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le secret : tenir jusqu'à Noël
Et tout en bas ? Tout en bas, où nos regards ne portent pas ?
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Derniers commentaires
Bienvenue dans le monde réel (comprendre non parisien, non smartphoné et non twitté soit une bonne majorité de Français)! Oui la situation est catastrophique dans les CAF, CPAM, agences de pôle emploi, écoles, préfectures, etc...Allez-y, asseyez-vous pendant une demi-journée et écoutez, vous comprendrez.
Merci la RGPP!
Merci la RGPP!
Y'en a d'autres qu'on pas attendu Noel, c'est le nouveau couple Bolloré-Delanoé pour le lancement de "l'autolib"...en clair ce projet est économiquement utopiste, absolument pas rentable et cher pour l'usagé...alors quoi?
Ce qui intéresse Bolloré, ce n'est pas le transport de la population, ni même la construction de voitures, mais la production de batteries et l'exploitation des matières rares comme le lithium. C'est pourquoi Bolloré a acheté des brevets concurrents de ceux des constructeurs automobiles et commence à vouloir piller les pays d'Amérique Latine disposant de ces ressources naturelles. Auto lib n'est qu'une vitrine!
Aprés la Françafrique voici la l'Americanolatinofraiche...en gros pilé les plus pauvres pour achevé le peut qui reste.
Vive le nucléaire, le lithium et les écolos, au chiotte les salops de pauvres...
Bolloré va agrandir ces yatchs et ses jets privés, Delanoé va enfin pouvoir voyager gratos sur le dos des pauvres...prochain sur la liste Le Pape! (Bolloré travail en effet sur un projet nomé "le cierge à cathalise pour cathédrale" pour zéro rejet de CO2) Balaise hein?
T'chÔ.
Ce qui intéresse Bolloré, ce n'est pas le transport de la population, ni même la construction de voitures, mais la production de batteries et l'exploitation des matières rares comme le lithium. C'est pourquoi Bolloré a acheté des brevets concurrents de ceux des constructeurs automobiles et commence à vouloir piller les pays d'Amérique Latine disposant de ces ressources naturelles. Auto lib n'est qu'une vitrine!
Aprés la Françafrique voici la l'Americanolatinofraiche...en gros pilé les plus pauvres pour achevé le peut qui reste.
Vive le nucléaire, le lithium et les écolos, au chiotte les salops de pauvres...
Bolloré va agrandir ces yatchs et ses jets privés, Delanoé va enfin pouvoir voyager gratos sur le dos des pauvres...prochain sur la liste Le Pape! (Bolloré travail en effet sur un projet nomé "le cierge à cathalise pour cathédrale" pour zéro rejet de CO2) Balaise hein?
T'chÔ.
Ca rassure de vous lire... ça me rappelle un peu après le second tour Chirac, Le Pen, je n'écoutais plus que le répondeur de "là-bas si j'y suis". On avait l'impression que tout le monde était offusqué. En réalité nous n'étions qu'un petit nombre...
Mais bon ce n'est pas de ça dont je voulais vous parler, mais de l'analyse de Paul Jorion. Je l'ai découvert, il y a quelques jours sur France Culture. Lui aussi, c'est un pessimiste, et on l'accuse de prophétie.
A réécouter là : http://www.franceculture.fr/emission-les-matins-economie-de-quoi-l%E2%80%99europe-est-elle-capable-2011-11-30
Vous en pensez quoi ?
Mais bon ce n'est pas de ça dont je voulais vous parler, mais de l'analyse de Paul Jorion. Je l'ai découvert, il y a quelques jours sur France Culture. Lui aussi, c'est un pessimiste, et on l'accuse de prophétie.
A réécouter là : http://www.franceculture.fr/emission-les-matins-economie-de-quoi-l%E2%80%99europe-est-elle-capable-2011-11-30
Vous en pensez quoi ?
Les Américains spéculent , font marcher la planche à billets , essaient depuis des années de saper cette zone Euro qui peut menacer leur petit dollar..Et qui vient à Frankfort ( BCE) puis à Paris pour donner ses ordres à notre p'tit président ? L'américain T.Geithner ..
Qui dirige l'Europe ?
Qui dirige l'Europe ?
"Je ne vois pas l'intérêt d'aller coller des sanctions à un pays qui ne peut déjà pas rembourser ". En effet. L'étonnant, comme d'habitude, c'est qu'il soit le seul à soulever l'objection.
