Le festival BD d'Angoulême secoué par une enquête de "L'Humanité"
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Derniers commentaires
C'est sûr que l'état d'esprit a changé depuis sa création. En 1983 il y avait un concours pour non professionnels, on était invité à envoyer sa bd. Vague souvenirs, pas de télé, pas trop de journaux, j'avais dû l'entendre sur france inter, avec un numéro de téléphone pout tout renseignement. Je me demande si des gens le faisaient.
Ça semble incroyable ce côté kermesse et associatif des débuts. Dans toute association surgit un gars qui a toujours rêvé qu'on l'appelle président. Alors quand la notoriété s'emballe, pas étonnant que ça finisse entre les mains d'un toxique. Mais ce qui attriste c'est le côté racolage, et sponsorisation. Comme si sans tout ça, la bd ne serait que vide, inexistante? Faut du Q, du cul, du quick? Dubo, dubon, dubonnet?
C'est pas dieu possible que les festivals et autres trophées ne fassent que promouvoir le pognon et non pas les arts? Oh bah ça alors.
la rediff permet d'étoffer les chroniques, dommage que les commentaires précédemment inscrits aient disparus! Bastien Vivès raconte lui-même les suites du procès médiatique qu'il a subit dans une bd publiée à compte d'auteur: "la vérité sur l'affaire Vivès" , savoureux et édifiant!
Comme quoi être dans la bande dessinée n'empêche pas certains d'être dans une belle bande d'enf... . Mais on sait tous que le pouvoir corrompt et la peur-lâcheté mène à la collaboration-complicité!
Je viens de regarder le film "Hannah Arendt" de Margarethe von Trotta, et j'ai découvert que le scandale à propos du procès Eichmann n'était pas vraiment sur l'idée de "banalité du mal" mais sur l'évocation de la "collaboration de responsables juifs" dans la déportation! Super intéressant dans la situation actuelle, et pas seulemnt dans la BD