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"Non, notre enquête ne réjouit ni Carrefour ni Auchan!"
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Derniers commentaires
La question du point de vue abordée par D. Schneidermann quand il demande si l'invité fait ses courses lui-même, n'a d'intérêt que si elle permet de montrer que des pratiques orientent des points de vue et ont donc un impact quand il s'agit de journalistes qui vont rédiger des articles à partir de leurs idées.
Si Christine Lagarde ne fait pas ses courses elle-même, si elle n'a pas de problème pour payer sa facture de gaz, comme ses revenus lui font assez peu ressentir les écarts de tarifs,
elle ne verra pas d'inconvénient à valider l'augmentation de 1,5% du prix du gaz au 1er juillet 2008.
C'est ce que la population reproche à ce gouvernement :
il trouve des solutions aux problèmes des grosses entreprises, aux personnes qui ont de l'argent à placer,
à celles qui veulent payer le moins d'impôt possible et transmettre leur fortune à leus héritiers avec le moins de droits de transmission ^pssibles, parce que ce sont des problèmes que les ministres connaissent dans leur quotidien : c'est leur point de vue sur le monde.
Et que les journalistes qui communiquent sur cette politique aient le même train de vie, qu'ils ne se soient pas posés la question de la solidarité,
va avoir un impact sur leurs articles et leur validation plus ou moins consciente de la politique gouvernementale.
Je n'ai pas de soucis financiers, mais j'ai des amis qui en ont, et mon point de vue sur le coût de la vie tient compte de leur point de vue, j'en ai conscience, cela oriente mes votes et ma lecture de la politique.
Je pense que la question de Daniel Schneidermann peut être résumée par le "d'où parlez-vous" des années 70 : oui d'où parlez-vous pour que vous trouviez normal une augmentation des prix, ne la sentez-vous pas dans votre budget ?
Et sans entrer dans le doute, le soupçon, la question est d'amener certains à prendre en compte les réels problèmes de ceux qui ne peuvent faire face à ces augmentations.
http://anthropia.blogg.org
Si Christine Lagarde ne fait pas ses courses elle-même, si elle n'a pas de problème pour payer sa facture de gaz, comme ses revenus lui font assez peu ressentir les écarts de tarifs,
elle ne verra pas d'inconvénient à valider l'augmentation de 1,5% du prix du gaz au 1er juillet 2008.
C'est ce que la population reproche à ce gouvernement :
il trouve des solutions aux problèmes des grosses entreprises, aux personnes qui ont de l'argent à placer,
à celles qui veulent payer le moins d'impôt possible et transmettre leur fortune à leus héritiers avec le moins de droits de transmission ^pssibles, parce que ce sont des problèmes que les ministres connaissent dans leur quotidien : c'est leur point de vue sur le monde.
Et que les journalistes qui communiquent sur cette politique aient le même train de vie, qu'ils ne se soient pas posés la question de la solidarité,
va avoir un impact sur leurs articles et leur validation plus ou moins consciente de la politique gouvernementale.
Je n'ai pas de soucis financiers, mais j'ai des amis qui en ont, et mon point de vue sur le coût de la vie tient compte de leur point de vue, j'en ai conscience, cela oriente mes votes et ma lecture de la politique.
Je pense que la question de Daniel Schneidermann peut être résumée par le "d'où parlez-vous" des années 70 : oui d'où parlez-vous pour que vous trouviez normal une augmentation des prix, ne la sentez-vous pas dans votre budget ?
Et sans entrer dans le doute, le soupçon, la question est d'amener certains à prendre en compte les réels problèmes de ceux qui ne peuvent faire face à ces augmentations.
http://anthropia.blogg.org
Si DS et ses invités touchaient le smic et allaient faire leur course eux meme, ils n'auraient trouvé rien à redire à l'enquète de 60 millions.
De plus, une nouvelle série de hausses a eu lieu ce mois ci sans que cela ne choque nos chers journaleux( bois, métaux, pvc, produits laitiers, pétrole, etc...), avec des 15 ou 20% d'augmentation au minimum.
Faire croire que celles ci profitent aux producteurs francais alors que les 3/4 des produits proposés en GD sont produits hors du territoire et que la PAC a été reconduite avec les memes subventions aux agriculteurs francais, faire croire à des 4,5% sur un an( ! ) revient à se moquer de la france d'en bas, qui doit aimer ca, vu qu'elle ne reagit pas; et ca NS et son équipe l'on très bien compris.
Il a du lire de gaulle qui comparaient les francais à des moutons : bons à tondre !
De plus, une nouvelle série de hausses a eu lieu ce mois ci sans que cela ne choque nos chers journaleux( bois, métaux, pvc, produits laitiers, pétrole, etc...), avec des 15 ou 20% d'augmentation au minimum.
