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Mélenchon et la mer : rattrapage pour Thomas Legrand
Ô surprise : il paraitrait que dans son meeting parisien d'hier, Mélenchon aurait parlé de la mer.
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Pour savoir de quoi on parle: la video de la marche des insoumis du 5 juin 2016, avec la
prise de parole de JLM à 1h24' environ.
prise de parole de JLM à 1h24' environ.
Voici notre bulletin des prévisions maritimes :
Situation générale le lundi 6 juin 2016 à 00H UTC et évolution :
Hollande
Vent : mollissant -1 à -2
État de la mer : Mer peu agitée à pas agitée du tout
Mélenchon
Vent : Anticyclone se renforçant devenant dépressionnaire ensuite
État de la mer : Mer agitée, localement forte
Pour le reste, comme dit Alain Korkos que d'eau que d'eau.
Et surtout combien il est désespérant de voir l'agonie de la Vème tandis que Le Monde sans complexe titre que la CGT ne se veut que syndicat d'opposition, publie un article-idée qui ose qualifier Macron de président de la République et parle de l'incident de la veste ("la meilleure façon de se payer un costard, c’est de travailler") sans dire un mot de la réponse cinglante du jeune ("je travaille depuis l'âge de 18 ans"). L'Obs non plus n'en dit rien, et les micros se tendent vers le ministre, et les réponses du jeune sont à peine audibles, merci les journalistes.
Macron la bouée de secours de la sociale démocratie en agonie qui n'a plus rien de sociale et tout d'agonie. Et la droite ne dit rien se frottant les mains.
Et combien il est honteux de voir le chantage de Valls demandant aux grévistes d'arrêter la grève par solidarité avec les inondés. Et personne pour rétorquer à Valls de ranger aux oubliettes sa Loi passée à coup de 49-3 par solidarité avec les victimes des inondations !
Situation générale le lundi 6 juin 2016 à 00H UTC et évolution :
Hollande
Vent : mollissant -1 à -2
État de la mer : Mer peu agitée à pas agitée du tout
Mélenchon
Vent : Anticyclone se renforçant devenant dépressionnaire ensuite
État de la mer : Mer agitée, localement forte
Pour le reste, comme dit Alain Korkos que d'eau que d'eau.
Et surtout combien il est désespérant de voir l'agonie de la Vème tandis que Le Monde sans complexe titre que la CGT ne se veut que syndicat d'opposition, publie un article-idée qui ose qualifier Macron de président de la République et parle de l'incident de la veste ("la meilleure façon de se payer un costard, c’est de travailler") sans dire un mot de la réponse cinglante du jeune ("je travaille depuis l'âge de 18 ans"). L'Obs non plus n'en dit rien, et les micros se tendent vers le ministre, et les réponses du jeune sont à peine audibles, merci les journalistes.
Macron la bouée de secours de la sociale démocratie en agonie qui n'a plus rien de sociale et tout d'agonie. Et la droite ne dit rien se frottant les mains.
Et combien il est honteux de voir le chantage de Valls demandant aux grévistes d'arrêter la grève par solidarité avec les inondés. Et personne pour rétorquer à Valls de ranger aux oubliettes sa Loi passée à coup de 49-3 par solidarité avec les victimes des inondations !
Quel est l'imbécile qui a envoyé le petit marquis à Montreuil pour commémorer le Front populaire.? Bêtise ou provocation ?
J'ai souvenir, mais peut-être est-ce une impression fausse de jeunesse, que ce thème des opportunités maritimes a déjà intéressé dans les années 70-80, dans la lignée de Cousteau, l'homme de l'Atlantide ou même la Croisière s'amuse, tout un imaginaire de merveilles à côté de celui de l'espaaace.
Exploitation pétrolière, nodules métalliques au fond des océans, cités flottantes etc., un nouveau monde qui semblait s'ouvrir mais qui se heurtait à un problème physique : c'est un milieu hostile pour nous (on n'a pas de branchies...) et tout y est technologiquement plus compliqué.
Au final, on a surtout eu de la sur-pêche et du pétrole off-shore avec ses catastrophes, et pas sûr que penser à en faire un nouveau territoire d'expansion pour une économie de masse, c'est-à-dire industrielle, soit très compatible avec l'écologie.
Déjà, si on évitait de polluer les îles et les eaux alentour (Chlordécone aux Antilles, le scandale oublié), ça serait pas mal.
Au passage, Australie : la Grande Barrière de corail pourrait disparaître, avec effets du réchauffement climatique mais aussi de l'agriculture.
