Commentaires
Ma solution au problème Trierweiler
Vous savez quoi ? Hier, le magazine Grazia m'appelle.
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Derniers commentaires
Franchement, j'espère que vous ne nous préparez pas une émission sur ce sujet...
Catherine Nay a longtemps vécu avec Chalandon et ça ne l'a hélas pas réduite au silence!
Je suis tout à fait d'accord avec cette position. Que la compagne du Président soit journaliste est en soi génant, mais forcer Trierweiler à interrompre sa carrière au profit de celle de son compagnon l'est également. Mais la question ne se pose même pas, puisqu'elle a clairement choisi de jouer à la première dame, tout en affirmant ne pas aimer ce terme, et ne peut pas décemment prétendre faire les deux. En Allemagne, le mari de Merkel ne participe que très exceptionnellement aux cérémonies officielles et refuse toute interview sur son status de "premier mari" et les médias savent encore très peu à son sujet. Trierweiler aurait dû suivre son exemple si elle ne voulait pas être première dame.
Et pendant ce temps-là, à Madrid......
Mais ils ont quel âge les rejetons à la madame qu'ils peuvent pas se débrouiller sans le pognon à maman ? Peuvent pas bosser chez Mc Do comme les gosses de gens normaux pour payer leurs études ?
J'espère que , MAINTENANT, tout le monde comprend pourquoi Notre Seigneur , dans Son infinie clairvoyence, interdit le mariage (ou le concubinage) au pape!!!
Pour une fois j'avais élaboré un long commentaire. Il a sauté deux fois. Je ne m'entêterai pas davantage.
Un résumé toutefois : marre de lire des textes aussi navrants. Madame machin, on s'en fout (du moins j'espère ne pas être seule)
Le plus triste : il y en a une qui doit bien se marrer.
Décidément, je trouve DS bien peu inspiré depuis trop de matins.
Un résumé toutefois : marre de lire des textes aussi navrants. Madame machin, on s'en fout (du moins j'espère ne pas être seule)
Le plus triste : il y en a une qui doit bien se marrer.
Décidément, je trouve DS bien peu inspiré depuis trop de matins.
Plusieurs questions me viennent à l'esprit :
1. Que deviennent les conjoints des hommes et femmes politiques (européens par exemple mais ce n'est pas exhaustif) quand ceux-ci arrivent au pouvoir ? Continuent-ils à exercer leur profession ? ou démissionnent-t-ils ?
2. N’y-a-t-il que pour la profession de journaliste que cela pose un problème éthique ?
Quelqu'un peut-il m'informer ?
1. Que deviennent les conjoints des hommes et femmes politiques (européens par exemple mais ce n'est pas exhaustif) quand ceux-ci arrivent au pouvoir ? Continuent-ils à exercer leur profession ? ou démissionnent-t-ils ?
2. N’y-a-t-il que pour la profession de journaliste que cela pose un problème éthique ?
Quelqu'un peut-il m'informer ?
Etre journaliste et vivre avec une personnalité politique qui gouverne ,est incompatible avec la démocratie.On appelle ça un mélange de genre.C'est aussi valable pour un homme que pour une femme. Trierweiler travaille aussi à l'Express. Quel sera son objectivité face à Hollande. Alors les leçons de morale ,et tout le pataquès..mdr
Bon... en même temps... Paris Match.... Ce n'est pas vraiment comme si elle travaillait dans un vrai journal!
Paris Match, c'est juste un truc dont on regarde les images ecornées et salies, avec un ou deux de retards, dans un vieux cabinet médical, ou chez un coiffeur démodé pour vielles dames aux cheveux bleus....
Paris Match, c'est juste un truc dont on regarde les images ecornées et salies, avec un ou deux de retards, dans un vieux cabinet médical, ou chez un coiffeur démodé pour vielles dames aux cheveux bleus....
Qu'elle continue son métier parce qu'elle ne veut pas que l'Etat ne l'entretienne ni elle, ni ses enfants, ça part d'un noble sentiment, et pour pléthore d'autres métiers, ça pourrait se comprendre fort bien sans qu'il y ait matière à débattre. Mais d'une part, c'est démagogique, parce qu'elle bénéficiera forcément des frais de bouche, des déplacements, d'une sécurité spéciale pour le moins. Et ça devient faux à partir du moment où elle fait créer son propre cabinet. D'autre part, et le problème vient surtout de là, on parle du métier de journaliste. Et ce n'est pas n'importe quel métier, c'est un métier qui suppose de l'objectivité (même si les média français semblent faire de ce concept un mythe total).