Faire croire que celles ci profitent aux producteurs francais alors que les 3/4 des produits proposés en GD sont produits hors du territoire et que la PAC a été reconduite avec les memes subventions aux agriculteurs francais, faire croire à des 4,5% sur un an( ! ) revient à se moquer de la france d'en bas, qui doit aimer ca, vu qu'elle ne reagit pas; et ca NS et son équipe l'on très bien compris.
Il a du lire de gaulle qui comparaient les francais à des moutons : bons à tondre !
Excellent plateau, merci!
Il était tard : 1325 grandes surfaces visitées n°455.
Dès que l'affaire a été lancé je me suis rappelée la particularité de 60 millions de consommateurs : son rattachement à l'Insee. Et je me suis dit que tout était gesticulation gouvernementale..surtout quand Mme Lagarde a fait elle-même des relevés de prix! ..Incroyable! Et j'ai recherché dans mes derniers Que choisir le dernier sujet sur les prix: pour info janvier 2008 : 1325 grandes surfaces visiteurs n°455 et aucun écho médiatique. Je crains que le journaliste de Libé ai raison!
Aller Sarko encore un effort et notre pouvoir d’achat sera plumé pour de bon.
excellent débat, j'ai appris plein de choses et j'ai eu confirmation de choses que j'avais moi-même constaté.
Contrairement à ce que disent quelques asinautes en début de forum (je n'ai pas lu toutes les interventions) DS fait son travail comme il faut, intervenant quand il faut, je ne trouve pas qu'il coupe outrageusement la parole à ses invités.
Bravo.
Contrairement à ce que disent quelques asinautes en début de forum (je n'ai pas lu toutes les interventions) DS fait son travail comme il faut, intervenant quand il faut, je ne trouve pas qu'il coupe outrageusement la parole à ses invités.
Bravo.
Le journaliste de Libération ne semble pas savoir lorsqu'il parle des risques de délocalisation pour faire baisser les coûts, que déjà aujourd'hui, un produit textile vendu dans un un grand magasin est vendu 8 à 10 fois sont prix de revient. Le problème est donc dans les marges que s'octroient les distributeurs pour leurs actionnaires, là est le vrai problème.
Débat intéressant,comme toujours . Mais D.S.devient trop envahissant :pourquoi couper si souvent la parole à des intervenants ?S'ils pouvaient aller au bout de leur raisonnement,ils éclaireraient notre lanterne de façon plus efficace et claire. Depuis que le temps ne vous est plus compté,Daniel,vous avez tendance à sortir de votre role d'animateur-aide à la parole pour devenir maitre d'école-moi-je-sais:vous étiez beaucoup plus discret à la TV.Fidèle à ASI ,bien sùr,malgré tout;
Fervent lecteur de 60 millions et de Que choisir depuis des années j'explique à qui veut l'entendre que tant qu'à consommer autant consommer correctement ou plutôt en connaissance de cause.
Bien évidemment ces deux mensuels sont au service du consommateur mais de mémoire je ne les ai jamais trouvés "poujadistes".
Quant à cette émission elle me laisse un goût bizarre. Finalement je n'ai rien appris (pourtant je ne sais pas grand chose). Vous me direz à chacun son rôle. Asi n'a aucunement vocation à expliquer les dessous de l'économie. Cependant j'aurais aimé que les 2 invités nous éclairent sur ce qui se joue (notamment le journaliste de Libération mais il n'en a pas eu l'occasion et il n'a pas réussi à faire passer son "message" bref son écrit était peut-être bon mais il se plante à l'oral).
Qu'a-t-on appris ? Les prix augmentent bien plus vite que les salaires : première nouvelle ! Tout le monde (enfin toutes les personnes qui font les courses et qui, gros pouvoir d'achat ou non, regardent les prix de ce qu'ils achètent) s'en est rendu compte.
En substance voici les limites : peut-on être clair précis et circonspect pour ce genre de sujet trop "chaud" ou plutôt trop réchauffé ?
Sur ce coup là Daniel Schneiderman s'est un peu planté (avec tout le respect que j'ai pour lui et toute la rédaction). Ça va (à mon humble avis) dans tous les sens et les invités n'ont pas pu (su ?) expliciter leur point de vue et DS a joué au "candide" pour un résultat que je trouve dérisoire.
Bien évidemment ces deux mensuels sont au service du consommateur mais de mémoire je ne les ai jamais trouvés "poujadistes".