Exploitation pétrolière, nodules métalliques au fond des océans, cités flottantes etc., un nouveau monde qui semblait s'ouvrir mais qui se heurtait à un problème physique : c'est un milieu hostile pour nous (on n'a pas de branchies...) et tout y est technologiquement plus compliqué.
Au final, on a surtout eu de la sur-pêche et du pétrole off-shore avec ses catastrophes, et pas sûr que penser à en faire un nouveau territoire d'expansion pour une économie de masse, c'est-à-dire industrielle, soit très compatible avec l'écologie.
Déjà, si on évitait de polluer les îles et les eaux alentour (Chlordécone aux Antilles, le scandale oublié), ça serait pas mal.
Au passage, Australie : la Grande Barrière de corail pourrait disparaître, avec effets du réchauffement climatique mais aussi de l'agriculture.
Mélenchon a déjà eu le vent en poupe, a déjà grimpé dans les sondages, oui mais il va forcément redégringoler car les éditocrates vont s'acharner sur lui, comme dit je sais plus qui , l'histoire va bégayer.
Allez, un peu de nuance quand même, Thomas Legrand ne découvre pas ça aujourd'hui. Il l'a fait tardivement, certes, mais depuis plusieurs mois quand même. Et avant qu J.-L. Mélenchon ne remonte dans les sondages.
Avril 2016
http://www.franceinter.fr/emission-ledito-politique-sondages-linstant-m-melenchon
« il promeut une nouvelle planification qui porterait, par exemple, sur le développement de l’économie de la mer, l’une de ses obsessions du moment. »
(« obsession du moment », ca c'est vraiment pas conforme à la réalité)
Septembre 2015
http://www.franceinter.fr/emission-ledito-politique-vers-l-ecolo-socialisme
« JL Mélenchon parle d’éco-socialisme. Il fait, avec raison, une fixette sur l’économie de la mer »
Je n'ai pas trouvé plus vieux, mais ce serait à vérifier.
Et dans sa chronique de ce matin, il explique d'ailleurs dans la chronique que Mélenchon a là-dessus une « vraie conviction plusieurs années ». Ce qui rend d'autant plus dommage, et là dessus on est bien d'accord, que Thomas Legrand ne s'y penche pas plus que ça, sur le fond, depuis tout ce temps.
Avril 2016
http://www.franceinter.fr/emission-ledito-politique-sondages-linstant-m-melenchon
« il promeut une nouvelle planification qui porterait, par exemple, sur le développement de l’économie de la mer, l’une de ses obsessions du moment. »
(« obsession du moment », ca c'est vraiment pas conforme à la réalité)
Septembre 2015
http://www.franceinter.fr/emission-ledito-politique-vers-l-ecolo-socialisme
« JL Mélenchon parle d’éco-socialisme. Il fait, avec raison, une fixette sur l’économie de la mer »
Je n'ai pas trouvé plus vieux, mais ce serait à vérifier.
Et dans sa chronique de ce matin, il explique d'ailleurs dans la chronique que Mélenchon a là-dessus une « vraie conviction plusieurs années ». Ce qui rend d'autant plus dommage, et là dessus on est bien d'accord, que Thomas Legrand ne s'y penche pas plus que ça, sur le fond, depuis tout ce temps.
On a voulu cacher la mer pour nous montrer l'amer : raté !
" au détour d'une phrase"
La phrase en question:
"l'insistance , et c'est une vraie conviction depuis plusieurs années, l'insistance avec laquelle il appelle au développement d'une politique énergétique venue de la mer..."
La phrase en question:
"l'insistance , et c'est une vraie conviction depuis plusieurs années, l'insistance avec laquelle il appelle au développement d'une politique énergétique venue de la mer..."
Et voilà comment, après avoir bien pourri tous les écosystèmes terrestres sans exception, et après avoir bien dégradé l'écosystème marin, on se prend à rêver d'achever celui-ci, dans un dernier élan productiviste que nous vante Mélenchon. Nous n'apprenons donc rien de l'Histoire.
Troll.
Absolument pas, je pense sincèrement que ce discours de Mélenchon est dangereux, et reflète bel et bien la continuation d'une idéologie productiviste. La nature doit être domestiquée, doit être exploitée, progressons, progressons. Avant de traiter les autres de trolls, renseignez-vous au lieu de boire les paroles de ce magnifique personnage Mélenchon. Par exemple, commencez à faire des gammes chez Fabrice Nicolino, tiens.
Bah va lire ses développements sur le sujet et revient en discuter après. Parce que ce n'est pas du tout ce que j'entends dans son discours... bien au contraire, d'autant plus quand il répète à qui veut bien l'entendre qu'il faut apprendre à consommer autrement.
