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"Le vertige MeToo" : Caroline Fourest multiplie les erreurs

C'est l'un des événements médiatiques de cette rentrée littéraire : la sortie du nouvel essai de Caroline Fourest, "Le Vertige MeToo", qui promet de "disséquer les ombres et lumières d’un séisme qui a changé nos vies". Reçue de partout, l'essayiste a pu dérouler son propos, avant que "Mediapart" ne révèle de nombreux mensonges parus dans son livre. Mais Caroline Fourest multiplie aussi les approximations lors de sa tournée promotionnelle.

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Qui peut bien acheter les torchons que publient Fourest. Cohen, Enthoven, Finkelkraut, P Prout ?

Il y a tant de choses intéressantes à lire pourtant,  que toute une vie ne suffira pas. 

Mais Fourest,  à quoi bon insister, sinon lui faire(...)

Le problème n'est pas que Caroline Fourest mente. La mythomanie est une maladie. Elle n'est pas la seule à en souffrir. Le problème est qu'elle est prise au sérieux par la plupart des médias. Les symptômes de sa maladie sont pourtant évidents et il n(...)

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Caroline Fourest a depuis longtemps une relation compliquée avec la vérité. Et pourtant, elle continue à être invitée et interviewée comme si de rien n'était dans tous les médias. C'est révoltant. Combien de fois peut-on perdre sa crédibilité ? Une infinité de fois, quand on est un.e chien.ne de garde du système apparemment.

 moi quand je vois dans les rayons franc tireur ou les livres de ces pourritures je les glisse sous les gondoles ou dans des poubelles  pour les soustraire a la vente

Concernant le droit de réponse, j'avais une proche jeune juriste il y a quelques années, qui avait fait un stage dans la rédaction d'un journal et dont une des missions principale était d'analyser toutes les demandes de droits de réponse et de toutes les rejeter pour des raisons légales sans dire précisément aux personnes ce qu'il manque à leur demande.
Ce serait très intéressant si ASI enquêtait sur ce sujet.

 

                                             


       


       

ClémentineAutain


                 

     Caroline Fourest : le vertige réactionnaire    


https://www.youtube.com/watch?v=Td3_X920E-o

En fait, il se joue une guerre politique sur le terrain et sa matrice est maintenant l'occupation de l'espace. 

Caroline Fourest avec le printemps republicain est simplement une lobbyiste et en occupant l'espace, elle empêche l'accès limité à l'espace hertzien à d'autre voix et d'autres sujets. Leur cible, c'est les vieux qui votent. Le public jeune ne s'abonnerait pour rien au monde à un journal papier, des emissions même tnt, ou pire des essais en version papier.

Et le printemps républicain par la technique de la pédagogie militaire : repeter une connerie jusqu'à ce qu'elle devienne vérité.

Mais c'est comme en politique : le copinage se voit de la lune, l'indecence aussi.

Quelque part, les gens qui l'écoutent n'ont peut-être pas mérité mieux que rester dans leurs certitudes?



Merci ASI et Robin d'avoir pris le temps de nous éclairer sur base de faits... cette exclusivité est d'une tristesse...

Les erreurs.. ok... involontaires ???

Caroline Fourest représente, me semble-t-il, un bon exemple de ce journalisme prétendant apporter de la nuance (comprendre : de l'objectivité) là où en réalité, il ne s'agit que de consentement. Il s'agit de se rassurer (puisque "ces gens", ce sont des personnalités, de grands artistes, de grands hommes politiques, mais aussi, nos amis), tout en rassurant le public : "ce n'est pas si grave, tout ça, ça ne va pas bien loin, et puis, tout de même, les victimes ne sont pas toutes blanches, dans cette histoire, elles ont aussi leur part de responsabilité". Comme dans l'excellent dessin d'Allan Barte reproduit plus bas par Jammrek, Caroline Fourest, c'est la caution idéale pour démolir un mouvement menaçant le vieil ordre social, puisqu'on la présente comme étant "de l'intérieur" : une féministe de gauche (du moins est-ce comme cela qu'on s'acharne à la présenter, envers et contre tout), quoi de mieux pour démonter les féministes de gauche ? Et cerise sur le gâteau, ses interventions littéraires ou télévisuelles ne vont pas manquer de lui attirer moult insultes et injures de la part des plus radicaux d'en face, brutes de décoffrage, du pain-bénit pour la victimiser et en faire une prétendue martyre de l'objectivité journalistique. 

