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L'incroyable sauvetage
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La réponse aux questions posées directement ou indirectement se trouve à la fin de l'article.
" tant qu'on n'est pas personnellement impliqué "
Bien que rien ne nous empêche d'avoir des sentiments contradictoires justement évoqués, il faut garder à l'esprit que de toutes façons nous n'avons que peu de temps pour digérer la nouvelle, pendant ces quelques minutes où tout est dit dans les images et le commentaire (petit hommage à Audrey Pulvar en passant).
Tellement nous avons entendu et vu dans la boite à images de morts recensées, d'images terribles, de rapports douloureux...
Quelque chose me dit que si nous devions ressentir les émotions proportionnelles à la gravité de ce qu'il nous est amené d'apprendre, nous serions devenus fous depuis bien longtemps.
Le cerveau tranche, et nous protège chacun à sa manière en nous blindant d'une certaine manière face à ces tragédies.
Cela dit, même si l'on n'est pas personnellement impliqué dans l'événement, on réagirait déjà avec davantage d'empathie si nous assistions au sauvetage en tant que témoins directs de celui-ci, plutôt qu'assis devant l'écran.
Face à ce monde d'images décrites dans les JT qui réduisent le cycle du monde à de l'événementiel et qui inconsciemment dirigent notre façon de l'appréhender quand on a pas forcément la possibilité de l'explorer nous même physiquement; il me semble que notre cerveau hiérarchise les informations reçues non seulement selon notre implication directe (si on connait les victimes) ou indirecte (témoins d'un événement par exemple), mais aussi selon nos sentiments personnels par rapport à ce qui nous indigne d'instinct, ou nous laisse indifférent en général.
Bref, rien à voir ici avec la gravité brute de ce qu'il se passe.
Une sauvegarde résidente de nos facultés, peut-être ? Mais qui ne nous empêche pas d'éprouver de la compassion pour les proches des victimes, et de la joie de voir la vie triompher, parfois.
" tant qu'on n'est pas personnellement impliqué "
Bien que rien ne nous empêche d'avoir des sentiments contradictoires justement évoqués, il faut garder à l'esprit que de toutes façons nous n'avons que peu de temps pour digérer la nouvelle, pendant ces quelques minutes où tout est dit dans les images et le commentaire (petit hommage à Audrey Pulvar en passant).
Tellement nous avons entendu et vu dans la boite à images de morts recensées, d'images terribles, de rapports douloureux...
Quelque chose me dit que si nous devions ressentir les émotions proportionnelles à la gravité de ce qu'il nous est amené d'apprendre, nous serions devenus fous depuis bien longtemps.
Le cerveau tranche, et nous protège chacun à sa manière en nous blindant d'une certaine manière face à ces tragédies.
Cela dit, même si l'on n'est pas personnellement impliqué dans l'événement, on réagirait déjà avec davantage d'empathie si nous assistions au sauvetage en tant que témoins directs de celui-ci, plutôt qu'assis devant l'écran.
Face à ce monde d'images décrites dans les JT qui réduisent le cycle du monde à de l'événementiel et qui inconsciemment dirigent notre façon de l'appréhender quand on a pas forcément la possibilité de l'explorer nous même physiquement; il me semble que notre cerveau hiérarchise les informations reçues non seulement selon notre implication directe (si on connait les victimes) ou indirecte (témoins d'un événement par exemple), mais aussi selon nos sentiments personnels par rapport à ce qui nous indigne d'instinct, ou nous laisse indifférent en général.
Bref, rien à voir ici avec la gravité brute de ce qu'il se passe.
Une sauvegarde résidente de nos facultés, peut-être ? Mais qui ne nous empêche pas d'éprouver de la compassion pour les proches des victimes, et de la joie de voir la vie triompher, parfois.
Il me vient spontanément à l'esprit un contre-exemple mais en est-ce vraiment un puisque les conditions sont différentes
Et ce serait les attentats du 11/09. On a tous été choqué par l'ampleur de l'attentat, ce qui contredirait le caractère innumérable de l'émotion.