Si Méluche est attaquable, je ne trouve pas que ce soit de ce côté là. Mais bien plutôt dans son rapport ambigu aux grandes entreprises. C'est toujours pas clair pour moi, il valorise les SCOP, certes, mais pas tant que ça finalement et reste encore un adepte des "grands fleurons" industriels. Or pour beaucoup d'entre nous, seule la décentralisation peut limiter l'accaparement des ressources et richesses par une poignée d'acteurs (qu'ils soient privés ou publics, le capitalisme d'état, c'est pas mieux). Sans aller jusqu'à l'éradication pure et simple de la propriété des moyens privés de production, je trouve qu'il devrait radicaliser son approche de ce point de vue et moderniser son côté marxiste. ça va dans le même sens que sa stratégie de renforcement de l'Etat, qui reste, quoi qu'on en dise, l'extrême opposé à la démocratie directe.
Et typiquement, le renforcement de cadors industriels est un jeu très dangereux (même si on nationalise !), car c'est prendre le risque de poursuivre l'anéantissement de ce qui fait la force de l'économie française : son hétérogénéité et son atomisation. Certes c'est souvent bordélique et difficile à tenir, mais il n'empêche que ça a de très nombreux avantages dès lors que l'on favorise l'émergence d'objectifs communs (pas si compliqué avec les bons outils juridiques). Je pourrai développer longtemps... sur pas mal d'exemples (artisanat, agriculture, industrie du bois...) et de contre exemples (grande distribution, automobile, aéronautique ==> la cata depuis que les marchés sont tenus par une poignée d'acteurs régissent en dictateur l'ensemble de leurs chaînes de production).
Si Méluche est attaquable, je ne trouve pas que ce soit de ce côté là. Mais bien plutôt dans son rapport ambigu aux grandes entreprises. C'est toujours pas clair pour moi, il valorise les SCOP, certes, mais pas tant que ça finalement et reste encore un adepte des "grands fleurons" industriels. Or pour beaucoup d'entre nous, seule la décentralisation peut limiter l'accaparement des ressources et richesses par une poignée d'acteurs (qu'ils soient privés ou publics, le capitalisme d'état, c'est pas mieux). Sans aller jusqu'à l'éradication pure et simple de la propriété des moyens privés de production, je trouve qu'il devrait radicaliser son approche de ce point de vue et moderniser son côté marxiste. ça va dans le même sens que sa stratégie de renforcement de l'Etat, qui reste, quoi qu'on en dise, l'extrême opposé à la démocratie directe.
Et typiquement, le renforcement de cadors industriels est un jeu très dangereux (même si on nationalise !), car c'est prendre le risque de poursuivre l'anéantissement de ce qui fait la force de l'économie française : son hétérogénéité et son atomisation. Certes c'est souvent bordélique et difficile à tenir, mais il n'empêche que ça a de très nombreux avantages dès lors que l'on favorise l'émergence d'objectifs communs (pas si compliqué avec les bons outils juridiques). Je pourrai développer longtemps... sur pas mal d'exemples (artisanat, agriculture, industrie du bois...) et de contre exemples (grande distribution, automobile, aéronautique ==> la cata depuis que les marchés sont tenus par une poignée d'acteurs régissent en dictateur l'ensemble de leurs chaînes de production).
Je suis en grande partie d'accord avec toi Adarr sur tes deux paragraphes suivants. En revanche, nous n'avons effectivement pas la même lecture des papiers de Nicolino. Il ne cesse en effet de répéter qu'il faut consommer autrement, mais ce n'est clairement pas ce que propose Mélenchon. Cette relance industrielle est basée sur un modèle productiviste, qui change certes d'acteur principal (la mer), mais productiviste quand même, avec tout ce que cela a entraîné de néfaste au cours des siècles derniers. Mélenchon s'inscrit par conséquent toujours dans cette logique de marché, de croissance économique (la fameuse "relance"), qui me semble être à l'opposé d'une stratégie écologique viable.
EDIT : ce que pense Nicolino de Mélenchon:
http://fabrice-nicolino.com/?p=1763
ou encore, sur la mer:
http://fabrice-nicolino.com/?p=1724
EDIT : ce que pense Nicolino de Mélenchon:
http://fabrice-nicolino.com/?p=1763
ou encore, sur la mer:
http://fabrice-nicolino.com/?p=1724
Après, je me dois de reconnaître qu'au moins il a le mérite de chercher des alternatives au système actuel, sauf qu'a mon sens, le serpent se mord la queue.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
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On a donc la même lecture. Mélenchon président de la 5eme sera peut être moins catastrophique que les autres, mais ça ne sera pas la panacée, c'est clair... on est donc d'accord sur l'urgence de passer à la 6eme!