Quant à cette émission elle me laisse un goût bizarre. Finalement je n'ai rien appris (pourtant je ne sais pas grand chose). Vous me direz à chacun son rôle. Asi n'a aucunement vocation à expliquer les dessous de l'économie. Cependant j'aurais aimé que les 2 invités nous éclairent sur ce qui se joue (notamment le journaliste de Libération mais il n'en a pas eu l'occasion et il n'a pas réussi à faire passer son "message" bref son écrit était peut-être bon mais il se plante à l'oral).
Qu'a-t-on appris ? Les prix augmentent bien plus vite que les salaires : première nouvelle ! Tout le monde (enfin toutes les personnes qui font les courses et qui, gros pouvoir d'achat ou non, regardent les prix de ce qu'ils achètent) s'en est rendu compte.
En substance voici les limites : peut-on être clair précis et circonspect pour ce genre de sujet trop "chaud" ou plutôt trop réchauffé ?
Sur ce coup là Daniel Schneiderman s'est un peu planté (avec tout le respect que j'ai pour lui et toute la rédaction). Ça va (à mon humble avis) dans tous les sens et les invités n'ont pas pu (su ?) expliciter leur point de vue et DS a joué au "candide" pour un résultat que je trouve dérisoire.
Daniel, je trouve que tu coupes un peu trop la parole au personnes, il me semble que tu le faisais moins souvent à la télé. Est-ce du au fait que tu es souvent le seul face à des invités qui ne sont pas de la maison. David ou Judith me manquent.
Par ailleurs, je trouve que l'augmentation des prix alimentaires (les fruits, les légumes, les produits laitiers, les pâtes…) est une telle évidence quand on regarde son propre charriot (À la maison nous sommes 5 dont 3 enfants, nous achetons régulièrement les mêmes denrées de base) qu'un débat pour savoir si l'enquête de 60 millions de consommateurs a été bien menée ou pas, me paraît pas forcément d'un intérêt primordial. La forme n'est rien à côté du fond. Le côté chipoteur m'a un peu ennuyé pour tout de dire.
Par ailleurs, je trouve que l'augmentation des prix alimentaires (les fruits, les légumes, les produits laitiers, les pâtes…) est une telle évidence quand on regarde son propre charriot (À la maison nous sommes 5 dont 3 enfants, nous achetons régulièrement les mêmes denrées de base) qu'un débat pour savoir si l'enquête de 60 millions de consommateurs a été bien menée ou pas, me paraît pas forcément d'un intérêt primordial. La forme n'est rien à côté du fond. Le côté chipoteur m'a un peu ennuyé pour tout de dire.
Plateau fort intéressant qui permet de mettre le doigt sur plusieurs points essentiels :
1/ l'écart entre le perçu/ressenti par un individu et l'analyse objective globale. Ce n'est pas un hasard si en statistique, on associe l'écart type à la moyenne. Dans le cas particulier la moyenne d'évolution des prix se confirme autour de 4,5% (Insee et paniers des télés) mais il y a des extrêmes (cités dans les reportages) comme les fruits et légumes qui tournent autour de 30%,
2/ sur le plan des media (et de la politique) : ce qui paye, c'est de mettre en exergue le cas particulier conjoncturel choquant pour le bon sens commun plutot que le structurel (le jambon Fleury Michon versus l'évolution moyenne, le criminel récidiviste d'un fait divers versus le % de récidivistes et son évolution dans le temps, ...).
3/ En sur-réagissant sur le cas particulier, le politique se trompe de cible et échoue dans sa mission qui consiste à se fixer un cap, à l'expliquer et à le maintenir. Tout le contraire de ce que l'on constate depuis 10 mois. Dans le cas présent, mention spéciale à Ch. Lagarde et à N. Sarkozy (sans compter F. Fillon toujours prudemment plus "off").
4/ la décision économique en système ouvert est difficile et il n'y a jamais de choix 100% gagnant. Il faut se méfier du "bon sens" qui mène facilement ou poujadisme. La bonne décision est celle qui permet de gagner plus qu'elle ne fait perdre. Le problème est que ce ne sont pas les mêmes qui gagnent et qui perdent et c'est à l'Etat d'accompagner l'évolution (différence essentielle entre libéralisme pur et dur et social-démocratie). Comme l'a très bien exprimé M. Biseau, à trop vouloir des prix bas, on n'achète que du chinois et on délocalise.
Pour répondre à certaines critiques exprimées ci-dessus, je trouve pour ma part que les deux protagonistes ont bien expliqué leur démarche et apporté un éclairage utile et important sur la manière dont ils ont traité l'évènement. Merci à @SI de nous permettre de prendre le temps d'aller ainsi au fond des choses quand on le veut (ou peut) et au rythme où on le souhaite. Concernant les critiques sur la manière dont D.S mène les débats, je n'ai personnellement aucun reproche à lui faire lorsqu'il se trouve en position d'animateur de plateau à @SI mais j'ai noté qu'il lui était difficile de respecter la parole des autres lorsqu'il était invité (voir le débat organisé par parlons.net avec D. de Montvalon (http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=481).