Toujours ce problème de persil dans les oreilles : Mélenchon répète cela quasiment mot pour mot d'interview en interview depuis qu'il est question d'agraver ou d'automatiser les sanctions ... et Daniel Schneidermann n'a rien entendu de ce côté là.
Bien sûr le style d'Olivier Delamarche à un côté décapant sympathique, mais son discours s'arrête à " leur agitation stérile nous amène tout droit à la catastrophe". Est-ce suffisant pour occulter le discours du Front de Gauche qui enchaîne : " Nous on peut " faire bifurquer cette trajectoire par des mesures radicales et concrêtes destinées à anéantir le pouvoir exorbitant de la sphère financière (celà détaillé dans le livre de Jacques Généreux - Nous on peut !)
" Il suffit " pour cela que le pouvoir passe entre les mains de gens déterminés à l'affrontement plutôt qu'à la soumission et aux faux-semblant. Vite la révolution citoyenne !
Toujours ce problème de persil dans les oreilles : Mélenchon répète cela quasiment mot pour mot d'interview en interview depuis qu'il est question d'agraver ou d'automatiser les sanctions ... et Daniel Schneidermann n'a rien entendu de ce côté là.
Bien sûr le style d'Olivier Delamarche à un côté décapant sympathique, mais son discours s'arrête à " leur agitation stérile nous amène tout droit à la catastrophe". Est-ce suffisant pour occulter le discours du Front de Gauche qui enchaîne : " Nous on peut " faire bifurquer cette trajectoire par des mesures radicales et concrêtes destinées à anéantir le pouvoir exorbitant de la sphère financière (celà détaillé dans le livre de Jacques Généreux - Nous on peut !)
" Il suffit " pour cela que le pouvoir passe entre les mains de gens déterminés à l'affrontement plutôt qu'à la soumission et aux faux-semblant. Vite la révolution citoyenne !
[quote=@si]L'étonnant, comme d'habitude, c'est qu'il soit le seul à soulever l'objection
Mais non, il n'est pas le seul. Tout ces mécanismes ont été critiqué depuis même leur gestation par une palanquée de gens, dont certains blogueurs très visibles. Ce qui est vrai, c'est que si dans les "médiadominans" cette vérité simple n'a pas beaucoup été dite, elle ne l'a pas été non plus sur le net, cette fois pour la raison que c'est effectivement une réalité simple qui, quand on a dit tout ce que certains ont dit, va au fond sans dire.
Par exemple quand vous êtes Paul Jorion et qu'il y a un an ou deux vous en étiez déjà à remarquer que tel fond de 800 miyards d'euros rassemblé en grande pompe par les Européens était constitué d'apportsde tous les pays de la zone euro, à commencer par la Grèce qui justement était incapable de se financer elle même, et juste à coté Espagne, Portugal, et Italie (que déjà à l'époque vous décriviez comme fragile)... Bon, quand vous avez remarqué ces choses là déjà à l'époque vous ne vous amusez pas à chaque nouveau fond basé sur des sommes empruntées par des états toujours moins solvables pour botter en touche leurs dettes nationales en espérant que "la croissance, elle revienne" (et que "le père noël, il arrive") à commenter les inepties toutes fraiches dont l'actualité ne semble jamais se tarir.
Les gens vraiment en amont et de l'anticipation et du discours dominant disent que le système est cuit, archi cuit. Ils préfèrent parler de la suite que du détail de comment il s'effondre. Ca évidemment, ça ne fait pas "lactualité". Il faudra attendre que tout le monde ait bien constaté un patatras réellement nouveau (qui aura le mérite de montrer que cette "crise" là n'est pas du même bois que la crise permanente cité par un autre @sinaute) pour que le débat publique atteigne le point qu'ils essayent actuellement de couvrir. En attendant, il faut des Oliviers Delamarches pour botter les fesses d'une population de journaliste en état de choc incapables de concevoir que toute cette société qu'il couvre est plutôt partie pour durer 10 minutes que mille ans - il ne faut juste pas les faire passe pour de grands précurseurs. Qui suit les bons blogs sait tout ce qu'il explique depuis un moment à présent.
Mais non, il n'est pas le seul. Tout ces mécanismes ont été critiqué depuis même leur gestation par une palanquée de gens, dont certains blogueurs très visibles. Ce qui est vrai, c'est que si dans les "médiadominans" cette vérité simple n'a pas beaucoup été dite, elle ne l'a pas été non plus sur le net, cette fois pour la raison que c'est effectivement une réalité simple qui, quand on a dit tout ce que certains ont dit, va au fond sans dire.
