une salle peut-être pleine... d'invités... et quand le "réseau" est pléthorique, la mobilisation des invités pour soutenir les apparences peut durer un peu de temps... puis la réalité de la rencontre entre un public potentiel et une oeuvre se révèle un jour ou l'autre. Immanquablement. Ca "a pris" ou ça n'a "pas pris" et les revirements sont rares... Là, les chiffres indiquaient effectivement que "ça" ne prenait pas, et la dynamique de la courbe des recettes quotidiennes semblait montrer que, quoi qu'il arrive... "ça" ne prendrait pas. J'ajoute que le choeur des critiques n'était pas unanime, loin s'en faut (écoutez le Masque et la Plume de la semaine passée ! Mes aïeux, quelle douche !)
Bref, bien sûr, on ne mobilise pas tant d'énergie et de moyens pour créer un spectacle, dans le secteur privé, pour se contenter d'amortir cet investissement très lourd sur 30 ou 40 représentations. C'est un non-sens économique. Bien sûr qu'on souhaite pousser l'exploitation le plus loin possible, ne serait-ce que pour amortir le montage sur un grand nombre de représentations... Et bien sûr que la (sage) décision a été prise par les producteurs de ce spectacle de limiter les dégâts en la retirant de l'affiche au plus tôt. Et bien sûr enfin que ce ne sera jamais le "vite-dit" d'@si qui sera l'origine du manque d'appétence du public de ce spectacle, d'autant moins que ce manque d’appétence était visible dans les chiffres depuis des semaines déjà.
*Pourquoi arrêter à la mi-novembre ? Parce que syndicalement, lorsque vous engagez des acteurs ou techniciens intermittents "pour la durée", vous leur devez une vingtaine de représentations entre le moment de la décision d'arrêt et l'arrêt effectif... un pré-avis en quelques sorte. Normal. Engagé sur un projet de long terme, on est ipso facto amené à refuser tout autre contrat, tout autre travail. Aussi, se voir signifier du jour au lendemain que la production s'arrête pourrait être fort préjudiciable... c'est à ça que sert un pré-avis destiné à "laisser le temps de se retourner", pour pouvoir rechercher un nouveau boulot...
C'est pas facile, la production de spectacle vivant dans le privé... c'est pas facile... c'est pourquoi faut éviter de monter les pièces d'un auteur aussi peu crédible et aussi impopulaire... ce que j'en dis.
Pourquoi voudriez-vous que BHL bourre les salles avec ses pièces... alors qu'il ne vend, depuis déjà des années, plus ses livres ? Déjà, à l'époque de "l'affaire Botul", il avait publié concomitamment deux ouvrages, promus dans un rouleau compresseur médiatique colossal (pensez, deux BHL en quelques jours !)... et les chiffres de ventes avaient été de respectivement 2500 et 7000 !
Quant à sa pièce...
...Il se trouve que chaque jour, chaque théâtre (privé) déclare sa recette à la SACD afin que soient ensuite calculés et reversés les droits d'auteur. Ce bulletin quotidien des recettes de tous les théâtres est disponible pour chaque direction de salle parisienne tous les jours... quand on y a accès, on voit quel spectacle marche réellement ou peine à trouver son public... ou "coule" littéralement ce qui arrive malheureusement.
Dans le théâtre privé (et les contrats des acteurs sont généralement rédigés dans ce contexte), on produit un spectacle "pour sa durée"... terme bizarre qui signifie une chose bien simple : il n'y pas de durée fixe d'exploitation (sauf des cas particuliers : une star à l'affiche qu'un précédent contrat, de cinéma par exemple, va éloigner de Paris, ou une tournée... auquel cas on annonce "50 représentations exceptionnelles", formulation marketing signifiant : "si vous voulez voir Adjani, grouillez-vous, dans deux mois, ce sera trop tard"). En d'autre terme, si la pièce fonctionne, elle reste à l'affiche... si elle cartonne, elle peut rester longtemps. Très longtemps... et c'est ceci et rien d'autre qui décide de la durée de vie d'une pièce dans les "grands" théâtres privés. Prenons deux exemples :
- En ce moment, à l'affiche, "Thé à la menthe ou t'es citron" au Théâtre de la Renaissance. Le spectacle a été créé au Théâtre Fontaine il y a 5 ans. Reprise d'un grand succès des années fin 80/début 90. Débuts calmes en 2009 donc : pas de star à l'affiche, mais tout de même, un acteur/auteur qui a connu de très grands succès et qu'une partie du public identifie très bien... donc, ça fonctionne pas trop mal. Et puis, le bouche-à-oreille (oui, pas de promo. Pas de "star" = pas de promo) aidant, assez vite, c'est complet : 620 fauteuils vendus chaque jour... puis complet 8 à 10 jours à l'avance... les mois passent, c'est un carton, un Molière à la clé et la pièce part en tournée en France. Il serait stupide de casser la dynamique du spectacle : une seconde équipe répète donc la pièce et reprend les rôles à Paris tandis que la troupe initiale part en tournée... les années passent... seconde tournée... nouveau théâtre... troisième tournée... 1500 représentations environ, et une présence à Paris permanente pendant 5 ans.
