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Le patient "sorti de l'état végétatif"... était mort
Un patient dans un "état végétatif" qui récupère une conscience minimale grâce à la stimulation d'un nerf ? C'est l'histoire racontée par la plupart des médias français le 25 septembre, en se fondant sur un article publié dans une revue scientifique américaine. Problème : une interview publiée dans Le Parisien révèle, deux jours plus tard, que le patient en question est mort. Une "omission" que les médias ont finalement pointée du doigt, et qui interroge au sein de la communauté scientifique.
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Derniers commentaires
Je parle peut-être sans savoir, mais dans toute cette histoire il y a quand même des choses qui ne me rassurent pas:
Quand un jeune homme de 20 ans tombe dans le coma suite à un accident de moto et qu'on cherche à le sauver, on ne sait plus comment en sortir en cas d'insuccès . Car quinze ans de prolongation du coma, ça ne ressemble pas vraiment à un succès, me semble-t-il. Cette personne a passé presque autant de temps maintenu en vie par des artifices médicaux et apparemment sans vie consciente que toute sa vie antérieure.
Ensuite, il y a des chercheurs en médecine assez acharnés pour convaincre des familles de "prêter leur proche" comme cobaye pour tester un procédé nouveau de résurrection improbable....
Est-ce que la médecine n'aurait pas mieux à faire? La société ne devrait-elle pas être organisée de façon à aider pour faire des choix plus sages, pour réduire les risques d'accident, pour en surmonter les conséquences matérielles et affectives, pour choisir mieux à quoi on consacre la machine hospitalière, pour réfléchir au traitement qu'on doit réserver aux personnes qui sont déjà à moitié parties, etc....
J'ai l'impression qu'ici il y a un refus maladif de la mort, compréhensible au lendemain de l'accident chez des parents sous le choc, mais selon moi déraisonnable dans l'institution médicale telle qu'elle fonctionne, et dans les médias qui répercutent ces prétendues "avancées" de la médecine.
Quand un jeune homme de 20 ans tombe dans le coma suite à un accident de moto et qu'on cherche à le sauver, on ne sait plus comment en sortir en cas d'insuccès . Car quinze ans de prolongation du coma, ça ne ressemble pas vraiment à un succès, me semble-t-il. Cette personne a passé presque autant de temps maintenu en vie par des artifices médicaux et apparemment sans vie consciente que toute sa vie antérieure.
Ensuite, il y a des chercheurs en médecine assez acharnés pour convaincre des familles de "prêter leur proche" comme cobaye pour tester un procédé nouveau de résurrection improbable....
Est-ce que la médecine n'aurait pas mieux à faire? La société ne devrait-elle pas être organisée de façon à aider pour faire des choix plus sages, pour réduire les risques d'accident, pour en surmonter les conséquences matérielles et affectives, pour choisir mieux à quoi on consacre la machine hospitalière, pour réfléchir au traitement qu'on doit réserver aux personnes qui sont déjà à moitié parties, etc....
J'ai l'impression qu'ici il y a un refus maladif de la mort, compréhensible au lendemain de l'accident chez des parents sous le choc, mais selon moi déraisonnable dans l'institution médicale telle qu'elle fonctionne, et dans les médias qui répercutent ces prétendues "avancées" de la médecine.
j'avais bien lu qu'il était mort, dans le monde je suppose.
bref, vous ne tenez pas un scoop.
bref, vous ne tenez pas un scoop.
et l'état demande aux parents de vacciner leurs enfants ... et les patrons demandent a une employées de ne JAMAI se tromper ... et les gens qui ont eu des études payées par les plus pauvres nous mentent, et les medias sont acheté par les oligarque, mais c'est les 'gens' qui sont complotistes.
Je passe certainement à côté de quelque chose, mais :
- le décès est intervenu 3 mois après la fin de l'expérience
- la famille à explicitement demandé que le décès ne soit pas mentionné
- pas de lien entre expérience et cause du décès
...du coup, pourquoi ça pose un problème de ne pas avoir mentionné le décès ?
Je répète : je passe probablement à côté d'un truc, mais je veux bien qu'on m'explique.
- le décès est intervenu 3 mois après la fin de l'expérience
- la famille à explicitement demandé que le décès ne soit pas mentionné
- pas de lien entre expérience et cause du décès
...du coup, pourquoi ça pose un problème de ne pas avoir mentionné le décès ?
Je répète : je passe probablement à côté d'un truc, mais je veux bien qu'on m'explique.
La mort et la santé ont la même définition: " le silence des organes".
En lisant le titre de l'article, j'ai cru à une résurrection...
Techniquement, c'est vrai, il est sorti de l'état végétatif.
Ces sites pourront donc rester en vert sur le décodex.
Ces sites pourront donc rester en vert sur le décodex.
Pourquoi avez-vous utilisé l'imparfait et pas le présent simple dans le titre de l'article?