On peut partir du postulat que tout le monde sait faire la part des choses, que tout le monde pourra séparer ce qu'elle aura écrit de sa vie, de ses positions politiques, des enjeux divers, des possibles conflits d'intérêt, du lobbying, des lois étudiées à l'Assemblée, du poids de ses mots avec tel fait divers iimprévisible en toile de fonds, etc... Mais en réalité, l'opposition trouvera du grain à moudre dans tout ce qu'elle produira. Elle va être scrutée, et tout le monde ne sera pas d'accord avec elle, et n'importe quel écrit se retrouvera nécessairement dans un mouvement amplificateur. Peut-on aujourd'hui prévoir les retombées? Il y a qu'elle le veuile ou non une interférence avec la politique.
D'ailleurs à mon sens, il y a là un problème d'éthique qui doit s'étendre à toute la profession dans ce genre de cas. Il n'y a pas qu'elle, pas que Pulvar, ni Schonberg, ni Sinclair, ou Drucker en son temps. Il n'y a pas que les personnes qui ont officialisé leur liaison à la presse. On peut même juger qu'au moins, avec les personnes susmentionnées, on est tous prévenus, et qu'on peut plus facilement voir ou se prévenir des orientations. Mais il y a aussi tous ceux qui ont des liaisons avec des politiciens mais reste dans l'ombre et continuent à travailler dans le domaine sans que la petite bête ne soit recherchée, alors que des prises de positions apparaissent dans leur travail. Je ne vois pas pourquoi, en particulier sur un site de décryptage des média où l'on a maintes fois souligné les interférences entre les média et le pouvoir en place (Le TF1 de Bouygues vient tout de suite à l'esprit), on soutiendrait qu'il n'y a aucun problème prévisible, aucun problème possible, que la situation est non seulement acceptable, mais limite encouragée au nom (et vous savez qu'ici il s'agit d'un prétexte fallacieux) du non-machisme.
Je soutiendrais la même chose s'il s'agissait d'un journaliste homme. Et je suis persuadée qu'il doit y en avoir dans une situation similaire bien que ça ne soit pas su du grand public. Et j'aimerais pour eux la même méfiance. Evidemment, il est possible que ces personnes fassent très bien leur métier, qu'elles aient un véritable souci d'objectivité. Je comprends qu'il est intrinsèquement injuste de vouloir priver de son gagne-pain, de son activité, une personne qui a travaillé dur pour sa carrière et qui a manifestement réussi, et qui n'a jusque là rien à se reprocher. Je suis heureuse que ce point d'ailleurs soit défendu bec et ongles sur ce forum.
Mais la portée des mots est telle, liée à cette fonction très particulière de véhicule de l'information, qui plus est dans un climat encore extrêmement tendu où la transparence absolue est recherchée et a pu motiver certains votes; les lignes éditoriales, les propriétaires de journaux sont tellement intéressés, comment croire même à une apparence d'impartialité?
Ceci n'est pas qu'un procès d'intention.
On a bien vu avec Pulvar ce que ça donnait. On sentait bien qu'elle s'auto-censurait, puis n'y arrivait plus au moment opportun. Certaines questions mettaient en avant le programme adverse, certaines corrections de chiffres, des citations de sondages provenaient des think tank spécifiques à ce parti, certaines interjections, le ton de certains reproches....
Elle a été mise en plus dans une situation bâtarde où son avis était sollicité sur d'autres sujets. Et on pouvait y prêter des implications plus larges en étant mal intentionné. Un exemple : question musique, un jour où Martin Solveig était invité, une ignorance de son mouvement musical était flagrante. Du coup, elle a comblé par des comparaisons inappropriées, dans lesquelles transparaissait un certain élitisme, qui ne reconnaissait pas le talent propre de l'artiste, mais érigeait ses propres goûts en prescription discriminatoire. N'importe quel adversaire opportuniste peut jouer sur une opposition clichée France bobo cultivée au classique rejetant la culture de l'autre/ France populaire qui sort en boîte de nuit et apprécie et ce n'est pas sa faute si elle a une culture plus terre à terre (ce qui relèverait de la même ignorance d'ailleurs, le travail du monsieur étant très pointu en l'occurence). Aujourd'hui, le débat politique est aussi idiot que ça et ça marche. Alors y jeter en patûre celle que l'on appelle déjà de façon éronnée la Première Dame, je trouve ça irresponsable.