- Il y a 5 ans, dans un très grand Théâtre Parisien, une belle comédie musicale américaine de patrimoine est adaptée et montée. A l'affiche, une star du cinéma de divertissement très très très populaire. Décors énormes, comédiens, musiciens, danseurs... énorme production... Engagement financier important, promotion à l'avenant et rouleau compresseur médiatique. Normal, le coût d'une telle opération est prohibitif. Artistiquement ? Le résultat n'est pas "indigne", mais la star en question n'étant pas chanteur (??? hé oui !) et étant très peu rompu à la scène peine à convaincre... le reste de la troupe fait de tels efforts pour combler ce "vide" qu'on ne voit plus que ça... le bouche à oreille ne prend pas... la salle est aux trois quarts vides et chaque jour, la production perd les 15 ou 20 000 euros qui permettraient d'équilibrer le budget. C'est à dire qu'il manque environ 250 à 300 personnes pour atteindre ce point d'équilibre. 7 représentations par semaine... 150 000 euros perdus par semaine. Et là la question se pose dans le tour de table des producteurs : on fait quoi ? On escompte une reprise au moment des fêtes et on prolonge au risque que "ça" ne prenne jamais et nous mène à la ruine ? Ou on arrête les frais au plus vite avant la catastrophe ? C'est ainsi que ça se passe, et je l'ai vécu sur certaines productions... Bilan : Le spectacle aura connu 10 semaines de vie... décision a été prise de le stopper au bout de 6 semaines*. Deux millions de perte.
On lit parfois sur des affiches, à la fin octobre : "TRIOMPHE ! Prolongations jusqu'au 3 janvier"... bien souvent, c'est l'appel à l'aide d'un spectacle en peine, dont les producteurs se payent une dernière campagne d'affichage pour tenter de mobiliser du public au moment des fêtes de fin d'année (période faste pour le théâtre)... alors qu'un fait, il n'y a rien à "prolonger" à proprement parler puisqu'il n'y a pas de date de "fin"... généralement...
Dans le cas de la pièce de BHL... effectivement, les données chiffrées de fréquentation étaient préoccupantes. Et dans les cas de pièces aussi "parisiennes", les apparences ne disent pas grand chose en début d'exploitation : oui, une salle peut-être pleine... d'invités... et quand le "réseau" est pléthorique, la mobilisation des invités pour soutenir les apparences peut durer un peu de temps... puis la réalité de la rencontre entre un public potentiel et une oeuvre se révèle un jour ou l'autre. Immanquablement. Ca "a pris" ou ça n'a "pas pris" et les revirements sont rares... Là, les chiffres indiquaient effectivement que "ça" ne prenait pas, et la dynamique de la courbe des recettes quotidiennes semblait montrer que, quoi qu'il arrive... "ça" ne prendrait pas. J'ajoute que le choeur des critiques n'était pas unanime, loin s'en faut (écoutez le Masque et la Plume de la semaine passée ! Mes aïeux, quelle douche !)
Bref, bien sûr, on ne mobilise pas tant d'énergie et de moyens pour créer un spectacle, dans le secteur privé, pour se contenter d'amortir cet investissement très lourd sur 30 ou 40 représentations. C'est un non-sens économique. Bien sûr qu'on souhaite pousser l'exploitation le plus loin possible, ne serait-ce que pour amortir le montage sur un grand nombre de représentations... Et bien sûr que la (sage) décision a été prise par les producteurs de ce spectacle de limiter les dégâts en la retirant de l'affiche au plus tôt. Et bien sûr enfin que ce ne sera jamais le "vite-dit" d'@si qui sera l'origine du manque d'appétence du public de ce spectacle, d'autant moins que ce manque d’appétence était visible dans les chiffres depuis des semaines déjà.
*Pourquoi arrêter à la mi-novembre ? Parce que syndicalement, lorsque vous engagez des acteurs ou techniciens intermittents "pour la durée", vous leur devez une vingtaine de représentations entre le moment de la décision d'arrêt et l'arrêt effectif... un pré-avis en quelques sorte. Normal. Engagé sur un projet de long terme, on est ipso facto amené à refuser tout autre contrat, tout autre travail. Aussi, se voir signifier du jour au lendemain que la production s'arrête pourrait être fort préjudiciable... c'est à ça que sert un pré-avis destiné à "laisser le temps de se retourner", pour pouvoir rechercher un nouveau boulot...
C'est pas facile, la production de spectacle vivant dans le privé... c'est pas facile... c'est pourquoi faut éviter de monter les pièces d'un auteur aussi peu crédible et aussi impopulaire... ce que j'en dis.
Vous avez vu, entendu partout, BHL faisant l'article de sa pièce. Vous êtes forcément tombé sur un des articles (celui-ci du Point, par exemple) faisant état de la visite de Valls, de Sarkozy, ou de Hollande, venus voir le spectacle, et assurant que "la pièce affiche complet".
