Yseult et ASI, histoire d'une erreur factuelle
La chanteuse Yseult n'avait pas apprécié un portrait du Monde, et le site Nylon avait publié sa propre version de l'entretien, agrémentée d'une sévère critique du quotidien. Mais notre propre article comportait une erreur factuelle majeure. Que s'est-il passé ?
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Commentaires préférés des abonnés
Merci de cet exercice de transparence. Ce n’est pas un problème de faire de temps à autre une petite erreur. Il est en revanche primordial d’être capable de l’admettre.
Bravo, et continuez.
Franchement bravo pour votre introspection. ca prouve que vous êtes cohérent avec le niveau d'exigence que vous attendez le reste de temps de vos pairs :) Inspirant !!
La police des polices des polices, mais une qui marche ! Bel exercice de mise en abyme, j'en ai presque le vertige ! Ne laissez pas Maurice trop longtemps au trou, on lui en veut pas, je suis sûr qu'un simple gage suffira.
Derniers commentaires
Bravo ASI pour votre éthique journalistique
On part en étant à peu près certains que tous les faits avancés par Nylon étaient vrais. Le silence public, et la non-réaction à nos messages du Monde renforcent cette idée"
Le a peu près certain me fait tiquer. Tout journaliste ne devrait-il pas être sûr à 100% ‽ J’ai le sentiment que le "à peu près certain” ne transparaît pas dans l’article. C’est peut être cette volonté à tout prix de faire l’article. Cela introduit certainement un biais cognitif.
Bonjour, merci pour la précision.
Je pense quand même qu'on avait compris, en lisant votre article initiale, que vous rapportiez les propos du journaliste de Nylon. Sinon, vous auriez écrit quelque chose comme "l'enregistrement, qu'@si a pu consulter...". Bref, c'était flou, et en plus faux, donc merci de le dire clairement (la journaliste du Monde était en droit de l'attendre de vous), mais je ne me sens pas floué, dans mon contrat de confiance, par la révélation de cette erreur. Ca me parait une maladresse de formulation, le fameux flou du style indirect libre. Un "selon le journaliste de Nylon" aurait été nécessaire certes, mais son absence ne ruine absolument pas la crédibilité de l'article.
Faute avouée, faute à moitié pardonnée.
« Alors comme ça, Tony, tu nous as balancé aux poulets ?
— Pitié, Don Mascarpone ! Et puis... je vous ai tout avoué !
— Tu as raison, Tony. Sergio ? Avant de le balancer dans le port, tu ne couleras qu’un seul pied de Tony dans le béton. Faute avouée, tout ça... »
(Et sinon, bravo @si : ça, c'est de l'éthique journalistique !)
Je rejoins les autres commentaires, j'ai beaucoup apprécié cette correction. Merci à vous de prendre l'information avec tant de sérieux.
Ha vous êtes génia-ux-les :)
Comment dit-on ?
Pan sur le bec !
Indulgence pour Maurice, l'erreur est humaine et cette affaire ne casse pas trois pattes à un Bolloré !
Donc le problème des citations tronquées ne concernait que le titre ?
Franchement bravo pour votre introspection. ca prouve que vous êtes cohérent avec le niveau d'exigence que vous attendez le reste de temps de vos pairs :) Inspirant !!
Merci de ce soin à exposer clairement les choses sans les éluder.
La comparaison est édifiante avec les séquences de la soi-disant "médiatrice" de Radio-France, qui se résument immanquablement à affirmer "nous avons eu raison de faire ce choix et nous l'assumons", quel que soit le grief soulevé par les auditeurs.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
La police des polices des polices, mais une qui marche ! Bel exercice de mise en abyme, j'en ai presque le vertige ! Ne laissez pas Maurice trop longtemps au trou, on lui en veut pas, je suis sûr qu'un simple gage suffira.
Merci de cet exercice de transparence. Ce n’est pas un problème de faire de temps à autre une petite erreur. Il est en revanche primordial d’être capable de l’admettre.
Bravo, et continuez.