On peut partir du postulat que tout le monde sait faire la part des choses, que tout le monde pourra séparer ce qu'elle aura écrit de sa vie, de ses positions politiques, des enjeux divers, des possibles conflits d'intérêt, du lobbying, des lois étudiées à l'Assemblée, du poids de ses mots avec tel fait divers iimprévisible en toile de fonds, etc... Mais en réalité, l'opposition trouvera du grain à moudre dans tout ce qu'elle produira. Elle va être scrutée, et tout le monde ne sera pas d'accord avec elle, et n'importe quel écrit se retrouvera nécessairement dans un mouvement amplificateur. Peut-on aujourd'hui prévoir les retombées? Il y a qu'elle le veuile ou non une interférence avec la politique.
D'ailleurs à mon sens, il y a là un problème d'éthique qui doit s'étendre à toute la profession dans ce genre de cas. Il n'y a pas qu'elle, pas que Pulvar, ni Schonberg, ni Sinclair, ou Drucker en son temps. Il n'y a pas que les personnes qui ont officialisé leur liaison à la presse. On peut même juger qu'au moins, avec les personnes susmentionnées, on est tous prévenus, et qu'on peut plus facilement voir ou se prévenir des orientations. Mais il y a aussi tous ceux qui ont des liaisons avec des politiciens mais reste dans l'ombre et continuent à travailler dans le domaine sans que la petite bête ne soit recherchée, alors que des prises de positions apparaissent dans leur travail. Je ne vois pas pourquoi, en particulier sur un site de décryptage des média où l'on a maintes fois souligné les interférences entre les média et le pouvoir en place (Le TF1 de Bouygues vient tout de suite à l'esprit), on soutiendrait qu'il n'y a aucun problème prévisible, aucun problème possible, que la situation est non seulement acceptable, mais limite encouragée au nom (et vous savez qu'ici il s'agit d'un prétexte fallacieux) du non-machisme.
Je soutiendrais la même chose s'il s'agissait d'un journaliste homme. Et je suis persuadée qu'il doit y en avoir dans une situation similaire bien que ça ne soit pas su du grand public. Et j'aimerais pour eux la même méfiance. Evidemment, il est possible que ces personnes fassent très bien leur métier, qu'elles aient un véritable souci d'objectivité. Je comprends qu'il est intrinsèquement injuste de vouloir priver de son gagne-pain, de son activité, une personne qui a travaillé dur pour sa carrière et qui a manifestement réussi, et qui n'a jusque là rien à se reprocher. Je suis heureuse que ce point d'ailleurs soit défendu bec et ongles sur ce forum.
Mais la portée des mots est telle, liée à cette fonction très particulière de véhicule de l'information, qui plus est dans un climat encore extrêmement tendu où la transparence absolue est recherchée et a pu motiver certains votes; les lignes éditoriales, les propriétaires de journaux sont tellement intéressés, comment croire même à une apparence d'impartialité?
Ceci n'est pas qu'un procès d'intention.
On a bien vu avec Pulvar ce que ça donnait. On sentait bien qu'elle s'auto-censurait, puis n'y arrivait plus au moment opportun. Certaines questions mettaient en avant le programme adverse, certaines corrections de chiffres, des citations de sondages provenaient des think tank spécifiques à ce parti, certaines interjections, le ton de certains reproches....
Elle a été mise en plus dans une situation bâtarde où son avis était sollicité sur d'autres sujets. Et on pouvait y prêter des implications plus larges en étant mal intentionné. Un exemple : question musique, un jour où Martin Solveig était invité, une ignorance de son mouvement musical était flagrante. Du coup, elle a comblé par des comparaisons inappropriées, dans lesquelles transparaissait un certain élitisme, qui ne reconnaissait pas le talent propre de l'artiste, mais érigeait ses propres goûts en prescription discriminatoire. N'importe quel adversaire opportuniste peut jouer sur une opposition clichée France bobo cultivée au classique rejetant la culture de l'autre/ France populaire qui sort en boîte de nuit et apprécie et ce n'est pas sa faute si elle a une culture plus terre à terre (ce qui relèverait de la même ignorance d'ailleurs, le travail du monsieur étant très pointu en l'occurence). Aujourd'hui, le débat politique est aussi idiot que ça et ça marche. Alors y jeter en patûre celle que l'on appelle déjà de façon éronnée la Première Dame, je trouve ça irresponsable.
Le changement c est maintenant. Non mais c'est vrai ,la pôovre faut bien vivre quand même.C'est pas avec la paye de son compagnon de president qu'on peut vivre. Demandez donc aux smiccards, c'est trés dur,et puis travailler à Match,ce journal progressiste c'est aider les classes populaires. Le changement quoi ! Non mais sans blague, hein!