1/ l'écart entre le perçu/ressenti par un individu et l'analyse objective globale. Ce n'est pas un hasard si en statistique, on associe l'écart type à la moyenne. Dans le cas particulier la moyenne d'évolution des prix se confirme autour de 4,5% (Insee et paniers des télés) mais il y a des extrêmes (cités dans les reportages) comme les fruits et légumes qui tournent autour de 30%,
2/ sur le plan des media (et de la politique) : ce qui paye, c'est de mettre en exergue le cas particulier conjoncturel choquant pour le bon sens commun plutot que le structurel (le jambon Fleury Michon versus l'évolution moyenne, le criminel récidiviste d'un fait divers versus le % de récidivistes et son évolution dans le temps, ...).
3/ En sur-réagissant sur le cas particulier, le politique se trompe de cible et échoue dans sa mission qui consiste à se fixer un cap, à l'expliquer et à le maintenir. Tout le contraire de ce que l'on constate depuis 10 mois. Dans le cas présent, mention spéciale à Ch. Lagarde et à N. Sarkozy (sans compter F. Fillon toujours prudemment plus "off").
4/ la décision économique en système ouvert est difficile et il n'y a jamais de choix 100% gagnant. Il faut se méfier du "bon sens" qui mène facilement ou poujadisme. La bonne décision est celle qui permet de gagner plus qu'elle ne fait perdre. Le problème est que ce ne sont pas les mêmes qui gagnent et qui perdent et c'est à l'Etat d'accompagner l'évolution (différence essentielle entre libéralisme pur et dur et social-démocratie). Comme l'a très bien exprimé M. Biseau, à trop vouloir des prix bas, on n'achète que du chinois et on délocalise.
Pour répondre à certaines critiques exprimées ci-dessus, je trouve pour ma part que les deux protagonistes ont bien expliqué leur démarche et apporté un éclairage utile et important sur la manière dont ils ont traité l'évènement. Merci à @SI de nous permettre de prendre le temps d'aller ainsi au fond des choses quand on le veut (ou peut) et au rythme où on le souhaite. Concernant les critiques sur la manière dont D.S mène les débats, je n'ai personnellement aucun reproche à lui faire lorsqu'il se trouve en position d'animateur de plateau à @SI mais j'ai noté qu'il lui était difficile de respecter la parole des autres lorsqu'il était invité (voir le débat organisé par parlons.net avec D. de Montvalon (http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=481).
Selon moi, en ce moment sur la croissance et le pouvoir d'achat, il faut mettre le paquet -de l'information- sur la fraude fiscale des entreprises, près de 50 milliards, soit 2 à 3 points de croissance, sur laquelle le gouvernement ne met aucun moyen d'enquête, alors qu'elle est là, la vraie marge de manoeuvre.
Mais comment faire pour que les médias, qui sont des entreprises, dénoncent la fraude des entreprises ?
Voici un article vieux d'un an sur les fraudes :
http://www.lesechos.fr/patrimoine/impots/300144161.htm
Mais comment faire pour que les médias, qui sont des entreprises, dénoncent la fraude des entreprises ?
Voici un article vieux d'un an sur les fraudes :
http://www.lesechos.fr/patrimoine/impots/300144161.htm
qu'est-ce-qui est le plus important le fond ou la forme d'un débat? (le sage montre la lune et le sot regarde le doit..;!)
Christine Lagarde devient coutumière des sottises...!
Heureux les frontaliers habitant Forbach, Sarreguemines, Stasbourg et autres, qui n'ont que quelques centaines de mètres à faire pour se rendre en Allemagne...!
ils remplissent "le panier de ménagère" avec les mêmes produits qu'en France, mais à des prix 30% voir plus..(eh oui) inférieurs aux produits vendus en France
et ils ne s'en privent pas ! les parcs de stationnement sont plein de voitures immatriculées 57 et 67.
http://millesime.over-blog.com
Christine Lagarde devient coutumière des sottises...!
Heureux les frontaliers habitant Forbach, Sarreguemines, Stasbourg et autres, qui n'ont que quelques centaines de mètres à faire pour se rendre en Allemagne...!
ils remplissent "le panier de ménagère" avec les mêmes produits qu'en France, mais à des prix 30% voir plus..(eh oui) inférieurs aux produits vendus en France
et ils ne s'en privent pas ! les parcs de stationnement sont plein de voitures immatriculées 57 et 67.
http://millesime.over-blog.com
Je trouve l'attitude de M. Biseau quelque peu ambivalente. Ne pas dire que certains prix augmentent trop pour ne pas faire le jeu des distributeurs, si c'est ce qu'il appelle la contextualisation, c'est court.
