Maltraitance en Ehpad : lanceuses d’alerte poursuivies ou licenciées
Elles travaillaient dans des maisons de retraite privées. Ces aides-soignantes ont perdu leur travail, l'une d'elles est même visée par une plainte de son ex-employeur. La raison ? Elles ont osé dénoncer dans les médias les cadences infernales et les conditions de vie indignes des résidents.
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Commentaires préférés des abonnés
Je ne peux que soutenir les dénonciations faites par ces aides-soignantes :
Voilà mon constat général : dans un EHPAD public, les malades d'Alzheimer sont suivis malgré les limites budgétaires des établissements par deux fois plus de personnel q(...)
Voilà un article constituant un excellent parallèle (ou plutôt, perpendiculaire !) avec la dernière petite phrase de notre bon président. Toujours à chercher de mauvaises raisons de râler, ces Français...
Les reportages sur le thème se sont succédés, tous plus effrayants et révoltants les uns que les autres.
Pourtant, on y met "un pognon de dingue" dans ces établissements, qui visiblement ne va pas dans les poches des personnels soignants, ni dans la n(...)Derniers commentaires
Les reportages sur le thème se sont succédés, tous plus effrayants et révoltants les uns que les autres.
Pourtant, on y met "un pognon de dingue" dans ces établissements, qui visiblement ne va pas dans les poches des personnels soignants, ni dans la nourriture, ni dans le ménage...Irait-il dans la poche des actionnaires des groupes Korian, Ramsay etc?
Non, pas possible tout de même?
Regardez bien ces reportages, car c'est notre avenir. Individuel, et collectif, si on ne fait rien pour foutre en l'air cette noblesse d'argent, ses courtisans, ses bastilles.Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
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Je ne peux que soutenir les dénonciations faites par ces aides-soignantes :
Voilà mon constat général : dans un EHPAD public, les malades d'Alzheimer sont suivis malgré les limites budgétaires des établissements par deux fois plus de personnel que dans les maisons de retraite privées. L'espace qui leur est alloué est aussi double. Ce qui n'empêche les difficultés auxquelles sont confrontées le personnel des établissements publics qui a fondu avec la disparition des emplois aidés. J'ai aussi constaté l'effet de ces difficultés sur l'état de santé du directeur d'un tel établissement.
Le problème est que lorsque vient l'heure du choix, la rareté des places contraint souvent au choix des établissements privés où l'accueil ne se fait pas attendre.
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Voilà un article constituant un excellent parallèle (ou plutôt, perpendiculaire !) avec la dernière petite phrase de notre bon président. Toujours à chercher de mauvaises raisons de râler, ces Français...