Mais qui sont donc les morts civils de Gaza ?
Avec 184 morts et au moins un millier de blessés, le bombardement de la bande de Gaza par Israël a déjà fait plus de morts que l'offensive "Pilier de défense" de novembre 2012. Selon l'ONU, plus des deux tiers de ces morts sont des civils. Mais au delà des chiffres, mis à jour quotidiennement dans la presse, difficile d'en savoir plus sur l'identité des victimes, et les circonstances des bombardements, dans les médias français. On a donc cherché ailleurs.
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Derniers commentaires
En l'espace de deux jours, une vague sans précédent de deux décés, qui se sont avérés mortels, a touché le monde du spectacle aux Etats-Unis.
A la suite de ces événements, nos experts géopolitiques alertent l'opinion internationale sur un risque d'escalade et prévoient dans les jours qui viennent la formation de deux convois (que de "bons esprits" qualifient naïvement de mortuaires) qui devraient sillonner le sol américain.
Mais la Communauté Internationale n'est pas dupe quant à la réalité de cette opération qu'elle soupçonne être une tentative d'incursion sur le territoire sacré de l'Union.
Fort heureusement, ailleurs dans le monde, les gardiens de la paix mettent tout en oeuvre pour contenir le terrorisme, même si on doit déplorer quelques dégâts collatéraux qui toucheraient peut-être des populations civiles comme le prétend une certaine propagande nauséabonde aux relents antisémites et complotistes:
http://www.info-palestine.net/spip.php?article14726
[quote=En direct de Gaza Lundi 28 juillet 2014 Il est 19 h à Gaza Ziad Medoukh Vingt –et- unième jour de l’offensive militaire israélienne sur la bande de Gaza • Vive la solidarité internationale avec Gaza • Massacres et crimes israéliens contre les civils de Gaza • Résistance palestinienne acharnée • Notre population est confiante malgré les massacres, les crimes, et les attaques sanglantes de cette armée barbare, elle affronte cette réalité cruelle avec une volonté remarquable et une patience extraordinaire. L’armée israélienne intensifie ses bombardements sur Gaza au premier jour de l’Aïd sans aucun respect de la trêve. L’armée israélienne a commis un nouveau massacre contre les enfants de Gaza Elle a bombardé un jardin public au camp de Chatie dans la ville de Gaza Elle a tué 10 enfants, alors qu’ils jouaient dans le jardin au premier jour de l’Aïd Quelle barbarie ! L’armée de l’occupation a bombardé l’hôpital Shifa, l’hôpital principal dans la ville de Gaza Quelle horreur ! - une femme chrétienne de 60 ans a été tuée ce lundi suite à des bombardements israéliens. - Trois cimetières ont été bombardés - Toujours deux heures d’électricité par jour pour chaque foyer Les chars israéliens sont toujours dans les zones frontalières au nord , au sud et à l’est de la bande de Gaza. Ils bombardent d’une façon intensive. 165.000 habitants ont quitté leurs maisons Destruction massive dans la bande de Gaza : habitations, infrastructures civiles , usines et terres agricoles Et ça continue ! Le bilan s’alourdit au vingt et unième jour de l’offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza et sa population civile : - 1050 morts palestiniens jusqu’à cette heure-ci, dont 225 enfants, 103 femmes et 76 personnes âgées suite à des bombardements israéliens en vingt et un jours. - -5570 blessés lors de ces bombardements aveugles de l’armée de l’occupation israélienne, dont 750 femmes, 300 personnes âgées et 1250 enfants -Plus de 5220 raids israéliens en vingt et un jours partout dans la bande de Gaza Quelle horreur ! -1420 maisons ont été détruites suite à ces bombardements aveugles - 1870 maisons endommagées par les bombardements -Plus de 11000 personnes sont sans-abri après la destruction de leurs maisons. -97 mosquées ont été détruites C’est terrible ! Nous nous lâchons rien! Nous ne désespérons pas ! La lutte continue Nous nous défendrons jusqu’à la dernière goutte de notre sang Jusqu’à notre dernier souffle Gaza sera toujours debout ! Gaza résiste, Gaza existe et Gaza persiste ! Palestine vivra, Palestine vaincra ! Amitiés de Gaza sous les bombes Ziad]
http://blogs.mediapart.fr/blog/kiergaard/280714/decoder-la-communication-israelienne-destination-de-loccident
Avec ça, on a de quoi décoder ce que nous racontent nos media.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
L'histoire de cette région aussi.
Y en a aussi en compagnie d'arabes antisémites. Du moment que la personne présente déteste les juifs ou les arabes, il est content
merci à eux !
Mais aujourd'hui, Israël et le Hamas ont décidé de suspendre les hostilités pendant six heures. Il s'agit d'une "trêve humanitaire" ou d'une "fenêtre humanitaire" selon les termes de l'armée israélienne !
