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Liberati / Ionesco : procès sur fond de pédopornographie familiale
L'écrivain Simon Liberati s'apprête à faire paraître un roman consacré à son épouse, Eva Ionesco. Celle-ci gagna récemment un procès contre sa mère, la photographe Irina Ionesco, qui la fit poser nue quand elle était enfant. Aujourd'hui, la photographe attaque en diffamation l'écrivain.
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Derniers commentaires
Et bah elle a perdu la Ionesco....
http://www.lemonde.fr/culture/article/2015/08/07/la-photographe-irina-ionesco-deboutee-d-une-action-contre-un-livre-de-simon-liberati_4716205_3246.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&utm_campaign=Echobox&utm_term=Autofeed#link_time=1438971623
http://www.lemonde.fr/culture/article/2015/08/07/la-photographe-irina-ionesco-deboutee-d-une-action-contre-un-livre-de-simon-liberati_4716205_3246.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&utm_campaign=Echobox&utm_term=Autofeed#link_time=1438971623
Si j'écris que le forum est très largement pollué par des conversations, qui si elles intéressent qquns, elles n'intéressent qu'eux mêmes, pensez-vous que les principaux acteurs se reconnaitront? J'en doute, tant l'estime qu'ils ont d'eux mêmes les poussent à penser bêtement que ce qu'ils écrivent intéresse tout le monde.
SVP, tenez vous en au débat, et gardez vos faussement belliqueux propos pour les échanges en privé (via message privé, prévu à cet effet).
Merci! Bonne journée.
SVP, tenez vous en au débat, et gardez vos faussement belliqueux propos pour les échanges en privé (via message privé, prévu à cet effet).
Merci! Bonne journée.
L'occasion de revoir le stupéfiant " repassage du saint suaire par Marie-Madeleine" de Gaetano Sporgersi ( musée de Brou).
Simon Liberati ne m'intéresse guère, je n ai pas vu le film d'Eva Ionesco mais la bande originale composée par Bertrand Burgalat et disponible via sa maison de disques Tricatel est admirable.
je me demande ce qui a poussé AK a participé a la diffusion de ce genre de cliché, il y'a suffisamment de raison pour ne pas le faire : atteinte a la personne/condition de la prise du cliché,contenu informatif faible, image de type pedopornographique.
Une description aurait suffit, surtout que ici, AK n'en profite pas vraiment comme point de depart pour "elargir" le sujet de son article.
j'ai eu du mal a voir ici, le lien entre les sujets habituellement traité par AK, et son article, ca ne traite pas des limites morales "flottantes" du sexe dans l'art, ou sans jugement de valeur, de l'erotisation des mineurs dans l'art ou dans la culture etc... mais simplement de l'exploitation d'une gamine par sa mere photographe et la reprise de son histoire sur d'autres supports, aucune extrapolation qui nous permet de s'extraire du cadre de cette histoire qui reste tres intime, j'ai la bizarre impression de lire un article de journal voyeuriste de type closer and co...
Une description aurait suffit, surtout que ici, AK n'en profite pas vraiment comme point de depart pour "elargir" le sujet de son article.
j'ai eu du mal a voir ici, le lien entre les sujets habituellement traité par AK, et son article, ca ne traite pas des limites morales "flottantes" du sexe dans l'art, ou sans jugement de valeur, de l'erotisation des mineurs dans l'art ou dans la culture etc... mais simplement de l'exploitation d'une gamine par sa mere photographe et la reprise de son histoire sur d'autres supports, aucune extrapolation qui nous permet de s'extraire du cadre de cette histoire qui reste tres intime, j'ai la bizarre impression de lire un article de journal voyeuriste de type closer and co...
Ebé, je suis sans voix. Mère indigne, sa**pe, c'est peut dire. Pourquoi les mains de la gamine sont surlignées de noir ?
La fille a gagné finalement il y a deux mois :
Le 27 mai 2015, la 7e chambre du pôle 2 de la Cour d'appel de Paris a rendu un arrêt (portant numéro d’inscription 13/00051 au répertoire général) condamnant Irina Ionesco. La Cour, rejetant l’argument d'Irina Ionesco fondé sur la prescription de l’action, a relevé qu’à supposer même qu’il ait existé, a considéré qu'Eva Ionesco n’a pas pu donner un consentement éclairé sur l’utilisation des photographies d'elle prises par sa mère. Écartant le débat de la qualité artistique ou non des photographies visées dans l’instance, la Cour a estimé que les photographies étaient « incontestablement attentatoires à la dignité d'Eva Ionesco ». Elle a précisé que « dénudée ou non, la fixation photographique de l’image sexualisée de façon malsaine, d’une très jeune enfant ou d’une toute jeune fille ne peut qu’être dégradante pour celle-ci, quelle que soit l’intention de l’auteur ou la subjectivité du public auquel elle est destinée. ». En conséquence, la Cour d'appel a prononcé une interdiction à Irina Ionesco « concernant la diffusion de toute image de sa fille sans le consentement express de celle-ci. Toute infraction à cette prohibition l’exposera à de nouvelles saisies et demandes d’indemnisation. (…) ».
Le 27 mai 2015, la 7e chambre du pôle 2 de la Cour d'appel de Paris a rendu un arrêt (portant numéro d’inscription 13/00051 au répertoire général) condamnant Irina Ionesco. La Cour, rejetant l’argument d'Irina Ionesco fondé sur la prescription de l’action, a relevé qu’à supposer même qu’il ait existé, a considéré qu'Eva Ionesco n’a pas pu donner un consentement éclairé sur l’utilisation des photographies d'elle prises par sa mère. Écartant le débat de la qualité artistique ou non des photographies visées dans l’instance, la Cour a estimé que les photographies étaient « incontestablement attentatoires à la dignité d'Eva Ionesco ». Elle a précisé que « dénudée ou non, la fixation photographique de l’image sexualisée de façon malsaine, d’une très jeune enfant ou d’une toute jeune fille ne peut qu’être dégradante pour celle-ci, quelle que soit l’intention de l’auteur ou la subjectivité du public auquel elle est destinée. ». En conséquence, la Cour d'appel a prononcé une interdiction à Irina Ionesco « concernant la diffusion de toute image de sa fille sans le consentement express de celle-ci. Toute infraction à cette prohibition l’exposera à de nouvelles saisies et demandes d’indemnisation. (…) ».
Je trouve la reprise en couverture par le Spiegel en 1977 choquante, et la reprise de la couverture du Spiegel par ASI tout aussi choquante.
Vous faites souvent le choix de ne pas mettre de lien vers les contenus que vous trouvez les plus choquants ou que vous ne souhaitez pas reprendre, mais ici vous reprenez une image pédopornographique, et sans distance. Même le Spiegel ne diffuse plus cette couverture dans son historique des couvertures :
http://www.spiegel.de/spiegel/print/index-1977.html
Vous faites souvent le choix de ne pas mettre de lien vers les contenus que vous trouvez les plus choquants ou que vous ne souhaitez pas reprendre, mais ici vous reprenez une image pédopornographique, et sans distance. Même le Spiegel ne diffuse plus cette couverture dans son historique des couvertures :
http://www.spiegel.de/spiegel/print/index-1977.html
" peccate di carne, peccate di niente" ( proverbe de la curie romaine). " Laissez venir à moi les petits enfants..."