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"il explique que la mer est "la nouvelle frontière de l'humanité", le far west, un territoire à conquérir, à civiliser, à disputer au capitalisme sauvage"
Je ne conteste pas ceci. Je dis juste qu'exploiter un océan comme conséquence d'un "capitalisme sauvage", ou comme ambition de relancer une économie consumériste, ca reste exploiter les océans, donc les appauvrir, alors qu'ils n'ont absolument pas besoin de ca. Je ne nie pas l'intérêt pour la recherche, les technologies, soyons bien clairs. Mais ce projet hyper ambitieux à toutes les échelles me donnent des frissons dans le dos quand on voit ce dont on a été capable d'infliger qux écosystèmes terrestres.
Les forêts francaise sont exploitées et sont excellentes santé. C'est sûre ça a moins de charme qu'une belle forêt primaire mais tant que l'homme a des besoins et des envies il faut essayer de lui apporter en protégeant le plus possible a nature.
Soit on vit avec moins, soit on est moins nombreux. Il n'existe pas d'autres alternatives pour que l'homme trouve un équilibre.
Soit on vit avec moins, soit on est moins nombreux. Il n'existe pas d'autres alternatives pour que l'homme trouve un équilibre.
les forêts françaises sont sous-exploitées : mais heureusement ça va changer, avec le projet de Gardanne !
un super projet super écolo
pas sûr que les forêts du sud est en sortiront vivantes, mais bah, c'est rien que des zones inutiles, du bois pas exploitable, des vieux châtaigniers, des chênes rabougris, du qui s'enflamme pour un oui pour un non et ousqu'il y va juste des péquenauds cueilleurs de champignons et des chevriers ultragauchistes, bref, du rien qui vaille. vive le plan biomasse qui va nous transformer tout ça en belle énergie renouvelable, sonnante et trébuchante.
vive l'emploi, vive la production, vive la green-industrie.
en mer aussi, je suis sûre qu'on peut faire des merveilles.
un super projet super écolo
pas sûr que les forêts du sud est en sortiront vivantes, mais bah, c'est rien que des zones inutiles, du bois pas exploitable, des vieux châtaigniers, des chênes rabougris, du qui s'enflamme pour un oui pour un non et ousqu'il y va juste des péquenauds cueilleurs de champignons et des chevriers ultragauchistes, bref, du rien qui vaille. vive le plan biomasse qui va nous transformer tout ça en belle énergie renouvelable, sonnante et trébuchante.
vive l'emploi, vive la production, vive la green-industrie.
en mer aussi, je suis sûre qu'on peut faire des merveilles.
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un p'tit dernier sur la forêt française exploitéemaisenexcellentesanté
Je n'ai malheureusement pas le temps de lire les liens qui ont été postés à la suite de la réponse de M_, mais une chause est sûre, c'Est que la forêt exploitée de maniÈre industrielle est très TRÈS loin d'être en bonne santé. Ne serait-ce que d'un po9int de vue biodiversité, c'est une catastrophe. Prenez pour exemple la forêt suédoise, c'est d'une tristesse sans nom : des rangées d'arbres clones, sans rien en dessous. Si ca vous faire rêver, pas moi.
Bonjour,
Les idées que portent Mélenchon sont loin d'être productiviste. Il le dit clairement et a même expliqué une fois l'évolution de sa reflexion sur ce thème. Car oui, la gauche traditionnelle a un coté productiviste.
Mais Mélenchon, et le parti de gauche notamment, se détachent de cette tradition. Car nous soutenons une réelle réflexion sur notre rapport aux écosystèmes. Et oui, il faut réfléchir, et se battre pour faire avancer certaine idées, afin de mieux(et moins) produire, de mieux( et moins) consommer.
Ainsi, lorsqu'il parle de l'économie de la mer, il évoque par exemple les idées autour des énergies renouvelables qui pourraient être produite par les divers courant marins intarissable. Et exploiter ces énergies impliqueraient un travail important, un impact positif sur l'économie, et un impact faible sur l'environnement.
Bref, sans vouloir vous matraquer avec les diverses idées que portent la campagne de Mélenchon, je vous laisse en espérant vous avoir montré un tant soi peu que Mélenchon n'a pas une démarche productiviste.
Les idées que portent Mélenchon sont loin d'être productiviste. Il le dit clairement et a même expliqué une fois l'évolution de sa reflexion sur ce thème. Car oui, la gauche traditionnelle a un coté productiviste.
