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Lignes droites, angles et couleurs métalliques chez Gatsby le Magnifique
Présenté hors-compétition, Gatsby le Magnifique a inauguré mercredi dernier le 66e festival de Cannes. Coup d'oeil sur les affiches de cette bobine, métalliques et anguleuses.
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Derniers commentaires
C'est une impression, ou la couverture de "Un secret" de P. Grimbert version Livre de poche est la même que celle de Gatsby chez Penguin version 1949 ?
Amis des chiffres et de lettres, bonjour.
Bonjour Alain.
Alors que nous disent les lettres aujourd'hui?
Ceci (ordre de l'alphabet):
G=7,
A=1
T=20
S=19
B=2
Y=25
Nous avons: GxA= 7
Puis: 7-B=5
Ensuite: 5xT=100,
Que nous multiplions par S=1900.
Enfin 1900+Y= 1925,
Soit la date de parution de GATSBY
Comme d'habitude, il n'y a pas de hasard...
Bonjour Alain.
Alors que nous disent les lettres aujourd'hui?
Ceci (ordre de l'alphabet):
G=7,
A=1
T=20
S=19
B=2
Y=25
Nous avons: GxA= 7
Puis: 7-B=5
Ensuite: 5xT=100,
Que nous multiplions par S=1900.
Enfin 1900+Y= 1925,
Soit la date de parution de GATSBY
Comme d'habitude, il n'y a pas de hasard...
Un vrai bonheur. Merci Alain.
Il y a un effet ange de Raphaël
Plus quelques effets comiques discrets. The great mis dans les barres du G et du A, à la rigueur, gag très fin d'écrire great le plus little possible, mais le gars qui a dû faire entrer "le magnifique" je l'imagine bien répondre "et pis quoi encore y'a pas écrit david coppermachin le magicien pas le personnage de roman, sur mon front".
Dans les premiers films de Di Caprio j'étais obnubilée par le plan inévitable sur ses ongles rongés qui arrivait à un moment, comme inévitable. Telle la petite courbe dans la géométrie métallique, cela montrait la petite humanité, l'anachronisme non de l'époque mais de l'image de cinéma, l'inattendu.
Plus quelques effets comiques discrets. The great mis dans les barres du G et du A, à la rigueur, gag très fin d'écrire great le plus little possible, mais le gars qui a dû faire entrer "le magnifique" je l'imagine bien répondre "et pis quoi encore y'a pas écrit david coppermachin le magicien pas le personnage de roman, sur mon front".
Dans les premiers films de Di Caprio j'étais obnubilée par le plan inévitable sur ses ongles rongés qui arrivait à un moment, comme inévitable. Telle la petite courbe dans la géométrie métallique, cela montrait la petite humanité, l'anachronisme non de l'époque mais de l'image de cinéma, l'inattendu.
argg je suis très désappointée !
mon cœur de Lotharingienne pleure quand je lis "au style nouille de Guimard et consorts dégoulinant de partout " arggg
l'inspiration de l'Ecole de Nancy (et de l'Art Nouveau) est peut-être animale ou végétale, mais elle a eu le mérite de développer l'industrie dans la région non mais !
bon OK c'est la profonde province et je vous sais fan de l'amerloquie et de ses buildings m'sieur Korkos.... mais quand même zauriez pu épargner la Lorraine ggrhumpffff
.....et pour le reste ben... Di Caprio ...ça va pas être possible....
cadeau : l'Art Déco lotharingien : Affiche
pfff "style nouille"....j'vous jure....grrrhumpfff
mmmm Redford Ok mais Di Caprio pffff
mon cœur de Lotharingienne pleure quand je lis "au style nouille de Guimard et consorts dégoulinant de partout " arggg
l'inspiration de l'Ecole de Nancy (et de l'Art Nouveau) est peut-être animale ou végétale, mais elle a eu le mérite de développer l'industrie dans la région non mais !
bon OK c'est la profonde province et je vous sais fan de l'amerloquie et de ses buildings m'sieur Korkos.... mais quand même zauriez pu épargner la Lorraine ggrhumpffff
.....et pour le reste ben... Di Caprio ...ça va pas être possible....
cadeau : l'Art Déco lotharingien : Affiche
pfff "style nouille"....j'vous jure....grrrhumpfff
mmmm Redford Ok mais Di Caprio pffff
Quelle merveille ! Merci !
L’Angle sous lequel…
L’angle sous lequel…
Et d’abord quel angle ?
Je n’en veux pas connaître d’autre
Que celui où j’appuie ma tête
Quand je m’y colle à cache-cache.
Angle tu m’étrangles
Belle Angleterre de légendes
Tu m’englobes, tu m’engloutis
Mes yeux fermés
Ma nuit à moi
L’angle sous lequel…
1939
Robert DESNOS
Recueil : "La Géométrie de Daniel"
L’angle sous lequel…
Et d’abord quel angle ?