Par exemple quand vous êtes Paul Jorion et qu'il y a un an ou deux vous en étiez déjà à remarquer que tel fond de 800 miyards d'euros rassemblé en grande pompe par les Européens était constitué d'apportsde tous les pays de la zone euro, à commencer par la Grèce qui justement était incapable de se financer elle même, et juste à coté Espagne, Portugal, et Italie (que déjà à l'époque vous décriviez comme fragile)... Bon, quand vous avez remarqué ces choses là déjà à l'époque vous ne vous amusez pas à chaque nouveau fond basé sur des sommes empruntées par des états toujours moins solvables pour botter en touche leurs dettes nationales en espérant que "la croissance, elle revienne" (et que "le père noël, il arrive") à commenter les inepties toutes fraiches dont l'actualité ne semble jamais se tarir.
Les gens vraiment en amont et de l'anticipation et du discours dominant disent que le système est cuit, archi cuit. Ils préfèrent parler de la suite que du détail de comment il s'effondre. Ca évidemment, ça ne fait pas "lactualité". Il faudra attendre que tout le monde ait bien constaté un patatras réellement nouveau (qui aura le mérite de montrer que cette "crise" là n'est pas du même bois que la crise permanente cité par un autre @sinaute) pour que le débat publique atteigne le point qu'ils essayent actuellement de couvrir. En attendant, il faut des Oliviers Delamarches pour botter les fesses d'une population de journaliste en état de choc incapables de concevoir que toute cette société qu'il couvre est plutôt partie pour durer 10 minutes que mille ans - il ne faut juste pas les faire passe pour de grands précurseurs. Qui suit les bons blogs sait tout ce qu'il explique depuis un moment à présent.
La question de la sanction est importante. Mais il n'y a pas que faire payer le surdéficitaire qui pourrait s'appliquer; sortir l'Etat des négociations en cours, le privé de son droit de vote, de la présidence des commissions, des institutions.
Bref si on voulait trouver une réponse non pécuniaire, on pourrait facilement y arriver.
Bref si on voulait trouver une réponse non pécuniaire, on pourrait facilement y arriver.
M'est avis que d'ici à mai 2012, il va s'en passer des choses. On peut raisonnablement prédire des vacances de noël où les reportages sur papa noël et ses cadeaux vont squatter les tubes cathodiques, agrémenté de quelques reportages sur les effets de Lacrise sur les ventes d'écran plats, mais après... Combien de temps avant que les évènements ne fassent exploser le carcan médiatique qui fait passer Lacrise pour une péripétie (certes, la plus importante depuis la création de l'Europe/La fin de la seconde guerre mondiale/la crise de 29, au choix), une telenovella ? A vos boules de cristal.
moi je crois que vous etes tous intoxiqués. Asi aussi. La crise, la crise, vous n'avez que ce mot à la bouche. Tous les médias en coeur.
Moi ça va bientot faire 30 ans que j'entends qu'on est en crise. Toujours dans l'immédiateté, très peu de recul.
Non, nous ne sommes pas en crise. Quand la cris est permanente, ce n'est pas une crise : c'est le fonctionnement normal. Le système fonctionne normalement, suivant les règles qu'on a fixées. Rien de nouveau sous le soleil
Alors, arretez de nous bassiner, de nous faire peur avec la "crise". Ou alors employez les bons termes : ce n'est pas la "crise" que nous subissons, c'est le "capitalisme libéral financiarisé", de base.
"capitalisme" : la propriété privée est le droit absolu. Notamment la propriété privée des moyens de production et des médias
"libéral" : l'Etat n'intervient pas. Traduction : les riches (ie. les grands propriétaires) font ce qu'ils veulent et par conséquent deviennent de plus en plus riche
""financiarisé" : l'échange de richesse se fait surtout par voie "fictive", par échange informatique à grande vitesse de numéros de comptes, et de titre de propriétés imaginaires en tout genre (CDS, subprime, actions, ... tout ça c'est un échange de propriété)
(C'est quand même plus pratique de plumer les peuples sans bouger le cul de sa chaise, plutot que de devoir préalablement créér des richesses bien réelles.)
Sachant que la "propriété c'est le vol" (à partir du moment où on la considère absolue, inaliénable bref au-dessus de tout et illimitée), et que ça a été démontré irréfutablement, la situation actuelle est tout à fait normale. Elle continue de profiter à ceux qui ont déjà tout. La "crise" c'est juste histoire de faire passer la pilule, de faire passer des mesures encore plus libérales tout en faisant croire qu'on "sauve l'europe". La bonne blague...