Le sens des mots échappe visiblement à ces assassins.
Pourtant @SI est tellement attentif aux déséquilibres du traitement médiatique.
"Asymétrique", effectivement.
http://www.humanite.fr/israel-utiliserait-le-dime-une-arme-particulierement-effroyable-547262
Il était l'invité de Bernard Pivot pour son livre Le Transport de A.H. imaginant le le transport d'Adolf Hitler en Amérique latine.
Il est urgent de dénoncer plus largement ces tueries et de donner clairement les identités des victimes. Cacher ces informations revient à nier les faits, ce dont Israël est spécialiste.
Les français doivent se dessolidariser de Hollande et prouver que la France est toujours la patrie des droits de l'Homme.
Toutes les raisons pour lesquelles je quitte Israël
TRIBUNE.
PAR SAYED KASHUA ECRIVAIN ARABE ET CITOYEN ISRAÉLIEN. DERNIER ROMAN PARU EN FRANÇAIS : LA DEUXIÈME PERSONNE, TRAD. DE L’HÉBREU PAR JEAN-LUC ALLOUCHE, ÉDITIONS DE L’OLIVIER, 2010.
Bientôt, je vais partir d’ici. Dans quelques jours, nous quitterons Jérusalem, nous quitterons le pays. Hier, nous avons acheté de petites valises pour les enfants. Inutile d’emporter beaucoup de vêtements, nous laisserons les habits d’hiver ; de toute façon, ils ne pourraient pas nous protéger du froid dans le sud de l’Illinois, Etats-Unis.
Juste quelques vêtements jusqu’à ce qu’on se débrouille, et si, me suis-je dit, les enfants prenaient quelques livres, deux ou trois en arabe, et quelques autres en hébreu, pour qu’ils n’oublient pas la langue ?
Mais je ne suis déjà plus si sûr de ce que je souhaite que mes enfants se souviennent de cet endroit aimé et maudit.
A l’origine, nous avions prévu de partir dans un mois pour une année sabbatique, voire moins, mais, la semaine dernière, j’ai compris que je ne pouvais plus rester ici. J’ai demandé à mon agence de voyages d’avancer notre départ : «Un aller simple, s’il vous plaît», ai-je demandé. Dans quelques jours, nous atterrirons à Chicago, et je ne sais même pas où nous irons pendant le premier mois mais nous nous débrouillerons.
J’ai trois enfants, l’aînée est déjà âgée de 14 ans, les deux garçons ont 9 et 3 ans. Nous habitons à Jérusalem-Ouest, l’unique famille arabe du quartier où nous avons emménagé il y a six ans. «Tu peux prendre deux jouets», avons-nous dit en hébreu au benjamin qui regardait sa caisse de jeux et commençait à pleurer, bien que nous lui ayons promis de lui acheter là-bas tout ce qu’il désire.
Moi aussi, je dois décider quoi emporter. Je ne peux choisir que deux livres, ai-je décidé en contemplant mes rayonnages. Hormis, un recueil de poèmes de Mahmoud Darwich et une anthologie de récits de Gibran Khalil Gibran, tous mes livres sont en hébreu. Des livres que j’ai commencé à acquérir dès l’âge de 15 ans et qui m’ont accompagné partout au cours des années.
Depuis l’âge de 14 ans, je n’ai presque pas lu de livre en arabe, uniquement en hébreu. C’est à cet âge que j’ai découvert une bibliothèque pour la première fois de ma vie. Il y a vingt-cinq ans, mon professeur de maths à Tira, le village où je suis né, est venu voir mes parents et leur a dit que les juifs allaient ouvrir à Jérusalem, dans un an, une école pour les élèves surdoués. Il avait affirmé à mon père que cela valait la peine de me présenter aux examens d’inscription. «Là-bas, ce sera mieux pour lui», je me souviens des mots de mon professeur.
J’ai réussi les examens, j’ai été interrogé par des examinateurs et, à l’âge que ma fille a aujourd’hui, j’ai quitté pour la première fois ma maison de Tira pour un internat juif à Jérusalem.
C’était si dur, presque cruel. Je me souviens de mes pleurs quand mon père m’a étreint et m’a laissé sur le seuil de la nouvelle école, splendide, si différente de ce que j’avais connu jusque-là à Tira. J’ai écrit naguère que la première semaine à Jérusalem avait été la plus pénible de ma vie. J’étais différent, autre, mes vêtements différents, ma langue différente. Toutes les leçons étaient en hébreu - les sciences, la bible, la littérature. J’étais assis là, sans comprendre un traître mot. Quand j’essayais de parler, mes camarades se moquaient de moi. Je voulais tellement m’échapper de cet endroit, revenir chez les miens, à mon village, à mes camarades, à la langue arabe.
