Le Point accuse Mediapart d'avoir livré à la justice le banquier Condamin-Gerbier
"Comment Mediapart livre ses informateurs à la police et à la justice". Sous ce titre choc, Le Point accuse Mediapart d'avoir obligé un banquier de Genève, témoin dans l'affaire Cahuzac, à venir déposer devant les policiers dans le but de "crédibiliser ses infos". Un mail envoyé par un journaliste de Mediapart aux policiers confirmerait ce scénario. Contacté par @si, Fabrice Arfi (Mediapart) explique le contexte de l'envoi de ce mail.
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Derniers commentaires
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Vu l'énormité du titre, la justice devrait les obliger à leur faire écrire en Une et en gros caractères bien lisibles de loin "pourquoi notre patron Giesbert nous fait écrire des conneries sur Mediapart".
Ça devrait logiquement être évoqué demain dans le Canard...
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Si ce banquier a envie de parler à la police pourquoi le dire par personne interposée ?
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Je pensais qu'il existait un pacte de non-agression, au moins tacite, entre les différents journaux afin d'éviter ce genre de déballage entre gens de bonne compagnie.
Ce pacte n'existerait-il que dans mon imagination ?
Sinon, pourquoi est-il rompu par Le Point ?
(*) tiens, j'ai dit tiens.
Ainsi donc, un hebdo insoupçonnable reproche à un site irréprochable d'avoir "livré à la justice" un banquier blanc comme neige et comme il se doit.
Bon. Alors. Mais de quoi s'agit-il ?
Ou bien le banquier est blanc comme neige, et le site doit se faire taper sur les doigts.
Ou bien le banquier est blanc comme neige... mais la neige n'est pas celle qu'on croit.
Mais keski dit là ?
Ce qu’il dit là, c’est que le Point n’est pas le détenteur de la vérité, pas plus que Médiapart.
Ce qu’il dit là, c’est qu’entre un organe d’information mouillé jusqu’à l’os et même au-delà avec la phynance bienfaitrice de la république et de ses enfants,
et un organe d’information piloté par un affolé de la vérité,
il dit qu’il préfère la folie de la vérité.