Il me fait l'impression de quelqu'un qui veut jouer au Général qui gère une stratégie de l'information, alors qu'en petit soldat, rapportant des faits, il ne serait pas mal du tout.
Selon moi, en ce moment sur la croissance et le pouvoir d'achat, il faut mettre le paquet -de l'information- sur la fraude fiscale des entreprises, près de 50 milliards, soit 2 à 3 points de croissance, sur laquelle le gouvernement ne met aucun moyen d'enquête, alors qu'elle est là, la vraie marge de manoeuvre.
Quant au pouvoir du gouvernement, qu'attend-til pour mettre des indices maxi à la hausse de prix des produits du panier de la ménagère. Car on peut rappeler que même le coût des loyers en dépend, si on veut que les loyers ne flambent pas en mai prochain, on a intérêt à ce que le coût de la vie reste limité. On n'en prend pas le chemin. C'est tout de même inquiétant ce gouvernement qui prend une seule mesure de limitation des hausses, s'agissant des loyers, qui va finalement se retourner contre les gens, puisque la hausse sera encore plus importante que l'indice du coût du bâtiment.
http://anthropia.blogg.org
Il me fait l'impression de quelqu'un qui veut jouer au Général qui gère une stratégie de l'information, alors qu'en petit soldat, rapportant des faits, il ne serait pas mal du tout.
Selon moi, en ce moment sur la croissance et le pouvoir d'achat, il faut mettre le paquet -de l'information- sur la fraude fiscale des entreprises, près de 50 milliards, soit 2 à 3 points de croissance, sur laquelle le gouvernement ne met aucun moyen d'enquête, alors qu'elle est là, la vraie marge de manoeuvre.
Quant au pouvoir du gouvernement, qu'attend-til pour mettre des indices maxi à la hausse de prix des produits du panier de la ménagère. Car on peut rappeler que même le coût des loyers en dépend, si on veut que les loyers ne flambent pas en mai prochain, on a intérêt à ce que le coût de la vie reste limité. On n'en prend pas le chemin. C'est tout de même inquiétant ce gouvernement qui prend une seule mesure de limitation des hausses, s'agissant des loyers, qui va finalement se retourner contre les gens, puisque la hausse sera encore plus importante que l'indice du coût du bâtiment.
http://anthropia.blogg.org
bonjour à tous ! Je n'ai pas pu visionner l'acte 5 . Vous avez pu le voir vous ?
... voilà ce qui m'a interpelée le plus dans ce plateau.
Un rédacteur en chef qui s'énerve parce que sa rédaction ne fait pas comme tout le monde, ne participe pas immédiatement à l'emballement médiatique. Personnellement, je trouve la réaction de Grégoire Biseau parfaitement saine. Dans le deuxième article (celui du lundi), il est dans l'analyse du phénomène, ce faisant, il fait son travail de journaliste, qui n'est pas de succomber aux sirènes, mais de décortiquer ce qui se cache derrière. Monsieur Joffrin aurait du saluer le professionnalisme.
Quant au débat, je l'ai trouvé court. Intéressant. Mais court.
Un rédacteur en chef qui s'énerve parce que sa rédaction ne fait pas comme tout le monde, ne participe pas immédiatement à l'emballement médiatique. Personnellement, je trouve la réaction de Grégoire Biseau parfaitement saine. Dans le deuxième article (celui du lundi), il est dans l'analyse du phénomène, ce faisant, il fait son travail de journaliste, qui n'est pas de succomber aux sirènes, mais de décortiquer ce qui se cache derrière. Monsieur Joffrin aurait du saluer le professionnalisme.
Quant au débat, je l'ai trouvé court. Intéressant. Mais court.