Deux tentatives d'explication de mon côté:
1. L'esprit ne se serait-il pas habitué aux attentats ne faisant "que" quelques victimes?
sur ce thème, il y a eu récemment un sujet (à la TV ou sur ASI - j'ai oublié ma source) qui expliquait le phénomène d'habitude face à la nouvelle.
1er attentat en irak, centaines de morts -> reportageS, puis au fil des attentats le nombre des reportages a diminué et finalement ces infos ne sont plus que des brèves qui n'intéressent plus grand monde.
Et il est vrai qu'avant le 11/09 tous les attentats étaient de même ampleur et passaient relativement inaperçus.
Et soudain on a à faire à une nouvelle "méthodologie", les victimes sont dénombrables mais cela reste de l'ordre du jamais atteint. D'où peut-être un bousculement dans notre cerveau...
2. Comme le dit David, "tant qu'on est pas personnellement impliqué"...
Et finalement dans le cas du 11/09, on se dit qu'on aurait pu tous etre dans un des avions ou bien que ce soit notre lieu de travail qui soit touché. C'est le principe même du terrorisme, on ne sait pas qui sera touché.
Dans ce cas, on sort du domaine de l'étude présentée par David.
Et ce serait les attentats du 11/09. On a tous été choqué par l'ampleur de l'attentat, ce qui contredirait le caractère innumérable de l'émotion.
Deux tentatives d'explication de mon côté:
1. L'esprit ne se serait-il pas habitué aux attentats ne faisant "que" quelques victimes?
sur ce thème, il y a eu récemment un sujet (à la TV ou sur ASI - j'ai oublié ma source) qui expliquait le phénomène d'habitude face à la nouvelle.
1er attentat en irak, centaines de morts -> reportageS, puis au fil des attentats le nombre des reportages a diminué et finalement ces infos ne sont plus que des brèves qui n'intéressent plus grand monde.
Et il est vrai qu'avant le 11/09 tous les attentats étaient de même ampleur et passaient relativement inaperçus.
Et soudain on a à faire à une nouvelle "méthodologie", les victimes sont dénombrables mais cela reste de l'ordre du jamais atteint. D'où peut-être un bousculement dans notre cerveau...
2. Comme le dit David, "tant qu'on est pas personnellement impliqué"...
Et finalement dans le cas du 11/09, on se dit qu'on aurait pu tous etre dans un des avions ou bien que ce soit notre lieu de travail qui soit touché. C'est le principe même du terrorisme, on ne sait pas qui sera touché.
Dans ce cas, on sort du domaine de l'étude présentée par David.
Ce sujet peut être celui d'une thèse en doctorat tant il peut être contradictoire .
Selon que l'on soit ...etc...etc... Toujours est'il qu'il est toujours intèressant de se poser
les bonnes questions . Où ? Quand? Comment? Pourquoi ?
Plus on s'ouvre, plus l'on s'aperçoit que l'on ne connaiit que for peu de choses
Et c'est bien ainsi ,car l'homme" l'individu" jamais ne cessera d'apprendre.
Sages et modestes nous seront au crépuscule de notre vie et c'est bien ainsi .
Selon que l'on soit ...etc...etc... Toujours est'il qu'il est toujours intèressant de se poser
les bonnes questions . Où ? Quand? Comment? Pourquoi ?
Plus on s'ouvre, plus l'on s'aperçoit que l'on ne connaiit que for peu de choses
Et c'est bien ainsi ,car l'homme" l'individu" jamais ne cessera d'apprendre.
Sages et modestes nous seront au crépuscule de notre vie et c'est bien ainsi .
Il se trouve que la découverte du rescapé était filmée, mais si on nous avait montré 6 cadavres, le caractère « innumérable » de l'émotion aurait sans doute été très différent.
Ca n'était pas possible, mais cela aurait-il été pour autant utile ? Je ne le pense pas.
Ca n'était pas possible, mais cela aurait-il été pour autant utile ? Je ne le pense pas.
