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Les deux journalistes emprisonnés au Niger ...
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Derniers commentaires
pareil que pour l'article avec M6 Danette & Co, en tapant les mots-clefs pour cet article, en haut dans rechercher... le résultat de la recherche est négatif.
A vos pixels.
A vos pixels.
Ca me fait penser aux 2 otages libérées récemment par les Farcs.
"un espoir pour la libération d' Ingrid".
Les médias ont peu rapporté que quelques heures plus tard, ils récidivaient.
Ont été enlevés des gens ni politisés, ni médiatisés et surtout pas Français, alors on s'en fout.
"un espoir pour la libération d' Ingrid".
Les médias ont peu rapporté que quelques heures plus tard, ils récidivaient.
Ont été enlevés des gens ni politisés, ni médiatisés et surtout pas Français, alors on s'en fout.
Je ne suis pas sûr que les syndicats centralistes de journalistes le comprennent.
« De plus, comme l'explique Léonard Vincent qui suit cette affaire pour Reporters Sans Frontières "Nous souhaitions aussi éviter, dans les médias français, toute caricature de la situation politique au Niger. C'est un état de droit avec une relative liberté de la presse puisque l'on y trouve 4 chaînes TV privées, 30 radios et 12 journaux". Une manifestation pour la liberté de la presse et la libération des journalistes, rassemblant 3 à 400 personnes selon RFI, a même eu lieu fin octobre 2007 dans les rues de Niamey. »
Au Niger il s'agit d'un problème de minorité qui est géré en Europe par une Charte et de multiples mouvements de résistance ... au Niger la gestion des mouvements culturels et économiques de différenciation avec Niamey se firent et se font avec l'armée.
En Corse, c'est avec une montagne de fonctionnaires bonapartistes ! En Corse, il y a bien autant de médias que cela et l'information caricaturale du procès de l'inquisition bonapartiste du prisonnier Yvan Colonna, a permis a la presse parisienne d'arriver jusqu'au oreilles corses, sûrement mieux que le point de vue corse.
En Occitanie, il y a bien autant de médias que cela et l'information caricaturale parisienne a le format de son amical pouvoir jacobin, pour tous les sujets traités sur Occitània, Catalunya, Euskadi, Elsaß, Réunion, Kanaky, Guiana, etc....
Il est bien temps que les journalistes parisiens (et certains en régions) se questionnent sur le centralisme de l'information en France comme au Niger, dont le modèle colonial est bien celui de la France.
J'ai justement publié une chronique catalane dans le journal AVUI [www.avui.cat] sur ce modèle français ( en Afrique, mais on peut développer) qui détruit les visions multiples du monde, mais aussi les multiples visions ou lieux de vision que l'on peut avoir de l'État France : http://jacmetolosa.spaces.live.com.
Sempre resistent al jacobinisme !
« De plus, comme l'explique Léonard Vincent qui suit cette affaire pour Reporters Sans Frontières "Nous souhaitions aussi éviter, dans les médias français, toute caricature de la situation politique au Niger. C'est un état de droit avec une relative liberté de la presse puisque l'on y trouve 4 chaînes TV privées, 30 radios et 12 journaux". Une manifestation pour la liberté de la presse et la libération des journalistes, rassemblant 3 à 400 personnes selon RFI, a même eu lieu fin octobre 2007 dans les rues de Niamey. »
Au Niger il s'agit d'un problème de minorité qui est géré en Europe par une Charte et de multiples mouvements de résistance ... au Niger la gestion des mouvements culturels et économiques de différenciation avec Niamey se firent et se font avec l'armée.
En Corse, c'est avec une montagne de fonctionnaires bonapartistes ! En Corse, il y a bien autant de médias que cela et l'information caricaturale du procès de l'inquisition bonapartiste du prisonnier Yvan Colonna, a permis a la presse parisienne d'arriver jusqu'au oreilles corses, sûrement mieux que le point de vue corse.
En Occitanie, il y a bien autant de médias que cela et l'information caricaturale parisienne a le format de son amical pouvoir jacobin, pour tous les sujets traités sur Occitània, Catalunya, Euskadi, Elsaß, Réunion, Kanaky, Guiana, etc....
Il est bien temps que les journalistes parisiens (et certains en régions) se questionnent sur le centralisme de l'information en France comme au Niger, dont le modèle colonial est bien celui de la France.