Ç = alt + 128
L'article de DS m'apporte au moins une info intéressante qui m'avait échappée : Match, c'est du journalisme.
Vous donner des regrets n'est pas le but de ma remarque, mais plutôt que copiner avec vos consoeurs du confidentiel Grazia, si vous aviez lorgné avec un peu plus d'ambition du côté du très coté Paris-Match, c'est vous qui seriez peut-être aujourd'hui le dircab de Valérie.
'Voici donc, grâces soient rendues à Grazia, mon conseil à Valérie Trierweiler: continuez de travailler à Match, chère consoeur.'
Revoilà, ce cher corporatisme...
Et surtout, que FH n'hésite pas à continuer s'estimer pouvoir donner des leçons.. notamment en matière de déontologie, de conflits d'intérêts, de séparation des pouvoirs... Après tout, en France, le journalisme est très loin de constituer en soi un pouvoir indépendant.
'Lucide, Royant s'attend néanmoins à "des hauts et des bas" dans cette collaboration.'
Comme de bien entendu.
Il est tout à fait normal :
1. que les contribuables français paient de leurs poches/impôts les personnes de son cabinet... car (a) ils n'ont sûrement pas d'autres charges qu'ils doivent s'acquitter personnellement, au quotidien, dans leur vraie vie normale (enfants, prêts, loyer/taxes foncières etc.) ; (b) l'argent de nos impôts sert à cela, depuis 1958 et selon la Constitution de la RF.
Ce n'est pas du tout contradictoire avec la supposée volonté de VT de 'ne pas dépendre de l'argent public'. Etant donné qu'elle continuer à "travailler", qu'elle utilise son propre salaire (et non pas l'argent des autres) pour payer les membres de son cabinet, étant donné qu'elle estime cette dépense i.n.d.i.s.p.e.n.s.a.b.l.e.
2. que les Français qui n'ont pas voté pour elle, ni cabinet... le finance pendant 5 ans pour gérer ses courriers. Elle ne peut sûrement pas utiliser ses RTT pour le faire, elle-même.
Après tout les fonds du Trésor public servent, en premier, à l'entretenir elle et son cabinet pour la gestion de ses courriers (indispensables à la RF ; à la gestion et résorption du déficit public etc.) ; pour financer ses voyages où sa présence est "incontournable" pour la gestion de la crise européenne, des crises internationales etc. Bien évidemment.
3. que le chef de la magistrature suprême de la RF soit en concubinage avec une journaliste d'un grand magazine français. Il n'y aucune incompatibilité de "ménage" entre leurs fonctions respectives exercées. Bientôt, peut-être qu'un greffier pourra être le (la) concubin(e) d'un juge. Désormais, tout est possible et tout est imaginable... en France. De quoi laisser vos confrères et concitoyens Anglo-Saxons bouche bée.
Peut être qu'au bout de ces cinq années entre Paris Match et l'Elysée, VT va remporter un jour un prix pour son "grand" "journalisme". Qui sait ?
Bref.
FH et VT savaient dans quoi ils s'engageaient. En effet, ils se sont manifestement engagés à deux dans cette aventure présidentielle. A un moment, à l'instar de chaque mortel, il faut faire des choix qui sont cohérents avec l'éthique professionnelle et son éthique individuelle - en particulier à l'égard des citoyens-électeurs, qui, ont délégué leurs pouvoirs (exécutif, législatif, judiciaire). Personne ne peut tout avoir : le beurre, l'argent du beurre et le *** de la crémière avec.
Revoilà, ce cher corporatisme...
Et surtout, que FH n'hésite pas à continuer s'estimer pouvoir donner des leçons.. notamment en matière de déontologie, de conflits d'intérêts, de séparation des pouvoirs... Après tout, en France, le journalisme est très loin de constituer en soi un pouvoir indépendant.
'Lucide, Royant s'attend néanmoins à "des hauts et des bas" dans cette collaboration.'
Comme de bien entendu.
Il est tout à fait normal :
1. que les contribuables français paient de leurs poches/impôts les personnes de son cabinet... car (a) ils n'ont sûrement pas d'autres charges qu'ils doivent s'acquitter personnellement, au quotidien, dans leur vraie vie normale (enfants, prêts, loyer/taxes foncières etc.) ; (b) l'argent de nos impôts sert à cela, depuis 1958 et selon la Constitution de la RF.