Pour moi, le plus important dans cette chronique est "tant qu'on est pas personnellement impliqué"
A la vue de ces images, je n'ai pas éprouvé de la "grace" pour sa survie, mais j'ai valorisé sa force de caractère pour rester en vie au milieu de nul part. Sa « foi » en Dieu ou en l’Humain dans l’espérance d’un sauvetage.
Au 20h, c’est ce sauvetage qui a été mis en avant, c’est lui qui a fait l’annonce de l’évènement, ce qui pourrait aussi être une explication sur le ressenti face à cette situation. La mention des disparus n’a été faite qu’avec le juste bon nombre de mots qu’il fallait pour le dire.
J’ai peut-être l’esprit un peu tordu, mais je me suis aussi posée des questions au sujet de son comparse qui était avec lui avant de disparaître.
Je n’ai pas ressenti l’information comme décrite, mais peut-être suis-je une sans cœur.
Au 20h, c’est ce sauvetage qui a été mis en avant, c’est lui qui a fait l’annonce de l’évènement, ce qui pourrait aussi être une explication sur le ressenti face à cette situation. La mention des disparus n’a été faite qu’avec le juste bon nombre de mots qu’il fallait pour le dire.
J’ai peut-être l’esprit un peu tordu, mais je me suis aussi posée des questions au sujet de son comparse qui était avec lui avant de disparaître.
Je n’ai pas ressenti l’information comme décrite, mais peut-être suis-je une sans cœur.
Un méchanisme de défense que l'homme a "évolué" face aux conditions de survie des premiers âges, afin de se laisser plus facilement tirer vers la vie et la combativité quand un seul autre membre de la tribu réchappe de la charge du mammouth ?
Bonsoir,
On a d'abord regardé la version France 3 Bretagne sur le net (bretons que nous sommes exilés à Liège...), et le sentiment qui dominait était nettement la mort de tout l'équipage sauf un rescapé. Mme la Maire d'Erquy était bouleversée et témoignait de la douleur que tous les habitants éprouvaient. Erquy, c'est 3000 habitants l'hiver, et dans toutes les familles il y a quelqu'un qui travaille dans la pêche. Le métier de marin pêcheur est le métier qui paie le plus lourd tribu dans les accidents mortels du travail.
On a d'abord regardé la version France 3 Bretagne sur le net (bretons que nous sommes exilés à Liège...), et le sentiment qui dominait était nettement la mort de tout l'équipage sauf un rescapé. Mme la Maire d'Erquy était bouleversée et témoignait de la douleur que tous les habitants éprouvaient. Erquy, c'est 3000 habitants l'hiver, et dans toutes les familles il y a quelqu'un qui travaille dans la pêche. Le métier de marin pêcheur est le métier qui paie le plus lourd tribu dans les accidents mortels du travail.
la proximité joue aussi un rôle..
j'adore le fameux "... dont X français" chaque qu'un accident arrive dans le monde... comme si la mort d'un étranger nous touchait moins....
j'adore le fameux "... dont X français" chaque qu'un accident arrive dans le monde... comme si la mort d'un étranger nous touchait moins....
Très vrai !!! Je suis toujours et régulièrement choqué d'entendre que les journalistes font sytématiquement le compte des disparus français dans un crash d'avion, par exemple, comme s'ils devaient compter double pour leurs spectateurs. Je trouve ça parfaitement absurde, voire dangereux.
Pareil, ça me trouble à chaque fois
A se demander même, si l'information aurait été communiquée s'il n' y avait pas eu de français concerné(s)
D'ailleurs la longueur du traitement de l'info dans ce cas dépend directement du nombre cité:
de 1 à 10 dans un crash d'avion -> simple brève
plusieurs dizaines -> court reportage
centaine -> un reportage sur le crash + un reportage sur les avions
A se demander même, si l'information aurait été communiquée s'il n' y avait pas eu de français concerné(s)
D'ailleurs la longueur du traitement de l'info dans ce cas dépend directement du nombre cité:
de 1 à 10 dans un crash d'avion -> simple brève
plusieurs dizaines -> court reportage
centaine -> un reportage sur le crash + un reportage sur les avions
Chronique intéressante.