Et vous (@asi) participez sournoisement à ce suppo, sans même vous en rendre compte, en croyant dénoncer....
-Il faut absolument réformer le droit de propriété privée, et le remplacer par le droit de possession. Nous avons le droit de posséder ce que nous utilisons, pas plus. Et on ne peut pas utiliser des millions d'euros (on ne peut pas utiliser 15 voitures, 3 villas, 2 hotels en même temps)...
-Il faut aussi reprendre en main, reposséder collectivement la création monétaire.
Alors plus de dette, plus de crise
M'enfin, la solution que je propose mériterait une discussion plus profonde. Je n'ai malheureusement pas encore trouvé le temps ni le courage. Quand bien même, je ne serai pas écouté. D'autres avant moi l'ont fait, résultat : que pouic.
Moi ça va bientot faire 30 ans que j'entends qu'on est en crise. Toujours dans l'immédiateté, très peu de recul.
Non, nous ne sommes pas en crise. Quand la cris est permanente, ce n'est pas une crise : c'est le fonctionnement normal. Le système fonctionne normalement, suivant les règles qu'on a fixées. Rien de nouveau sous le soleil
Alors, arretez de nous bassiner, de nous faire peur avec la "crise". Ou alors employez les bons termes : ce n'est pas la "crise" que nous subissons, c'est le "capitalisme libéral financiarisé", de base.
"capitalisme" : la propriété privée est le droit absolu. Notamment la propriété privée des moyens de production et des médias
"libéral" : l'Etat n'intervient pas. Traduction : les riches (ie. les grands propriétaires) font ce qu'ils veulent et par conséquent deviennent de plus en plus riche
""financiarisé" : l'échange de richesse se fait surtout par voie "fictive", par échange informatique à grande vitesse de numéros de comptes, et de titre de propriétés imaginaires en tout genre (CDS, subprime, actions, ... tout ça c'est un échange de propriété)
(C'est quand même plus pratique de plumer les peuples sans bouger le cul de sa chaise, plutot que de devoir préalablement créér des richesses bien réelles.)
Sachant que la "propriété c'est le vol" (à partir du moment où on la considère absolue, inaliénable bref au-dessus de tout et illimitée), et que ça a été démontré irréfutablement, la situation actuelle est tout à fait normale. Elle continue de profiter à ceux qui ont déjà tout. La "crise" c'est juste histoire de faire passer la pilule, de faire passer des mesures encore plus libérales tout en faisant croire qu'on "sauve l'europe". La bonne blague...
Et vous (@asi) participez sournoisement à ce suppo, sans même vous en rendre compte, en croyant dénoncer....
-Il faut absolument réformer le droit de propriété privée, et le remplacer par le droit de possession. Nous avons le droit de posséder ce que nous utilisons, pas plus. Et on ne peut pas utiliser des millions d'euros (on ne peut pas utiliser 15 voitures, 3 villas, 2 hotels en même temps)...
-Il faut aussi reprendre en main, reposséder collectivement la création monétaire.
Alors plus de dette, plus de crise
M'enfin, la solution que je propose mériterait une discussion plus profonde. Je n'ai malheureusement pas encore trouvé le temps ni le courage. Quand bien même, je ne serai pas écouté. D'autres avant moi l'ont fait, résultat : que pouic.
"Tout en bas, où nos regards ne portent pas ?"
ben, c'est qui le "nous", là ?
là où le regard des médias ne porte pas, ou de si loin, ou si condescendant...
mais pour "nous" qui sommes au ras du sol, nous "d'en bas" (même si pas "tout en bas"), notre regard porte sur les copains, sur les voisins, sur nous-mêmes aussi parfois, quand la névrose bureaucratique vient en rajouter sur la pauvreté, et encore plus sur la misère.
Et je doute que le reportage de france inter ait pu rendre compte du mélange de désespoir et de colère qui gonfle, là.
Il y a une solution très simple pour sortir de ce merdier, de cette violence bureaucratique : le revenu universel. Certes, les salariés de la CAF (ou du polemploi) seraient obligés de se reconvertir. Mais il ne manque pas, à ce jour, de besoins de compétences dans des services publics vraiment utiles, et ça leur ferait peut-être du bien, à eux aussi, de servir vraiment à quelque chose plutôt que de passer leur vie à emmerder (et à humilier) le pauvre monde en chipotant sur une case cochée de travers, une brosse à dents "de trop" dans la salle de bains, et quelques euros de plus ou de moins...
ben, c'est qui le "nous", là ?
là où le regard des médias ne porte pas, ou de si loin, ou si condescendant...
mais pour "nous" qui sommes au ras du sol, nous "d'en bas" (même si pas "tout en bas"), notre regard porte sur les copains, sur les voisins, sur nous-mêmes aussi parfois, quand la névrose bureaucratique vient en rajouter sur la pauvreté, et encore plus sur la misère.