La question que je me pose depuis des années est la suivante : Quel est le juste prix d'un produit ? c'est-à-dire quel est le juste prix de revient des produits de base ? la juste marge des transformateurs ? la juste valeur ajoutée de l'industrie agroalimentaire ? le juste coût produit de la mise en rayon et de l'emballage ? et le coût exact d'une juste information sur le produit alimentaire en comparaison du prix (de ce qui est pour moi une aberration) du packaging, du marketing et de la publicité ? tout ceci pour que de la chaine de la production à la distribution chacun puisse "honnêtement" ( je sais c'est un gros mot) gagner sa vie sur le produit de son travail et sans que Séguéla nous prenneà l'aune présidentielle pour des "pauvres cons" et se goinfre sur nos porte-monnaie cassés ?
je suis peut etre hors sujet ,ne m'en veuillez pas!
e.leclerc a établi un comparateur de prix qui part d'un bon sentiment mais pourquoi ne peux t on pas comparer les produits entre tous les magasins leclerc(ceux d'un meme secteur).je m'explique:j'ai comparé 2 produits (yaourts x12,1er prix et lait 1er prix ) qui sont vendus dans les centre e leclerc de viry chatillon et grigny(91 essonne) distants d'environ 2 kilomètres.
les yaourts sont vendus 1.16 à viry chatillon , 1.40 à grigny et le lait est à 0.53 à viry chatillon et 0.70 à grigny.d'ou vient cette différence de prix? merci pour cette "saine concurrence".
e.leclerc a établi un comparateur de prix qui part d'un bon sentiment mais pourquoi ne peux t on pas comparer les produits entre tous les magasins leclerc(ceux d'un meme secteur).je m'explique:j'ai comparé 2 produits (yaourts x12,1er prix et lait 1er prix ) qui sont vendus dans les centre e leclerc de viry chatillon et grigny(91 essonne) distants d'environ 2 kilomètres.
les yaourts sont vendus 1.16 à viry chatillon , 1.40 à grigny et le lait est à 0.53 à viry chatillon et 0.70 à grigny.d'ou vient cette différence de prix? merci pour cette "saine concurrence".
J'ai regardé et écouté dix minutes seulement de cette vidéo : l'expression orale de Marie-Jeanne Husset est agaçante.
Merci pour cet excellent débat, très argumenté, pondéré et vif.
J'y ai appris beaucoup, et notamment sur une certaine exigence journalistique que j'avais un peu tendance à perdre de vue ces temps-ci : allez savoir pourquoi ?
(sur le site du nouvelobs par exemple… mais je ne veux pas dire du mal des p'tits camarades)
J'y ai appris beaucoup, et notamment sur une certaine exigence journalistique que j'avais un peu tendance à perdre de vue ces temps-ci : allez savoir pourquoi ?
(sur le site du nouvelobs par exemple… mais je ne veux pas dire du mal des p'tits camarades)
Hélas ! Comme C. Jaque, il m'est impossible d'apprécier les reportages vidéo d'@si.
Il y a CERTAINEMENT un problème rémanent dans votre système de diffusion de Vidéos, car les vidéos que je regarde sur d'autres sites ne présentent JAMAIS ce type de défaut : interruptions fréquentes de plusieurs secondes, avec petite fenêtre "préchargement x%" qui n'en finit plus de réapparaître, même si le 100% a été atteint plusieurs fois.
S'il vous plaît, faites quelque chose !
PF
Il y a CERTAINEMENT un problème rémanent dans votre système de diffusion de Vidéos, car les vidéos que je regarde sur d'autres sites ne présentent JAMAIS ce type de défaut : interruptions fréquentes de plusieurs secondes, avec petite fenêtre "préchargement x%" qui n'en finit plus de réapparaître, même si le 100% a été atteint plusieurs fois.
S'il vous plaît, faites quelque chose !
PF
Finalement nous n'apprenons pas grand chose avec ce plateau pourtant si complémentaire. Les résultats de de 60 millions sont fracassants et l'ami Libé mets un bémol. Comme souvent la vérité doit se trouver à mi-chemin. A qui profite exactement: la hausse, l'information ou la désinformation de cette hausse. Le jambon fleury Michon a augmenté de 40%; le cochon sur pied a baissé, le prix du jambon n'a pas augmenté, difficile de savoir au final s'il a augmenté ou pas. Quant à la réalité du pouvoir d'achat, il y a bien sûr une érosion qui ne saurait ralentir pour les mois à venir. Les indices économiques mondiaux ne sont pas optimistes, le coût des matières premières ne finissent de flamber avec un dollar qui a explosé son plafond historique et demain reste une grande inconnue pour l'inflation. Mais finalement comme le souligne la ministre qui fait ses courses avec 30 journalistes, a première vue les prix ont bien moins augmentés que ce que raconte 60"...... Bonne nouvelle seulement 4%. Et nous tous, poussons un grand soupir de soulagement. Le sage montre la lune et l'idiot regarde le doigt.
Désolé de ne pouvoir suivre les vidéo inaudibles (quelque soit le sujet traité). Son discontinu, haché, saccadé. Le problême technique n'est toujours pas résolu..
Dommage!
C. Jacque
Dommage!