Mais Mélenchon, et le parti de gauche notamment, se détachent de cette tradition. Car nous soutenons une réelle réflexion sur notre rapport aux écosystèmes. Et oui, il faut réfléchir, et se battre pour faire avancer certaine idées, afin de mieux(et moins) produire, de mieux( et moins) consommer.
Ainsi, lorsqu'il parle de l'économie de la mer, il évoque par exemple les idées autour des énergies renouvelables qui pourraient être produite par les divers courant marins intarissable. Et exploiter ces énergies impliqueraient un travail important, un impact positif sur l'économie, et un impact faible sur l'environnement.
Bref, sans vouloir vous matraquer avec les diverses idées que portent la campagne de Mélenchon, je vous laisse en espérant vous avoir montré un tant soi peu que Mélenchon n'a pas une démarche productiviste.
Pour Ugo dès qu'il y a production c'est productiviste, dès qu'il y a production il y a épuisement des ressources ou saccage de la biodiversité, il ne comprend pas ce qu'est le productivisme en fait.
Et en faisant cela il adopte surtout une posture, car le capitalisme n'a pas attendu pour exploiter la mer, elle est déjà exploitée actuellement, et vu les projets horribles actuels, ce sera sans doute de pire en pire.
Si nous nous refusons à l'idée de produire autrement et que nous nous contentons de postures du genre il ne faut pas produire dutout (en ne prenant pas en compte les besoins humains et ce qui se fait déjà actuellement, c'est à dire sans proposer d'alternative s'il fallait renoncer à ces productions), forcément nous ne contribuerons qu'à laisser les productions sauvages se développer.
Encore une posture morale qui veut se donner l'image du "bien" et qui en réalité ne contribue qu'à aider à faire le "mal".
Et en faisant cela il adopte surtout une posture, car le capitalisme n'a pas attendu pour exploiter la mer, elle est déjà exploitée actuellement, et vu les projets horribles actuels, ce sera sans doute de pire en pire.
Si nous nous refusons à l'idée de produire autrement et que nous nous contentons de postures du genre il ne faut pas produire dutout (en ne prenant pas en compte les besoins humains et ce qui se fait déjà actuellement, c'est à dire sans proposer d'alternative s'il fallait renoncer à ces productions), forcément nous ne contribuerons qu'à laisser les productions sauvages se développer.
Encore une posture morale qui veut se donner l'image du "bien" et qui en réalité ne contribue qu'à aider à faire le "mal".
Désolé, Daniel, mais Thomas Legrand a clairement rappelé dans son édito que cela fait des années que la mer est au coeur de certaines réflexions de Mélenchon. Vous pouvez vérifier.
Cela dit, il est bon de remarquer que Mélenchon n'est pas seulement le plus beau parleur des politiques actuels mais qu'il fait aussi passer un souffle, une vision qui manquent cruellement au paysage. Comme il a aussi un sens tactique indéniable, voilà en effet qui semble lui donner un avenir. Au moins pour les douze mois à venir.
Cela dit, il est bon de remarquer que Mélenchon n'est pas seulement le plus beau parleur des politiques actuels mais qu'il fait aussi passer un souffle, une vision qui manquent cruellement au paysage. Comme il a aussi un sens tactique indéniable, voilà en effet qui semble lui donner un avenir. Au moins pour les douze mois à venir.
Repentance.
Bonjour
Puisque nous en sommes à faire sortir de l'ombre des évènements que les médiocrates occultent, je vous invite à aller voter pour la votation ouverte pour le retrait de la loi travail dans votre ville organisée par les "terroristes" de l'intersyndicale.
Les lieux de vote sont indiqués ici. Bon vote.
Puisque nous en sommes à faire sortir de l'ombre des évènements que les médiocrates occultent, je vous invite à aller voter pour la votation ouverte pour le retrait de la loi travail dans votre ville organisée par les "terroristes" de l'intersyndicale.
Les lieux de vote sont indiqués ici. Bon vote.
Et Raffarin qui dit que si on ne parle pas beaucoup d'écologie dans la campagne des primaires c'est parce qu'elle a été abandonnée à l’extrême gauche, dans laquelle il englobe les frondeurs du PS et les écologistes en plus de Mélenchon. Que l'un des plus grands reproches qu'il fait à Hollande c'est d'avoir fait monter cette extrême gauche, alors que Mitterrand au moins il l'avait fait baisser (il avait fait monter le FN mais ça doit être moins grave pour ce monsieur).
Durs de la feuille ? Ça se soigne.:-)
Bah, si les poissons pouvaient voter, ce serait encore les requins qui seraient élus.