Merci pour cet article bien étayé qui, lui, remet les choses à leur place, sans faire de ce triste personnage la persécutée qu'elle n'est certainement pas.

La nuance entre mensonge et mauvaise foi m'a toujours parue essentielle et Fourest me semble souffrir de mauvaise foi, celle de ceux qui ont absolument besoin de croire en quelque chose, religion ou non. Le doute, la remise en cause , les déstabilisent et leur sont donc insupportables. Peu à faire contre ces fanatiques.

Par contre les médias, passe-plats de notoriétés plus ou moins faisandées, ont une grande responsabilité dans la propagation d'idées pareillement nauséabondes.

Mais la plupart des humains ont besoin de mythes...

Cette personne est une menteuse,point barre

" Le vertige metoo ", c'est  vrai que Caroline est une spécialiste du vertige, le vertige du vide....


Elle serait bouffonne , si elle  n'était pas dangereuse.

Oui, bon, toute cette pub partout pour 4200 exemplaires vendus... c'est pas ce que j'appellerais un succès ! 

Un livre prétentieux et indigne que des idiots admirent bruyamment ? 

Chaque époque à ses précieux et précieuses ridicules.

Mais les fats ne changent rien aux saisons.

Comme un discours peut avoir une haleine de charogne,

Un livre peut sentir l’humus et la pourriture des feuilles mortes de la forest.

Sa publication annonce l’automne et son venin qui s’insinue jusqu’aux sommets.

Ne restent vert que les sapins qui habillent le mortel au tombeau. 

Même abandonné dans son trou, le vaniteux pense encore avoir l’éternité pour méditer ; 

alors qu’il est aussi vite oublié qu’enterré. 

Sa postérité est éphémère comme l’actualité.

Et si en plus elle est superficielle, qui se souviendra d’elle ?

Sinon que ses mauvais livres ont tué la librairie ?


Le problème n'est pas que Caroline Fourest mente. La mythomanie est une maladie. Elle n'est pas la seule à en souffrir. Le problème est qu'elle est prise au sérieux par la plupart des médias. Les symptômes de sa maladie sont pourtant évidents et il n'y a pas besoin d'avoir fait des études de médecine pour les discerner.

Le bruit du vent dans les feuilles qui volent pour la rentrée littéraire 

Le goût rance de la "régression vers les origines ethniques" qui revient quand est proposé le nom du nouveau ministre de l'intérieur

Le souffle des bombes qui sont maintenant propagées par des industriels de l'électronique pour traumatiser et brûler la chair des civils

Et l'odeur de pourriture, quand vient l'heure du printemps républicain et ses volutes de racolage mensonger

C'est assez triste de voir que la croisade contre l'une de nos plus grandes journalistes, femme de coeur et de tous les combats féministes perdure et s'accentue de semaine en semaine. Caroline Fourest dont on ne peut affirmer qu'elle soit omniprésente dans les médias est une femme mesurée, cinéaste de talent. N'ayons pas peur des mots, son dernier film, soeur d'armes  est un pur chef d'oeuvre à la hauteur des plus grands films de guerre, apocalypse now ou voyage au bout de l'enfer. Ses ouvrages sont à classer parmi les  classiques et ceci dans tous les domaines, sociologie,  défense de la  laïcité sans concession, féminisme mesuré mais qui rétablit certaines vérités, géopolitique. ...On se régale tous les jeudis soirs de ses analyses pertinentes mises en valeur par ce journaliste intègre , david Pujadas, dont on saluera ici la toujours impeccable coupe de cheveux. Caroline Fourest ne mérite donc pas ces attaques en règle et  rappelons également qu'elle est proche d'un grand humoriste et éditorialiste qui après quelques décennies d'égarement est revenu à d'excellentes dispositions, je parle ici de Mr Philippe Val dont on apprécie les chroniques finement ciselées chaque semaine sur Europe 1. Quant à celles et ceux qui doutent encore du talent de journaliste de MMe Fourest, je les invite à lire l'excellent hebdomadaire franc tireur qui chaque semaine nous alerte sur les dangers du wokisme, de l'islamo gauchisme , des ravages de la myxomatose dans les élevages du Sud Ouest.