C. Jacque
@Yves, je crois pouvoir vous répondre :
-sur les promotions sur certains prix : Auchan prétend que 60Millions de consommateurs auraient comparé les prix actuels à des prix en promotion au début de l'enquête comparative, ce qui amplifierait fortement les taux de variation... Mais cet argument semble faux, selon Mme Husset.
-hormis la Ministre Lagarde qui a sous-entendu cet argument, personne n'a dit que les prix sur Internet étaient supérieurs aux prix en magasin. C'est possible, mais ça reste à vérifier. De toute façon, cette possible différence des prix absolus n'intéresse pas 60Millions. Leur objectif était de comparer l'évolution des prix, et non les prix absolus.
Sur le plateau en général, j'ai trouvé ça passionnant comme beaucoup d'@sinautes. Plus on avance et plus on va au fond des choses, jusqu'au débat sur : à qui peut profiter l'enquête et l'emballement médiatique ?
Donc ce plateau est un savant mélange d'info, d'analyse (économiques) et de décryptage médiatique sur cet emballement et ses conséquences. Du vrai @si !
Sur la prestation de l'ami DS, il y a certainement eu 2 ou 3 coupures de trop de la part du chef d'orchestre, mais rien de bien grave. On a très bien compris la position des deux invités, et on a pu voir que leurs démarches, pourtant différentes, étaient toutes deux pertinentes.
Bravo à toute l'équipe et à ceux qui réagissent ici car les débats sur le forum sont intéressants aussi.
-sur les promotions sur certains prix : Auchan prétend que 60Millions de consommateurs auraient comparé les prix actuels à des prix en promotion au début de l'enquête comparative, ce qui amplifierait fortement les taux de variation... Mais cet argument semble faux, selon Mme Husset.
-hormis la Ministre Lagarde qui a sous-entendu cet argument, personne n'a dit que les prix sur Internet étaient supérieurs aux prix en magasin. C'est possible, mais ça reste à vérifier. De toute façon, cette possible différence des prix absolus n'intéresse pas 60Millions. Leur objectif était de comparer l'évolution des prix, et non les prix absolus.
Sur le plateau en général, j'ai trouvé ça passionnant comme beaucoup d'@sinautes. Plus on avance et plus on va au fond des choses, jusqu'au débat sur : à qui peut profiter l'enquête et l'emballement médiatique ?
Donc ce plateau est un savant mélange d'info, d'analyse (économiques) et de décryptage médiatique sur cet emballement et ses conséquences. Du vrai @si !
Sur la prestation de l'ami DS, il y a certainement eu 2 ou 3 coupures de trop de la part du chef d'orchestre, mais rien de bien grave. On a très bien compris la position des deux invités, et on a pu voir que leurs démarches, pourtant différentes, étaient toutes deux pertinentes.
Bravo à toute l'équipe et à ceux qui réagissent ici car les débats sur le forum sont intéressants aussi.
Très bonne émission, Cependant un peu surpris sur deux points qui auraient du être mieux explicités à mon avis.
D'abord sur la justification du prix d'un produit particulier lié à une promotion, pour moi une promotion est synonyme d'une remise temporaire.
D'autre part, comment justifier des prix plus élevés sur Internet que dans les magasins, c'est surprenant, d'autant plus que je n'ai jamais remarqué de grosses différences.
D'abord sur la justification du prix d'un produit particulier lié à une promotion, pour moi une promotion est synonyme d'une remise temporaire.
D'autre part, comment justifier des prix plus élevés sur Internet que dans les magasins, c'est surprenant, d'autant plus que je n'ai jamais remarqué de grosses différences.
Je suis assez déçue par certaines réactions de Daniel Schneidermann sur ce plateau, quoique l'émission ait été intéressante dans son ensemble. Je rejoins le commentaire de Georges MACE.
Merci à Grégoire Biseau, dont les interventions avaient un intérêt réel. Je trouve que Daniel Schneidermann se focalise trop facilement sur une critique, et n'est pas forcément ouvert à d'autres directions qui apparaissent au fil du débat. Quelle en est la raison ?
- un manque de souplesse ?
- la focalisation sur son analyse personnelle, qui peut-être lui apparaît comme la plus juste et la plus "séduisante" pour les ASInautes ?
- le refus de toute analyse qui tournerait aux prophéties ou aux théories du complot et feraient d'ASI ce qu'elle n'est pas, une bande de névrosés exclus du système médiatique qui compenseraient leur manque de reconnaissance dans le système officiel en le dévalorisant ?