Ce n'est pas du tout contradictoire avec la supposée volonté de VT de 'ne pas dépendre de l'argent public'. Etant donné qu'elle continuer à "travailler", qu'elle utilise son propre salaire (et non pas l'argent des autres) pour payer les membres de son cabinet, étant donné qu'elle estime cette dépense i.n.d.i.s.p.e.n.s.a.b.l.e.
2. que les Français qui n'ont pas voté pour elle, ni cabinet... le finance pendant 5 ans pour gérer ses courriers. Elle ne peut sûrement pas utiliser ses RTT pour le faire, elle-même.
Après tout les fonds du Trésor public servent, en premier, à l'entretenir elle et son cabinet pour la gestion de ses courriers (indispensables à la RF ; à la gestion et résorption du déficit public etc.) ; pour financer ses voyages où sa présence est "incontournable" pour la gestion de la crise européenne, des crises internationales etc. Bien évidemment.
3. que le chef de la magistrature suprême de la RF soit en concubinage avec une journaliste d'un grand magazine français. Il n'y aucune incompatibilité de "ménage" entre leurs fonctions respectives exercées. Bientôt, peut-être qu'un greffier pourra être le (la) concubin(e) d'un juge. Désormais, tout est possible et tout est imaginable... en France. De quoi laisser vos confrères et concitoyens Anglo-Saxons bouche bée.
Peut être qu'au bout de ces cinq années entre Paris Match et l'Elysée, VT va remporter un jour un prix pour son "grand" "journalisme". Qui sait ?
Bref.
FH et VT savaient dans quoi ils s'engageaient. En effet, ils se sont manifestement engagés à deux dans cette aventure présidentielle. A un moment, à l'instar de chaque mortel, il faut faire des choix qui sont cohérents avec l'éthique professionnelle et son éthique individuelle - en particulier à l'égard des citoyens-électeurs, qui, ont délégué leurs pouvoirs (exécutif, législatif, judiciaire). Personne ne peut tout avoir : le beurre, l'argent du beurre et le *** de la crémière avec.
De toutes façons sa situation est inconfortable,comme l'est celle d'Audrey Pulvar dont on s'est débarrassé sans ménagement. Décidément ,dans ce pays de machos franchouillards,pour être l'égale d'un homme,il faut qu'une femme soit célibataire.L'idée,c'est qu'amoureuse,elle ne peut plus penser par elle-même....Si elle est journaliste,la voilà au chômage.Pour continuer à bosser,elle doit faire le sacrifice d'une partie de sa vie. Comment ça se passe si la situation est inversée ?
Oui enfin si elle écrit dans un magazine privé, elle va pas faire les voyages officiels aux states... Punaise les fonctionnaires, on nous prend la tête pour pas afficher nos opinions personnelles sur notre lieu de travail!!! Enfin DS !!! et le conflit d'intérêt bon sang!!!
La vache ! Grazia qui vous a appelé !
Je ne savais pas que vous aviez une telle notoriété. Je vais vous lire différemment maintenant.
Je ne savais pas que vous aviez une telle notoriété. Je vais vous lire différemment maintenant.
Super la couverture de Match. Valérie 1ère en majesté, limite Loulou XIV flashé par Raymond Rigault, heu, Hyacinthe Depardon, et Monsieur coupé au montage avec un air vaguement contrarié.
Pas mal aussi la titraille. Genre donnons un peu de charme au type qui en est aussi pourvu qu'une motte de beurre.
Et follement originale : il faudrait pas chercher bien longtemps dans les anciens numéros pour la retrouver à qualifier la Minnie du Mickey qui joua (mal) au présiment pendant cinq trop longues années.
Je sens qu'on n'a pas fini d'en bouffer, de la Première Dame.
Et pendant ce temps-là, la Syrie est à feu et Assad, les Grecs bouffent des pierres et les gosses en Kabylie se pendent aux oliviers, vous savez, l'arbre de paix....
Pas mal aussi la titraille. Genre donnons un peu de charme au type qui en est aussi pourvu qu'une motte de beurre.
Et follement originale : il faudrait pas chercher bien longtemps dans les anciens numéros pour la retrouver à qualifier la Minnie du Mickey qui joua (mal) au présiment pendant cinq trop longues années.
Je sens qu'on n'a pas fini d'en bouffer, de la Première Dame.
Et pendant ce temps-là, la Syrie est à feu et Assad, les Grecs bouffent des pierres et les gosses en Kabylie se pendent aux oliviers, vous savez, l'arbre de paix....
Vous avez raison, elle n'a que faire d'un cabinet. Elle s'en passait bien dans sa vie normale.