Les femmes, ces "domestiques" de 14-18
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Commentaires préférés des abonnés
je ne suis pas amatrice du tout mais pleinement historienne professionnelles avec comme eux agrégation, doctorat, poste en fac et nombreux ouvrages
juste, je suis spécialiste de la citoyenneté au 19e sc et eux de la grande guerre
Merci une nouvelle fois à Mathilde Larrère
En tous les cas, c'est encore aux femmes que revient le courage de demander la paix, aujourd'hui en dénonçant les criminels de guerre
(...)Très édifiante, l'attitude "bienveillante", d'un certain public paternaliste qui, lorsqu'il s'agit d'une historienne, la qualifie d'amatrice.
Derniers commentaires
Nicole Girard Mangin fut la première femme médecin sur le front, à Verdun .
Dans une série de reportages sur la médecine de guerre en 14/18, l'émission de France 5 "allo docteurs" lui a consacré une présentation intégrant une vidéo de 5 minutes .
Outre le témoignage de son petit-neveu Philippe Vachet qui apporte des documents issus des archives familiales,
Catherine le Quellenec y est interrogée pour lui avoir consacré un livre "Docteure à Verdun" aux éditions Oskar
A noter que la 45° promotion de l'IRA de Metz a souhaité rendre hommage à Nicole Girard Mangin en choisissant son nom pour leur promotion . C'est à lire ici .
Merci beaucoup pour cette chronique très instructive, notamment sur la position « émancipatrice » de la CGT qui a renvoyé les femmes au foyer après la guerre.
... et des combattantes aussi en Russie. Maria Botchkareva, Yashka est la plus connue, dont les motivations n'avaient rien de féministe. Elle se rangera du côté des Blancs, choix qui lui sera fatal. Ses mémoires (rédigées sous la dictée par Don Levine) sont disponibles en ligne en anglais mais, je crois, ont été rééditées en français récemment. Bonne lecture!
Merci Mme Larrère pour votre chronique.
Merci une nouvelle fois à Mathilde Larrère
En tous les cas, c'est encore aux femmes que revient le courage de demander la paix, aujourd'hui en dénonçant les criminels de guerre
Très édifiante, l'attitude bienveillante, mais autoritaire, des historiens professionnels envers l'historienne amatrice.