Au téléphone, je pleurais aux oreilles de mon père pour qu’il vienne me chercher, et lui me répondait que seuls les débuts sont difficiles, qu’au bout de quelques mois je parlerais l’hébreu mieux qu’eux…
Je me souviens que mon prof de littérature, au cours de la première semaine, nous a demandé de lire l’Attrape-cœurs de J. D. Salinger.
A Tira, nous n’avions pas de cours de littérature. Ni de bibliothèque, et il n’y en a toujours pas. L’Attrape-cœurs est le premier roman que j’aie jamais lu. Cela m’a pris quelques semaines pour le lire et, à la fin, j’ai compris deux choses qui ont changé ma vie. La première, c’est que j’étais capable de lire un livre en hébreu ; la seconde, la conviction profonde que j’étais tombé amoureux des livres.
Dès le moment où j’ai découvert la littérature, je me suis désintéressé des sciences ; je m’installais en bibliothèque et je lisais. Très vite, mon hébreu est devenu presque parfait. Les livres de la bibliothèque de l’internat étaient tous en hébreu, et j’ai commencé à lire les écrivains israéliens, Agnon, Meïr Shalev, Amos Oz et aussi des ouvrages sur le sionisme, le judaïsme et la construction de la patrie. Très vite, j’ai compris le pouvoir de l’écriture et je me suis retrouvé à lire des récits sur les pionniers juifs, la Shoah, la guerre.
Au cours de ces années-là, j’ai commencé aussi à comprendre ma propre histoire et, sans intention délibérée, j’ai commencé à écrire sur des Arabes vivant en internat israélien, dans la partie occidentale de la ville, dans l’Etat juif. J’ai entrepris cela avec la conviction que tout ce que je devais faire pour changer cette situation, c’était d’écrire l’autre partie, de raconter les histoires entendues de la bouche de ma grand-mère.
Ecrire comment mon grand-père a été tué devant Tira pendant la guerre de 1948. Comment ma grand-mère a perdu sa terre, comment elle a élevé mon père, orphelin de père à l’âge de quelques mois, en gagnant son pain en travaillant à la cueillette chez les juifs. Je voulais raconter en hébreu mon père, qui a été détenu pendant de longues années, sans jugement, à cause de ses idées politiques. Je voulais raconter aux Israéliens une autre histoire, une histoire palestinienne. Car, en lisant, ils comprendraient, en lisant, ils changeraient, tout ce que je devais faire, c’était écrire, et l’occupation prendrait fin, je devais juste être un bon écrivain et je libérerais les membres de mon peuple des ghettos dans lesquels ils vivent. De bonnes histoires en hébreu, et je serais à l’abri, encore un livre, puis un autre film, encore un article pour le journal, et encore une télé, et mes enfants auraient un meilleur avenir. Grâce à mes histoires, un jour, nous deviendrions des citoyens égaux, presque comme les juifs.
Cela fait vingt-cinq ans que j’écris en hébreu, et rien n’a changé. Vingt-cinq ans que je m’accroche à l’espoir, à croire qu’il est impossible que des êtres humains puissent se montrer à ce point aveugles.
Vingt-cinq ans pendant lesquels je n’ai pas eu beaucoup de raisons d’être optimiste mais j’ai continué à croire que c’était encore possible que, un jour, ce lieu où vivent des juifs et des Arabes puisse connaître une histoire qui ne nie pas l’histoire de l’autre. Qu’un jour, les Israéliens cessent de nier la Nakba, l’occupation, et qu’ils cessent de fermer les yeux devant la souffrance du peuple palestinien. Qu’un jour, les Palestiniens se montrent disposés à pardonner, et qu’ensemble nous bâtissions un lieu où il soit agréable de vivre, exactement comme dans les romans à happy end.
Vingt-cinq ans que j’écris en hébreu, et rien n’a changé. Vingt-ans que j’écris et que j’essuie des critiques hostiles des deux camps mais, la semaine dernière, j’ai renoncé. La semaine dernière, quelque chose s’est brisé en moi.
Quand de jeunes juifs exaltés se sont répandus en hurlant «mort aux Arabes !» et ont attaqué des Arabes juste parce qu’ils étaient arabes, j’ai compris que j’avais perdu ma minuscule bataille personnelle.
J’ai écouté alors les politiciens et les gens des médias et j’ai su que ceux-là faisaient la différence entre un sang et un autre, entre un être humain et un autre être humain. Des individus, devenus la force dominante du pays, clamaient à voix haute ce que la plupart des Israéliens pensent : «Nous sommes meilleurs que les Arabes.»
Dans les tables rondes auxquelles j’ai participé, on affirmait que les juifs étaient un peuple plus éminent, plus digne de vivre. Une majorité désespérément déterminante dans le pays ne reconnaît pas à l’Arabe le droit de vivre, en tout cas pas dans ce pays.
Après lecture de mes derniers articles, certains lecteurs ont suggéré de m’expédier à Gaza, de me briser les os, de kidnapper mes enfants.