J'aimerais bien savoir si avec la quantité d'images que l'on digère chaque jour, nous ne sommes pas finalement "émotionellemnt amorphes" ou au contraire, si nous ne sommes pas en permanence émus?
J'aimerais bien savoir si avec la quantité d'images que l'on digère chaque jour, nous ne sommes pas finalement "émotionellemnt amorphes" ou au contraire, si nous ne sommes pas en permanence émus?
Si les medias nous avaient montré les morts au lieu du sauvetage du survivant , nous serions bien loin d'exulter...
L'émotion aurait été bien différente...
Pourquoi les journalistes ont-ils choisi de nous montrer le survivant et pas ces hommes qui sont morts ?...
L'émotion aurait été bien différente...
Pourquoi les journalistes ont-ils choisi de nous montrer le survivant et pas ces hommes qui sont morts ?...
«Un jour où Anaxarque était tombé dans une mare, Pyrrhon passa à côté de lui sans lui porter secours. Des gens le lui reprochèrent, mais seul Anaxarque le loua d’être réellement indifférent et sans passions.»
Diogène Laërce -- Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres
On se réjouit qu'un homme soit sauvé quand on pourrait pleurer les six autres morts. Comme c'est innumérable, Pyrrhon aurait peut-être dit que les deux émotions doivent s'annuler.
Diogène Laërce -- Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres
On se réjouit qu'un homme soit sauvé quand on pourrait pleurer les six autres morts. Comme c'est innumérable, Pyrrhon aurait peut-être dit que les deux émotions doivent s'annuler.
La mise en lumière me semble intéressante et pourrais déboucher je pense sur une réflexion plus approfondie sur la manipulation de l'information par les politiques, et également sur les phénomènes de masse inconscients. Nous trouvons effectivement au moins aussi marquant la mort de quelques enfants tués par de chiens dangereux que les millieurs de morts que provoquent encore les accidents de voiture. Même si cela peut paraître choquant à première vue, ne devrait-il pas exister quelque part un classement des événements mortels par nombre de victimes ? Evidemment, selon la cause de la mort, il y a d'autres facteurs à prendre en compte, mais franchement, du point de vue de la société (et donc des politiques), autant nous pouvons être ému par le problème des chiens dangereux et donc souhaiter une solution à ce problème, autant ce n'est en rien un problème signifiant au niveau de l'état comparativement aux accidents de la route : les accidents génèrent des pertes lourdes, susceptibles de gréver la force active du pays, ils génèrent des traumatisés physiques et psychologiques, qu'il faudra suivre, entrainant en cela un coup important pour la sécurité sociale et d'autres dispositifs d'état...
Pourquoi l'état interdit la cigarette dans les lieux publics ? Parce que le coût humain et financier de l'autoriser est trop important à long terme. Surtout dans un pays à la démographie chancelante. Cet angle d'analyse, celui du coût pour la société à long terme, est incroyablement intéressant, pas seulement pour la question des victimes. Il est aussi passionant pour toutes les questions sociales notamment, et présente le mérite d'amener sur un terrain commun personnes de sensibilité de droite et de gauche.
Et un pêcheur miraculé d'amener à une réflexion de fond sur le rapport d'une société à la réalité...
Pourquoi l'état interdit la cigarette dans les lieux publics ? Parce que le coût humain et financier de l'autoriser est trop important à long terme. Surtout dans un pays à la démographie chancelante. Cet angle d'analyse, celui du coût pour la société à long terme, est incroyablement intéressant, pas seulement pour la question des victimes. Il est aussi passionant pour toutes les questions sociales notamment, et présente le mérite d'amener sur un terrain commun personnes de sensibilité de droite et de gauche.
Et un pêcheur miraculé d'amener à une réflexion de fond sur le rapport d'une société à la réalité...
