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Mini-panique médiatique en Allemagne, à propos du consentement sexuel en Suède
Les Suédois devront-ils demander l'autorisation écrite à leur partenaire sexuel avant de faire l'amour ? A en croire certains médias allemands, c'était ce qui menaçait le pays scandinave, qui vient de décider d'une nouvelle loi sur le consentement sexuel. Sauf que les médias allemands se sont surtout emballés sur la question... avant d'être rappelés à l'ordre par le "Gorafi" allemand.
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Et tout ça sans citer une seule fois le Postillon français, le Gorafi!
Chapeau la critique des médias!
Chapeau la critique des médias!
"autorisation écrite"
Avec l'écriture inclusive, bien sûr !
oui·non ou non·oui.
Merci Robert·*.
Noter que mon nouveau pseudo est Robert·.
Avec l'écriture inclusive, bien sûr !
oui·non ou non·oui.
Merci Robert·*.
Noter que mon nouveau pseudo est Robert·.
"si une personne n'a pas fait savoir par ses mots ou des actions claires qu'elle est consentante à s'engager dans une activité sexuelle, la forcer ou la menacer pour avoir cette activité sexuelle est illégal".
Ca, je comprends (à peu près).
Mais : "Avec la nouvelle loi sur le consentement sexuel […], les auteurs [d'agression] pourront être poursuivis même s'il n'y a pas eu violence ou menace de violence" semble dire exactement le contraire.
Et Autrement dit, il s'agirait simplement d'élargir le champ des plaintes pour des agressions ou viols à des cas ne pouvant auparavant être décrits comme tels, car le "non" n'avait pas été dit clairement. rajoute un élément d'incompréhension : il n'a pas été question avant de ce NON.
A cette occasion, une pensée pour Julian Assange, condamné à la privation de liberté depuis 7 ans au prétexte d'un texte suédois réprimant le viol. Une occasion aussi de rappeler que les textes répressifs rédigés et votés avec les meilleures intentions du monde peuvent être utilisés contre les libertés fondamentales (et pas qu'en Suède)..
Ca, je comprends (à peu près).
Mais : "Avec la nouvelle loi sur le consentement sexuel […], les auteurs [d'agression] pourront être poursuivis même s'il n'y a pas eu violence ou menace de violence" semble dire exactement le contraire.
Et Autrement dit, il s'agirait simplement d'élargir le champ des plaintes pour des agressions ou viols à des cas ne pouvant auparavant être décrits comme tels, car le "non" n'avait pas été dit clairement. rajoute un élément d'incompréhension : il n'a pas été question avant de ce NON.
A cette occasion, une pensée pour Julian Assange, condamné à la privation de liberté depuis 7 ans au prétexte d'un texte suédois réprimant le viol. Une occasion aussi de rappeler que les textes répressifs rédigés et votés avec les meilleures intentions du monde peuvent être utilisés contre les libertés fondamentales (et pas qu'en Suède)..