J’habite à Jérusalem et j’ai de merveilleux voisins juifs, et j’ai des amis écrivains et journalistes merveilleux, mais je ne peux pas envoyer mes enfants dans des colonies de vacances ou des centres aérés avec leurs copains juifs.
Mon aînée, furieuse, a protesté, affirmant que personne ne saurait qu’elle est arabe à cause de son hébreu impeccable mais je n’étais pas disposé à l’écouter. Elle s’est enfermée dans sa chambre, en pleurs.
Bientôt, je serai loin d’ici et, maintenant, face à mes rayonnages de livres, je tiens en main le Salinger que j’ai lu à 14 ans. Je ne veux pas du tout emporter de livres, me suis-je dit, je dois m’investir dans une nouvelle langue, je sais à quel point c’est difficile, presque impossible, mais je dois trouver une autre langue pour écrire, mes enfants devront trouver une nouvelle langue dans laquelle vivre. «N’entre pas», a crié ma fille, au moment où je toquais à sa porte. Pourtant, j’ai pénétré dans sa chambre.
Je me suis assis à côté d’elle, sur son lit. Et, bien qu’elle me tournât le dos, je savais qu’elle m’écoutait.
«Tu m’entends ? Je lui ai répété la même phrase que mon père m’a dite en me laissant devant le seuil de l’école la plus prestigieuse du pays, vingt-cinq ans auparavant. Souviens-toi que, quoi que tu fasses dans la vie, pour eux, tu resteras toujours, je dis bien toujours, un Arabe. Tu m’as compris ?
- J’ai compris, m’a répondu ma fille en m’étreignant de toutes ses forces. Papa, ça, je l’ai compris depuis longtemps.
- Bientôt, nous partirons d’ici, ai-je fait en lui défaisant sa chevelure, juste comme elle déteste. En attendant, lis ça…» Et je lui ai tendu l’Attrape-cœurs.
Heureusement, Leïla Shahid ne s'en laisse pas conter... http://www.islametinfo.fr/2014/07/13/leila-shahid-gaza-france24/
Par Le Figaro :
"Le rejet par le mouvement palestinien Hamas d'une initiative égyptienne de trêve force Israël à "étendre" et "intensifier" ses opérations militaires à Gaza, a déclaré aujourd'hui le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou.
"Une solution diplomatique aurait été mieux, c'est ce que nous avons essayé de faire lorsque nous avons accepté la proposition de trêve de l'Egypte aujourd'hui. Mais le Hamas ne nous a pas laissé d'autre choix que d'étendre et d'intensifier notre campagne contre lui", a-t-il déclaré à la télévision"...
Et puis ça aussi ww.leparisien.fr/international/en-direct-gaza-le-cabinet-israelien-accepte-le-cessez-le-feu-propose-par-l-egypte-15-07-2014-4002339.php#xtref=http%3A%2F%2Ft.co%2FvXgytsEiC1
A noter que Libermann (ministre du gouvernement Netanuahou) dit qu'Israël veut récupérer la Bande de Gaza.
De toutes façons, si le Hamas avait accepté, les bombardements auraient repris si ça n'est demain, après-demain ;o(
Re-sic ;o((
Dingue qu'aucun grand médias, aucune figure médiatique, ne condamne le fait que Netanyahu chante à la gloire d'Israël en France dans l'école ou Merah a assassiné ses victimes. Comment peut-il ainsi mélanger les choses devant les membres du gouvernement français complaisants ?
Comment ne pas critiquer sévèrement le CRIF quand il affirme "Les juifs français soutiennent Israël" ?
Tout ça est incompréhensible...
C'est quand même aussi facile à présenter qu'un powerpoint...
- Et là vous voyez y'a une voiture et puis boom plus de voiture!
- Oulalal c'est précis dis donc...
- Oh oui ça s'appelle le progrès...
- Et puis le fond gris ça change du fond vert...
- Ah ça c'est parce que c'est le jour.
- Et puis du sport à présent...
Et la LDJ qui veut faire "interdire les manifestations pro-Hamas" (alors que ce sont des manifestations de soutien au peuple palestinien !)
Pourquoi suis-je si lasse de cette information si orientée, donnée par des media de prétendues-démocraties, alors que le média qui informe le plus est de la seule démocratie (pour le peuple israélien uniquement) du Moyen Orient ?
