Les étoiles sont très différentes aujourd'hui
David Bowie était un musicien, un raconteur d'histoires et un fabricant d'icônes. Il faudrait examiner en détail tous ses textes, dénicher toutes les images qu'ils contiennent, passer au crible tous ses clips, toutes ses photos de concert, pourchasser ses multiples avatars : Ziggy Stardust, Aladdin Sane, Thin White Duke ou le Pierrot d'Ashes to Ashes ; il faudrait consacrer un livre à l'iconographie de Bowie. On se limitera ici à l'examen trop rapide des couvertures de ses disques en excluant les singles, les albums live et les compilations, sauf une.
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Derniers commentaires
Never let me down n'est pas que la pire pochette, c'est aussi le pire de ses disques.
Pour la petite histoire la pochette du dispensable Tin Machine II a été réalisée par Edward Bell (comme Scary Monsters)
Et moi j'aime bien la pochette de Heathen.
On le remarque plutôt bien sur la pochette de Man of Words/Man of Music.
Et sinon, autre chose, la pochette de "1.Outside" de 1995 est un autoportrait représentant Bowie mort (entendu dans le Taratata de janvier 96 rediffusé ces jours-ci).
Mais il n'a jamais arrete de peindre et dessiner.
Il etait aussi un tres grand collectionneur :
>< Ici en anglais ><
edit : Citation
Most of the obituaries for rock star David Bowie refer to him not only as a musician, performer, style icon and artist, but also as an art collector. In 1998 he told the New York Times: “Art was the only thing I’d ever wanted to own”. In 1999 he told the BBC’s Jeremy Paxman that “the only thing I buy addictively is art”.
Bon, soit on a des écrans aux réglages différents ; soit l'un de nous est daltonyien. Dans le documentaire mentionné, sur la photo à 7'30'', l'iris de l'oeil 'mydriasé' gauche est bien d'une autre couleur, tendance verdâtre, différente de l'iris droite, bleue. À vérifier par ailleurs sur moultes photos et gros plans.
Comme dirait l'autre, chacun ses goûts et ses couleurs.
Et tant qu'on y est, à parler zyeux et couleurs, faites également une recherche google 'color eye tricks', je ne doute pas que vous saurez, après avoir cliqué sur un ou deux liens, en tirer les conclusions nécessaires pour comprendre ce qui vous semble être deux couleurs différentes, sans avoir besoin d'être daltonien ou de changer les réglages de votre ordinateur.
Bowie , mort d'un cancer , donne tout les droits du dernier disque a l'aide a la recherche contre / pour le cancer .
C'est lui qui disait "...l'important ce n'est pas le temps qu'on passe sur terre mais ce qu'on y fait..."
Marrant comme cette génération de warhol refuse de mourir....presque plus vivants mort que vivants...
Quel ego , ces vieilles anglaises .
Zappa , en 80 , se sachant condamné dira simplement " music is the best "....c'était la conclusion d'une citation magnifique
dans le non-moins grandiose "Joe's Garage"
Si la vie est trop courte , qu'elle serve au moins a comprendre le monde par l'étude d'une science , chez zappa , la musique en était une.....
Quel ego , ces vieilles anglaises .
Je me doutais de la chronique. Un arrêt sur images des pochettes et mises en scène/cadre de Bowie est si invitant.
Bigleux que je suis, il a fallu une remarque quelque part sur YT pour m'ouvrir les yeux, comme à beaucoup d'autres, sur un détail du dernier : son nom figure en-dessous de l'étoile, dand les fragments...
Je trouve ceci aussi magnifique que typique.
Et : "Blackstar" est le seul album officiel de Bowie où il n'est pas sur la pochette. Singularité testamentaire.
Ma discothèque ne se respecte pas. Est-ce grave, docteur ? Et après avoir jeté une oreille dans YouTube, ça ne devrait pas changer.
Les goûts, les couleurs.
Rien sur les pochettes des années quatre-vingt-dix ?
"Le talent suprême est de faire croire qu'on en a" (Yvan Audouard)
Une étoile de sang me couronne à jamais
La raison est au fond et le ciel est au faîte
Du chef où dès longtemps Déesse tu t’armais
C’est pourquoi de mes maux ce n’était pas le pire
Ce trou presque mortel et qui s’est étoilé
Mais le secret malheur qui nourrit mon délire
Est bien plus grand qu’aucune âme ait jamais celé
Et je porte avec moi cette ardente souffrance
Comme le ver luisant tient son corps enflammé
Comme au coeur du soldat il palpite la France
Et comme au coeur du lys le pollen parfumé
Guillaume APOLLINAIRE
"Calligrammes"