Et je doute que le reportage de france inter ait pu rendre compte du mélange de désespoir et de colère qui gonfle, là.
Il y a une solution très simple pour sortir de ce merdier, de cette violence bureaucratique : le revenu universel. Certes, les salariés de la CAF (ou du polemploi) seraient obligés de se reconvertir. Mais il ne manque pas, à ce jour, de besoins de compétences dans des services publics vraiment utiles, et ça leur ferait peut-être du bien, à eux aussi, de servir vraiment à quelque chose plutôt que de passer leur vie à emmerder (et à humilier) le pauvre monde en chipotant sur une case cochée de travers, une brosse à dents "de trop" dans la salle de bains, et quelques euros de plus ou de moins...
//Quinze jours durant, les pauvres auront trouvé le rideau de fer baissé.//
Ventre affamé n’a pas d’oreilles, hélas : il fallait entendre un des pauvres interviewés s’emporter contre la petite main qui avait baissé le rideau, la suspectant de ne rien foutre derrière (vous savez, feignasses de fonctionnaires) alors qu’on sait que la petite main, les petites mains, sont proches du burn out pour cause de surcharge de travail.
Et ne rien dire contre les grandes mains des décideurs politiques qui ordonnent de baisser le rideau.
Cynisme des Maîtres du Château, qui font se battre entre eux les chiens du chenil. Et s’en amusent dans les salles réservées du Fouquet’s.
Tiens, le Bouygues qui, comme c’est bizarre, hérite de tous les gros chantiers à la barbe de ses concurrents (voir le Canard de ce mercredi), il en était pas, du raout ?
Ventre affamé n’a pas d’oreilles, hélas : il fallait entendre un des pauvres interviewés s’emporter contre la petite main qui avait baissé le rideau, la suspectant de ne rien foutre derrière (vous savez, feignasses de fonctionnaires) alors qu’on sait que la petite main, les petites mains, sont proches du burn out pour cause de surcharge de travail.
Et ne rien dire contre les grandes mains des décideurs politiques qui ordonnent de baisser le rideau.
Cynisme des Maîtres du Château, qui font se battre entre eux les chiens du chenil. Et s’en amusent dans les salles réservées du Fouquet’s.
Tiens, le Bouygues qui, comme c’est bizarre, hérite de tous les gros chantiers à la barbe de ses concurrents (voir le Canard de ce mercredi), il en était pas, du raout ?
Bonjour
Le contre pied commence à prendre forme.
Ce matin, sur F Culture, le chroniqueur politique (Hubert Uertas ?) en a usé.
Il imaginait que les états européens se réunissent non pas pour accepter ce que lémarchés leur imposait mais pour leur dire tous ensemble : il y en a marre et on se passe de vous.
De même il parlait d'un gouvernement d'union nationale en France non pas sous l'égide de nos gouvernants actuels (comme ils croient le faire) mais avec tout le monde sauf eux étant donné leurs résultats.
A suivre.
Le contre pied commence à prendre forme.
Ce matin, sur F Culture, le chroniqueur politique (Hubert Uertas ?) en a usé.
Il imaginait que les états européens se réunissent non pas pour accepter ce que lémarchés leur imposait mais pour leur dire tous ensemble : il y en a marre et on se passe de vous.
De même il parlait d'un gouvernement d'union nationale en France non pas sous l'égide de nos gouvernants actuels (comme ils croient le faire) mais avec tout le monde sauf eux étant donné leurs résultats.
A suivre.
Tenir jusqu'à Noël, je crois surtout tenir jusqu'aux élections.
Si la gauche arrivait juste au moment de la crise, ce serait pain béni pour la droite, qui pourrait ainsi gagner des points pour les élections suivantes, en arguant que les socialos n'y seraient pas étrangers.
Parce que je crois que maintenant c'est grillé pour Sarkozy pour ces élections-ci, de toutes façons. Et pour Merkel aussi.
Si la gauche arrivait juste au moment de la crise, ce serait pain béni pour la droite, qui pourrait ainsi gagner des points pour les élections suivantes, en arguant que les socialos n'y seraient pas étrangers.
Parce que je crois que maintenant c'est grillé pour Sarkozy pour ces élections-ci, de toutes façons. Et pour Merkel aussi.