hier · Modifié
Ci-après la liste des 176 Palestiniens tués par les bombardements de l'aviation israélienne depuis le mardi 8 Juillet dernier. Environ 1 120 personnes ont été blessées. Ce sont les noms qui ont été confirmés par des sources médicales à Gaza: Nous implorons Allah le très grand afin qu'il les accepte en son vaste paradis. Amin
Tués Dimanche 13/07:
1. Ezzeddin Bolbol, Rafah.
2. Rami Abu Shanab, 25, Deir al-Balah.
3. Ramzya Abdul-'Alem, 73, Gaza City.
4. Mo’ayyad al-‘Araj, 2, Khan Younis.
5. Husam Ibrahim Najjar, 14, Jabalia.
6. Hijaziyya al-Hilo, 80, Gaza City.
7. Huwaida abu Harb, 44, central Gaza.
8. Haitham Ashraf Zo’rob, 21, Rafah.
9. Mo’sab Daher, 22, Deir al Balah.
10. Laila Hassan al-‘Oweidat, 35, al-Maghazi.
11. Hussein Abdul-Qader Mheisin, 14, Gaza.
12. Qassem Talal Hamdan, 23, Beit Hanoun.
Tués Samedi 12/07 :
1. Anas Yousef Qandil, 17, Jabalia.
2. Yousef Mohammad Qandil, 47, Jabalia.
3. Mohammad Edrees Abu Sneina, 20, Jabalia.
4. Abdul-Rahman Saleh al-Khatib, 38, Jabalia.
5. Husam Thieb ar-Razayna, 38, Jabalia.
6. Ibrahim Nabil Hamada, at-Tuffah - Gaza City.
7. Hasan Ahmad Abu Ghush, at-Tuffah - Gaza City.
8. Ahmad Mazen al-Bal’awy, at-Tuffah - Gaza City.
9. Ali Nabil Basal, 32, at-Tuffah - Gaza City.
10. Mohammad Bassem al-Halaby, 28, western Gaza City.
11. Mohammad Sweity (Abu Askar), 20, western Gaza City.
12. Khawla al-Hawajri, 24, Nuseirat refugee camp.
13. Ola Wishahi, 31, Mabarra association for the disabled in Jabalia.
14. Suha Abu Saade, 38, Mabarra association for the disabled in Jabalia.
15. Khalwa al-Hawajra, 24.
16. Rateb Subhi al-Saifi, 22, Sheikh Radwan – Gaza City.
17. Azmi Mahmoud Obeid, 51, Sheikh Radwan – Gaza City.
18. Nidal Muhammad Abu al-Malsh, 22, Sheikh Radwan – Gaza City.
19. Suleiman Said Obeid, 56, Sheikh Radwan – Gaza City.
20. Mustafa Muhammad Inaya, 58, Sheikh Radwan – Gaza City.
21. Ghassan Ahmad al-Masri, 25, Sheikh Radwan – Gaza City.
22. Rif’at Youssef Amer, 36, al-Saftawi.
23. Rif’at Syouti, western Gaza City.
24. Nahedh Na’im al-Batsh, 41, Khan Younis.
25. Baha’ Majed al-Batsh, 28, Khan Younis.
26. Qusai Issam al-Batsh, 12, Khan Younis.
27. Aziza Yousef al-Batsh, 59, Khan Younis.
28. Ahmad No’man al-Batsh, 27, Khan Younis.
29. Mohammad Issam al-Batsh, 17, Khan Younis.
30. Yahia ‘Ala’ Al-Batsh, 18, Khan Younis.
31. Jalal Majed al-Batsh, 26, Khan Younis.
32. Mahmoud Majed al-Batsh, 22, Khan Younis
33. Majed Sobhi al-Batsh, Khan Younis.
34. Marwa Majed al-Batsh, 25, Khan Younis.
35. Khaled Majed al-Batsh, 20, Khan Younis.
36. Ibrahim Majed al-Batsh, 18, Khan Younis.
37. Manar Majed al-Batsh, 13, Khan Younis.
38. Amal Hussein al-Batsh, 10, Khan Younis.
39. Anas Ala’ al-Batsh, 10, Khan Younis.
40. Qusai Ala’ al-Batsh, 20, Khan Younis.
41. Zakariyya Ala’ al-Batsh, 20, Khan Younis.
42. Mohannad Yousef Dheir, 23, Rafah.
43. Mohammad Zo’rob, 21, Rafah.
44. Imad Bassam Zo’rob, 21, Rafah.
45. Mustafa ‘Arif, 26, eastern Gaza City.
46. Mohammad Ghazi ‘Arif, 35, eastern Gaza City.
47. Amir ‘Arif, 10, eastern Gaza City.
48. Ghazi Arif, eastern Gaza City.
49. Ahmad Yousef Dalloul, 57, Gaza.
50. Fadi Ya’coub Sukkar, 25, Gaza.
51. Qassem Jaber Odah, 16, Khan Younis.
52. Mohammad Abdullah Sharatha, 23, Jabalia.
Tués Vendredi 11/07 :
1. Wisam Abdul-Razeq Ghannam, 23, Rafah.
2. Mohammad Abdul-Razeq Ghannam, 26, Rafah.
3. Kifah Shihada Ghannam, 20, Rafah.
4. Ghalia Thieb Ghannam, 7, Rafah.
5. Mohammad Munir ‘Ashour, 25, Rafah.
6. Nour an-Ajdi, 10, Rafah.
7. Anas Rezeq abu al-Kas, 30, Gaza City (doctor).
8. Abdullah abu Mahrouq, Deir al-Balah.
9. Mohammad Waloud, Beit Lahia
10. Hazem Ba’lousha, Beit Lahia.
11. Ala' Abdul Nabi, Beit Lahia
12. Ahmed Zaher Hamdan, 22, Beit Hanoun.
13. Mohammad al-Kahlout, 38, Jabalia.
14. Sami Adnan Shaldan, 25, Gaza City
15. Salem al-Ashhab,40, Gaza City.
16. Raed Abu Hani, 50, Rafah.
17.Rabea Abu- Hmeedan, 65, Jabalia.
