Commentaires
Le patronat, ombres et projecteurs
C'est une affaire entendue : Minc a l'oreille de Sarkozy.
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Derniers commentaires
bonjour
Cacher ce stock-option que je ne saurais voir
Ce n'est peut-être que la partie visible de l'iceberg car il faut bien vivre en France
En quoi ces personnages seraient ils tellement indispensables qu'on ait peur de les imposer? je serais étonné qu'on les attende à l'étranger
Ils seraient plutôt attendus dans les paradis fiscaux ou autrement à quoi serviraient ces paradis fiscaux?
Minc, un enfumeur enfumé ou un enfumé enfumeur?
Cacher ce stock-option que je ne saurais voir
Ce n'est peut-être que la partie visible de l'iceberg car il faut bien vivre en France
En quoi ces personnages seraient ils tellement indispensables qu'on ait peur de les imposer? je serais étonné qu'on les attende à l'étranger
Ils seraient plutôt attendus dans les paradis fiscaux ou autrement à quoi serviraient ces paradis fiscaux?
Minc, un enfumeur enfumé ou un enfumé enfumeur?
Minc, il est un peu "mince".
Il y a un mot auquel on pourrait prêter attention, c'est celui du populiste, de retour au populisme, qu'on entend actuellement chez les journalistes politiques et éditorialistes.
Les décideurs politiques, depuis longtemps, prennent des mesures, fiscales ou diverses, favorisant les riches et les inactifs actionnaires. Les éditorialistes n'emploient pas de terme péjoratif pour désigner ce favoritisme. En revanche, alors que se profile l'ombre d'un soupçon d'un vague de changement de politique, à confirmer, qui se ferait en défaveur des riches, comme l'abandon des stock-option, ces mêmes éditorialistes ont déjà introduit dans le discours médiatique un terme destiné à condamner d'avance, sans autre légitimité que le mot lui-même, cette politique.
Les décideurs politiques, depuis longtemps, prennent des mesures, fiscales ou diverses, favorisant les riches et les inactifs actionnaires. Les éditorialistes n'emploient pas de terme péjoratif pour désigner ce favoritisme. En revanche, alors que se profile l'ombre d'un soupçon d'un vague de changement de politique, à confirmer, qui se ferait en défaveur des riches, comme l'abandon des stock-option, ces mêmes éditorialistes ont déjà introduit dans le discours médiatique un terme destiné à condamner d'avance, sans autre légitimité que le mot lui-même, cette politique.
Minc le sherpa à Bling Bling ????
Evidence biblique !!!
La crise grotesquement psychologique ???
Minc le nouveau Bozzo le Clown !!!
Il vaut mieux en rire que d'en pleurer .
Ah ben "Minc" alors !!!!
Evidence biblique !!!
La crise grotesquement psychologique ???
Minc le nouveau Bozzo le Clown !!!
Il vaut mieux en rire que d'en pleurer .
Ah ben "Minc" alors !!!!
Après la charte étique (oui, oui, elle est un peu décharnée, non ?) du Medef, ce renoncement, cette morale des grands patrons français, c'est tellement beau.
Qu'on en oublierait presque que c'est un fumigène de plus, non ?
Qu'on en oublierait presque que c'est un fumigène de plus, non ?
Si on veut essayer de comprendre ce qui se passe, on peut prendre - au hasard - l'exemple d'AIG. Et là, il vaut mieux lire Paul Jorion que perdre son temps avec Minc
Il faut lire l'article de Minc pour mesurer l'ahurissant mépris du peuple qui l'anime. Ce peuple forcément aigi et jaloux, toujours à la recherche de boucs-émissaires, et qui ne comprend forcément rien aux ressorts de la crise. Au grand carnaval de la cupidité décadente, le cynisme s'affiche avec un masque blanc. Et se fait peur en invoquant 1789 : "faites gaffe, les gars, à ne pas répéter l'erreur de nos ancêtres, qui s'étaient laissés griser et n'avaient pas vu les gueux franchir le portail de leurs châteaux."
Minc "l'expert", est un affairiste à l'origine d'un bon nombre de plantages financiers se chiffrant par centaines de millions.
Que ses compétences soient reconnues et ses conseils écoutés par un président et un gouvernement d'idéologues, refusant d'admettre la faillite d'un système, est dans la logique des choses.
Que ses compétences soient reconnues et ses conseils écoutés par un président et un gouvernement d'idéologues, refusant d'admettre la faillite d'un système, est dans la logique des choses.
Montrer le stock-option pour qu'on oublie le bouclier fiscal, un symbole contre un autre.
Juste en passant, j'ai compris que seuls 4 des patrons de la Socgé avaient renoncé, pas les 146 autres cadres rémunérés par ce biais;
Tout ceci est un leurre, on va jouer les vertueux pour apaiser la colère populaire, parce qu'on a bien compris que le peuple doit être manipulé, roulé dans la farine, qu'à populisme, populisme et demi;
Tout ceci parce qu'ainsi on protège le principe des stock-options, pour l'année prochaine et les autres;
http://anthropia.blogg.org
Juste en passant, j'ai compris que seuls 4 des patrons de la Socgé avaient renoncé, pas les 146 autres cadres rémunérés par ce biais;
Tout ceci est un leurre, on va jouer les vertueux pour apaiser la colère populaire, parce qu'on a bien compris que le peuple doit être manipulé, roulé dans la farine, qu'à populisme, populisme et demi;
Tout ceci parce qu'ainsi on protège le principe des stock-options, pour l'année prochaine et les autres;
http://anthropia.blogg.org
" Il faut croire que le journaliste économique a encore davantage de mal à pénétrer les conciliabules du patronat".
Un best seller récent, sous couvert de polar, avait justement pour thèse de fond cette incapacité des journalistes économiques à faire l'analyse qu'on leur demande, et à se contenter de servir de relais des communiqués de presse des grandes entreprises.
Quand on lit cet ouvrage, en 3 tomes, à la lumière de ce qui ce passe aujourd'hui, cela n'en a que plus de force, et l'on regrette que son auteur soit mort. Il pourrait, invité des journaux, nous rappeler son combat pour un journalisme économique compétent.
Un best seller récent, sous couvert de polar, avait justement pour thèse de fond cette incapacité des journalistes économiques à faire l'analyse qu'on leur demande, et à se contenter de servir de relais des communiqués de presse des grandes entreprises.
Quand on lit cet ouvrage, en 3 tomes, à la lumière de ce qui ce passe aujourd'hui, cela n'en a que plus de force, et l'on regrette que son auteur soit mort. Il pourrait, invité des journaux, nous rappeler son combat pour un journalisme économique compétent.