Je n’en veux pas connaître d’autre
Que celui où j’appuie ma tête
Quand je m’y colle à cache-cache.
Angle tu m’étrangles
Belle Angleterre de légendes
Tu m’englobes, tu m’engloutis
Mes yeux fermés
Ma nuit à moi
L’angle sous lequel…
1939
Robert DESNOS
Recueil : "La Géométrie de Daniel"
Ça me rappelle que peu avant de se faire briser les tympans par Céline Dion, DiCaprio avait tenté (sans succès) d'écouter de la bonne musique https://www.youtube.com/watch?v=W4Cj4JjN3z4
Enfin bref, sinon question art déco j'ai envie de citer « l'éléphant blanc de Battersea » dont nous cause Flo dans cet excellent billet, histoire de réécouter l'album du Floyd qui me replonge dans mon adolescence.
Enfin bref, sinon question art déco j'ai envie de citer « l'éléphant blanc de Battersea » dont nous cause Flo dans cet excellent billet, histoire de réécouter l'album du Floyd qui me replonge dans mon adolescence.
Pardon d'encore vous faire une remarque désagréable, mais Metropolis parle du prolétariat. Le lumpen est le sous-prolétariat, celui qui n'a même pas sa force de travail à louer, ou est dans l'impossibilité de le faire.
Appelons les choses par leur nom.
Appelons les choses par leur nom.
Ce que le bandeau de l'édition de 1949 appelle "The Sinful Twenties *" étaient chez nous les "Années Folles" mais le qualificatif est aussi attribué au "Sinful Berlin" de la République de Weimar, période artistique allemande dont vous regrettiez l'absence au Louvre.
* Question subsidiaire pour Geneviève Fioraso: : Twenties, Thirties, ... Nineties. Comment appellera-t-on (et regrettera-ton) les années que nous vivons ?
* Question subsidiaire pour Geneviève Fioraso: : Twenties, Thirties, ... Nineties. Comment appellera-t-on (et regrettera-ton) les années que nous vivons ?
Le réseau de lignes métalliques évoque fortement des circuits imprimés comme par exemple, zut non pas ça, ici.
Qu'une époque aussi proche de la notre ait pu produire un style aussi clairement identifiable impose cette douloureuse question : Quel est notre " artdéco" à nous ? Au cas où la réponse serait " rien", la question deviendrait : " Que signifie que pour la première fois dans l'histoire, une époque soit incapable de créer un style ?"
Je ne suis pas certaine qu'à l'époque, les gens avaient conscience d'être dans un style particulier.
Mais je reconnais qu'un énorme appauvrissement culturel est à l'œuvre. et c'est d'autant plus étrange qu'on a remarqué que les changements de siècles s'accompagnent de grands renouveaux culturels et artistiques. Alors, un changement de millénaire.
Mais peut-être y a t il un groupe d'artistes, quelque part, qui nous prépare LA révolution esthétique du 3ème millénaire.
Mais je reconnais qu'un énorme appauvrissement culturel est à l'œuvre. et c'est d'autant plus étrange qu'on a remarqué que les changements de siècles s'accompagnent de grands renouveaux culturels et artistiques. Alors, un changement de millénaire.
Mais peut-être y a t il un groupe d'artistes, quelque part, qui nous prépare LA révolution esthétique du 3ème millénaire.
à Strumfenberg ( Aloys von )
mmm?... c'était mieux avant?...
d'une part, notre époque est, me semble-t-il, très fertile que ce soit en architecture, en cinéma, en graphisme, en illustration, en roman graphique et j'en passe et ceci dans tout les pays
d'autre part l'artdéco ne concernait finalement qu'une partie restreinte du monde et qu'une partie des tendances artistique de l'époque (tout le monde n'était pas "artdéco")
bref, c'est un peu court
mmm?... c'était mieux avant?...
d'une part, notre époque est, me semble-t-il, très fertile que ce soit en architecture, en cinéma, en graphisme, en illustration, en roman graphique et j'en passe et ceci dans tout les pays
d'autre part l'artdéco ne concernait finalement qu'une partie restreinte du monde et qu'une partie des tendances artistique de l'époque (tout le monde n'était pas "artdéco")
bref, c'est un peu court
Et moi qui pensait que notre style à nous, c'était Ikéa...
Il était bon le Di Caprio, et puis depuis un moment, il signe pour de grosses bouses usinées autour de lui seul et c'est à bailler d'ennui.
Merci pour ce retour vers le "rétro" (si j'ose dire).
C'était un style vraiment flamboyant.
Mais j'aime bien aussi Mucha et Klimt.
C'était un style vraiment flamboyant.
Mais j'aime bien aussi Mucha et Klimt.
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