18.Mazen Aslan, Shahrman, Al-Bureij.
19. Abu el-Kas, Al Bureij.
20. Shahd Helmi al-Qrynawi, 5, Al-Bureij.
21. Mohammad Samiri, 24, Deir al-Balah.
22. Rami Abu Mosa’ed, 24, Deir al-Balah.
23. Saber Sokkar, 80, Gaza City.
24. Hussein Mohammad al-Mamlouk, 47, Gaza City.
25. Nasser Rabah Sammama, 46, Gaza City.
26. Abdul-Halim Abdul-Mo’ty Ashra, 52, Deir al-Balah.
27. Sahar Salman Abu Namous, 4, Beit Hanoun.
Tués Jeudi 10/07:
1. Mahmoud Lutfi al-Hajj, 57, Khan Younis. (father of six killed)
2. Bassema ‘Abdul Qader Mohammed al-Hajj, 48, Khan Younis. (mother of six killed)
3. Asma’ Mahmoud al-Hajj, 22, Khan Younis.
5. Sa’ad Mahmoud al-Hajj, 17, Khan Younis.
6. Najla’ Mahmoud al-Hajj, 29, Khan Younis.
7. Tareq Sa’ad al-Hajj, 18, Khan Younis.
8. Omar al-Hajj, 20, Khan Younis.
9. Baha’ Abu al-Leil, 35, Gaza City.
10. Suleiman Saleem Mousa al-Astal, 17, Khan Younis.
11. Ahmed Saleem Mousa al-Astal, 18, Khan Younis (Suleiman’s brother)
12. Mousa Mohammed Taher al-Astal, 15, Khan Younis.
13. Ibrahim Khalil Qanan, 24, Khan Younis.
14. Mohammad Khalil Qanan, 26, Khan Younis (Ibrahim’s brother).
15. Ibrahim Sawali, 28, Khan Younis.
16. Saleem Sawali, 23, Khan Younis.
17. Hamdi Sawali, 18, Khan Younis.
18. Mohammad al-‘Aqqad, 24, Khan Younis.
19. Ismael Abu Jame’, 19, Khan Younis.
20. Hussein Abu Jame’, 57, Khan Younis (Ismael’s father).
21. Ramadan Abu Ghazal, 5, Beit Lahia.
22. Ehsan Ferwana, 19, Khan Younis.
23. Salem Qandil, 27, Gaza City.
24. Amer al-Fayyoumi, 30, Gaza City.
Tués Mercredi 09/07:
1. Hamed Shihab, Journalist – Gaza.
2. Salmiyya al-‘Arja, 53, Rafah.
3. Miriam ‘Atiya al-‘Arja, 9, Rafah.
4. Rafiq al-Kafarna, 30.
5. Abdul-Nasser Abu Kweik, 60.
6. Khaled Abu Kweik, 31.
7. Eyad Salem ‘Oraif, 12, Gaza City.
8. Mohammad 'Oraif, 10, Gaza City (Eyad's brother).
9. Mohammad Mustafa Malika, 18 months.
10. Hana’ Mohammed Fu’ad Malaka, 28 (Mohammad’s Mother), 27.
11. Hatem Abu Salem.
12. Mohammad Khaled an-Nimra, 22.
13. Sahar Hamdan (al-Masry), 40, Beit Hanoun.
14. Ibrahim al-Masry, 14, Beit Hanoun.
15. Amjad Hamdan, 23, Beit Hanoun.
16. Hani Saleh Hamad, 57, Beit Hanoun.
17. Ibrahim Hani Saleh Hamad, 20, Beit Hanoun.
18. Mohammad Khalaf Nawasra, 2, al-Maghazi.
19. Nidal Khalaf Nawasra, 4, al-Maghazi.
20. Salah Awad Nawasra, 24, al-Maghazi.
21. ‘Aesha Shubib al-Nawasra, 23, who was pregnant in the fourth month, al-Maghazi.