J'ai justement publié une chronique catalane dans le journal AVUI [www.avui.cat] sur ce modèle français ( en Afrique, mais on peut développer) qui détruit les visions multiples du monde, mais aussi les multiples visions ou lieux de vision que l'on peut avoir de l'État France : http://jacmetolosa.spaces.live.com.
Sempre resistent al jacobinisme !
Un état de droit avec "relative" liberté de la presse... on ne va pas applaudir parce-que c'est moins pire qu'ailleurs.
Les journalistes ont juste le droit d'être emprisonnés et d'encourir la peine de mort.
Ben dis donc, soit ceux du dessus ont voté pour eux-même, soit c'est la rédaction qui a voté pour eux.
Je comprend mieux la rapidité du remplissage des commentaires d'utilité publique.
Les journalistes ont juste le droit d'être emprisonnés et d'encourir la peine de mort.
Ben dis donc, soit ceux du dessus ont voté pour eux-même, soit c'est la rédaction qui a voté pour eux.
Je comprend mieux la rapidité du remplissage des commentaires d'utilité publique.
Bonsoir,
Oui j'ai pensé aussi à ces deux journalistes lors de la conférence de Presse, quand le Président a eu cette affirmation : "il ne faut pas prendre de risques inutiles !"
Que signifie exactement pour un journaliste "ne pas prendre de risques inutiles" ? Est-ce faire du journalisme de complaisance ? Ne pas froisser un chef d'Etat par exemple ? Eviter les sujets qui fâchent ? Se contenter de rapporter des mièvreries au lieu de reportages riches en enseignements ?...
L'emprisonnement des journalistes est absolument injuste et inacceptable. C'est leur travail d'aller quérir l'Information.
A tout endroit de la terre, ils devraient être libres d'exercer.
Courage aux journalistes français et à leurs confrères Moussa et Ibrahim et pensées à ceux qui, de par le monde, sont également privés de leur Liberté d'Expression...
Oui j'ai pensé aussi à ces deux journalistes lors de la conférence de Presse, quand le Président a eu cette affirmation : "il ne faut pas prendre de risques inutiles !"
Que signifie exactement pour un journaliste "ne pas prendre de risques inutiles" ? Est-ce faire du journalisme de complaisance ? Ne pas froisser un chef d'Etat par exemple ? Eviter les sujets qui fâchent ? Se contenter de rapporter des mièvreries au lieu de reportages riches en enseignements ?...
L'emprisonnement des journalistes est absolument injuste et inacceptable. C'est leur travail d'aller quérir l'Information.
A tout endroit de la terre, ils devraient être libres d'exercer.
Courage aux journalistes français et à leurs confrères Moussa et Ibrahim et pensées à ceux qui, de par le monde, sont également privés de leur Liberté d'Expression...
Ben on va voir si notre Président va se bouger !!! pour autre chose que pour nous montrer sa nouvelle fiancée ???
il s'agit de la vie de 4 personnes , qui a priori ne faisait que leur travail !!!
Allez Sarko montre nous si tu as des C......... ( secondairement , l'info peut interresser la miss Bruni !!! ; pardon : Mme S...... )
il s'agit de la vie de 4 personnes , qui a priori ne faisait que leur travail !!!
Allez Sarko montre nous si tu as des C......... ( secondairement , l'info peut interresser la miss Bruni !!! ; pardon : Mme S...... )
Robert Ménard de Reporter Sans Frontière donnera une conférence de presse demain jeudi 17 janvier.
Vous-Savez-Qui a plus ou moins tancé les journalistes lors de sa propre conférence de presse. Je site de mémoire "Il ne faut pas prendre des risques inutiles". Il semble que Thomas Dandois et Pierre Creisson n'ont pris aucun risques inutiles. Et même si ce n'était pas le cas, faut-il les laisser risquer la peine de mort. Qu'est-ce qui est pire 8 ans de travaux forcés ou la peine capitale ?
Vous-Savez-Qui a plus ou moins tancé les journalistes lors de sa propre conférence de presse. Je site de mémoire "Il ne faut pas prendre des risques inutiles". Il semble que Thomas Dandois et Pierre Creisson n'ont pris aucun risques inutiles. Et même si ce n'était pas le cas, faut-il les laisser risquer la peine de mort. Qu'est-ce qui est pire 8 ans de travaux forcés ou la peine capitale ?
