"Les Glorieuses", média féministe au service d'une "girlboss"
Avec ses newsletters féministes "Les Glorieuses", Rebecca Amsellem ne fait pas de différence entre journalisme et communication, prône le "post-capitalisme" en étant financée par des mécènes du CAC 40, se bat en public pour l'égalité salariale femmes-hommes mais semble avoir épuisé de jeunes femmes sous-payées. Enquête sur la plus française des "girlboss".
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Commentaires préférés des abonnés
On nous avait pourtant prévenu :
(...)encore une qui a trouvé le bon filon et qui surfe sur la vague du féministe pour lancer sa carrière !
nul doute qu'on la retrouvera secrétaire d'Etat ou à la tête d'un ministère (façon Fadela AMARA ) dans l'avenir (très) proche
(...)Qu'un patron soit une patronne ne change rien à la donne. Un patron, c'est là pour se faire du pognon sur le dos de ses employés. C'est l'exploitation des employé(e)s par le supérieur qui détient le pouvoir de l'argent.
Derniers commentaires
Féminisme extrêmement compatible avec celui de léa ... / https://www.monde-diplomatique.fr/2020/12/DE_RAUGLAUDRE/62595
Je suis abonné depuis longtemps à ASI. Les infos et débats sont riches et apportent beaucoup. En revanche, j'ai toujours autant de difficultés avec le point median et maintenant avec le "iel" qui alourdissent toujours autant la lecture : avec ces éléments, on est sans cesse rappelés à d'autres débats en cours de lecture sur un sujet. J'ai beau me dire que c'est certainement pour la bonne cause, ça reste agaçant. Tenez-vous vraiment à imposer cette manière de rédiger et de lire ?
Super éclairage dont je n'avais pas trop conscience faute de connaître les coulisses de tout ça. Merci ASI.
Artcile intéressant, merci. Ca me fait penser à Hapsatou Sy, même si ça diffère en bien des points, on retrouve le concept de girlboss.
Lire ça me rend fou:
"Après discussion avec elle, j'avais proposé à Esther Thiry d'apprendre tous les rouages de la création d'une entreprise afin qu'elle-même puisse le faire par la suite si elle le souhaitait."
Ca veut dire quoi, que l'apprentissage du métier de "start-upeuse" est considéré comme une rémunération ? Comment on peut dire un truc pareil sans avoir honte ? Je me demande quel enrichissement personnel elle retire elle-même de sa "start-up" de fémiwashing. Je voulais lire son truc sur le post-capitalisme, tiens, mais il faut s'inscrire à la newsletter...
NB: bien joué pour l'usage pertinent du iel :) Ca va en tuer certain.e.s.
Merci pour cet article ! Je "suis" Les Glorieuses (et aux Petites GLo pour ma petite fille).... mais sans parvenir à m'y abonner leurs prix étant, à mon avis, très élevé pour le contenu et "dérangée" par un je ne sais quoi éditorial très parisien uniquement.... maintenant je comprends mieux.
Et ce sera 'non merci'
On nous avait pourtant prévenu :
Qu'un patron soit une patronne ne change rien à la donne. Un patron, c'est là pour se faire du pognon sur le dos de ses employés. C'est l'exploitation des employé(e)s par le supérieur qui détient le pouvoir de l'argent.
C’est horribe ! Je vais finir par croire que l’argent salit tout !
Merci à vous, en tout cas.
(Un détail, mais Lancôme est une filiale de L’Oréal, pas de LVMH. Par conséquent, c’est sponsorisé dans les deux cas par L’Oréal).
Ce genre de personne ( Rébecca Amsellem) est vraiment fascinant d un point de vu psychopathologique...
On attrape pas les mouches avec du vinaigre ! Aie confiance , crois en moi ....Et y'en a qui y croit ,Non ???? Vous allez monter un mouvement pour les truffes qui se sont fait avoir ? Ce sera quoi , le wokisme du gogo ? Pour qu'il y ai abus de confiance il faut qu'il y ai des gens qui croient au père Noel .En fait je comprends pas le propos de l'article .Y' a des méchants et des gentils c'est ça ? Ben ça s'appelle la vie , vous savez le truc qui se passe quand on vit , la pluie ça mouille , le feu ça brule , conduire c'est dangereux , trop picoler ça rend malade , prendre un coup de poing dans la gueule ça calme ... Vivre quoi ! vous voyez ce dont je parle ou pas ?
Les hommes sont des femmes comme les autres et vice-versa.
encore une qui a trouvé le bon filon et qui surfe sur la vague du féministe pour lancer sa carrière !
nul doute qu'on la retrouvera secrétaire d'Etat ou à la tête d'un ministère (façon Fadela AMARA ) dans l'avenir (très) proche
ça me fait penser à cet entretien hallucinant :
tiens c'est drôle, en ouvrant la page de l'article, j'ai une fois de plus l'audio de cette vidéo présente en commentaire qu se lance tout seul !
est-ce d'autres asinautes ont le meme comportement ?
ici navigateur firefox ...
Savez-vous que cela n'est pas nouveau dans le mouvement féministe dont je fais partie avec fierté depuis 1972 : la directrice d'une" maison pour femmes battues" (comme nous le disions à l'époque) a été trainée fin 70 aux prud'hommes par ses salariées indignées des conditions de travail. et c'est pour cela que je suis d'accord avec
PAS DE FÉMINISME SANS LUTTE DE CLASSE
Je crois avoir déjà conseillé "Libre d'obéir" de Johann Chapoutot, notamment sur ce nazi Reinhart Hôhn, à l'origine d'une grande école de management allemande, modèle d'Harvard, et basée sur la liberté de l'action dans l'obéissance à la mission condamnant à l'obligation de réussir. Ce témoignage en est très représentatif, avec la servitude volontaire de l'auteur interrogé. Edifiant!