22. Naifa Mohammed Zaher Farajallah, 82, al-Mughraqa.
23. Aisha Najm.
24. Amal Yousef Abdul-Ghafour.
25. Ranim Jouda Abdul-Ghafour.
26. Ibrahim Daoud al-Bal’aawy.
27. Abdul-Rahman Jamal az-Zamely.
28. Ibrahim Ahmad ‘Abdin.
29. Mustafa Abu Murr.
30. Khaled Abu Murr.
31. Mazin Al-Jarba.
32. Marwan Eslayyem.
33. Hatem Abu Salem, Gaza City.
34. Nariman Abdul-Ghafour, Khan Younis.
35. Ra’ed Mohammed Abu Shalat, 35, al-Nussairat.
36. Yasmin al-Mautawaq, 3, Gaza City.
37. Ahmad Swali, 28, al-Nussairat.
Tués Mardi 08/07:
1. Mohammad Sha’ban, 24, Gaza.
2. Amjad Sha’ban, 30, Gaza.
3. Khader al-Basheeleqety, 45, Gaza.
4. Rashad Yassin, 27, Nusseirat.
5. Mohammad Ayman ‘Ashour, 15, Khan Younis.
6. Riyadh Mohammad Kaware’, 50, Khan Younis.
7. Bakr Mohammad Joudeh, 50, Khan Younis.
8. Ammar Mohammad Joudeh, 26, Khan Younis.
9. Hussein Yousef Kaware’, 13, Khan Younis.
10. Bassem Salem Kaware’, 10, Khan Younis.
11. Mohammad Ibrahim Kaware’, 50, Khan Younis.
12. Mohammad Habib, 22, Gaza.
13. Mousa Habib, 16, Gaza.
14. Saqr ‘Aayesh al-‘Ajjoury, 22, Jabalia.
15. Ahmad Nael Mahdi, 16, Gaza.
16. Hafeth Mohammad Hamad, 26, Beit Hanoun.
17. Ibrahim Mohammad Hamad, 26, Beit Hanoun.
18. Mahdi Mohammad Hamad, 46, Beit Hanoun.
19. Fawziyya Khalil Hamad, 62, Beit Hanoun.
20. Donia Mahdi Hamad, 16, Beit Hanoun.
21. Soha Hamad, 25, Beit Hanoun.
22. Suleiman Salam Abu Sawaween, 22, Khan Younis.
23. Siraj Eyad Abdul-‘Aal, 8, Khan Younis.
24. Abdul-Hadi Soufi, 24, Rafah.
2012 : 43%
2014 : 80%
(source ONU via LeMonde.fr)
Etonnant que cela ne fasse pas les titres.
"La population de Cisjordanie est particulièrement jeune, 37,3 % des Palestiniens ayant moins de 14 ans et seulement 3,7 % ayant plus de 65 ans. L’âge médian (à ne pas confondre avec l’âge moyen) est de 20 ans, ce qui signifie qu’il y a autant de Palestiniens de moins de 20 ans que de Palestiniens de plus de 20 ans. En Cisjordanie, les femmes mettent au monde en moyenne 3,12 enfants. Enfin, 75 % des Cisjordaniens sont musulmans, 8 % sont chrétiens et les 17 % restants sont les colons israéliens.
Le PCBS indique que 1 535 000 Palestiniens vivent dans la bande de Gaza. Abstraction faite des camps de réfugiés érigés sur son territoire, la ville de Gaza proprement dite compte 488 000 habitants, suivie par Khan Younis (153 000), Jabaliya (135 000), Rafah (132 000) et Beit Lahia (70 000). Dans la bande de Gaza, la densité de population est la plus élevée au monde, avec 4000 habitants au kilomètre carré. La population y est également la plus jeune au monde, avec 44,4 % d’habitants de moins de 15 ans et seulement 2,6 % de plus de 65 ans. L’âge médian à Gaza est de 17,5 ans. Enfin, dans ce territoire gouverné par le Hamas, les femmes mettent au monde 5 enfants en moyenne annuelle."
Tout le monde, sur les réseaux sociaux, est effaré de voir que Hollande et cies supportent l'état d'Israel dans ces oeuvres de morts et rien pour les victimes Dans le monde entier il y a des manifestations et même au parlement au CHILI dans des pays pauvres egalemment mais ou sont passés les images dans nos médias ? La complicité évidente de l'UE avec les criminels israeliens se voient jusque dans notre état....Je n'en dirais pas plus....
.Pas de photos des morts ni des bléssés graves ..Brûlures et désintégration du corps, par l'uranium appauvri, le phosphore blanc, et la dernière nouveauté de la higth technologie miitaire Usa l'utilisation de DIME ...DIME la mort nouvelle
je parle des images terribles de ce bombardements et de ces conséquences très graves envers les gazaouis comme toutes les populations souffrant du même maux : ukrainiens par exemple ou là aussi c'est le black out total .
.La mort qui vient d'en haut a sur ces victimes de terribles conséquences humanitaires que nos élites zappent france 24 montre t'elle cela ??
