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"Méthodes brutales et humiliantes" : la crise à "Causette", vue de l'intérieur
Une mauvaise nouvelle peut en cacher une autre. Placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Paris le 29 avril dernier, le mensuel Causette a été condamné le même jour par le conseil de prud'hommes à verser 10 000 euros à l'une de ses anciennes journalistes à titre de dommages et intérêts pour harcèlement moral. Grégory Lassus-Débat, directeur de la publication, a fait appel et conteste le portrait fait de lui dans ce jugement.
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Derniers commentaires
je leur ai donc écrit : " J’en ai plus que marre de ces comportements de branleurs", parce que je ne trouvais pas ça pro "
Parce que traiter ses collaborateurs de branleurs, ça, c'est pro !
Parce que traiter ses collaborateurs de branleurs, ça, c'est pro !
Et pourquoi ne démissionne-t-il pas "brique orange"? Pour sauver le titre? Car plus il se dédouane, plus il remet la justice en cause, plus il impute la faillite à la non parution de numéros suite à une crise dont finalement il est responsable, plus on a envie de tourner les talons.
Comme Bladule "On était sur un ton hyper amical, on se chambrait. Et du chambrage entre potes, quand vous le produisez devant un tribunal, c’est hyper-violent" : le mec qui pense que ses salariés sont "ses potes".....
Ca ne m'étonne pas un magazine féminin dirige par un mec … Et qui plus ai est inégalitaire ,je ne l'est jamais bcp lu mais il y a eu il y a qq mois un article sur un défilé ou les hommes étaient sans sous vêtement (donc pouvait apercevoir leur sexe) , le commentaire de la photo c'était du Cadeloro a l'envers , le jeune mannequin (a peine 23 ans) a eu des remarque sur la taille de son sexe, j'ai été atterré d'autant de vulgarité , ce magazine comme bcp de féministe confonde égalité et revanche
" Et du chambrage entre potes, quand vous le produisez devant un tribunal, c’est hyper-violent".
Ce n'est pas violent devant le tribunal, c'est violent dans le cadre d'une relation de travail.
Trop d'employeurs, dans les TPE/PME, oublient que la relation de travail est définie par un lien de subordination.
Le salarié victime de "chambrage" ne peut pas se défendre, quoi que pense l'employeur de sa capacité d'auto dérision.
Devant le tribunal, c'est la violence toute nue des propos qui apparaît, sans l'approbation tacite d'un aéropage de sous-chefs décidés à devenir plus chefs.
Si vous êtes employeur, restez courtois et professionnels avec vos salariés, même s'ils sont, par ailleurs, vos amis. Ça marche.
Ce n'est pas violent devant le tribunal, c'est violent dans le cadre d'une relation de travail.
Trop d'employeurs, dans les TPE/PME, oublient que la relation de travail est définie par un lien de subordination.
Le salarié victime de "chambrage" ne peut pas se défendre, quoi que pense l'employeur de sa capacité d'auto dérision.
Devant le tribunal, c'est la violence toute nue des propos qui apparaît, sans l'approbation tacite d'un aéropage de sous-chefs décidés à devenir plus chefs.
Si vous êtes employeur, restez courtois et professionnels avec vos salariés, même s'ils sont, par ailleurs, vos amis. Ça marche.
Article passionnant , débat d'une profondeur inouie , d'une actualité brulante , sur le travail harassant des journalistes , leur responsabilité immense , leur niveau intellectuel , leur devoir d'objectivité , leur compétence , etc......on se sent tout petit a la sortie de ce brulot qui nous ouvre encore un peu plus les yeux sur l'enfer de la presse parisienne , une reussite !
( j'ai juste...? )
( j'ai juste...? )
un homme qui dirige avec une armée de journalistes femmes, c'est ambiance poulailler pour un journal feministe ....
Bah money is money.
Bah money is money.