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Le scandale Volkswagen déverrouille l'omerta sur les tests antipollution
L'affaire Volkswagen a-t-elle ouvert les vannes des révélations sur les pratiques de l'industrie automobile ? Alors que se précise l'ampleur de la supercherie du constructeur, qui a truqué les moteurs de onze millions de voitures afin de tromper les tests antipollution, les colonnes des médias se remplissent d'autres scoops sur des constructeurs peu scrupuleux... et sur leurs complicités au sein de la classe politique.
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Derniers commentaires
Le scandale voce-vagaine est aussi celui de la nullité en langues des journaleux français.
Un autre genre de scandale secoue actuellement le milieu du foute.
Sepp Blatter, président de la FIFA, a versé 1.83 millions d'euros à Michel Platini, président de l'UEFA.
D'après ce que j'ai lu, il s'agirait d'un "versement déloyal".
J'imagine la rencontre des deux ex-amis, Blatter proposant la somme à Platini : "Ecoute Michel, j'ai 1.83 millions d'euros de surplus en caisse. Si t'es intéressé, je te les verse sur ton compte à l'UBS."
Et Platini répondant à Blatter : "OK Sepp" - entre nous, quel prénom à la con ! C'est bien les Suisses - "ça me parait pas très loyal ton truc, mais si je peux te rendre service..."
Et voilà qu'aujourd'hui, les emmerdeurs du comité d'éthique de la FIFA ouvrent une enquête.
Sepp Blatter, président de la FIFA, a versé 1.83 millions d'euros à Michel Platini, président de l'UEFA.
D'après ce que j'ai lu, il s'agirait d'un "versement déloyal".
J'imagine la rencontre des deux ex-amis, Blatter proposant la somme à Platini : "Ecoute Michel, j'ai 1.83 millions d'euros de surplus en caisse. Si t'es intéressé, je te les verse sur ton compte à l'UBS."
Et Platini répondant à Blatter : "OK Sepp" - entre nous, quel prénom à la con ! C'est bien les Suisses - "ça me parait pas très loyal ton truc, mais si je peux te rendre service..."
Et voilà qu'aujourd'hui, les emmerdeurs du comité d'éthique de la FIFA ouvrent une enquête.
Les cons croivent que la ouature est un moyen de transport. Y connaissent pas les transports amoureux.
Dans le Cdanslair consacré au sujet, un des mini-reportages montre les conditions d'évaluation des rejets sur les modèles français… édifiant ! Retour sur le plateau de l'émission : zéro réaction !!!
Et si... Si cette affaire VW était l'acte citoyen d'une entreprise ?
Une saine réaction face à des diktats idiots, dont on sait que personne ne les respecte, et qui ne sont que poudre aux yeux : voila ce qu'est "l'affaire VW".
Les "contrôles anti-pollution" sont juste une norme, un gadget. Et une arme fiscale permettant une taxation supplémentaire de l'automobiliste.
Pour ne pas mettre en doute leur véracité, il faut être sacrément crétin : comme si on se mettait à croire les chiffres de la "consommation normalisée" des automobiles ! Chacun sait qu'une voiture donnée pour une consommation de 5 litres aux 100 en consomme 8 : les mesures sont faites dans des conditions telles qu'elles ne représentent rien de plus q'un argument publicitaire...
Bien évidemment, tous les constructeurs "trichent". Parce que le système est fait pour ça, dès le départ. Il s'agit en fait d'une arganisation politique.
Mais la pollution, me direz-vous ? Elle n'a qu'une importance secondaire. Parce que, dans ce domaine aussi, la norme officielle, c'est n'importe quoi ! Par exemple, la "lutte" contre la pollution par particlues émises (diesel) a porté les constructeurs à limiter à ce point la taille de celles-ci que les filtres (obligatoires) sont inefficaces : un diesel d'aujourd'hui émet plus de particlules fines qu'un vieux coucou des années 80 ! Mais beaucoup plus fines : elles ne sont pas détectées !
Techniquement, les voitures sont de moins en moins responsables de la pollution : elles consomment moins, leur rendement est meilleur. Mais il faut bien culpabiliser le consommateur...
Une saine réaction face à des diktats idiots, dont on sait que personne ne les respecte, et qui ne sont que poudre aux yeux : voila ce qu'est "l'affaire VW".
Les "contrôles anti-pollution" sont juste une norme, un gadget. Et une arme fiscale permettant une taxation supplémentaire de l'automobiliste.
Pour ne pas mettre en doute leur véracité, il faut être sacrément crétin : comme si on se mettait à croire les chiffres de la "consommation normalisée" des automobiles ! Chacun sait qu'une voiture donnée pour une consommation de 5 litres aux 100 en consomme 8 : les mesures sont faites dans des conditions telles qu'elles ne représentent rien de plus q'un argument publicitaire...
Bien évidemment, tous les constructeurs "trichent". Parce que le système est fait pour ça, dès le départ. Il s'agit en fait d'une arganisation politique.
Mais la pollution, me direz-vous ? Elle n'a qu'une importance secondaire. Parce que, dans ce domaine aussi, la norme officielle, c'est n'importe quoi ! Par exemple, la "lutte" contre la pollution par particlues émises (diesel) a porté les constructeurs à limiter à ce point la taille de celles-ci que les filtres (obligatoires) sont inefficaces : un diesel d'aujourd'hui émet plus de particlules fines qu'un vieux coucou des années 80 ! Mais beaucoup plus fines : elles ne sont pas détectées !
Techniquement, les voitures sont de moins en moins responsables de la pollution : elles consomment moins, leur rendement est meilleur. Mais il faut bien culpabiliser le consommateur...
L'open source n'est pas une baguette magique.Inutile d'inspecter des millions de lignes de code pour s'apercevoir de la tricherie. Il suffit comme a fait l'ONG qui a découvert le pot aux roses d'analyser les conditions de test pollution.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Oui, c'est lamentable, on sait, et on continue : de la servitude volontaire, du "pense pas roule" comme disait le PSU des années 1970, ou encore, pour le dire comme l'historien Jean-Baptiste Fressoz, "L'apocalypse joyeuse" (pour les enfants et les personnes âgées, bon asthme ! moi j'accélère...)
Comme on ne peut pas tout arrêter, il faudrait quand même
- tirer les conséquences législatives et politiques (voire judiciaires : juger les coupables pour empoisonnement collectif? cf. l'édito d'Hubert Huertas sur mediapart qui souligne le caractère indécent de la réponse du PDG "pardon, on a merdé")
- lancer des organismes indépendants pour faire les mesures de tout ce qui roule (pour les camions, ça risque d'être gratiné)
- refaire l'éco-taxe, madame Royal, et subventionner les trains, monsieur Macron, pas les cars
- rouler moins, svp (ou à vélo autant que possible)
Comme on ne peut pas tout arrêter, il faudrait quand même
- tirer les conséquences législatives et politiques (voire judiciaires : juger les coupables pour empoisonnement collectif? cf. l'édito d'Hubert Huertas sur mediapart qui souligne le caractère indécent de la réponse du PDG "pardon, on a merdé")
- lancer des organismes indépendants pour faire les mesures de tout ce qui roule (pour les camions, ça risque d'être gratiné)
- refaire l'éco-taxe, madame Royal, et subventionner les trains, monsieur Macron, pas les cars
- rouler moins, svp (ou à vélo autant que possible)
Je n'ai entendu aucun des deux Carlos, Gohn pour Renault et Tavarès pour PSA, intervenir pour affirmer que "non, pas nous !".