Quand à france 24 comme tous les médias donnent strictement la même narrative des faits agissant comme de la propagande dans le meilleur style pravda..Quand les gens voient les "images" du "réel" ils sont plus prompts à la critique des élites qui laissent faire de telles actions...d'ou la grande utilité des réseaux sociaux facebook ou autre à dénoncer l'indicible et surtout nos médias totalement achetés et sous influence..Le mensonge à l'état pur .....
Je ne regarde pas la télé donc j'aurais du mal à comparer mais sur leur site on trouve quand même des images du terrain (ils ont un correspondant à Gaza). Dans cette émission, on a un porte-parole israélien face à Hael Al Fahoum, l'ambassadeur de la mission Palestine en France, dont l'audition par la commission des affaires étrangères en mai dernier mériterait d'être vu par tous ceux qui prétendent parler au nom des Palestiniens.
Ca donne un aperçu du discours de la ligne Habbas revendiquant une posture non-violente et que certains critiquent comme trop "gentille".
Et merci à M. Jean Glavany pour son petit mot suite à l'intervention de l'odieux Meyer Habib.
J'espère qu'il ne l'a pas payée chère son installation WordPress parce que utiliser un plug-in d'e-commerce pour un site de politique, c'était pas la meilleure idée...
Au States, l'information semble aussi "frôler le ridicule"... Regardez plutôt ce qu'en dit Jon Stewart (qui, notons au passage, arrive à faire rire sans se faire traiter d'antisémite ou d'islamophobe) :
https://www.youtube.com/watch?v=tmPJb6Mcu6g&feature=player_embedded
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Donc ce n'est pas à rééquilibrer, mais bien à déséquilibrer le débat en faveur d'Israël qu'oeuvrent les journalistes Français.
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Vous voulez dire qu'ils partent du constat que le téléspectateur trouve que ce que fait l'état d'Israël est infâme, et qu'il faudrait rééquilibrer ses mauvaises pensées par une lumière favorable à Israël?
Si c'est ça, alors je suis d'accord en fait, vous avez raison.
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Complicité entre la LDJ et Valls
Et tout ça en vue de faire croire au monde que des jeunes français issus "ad vaetam éternam de l'immigration est antisémite et raciste...Provocations déliberée sur les réseaux sociaux par les extrêmistes du Bétar et de la LDJ sous la protection des CRS et de l'etat français bien sur..! Et c'est ainsi qu'ensuite on se fait traité d'antisémite et de complotiste ...
Nature humaine,
Chomsky,
Fin de la discussion...
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Ce que je défends, c'est la bonne parole.
Je veux juste t'aider à développer intelligemment tes idées qui partent d'un bon sentiment mais qui dérive par trop vers le complotisme.
Ouafff.
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J'ai donc pu voir, entendre, écouter, constater ce que nous sommes de plus en plus à constater à l'heure actuelle à l'éclairage de la couverture médiatique actuelle des bombardements de Gaza :
Une grande majorité de la "gent journalistique" était favorable à Israël, de mon temps... Nous étions quelques un(e)s, en politique étrangère, à être pour les Palestiniens (plus de femmes que d'hommes). Mais toute la "chefferie" était favorable à Israël... les correspondants aussi. Arafat avait "quelques amis" (eux aussi plutôt orientés Israel sauf qu'ils avaient un bon carnet d'adresse de l'équipe de l'OLP à Tunis)... mais j'ai l'impression que c'étaient plus des gens fascinés par le personnage que par la cause palestinienne.
Je suis très loin maintenant mais j'ai la quasi certitude que les pro-Israël sont plus nombreux et qu'ils n'ont même pas été briefés pour ça... C'est juste l'ambiance actuelle et ils savent parler "dans l'air du temps"...
Quant à l'itw de Leïla Shahid par cette blonde de F24, elle montre tout simplement que les jeunes blondes ignorent tout de l'histoire récente de ce conflit, et qu'elles veulent juste obtenir de la part d'une infirmière palestinienne qui a vu les massacrés de Sabra et Chatila, qui a été la représentante de l'Autorité Palestinienne au moment des "faux" accords de paix de 94, une condamnation du Hamas avec lequel l'OLP vient de trouver un accord ! C'est un sport typiquement journalistique, d'extorquer des "aveux" violemment et lourdement... mais vain. Si vain !
Je ne pense vraiment pas qu'ils soient briefés... En fait, ce sont ceux qui se sont intéressés depuis un moment au conflit et qui n'ont rien à battre des réflexions en conférence-critique "oh lala, t'as fait un truc pro-palestinien, on va avoir des réflexions des télespectateurs sur FB ou sur Twitter... " etc.
Ce qui me rassure "un peu" actuellement c'est que, pour F2, c'est Marc de Chalvron qui est en ce moment à Gaza, qu'il est le fils de son père (un trop rare pro-palestinien dans la hiérarchie d'alors), arabophone et connaissant bien les pays arabes...