Mélenchon en 2002 : "on vient de se prendre une planche sur la tête, et vous voudriez..."
Trois semaines après le "coup de tonnerre" du 21 avril 2002, nous recevions Jean-Luc Mélenchon, à l'époque ancien ministre de la Formation professionnelle du gouvernement Jospin. Le sujet : pourquoi les ouvriers sont-ils invisibles à la télé ? Avant notre débat proprement dit, Mélenchon, à l'époque dirigeant de l'aile gauche du PS, revient sur le "coup de tonnerre" et sollicite un peu d'indulgence pour ses camarades socialistes, "des gens épuisés, qui viennent de se prendre une planche sur la tête, et qui instantanément, devraient dire des choses intelligentes..."
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Derniers commentaires
facebook n'existait pas.
Ni smartphones, ni tablettes.
Même Macron n'avait pas encore mué.
Excellente idée de mettre en ligne occasionnellement et lorsque les circonstances l'exigent une ancienne émission F5.
j'ai mis un bulletin dans l'urne, dimanche dernier.
et je remettrai le même dimanche prochain!
quand on n'a le choix qu'entre la peste et le choléra, la grippe aviaire du vote nul me semble une alternative piteuse, mais unique.
Plutôt que de diffuser une ancienne émotion en forme de message subliminal, déconstruisez et décryptez ce qui fait aujourd'hui le score du FN et ce qui participe à sa "dadiabolisation"!!!!
2017 n'est pas 2002 et sous plein de rapports. Notamment l'entrée du FN dans la cour des grands et sa place bien assumée dans les médias mainstream.
Vous annoncez que la video dure 1h13 mais en fait elle dure 52min et en plus on voit dans le bandeau defilant de fin de l'emission que la version non-monté durait 61min....
Où est la verite???
Bonne journee :)
Il n'y a pas 44% de voix pour les petits candidats comme en 2002.
L'évolution de Mélenchon est connue. Il n'est pas l'enjeu immédiat, pourquoi tous les médias focalisent-ils sur lui?
Pour laisser tranquille les deux machins?
Parce que critiquer l'un c'est rouler pour l'autre?
Je n'ai pas envie de m'embrouiller la tête avec les déclarations d'il y a 15 ans. Une émission d'il y a 15 ans.
Par contre, voir tomber les masques de tous les politiciens, médiaticiens est pas mal.
Faut faire des dossiers, mais sur les vrais influents.
Et sur ceux qui changent de camps, pas en vrai mais dans la perception qu'on avait d'eux.
Pas sur les gens prévisibles comme Brunet.
Tout devient moins flou.
Vous nous expliquerez l'intérêt d'avoir exhumé cette vidéo, merci.
L'intérêt?
J'ai comme une idée que @si monte au créneau du "JLM-Bashing"...
M'étonne pas.
En tout cas, on peut constater que, quand "ce siècle avait 2 ans", dejà sous Schneidermann perçait "bon Doberman"...Pardon pour ce jeu de mots laid, mais en matière de chien de garde, je trouve que ce dernier mois, on a eu la "Méga-dose", non?
Pour ma part, ça justifierait (presque) un désabonnement (et pourtant, je commence à être un "vieux client"...)
C'est intéressant, hein, mais on réalise que ça fait bien bien longtemps qu'on tourne en rond !
1)Comparaison entre les contextes socio-économiques de 2002 et 2017, avec les chiffres du chômage son évolution vers plus de précarité compte-tenu des traités européens et aussi avec les chiffres du vote ouvrier/employé pour le PS (et pour la FI cette année), pour les partis d'extrême-gauche et bien sûr pour le FN.
2) Comparaison entre les traitements médiatiques mainstream de 2002 et 2017 sur la question de la visibilité/disparition du "monde ouvrier"...
3) Et pourquoi pas, en clin d'oeil, comparaison des propos médiatiques de JL Mélenchon sur la question entre 2002 où déjà il parlait clairement de l'asymétrique "rapport de subordination" sans développer l'aspect pervers et funeste des conséquences dudit rapport, et ses discours de 2017 sur le sujet, discours sous-médiatisés dans les médias mainstream mais largement diffusés sur internet et donc facilement accessibles ... mais pour quelles catégories socio-professionnelles ?
Mes suggestions sont-elles irréalistes ?
et que je m'abonne.
Par ailleurs, quand on est vraiment citoyen, de gauche, mais pas que, on fait barrage au fascisme sans tergiverser; et on remet les bavardages au lendemain, quand le danger est écarté. Point barre!