Sébastien, je n'avais pas eu encore l'occasion de vous dire à quel point j'ai toujours aimé vos interventions hyper scientifique (rien à voir avec l'hyper présidence hein !) lorsque je regardais @si.... Votre retour ici me fait très plaisir, et cet article et comme à votre habitude captivant. La question qui me frôle l'esprit, c'est pourquoi nous sommes si curieux face au mécanisme de notre cerveau qui nous joue tant de tour au final !??
Bonne année Sébastien et j'attends avec impatience vos analyses sur ce qui vous savez.
Bonne année Sébastien et j'attends avec impatience vos analyses sur ce qui vous savez.
Il y a quand même certains drames qui laisse un goût beaucoup plus amère que d'autre.
Simplement je dirai qu'il faut se méfier des théories cognitives universalisant les comportements humains.
Il serait judicieux que M. Bohler intervienne sur ce sujet pour éventuellement relativiser la portée des conclusions à tirer des études.
Cela éviterait de tomber dans le scientisme du type "livre noir de la psychanalyse".
Bonne soirée
F.
Il serait judicieux que M. Bohler intervienne sur ce sujet pour éventuellement relativiser la portée des conclusions à tirer des études.
Cela éviterait de tomber dans le scientisme du type "livre noir de la psychanalyse".
Bonne soirée
F.
Article de Sebastien Bohler
"... Et cette histoire de copilote qui promène son regard à la surface des flots, et qui aperçoit le naufragé juste au moment où l'hélicoptère s'apprêtait à repartir... On dirait un thriller, une bande dessinée ..."
Et moi je trouve que cette phrase ressemble étrangement à un cliché. Pourquoi réduire un médium à une simple phrase ? Pourquoi réduire la diversité d'un astérix, d'un lanfeust, d'un combat ordirnaire, d'un largo winch à un seul genre (le thriller) ? Pourquoi réduire la multiplicité des récits à une simple intrigue à suspens ?
J'aimerais bien avoir l'analyse de Sebastien Bohler sur l'association d'idée qui peut amener à un raccourci tel que celui-ci
Maintenant que @si s'intéresse à tous les médias, il serait intéressant d'étudier le point de vue des médias sur la bande dessinée. Et avec l'arrivée du festival d'Angoulême, le sujet apporterais assurément un contre-angle aux oeuillères que vont asséner les grands médias.
Sinon l'article était intéressant ;)
"... Et cette histoire de copilote qui promène son regard à la surface des flots, et qui aperçoit le naufragé juste au moment où l'hélicoptère s'apprêtait à repartir... On dirait un thriller, une bande dessinée ..."
Et moi je trouve que cette phrase ressemble étrangement à un cliché. Pourquoi réduire un médium à une simple phrase ? Pourquoi réduire la diversité d'un astérix, d'un lanfeust, d'un combat ordirnaire, d'un largo winch à un seul genre (le thriller) ? Pourquoi réduire la multiplicité des récits à une simple intrigue à suspens ?
J'aimerais bien avoir l'analyse de Sebastien Bohler sur l'association d'idée qui peut amener à un raccourci tel que celui-ci
Maintenant que @si s'intéresse à tous les médias, il serait intéressant d'étudier le point de vue des médias sur la bande dessinée. Et avec l'arrivée du festival d'Angoulême, le sujet apporterais assurément un contre-angle aux oeuillères que vont asséner les grands médias.
Sinon l'article était intéressant ;)
Pôvre Sébastien, il doit être triste du peu d'intérêt que ses chroniques déclenchent sur le forum.... C'est l'effet de quel problème spy.... ? Sinon elles sont toujours très interessantes, ces chroniques, surtout quand on est bien éloigné de ces affaires de la mécanique humaine.
Et bien alors j'en profite pour demander un point technique : ou doit-on regarder pour voir les points de satisfaction donnés par les Internautes, sur le forum ?
Et bien alors j'en profite pour demander un point technique : ou doit-on regarder pour voir les points de satisfaction donnés par les Internautes, sur le forum ?