Je n'ai pas vu, pas entendu, pas lu d'articles élogieux.
J'ai lu une critique sanglante dans Télérama, avais entendu un 1er avis négatif sur France inter et ai effectivement entendu le Masque et la plume à nouveau descendre cette "pièce".
C'est quand je lis la citation plus haut, que je suis contente de ne pas regarder la télé.
Je n'ai pas vu, pas entendu, pas lu d'articles élogieux.
J'ai lu une critique sanglante dans Télérama, avais entendu un 1er avis négatif sur France inter et ai effectivement entendu le Masque et la plume à nouveau descendre cette "pièce".
C'est quand je lis la citation plus haut, que je suis contente de ne pas regarder la télé.
Des représentations écourtées d'un mois et demi, à cause d'un vite-dit assassin.
Si a priori, BHL devrait se remettre de la perte financière, il se pourrait que le malheureux Jacques Weber soit contraint de tourner une nouvelle pub pour Danacol.
Le pouvoir de nuisance d'@si est considérable.
Si a priori, BHL devrait se remettre de la perte financière, il se pourrait que le malheureux Jacques Weber soit contraint de tourner une nouvelle pub pour Danacol.
Le pouvoir de nuisance d'@si est considérable.
Le réseau BHL. Son théatre, ses guerres (menée par d'autres). Une émission @rrêt sur images sur le phénomène? Qu'@si mentionne le réseau-qui-n'existe-pas, c'est déjà ça.
Pourquoi est-on de moins en moins "offusqué" par ces liens tissés serré entre les pourris élitistes et les employés zélotes des entrepreneurs/serviteurs/élites de la presse engluée ,
Je sais, ma phrase est trop longue mais c'est comme ça... je fais indigeste ;o)
Je sais, ma phrase est trop longue mais c'est comme ça... je fais indigeste ;o)
les grands créateurs sont incompris, c'est à ça qu'on les reconnaît.
au cours de l'émission sur france-inter "le masque et la plume" dimanche dernier,la pièce de bhl a été descendu sans appel.
la potentialité d'artiste créateur de pièces de théatre de bhl définitivement écornée par des critiques connaisseurs.
la potentialité d'artiste créateur de pièces de théatre de bhl définitivement écornée par des critiques connaisseurs.
Bernard-Henri LEVI-DE
Bernard-Henri LEVI-DORDUR
Bernard-Henri LEVI-CIEUX
Bernard-Henri LEVI-TREUX
Bernard-Henri LEVI-LAIN
Bernard-Henri LEVI-TREUX
Bernard-Henri LEVI-BROMASSEUR
Bernard-Henri LEVIT-FLASQUE
Bernard-Henri LEVI-DORDUR
Bernard-Henri LEVI-CIEUX
Bernard-Henri LEVI-TREUX
Bernard-Henri LEVI-LAIN
Bernard-Henri LEVI-TREUX
Bernard-Henri LEVI-BROMASSEUR
Bernard-Henri LEVIT-FLASQUE
Et qu'est un pont-levis?
Sinon, je ne comprends pas la différence entre la 4 et la 6.
Et qu'est un pont-levis?
Sinon, je ne comprends pas la différence entre la 4 et la 6.
Et qu'est un pont-levis?
Tous ces gens qui n'ont aucun sens de l'idéal européen doivent bien trouver un filon pour faire croire que c'est le leur.
C'est rassurant que nos élites soient sensibles à de telles bouffissures.....Mais nous (les sans dents) ,sommes sans doute ,trop bêtes
pour apprécier une telle élévation d'esprit......
Et surtout,ne pas voir,dans ce défilé d'esprits supérieurs.....comme un décalage.....et enfin....se poser quelques questions....mais vous êtes fou mon bon monsieur!?
pour apprécier une telle élévation d'esprit......
Et surtout,ne pas voir,dans ce défilé d'esprits supérieurs.....comme un décalage.....et enfin....se poser quelques questions....mais vous êtes fou mon bon monsieur!?
Ce plaidoyer pro-européen
Non, plaidoyer pro-BHL
Quant à Hertzog... Je viens de retrouver Démolition avant travaux, un cruel récit d'histoire récente de l'excellent Philippe Meyer, où il qualifie ce porteur d'eau d « alter-nigaud » du plus beau décolleté masculin du Flore.
En tout cas, le pouvoir exterminateur d'ASI, c'est quelque chose ! Pourriez pas vider aussi les meetings de Talonnettes Ier et bientôt II ?
Non, plaidoyer pro-BHL
Quant à Hertzog... Je viens de retrouver Démolition avant travaux, un cruel récit d'histoire récente de l'excellent Philippe Meyer, où il qualifie ce porteur d'eau d « alter-nigaud » du plus beau décolleté masculin du Flore.
En tout cas, le pouvoir exterminateur d'ASI, c'est quelque chose ! Pourriez pas vider aussi les meetings de Talonnettes Ier et bientôt II ?