Je souffre avec vous.

Mais dans ma souffrance, je pinaille.


"N'ayons pas peur des mots, son dernier film, soeur d'armes  est un pur chef d'oeuvre à la hauteur des plus grands films de guerre, apocalypse now ou voyage au bout de l'enfer."


Bon.

voyage au bout de l'enfer n'est pas un film de guerre mais un roman écrit par une ordure ( j'assume ordure ) qui avait anticipé bien avant hanouna et quelques autres tout le profit que l'on peut tirer de proférer des insultes, des mensonges des ignominies que l'on ose étaler en espérant que quelque éditeur ou producteur va mordre à l'hameçon.


Plus ça change et plus c'est la même chose.


 PS : les minuscules aux noms propres, c'est voulu.


Étouffé par la honte.


J'ai confondu les voyages.

Celui au bout de l'enfer avec celui au bout de la nuit.


En la circonstance, l'enfer et la nuit sont comme deux soeurs jumelles, mais mettre Cimino dans la poubelle où gît Céline, c'est impardonnable.


Et je n'implore pas le pardon.



a votre décharge, le film de Cimino (que je considère comme le meilleur film sur la guerre à ce jour ) a fait descendre bon nombre de gens dans la rue. 


Accusant Cimino de falsifier l'histoire ( en rendant ignobles, voire inhumaine la résistance vietnamienne)


il a donc aussi ses détracteurs

l'enfer et la nuit sont comme deux soeurs jumelles 

Ô que non et ô combien non ! La nuit PEUT toujours être une formidable étendue temporelle. Que l'on soit seul ou pas, qu'on voit ou non les étoiles, que l'on dispose ou non d'un adjuvant chimique ou d'un bon bouquin, elle peut toujours. C'est moins vrai pour le jour (et totalement faux si on vit à Gaza bien sûr...)


Mais puisque vous parlez d'un roman plutôt que d'un tout autre film, il se trouve que comme beaucoup d'autres c'est le bouquin qui m'a donné goût à la lecture (sur le tard). Je le mettrais surement pas à la poubelle, en dépit de la régularité avec laquelle la question se pose.


Je dirais bien que l'enfer c'est l'absence de nuit, le jour éternel. 


La base de la torture pour les prisonniers en cellule est de laisser la lumiere toulours allumée.


Sinon pour aller jusqu'au bout de...


(ni vu le film ni lu aucune célinerie)


Quelques vers de Aragon


"Au bout de mon âge 

Qu'aurais-je trouvé

Vivre est un village

Où j'ai mal rêvé. .."


🎶🎶🎶🎵🎵🎵🎶

En la circonstance, l'enfer et la nuit sont comme deux soeurs jumelles, mais mettre Cimino dans la poubelle où gît Céline, c'est impardonnable.


Tout est affaire de circonstance.

:))
Dans le même registre, je vous invite à regarder cette vidéo concernant BHL:
"le grand BHL"

Crétin des Alpes et jaloux...Il aimerait une hagiographie concocté par Consensus 39 (qui lui au moins n'a pas peur de montrer sa photo...)

Maintenant que vous le dites, je remarque que Fourest est un peu dans la même démarche que Pujadas, au niveau impeccabilité de la coupe de cheveu. 

J'espère qu'elle ne se fera pas fourest contre son gré. 

Ce serait dommage...

Est-il vraiment nécessaire de consacrer du temps et de l'intelligence à ce que dit et fait Caroline Fourest ?

Qui peut bien acheter les torchons que publient Fourest. Cohen, Enthoven, Finkelkraut, P Prout ?

Il y a tant de choses intéressantes à lire pourtant,  que toute une vie ne suffira pas. 

Mais Fourest,  à quoi bon insister, sinon lui faire de la publicité. 

Les cons , mieux vaut les ignorer. Que de temps perdu sinon . Surtout à une époque où ils ne manquent pas. 


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