Par ailleurs, en essayant de conserver sa direction et de dévier l'argumentation de Grégoire Biseau, Daniel Schneidermann pose une question, déjà reprise sur les forums : "faites-vous vos courses vous-même". Suis-je la seule à entendre BEAUCOUP de connotations derrière cette question ? Grégoire Biseau aurait une analyse différente simplement parce qu'il est (serait) au-dessus des revenus moyens, et non parce qu'il prendrait le temps de réfléchir différemment de la masse ? On remet en question - de façon un peu pernicieuse - son mode de vie pour balayer d'un geste son analyse ?! Ca me choque profondément.
Je veux bien croire que la question n'ait pas vraiment été intentionnellement pernicieuse, mais il faut bien constater une chose, son effet l'est. Il suffit pour cela de lire le commentaire de Hurluberlu, qui dit : "Je reviendrais sur une remarque de Grégoire Biseau: bien qu'il fasse ses courses lui-même, il ne s'était pas rendu vraiment compte de la hausse des prix. De fait, il fait partie d'une classe sociale plutôt aisée (du moins plus aisée que de nombreux journalistes précaires/stagiaires/CDD/intérim qui peuplent les salles de rédaction, car il est chef du service économie de libération), et n'est donc pas le premier touché par la hausse des prix sur l'alimentaire. Il a les moyens de ne pas trop souffrir du portefeuille."
Je pense que ce commentaire est assez révélateur d'une réaction courante et générale. Il y a une sorte de mépris... oserais-je dire qu'il y a une pointe de jalousie ? Non, pas de la jalousie, plutôt du ressentiment. Ne devrait-on pas se réjouir pour ceux qui ont la chance de ne pas avoir de soucis financiers ? Je comprends le ressentiment quand il est dirigé vers un exploiteur, quelqu'un qui amasse les richesses pour les richesses, un avare ou un égoïste. Par contre dans ce cadre, il est illégitime et ne sert qu'à remettre en cause la parole et l'analyse de Grégoire Biseau, qui aurait mérité d'être appronfondie.
Ce dernier a par ailleurs eu le mérite d'insister suffisamment pour faire calmement passer son idée.
Dans l'espoir que ma critique soit constructive et prise comme telle...!
Merci à l'équipe d'ASI pour son travail.
Merci à Grégoire Biseau, dont les interventions avaient un intérêt réel. Je trouve que Daniel Schneidermann se focalise trop facilement sur une critique, et n'est pas forcément ouvert à d'autres directions qui apparaissent au fil du débat. Quelle en est la raison ?
- un manque de souplesse ?
- la focalisation sur son analyse personnelle, qui peut-être lui apparaît comme la plus juste et la plus "séduisante" pour les ASInautes ?
- le refus de toute analyse qui tournerait aux prophéties ou aux théories du complot et feraient d'ASI ce qu'elle n'est pas, une bande de névrosés exclus du système médiatique qui compenseraient leur manque de reconnaissance dans le système officiel en le dévalorisant ?
Par ailleurs, en essayant de conserver sa direction et de dévier l'argumentation de Grégoire Biseau, Daniel Schneidermann pose une question, déjà reprise sur les forums : "faites-vous vos courses vous-même". Suis-je la seule à entendre BEAUCOUP de connotations derrière cette question ? Grégoire Biseau aurait une analyse différente simplement parce qu'il est (serait) au-dessus des revenus moyens, et non parce qu'il prendrait le temps de réfléchir différemment de la masse ? On remet en question - de façon un peu pernicieuse - son mode de vie pour balayer d'un geste son analyse ?! Ca me choque profondément.
Je veux bien croire que la question n'ait pas vraiment été intentionnellement pernicieuse, mais il faut bien constater une chose, son effet l'est. Il suffit pour cela de lire le commentaire de Hurluberlu, qui dit : "Je reviendrais sur une remarque de Grégoire Biseau: bien qu'il fasse ses courses lui-même, il ne s'était pas rendu vraiment compte de la hausse des prix. De fait, il fait partie d'une classe sociale plutôt aisée (du moins plus aisée que de nombreux journalistes précaires/stagiaires/CDD/intérim qui peuplent les salles de rédaction, car il est chef du service économie de libération), et n'est donc pas le premier touché par la hausse des prix sur l'alimentaire. Il a les moyens de ne pas trop souffrir du portefeuille."
Je pense que ce commentaire est assez révélateur d'une réaction courante et générale. Il y a une sorte de mépris... oserais-je dire qu'il y a une pointe de jalousie ? Non, pas de la jalousie, plutôt du ressentiment. Ne devrait-on pas se réjouir pour ceux qui ont la chance de ne pas avoir de soucis financiers ? Je comprends le ressentiment quand il est dirigé vers un exploiteur, quelqu'un qui amasse les richesses pour les richesses, un avare ou un égoïste. Par contre dans ce cadre, il est illégitime et ne sert qu'à remettre en cause la parole et l'analyse de Grégoire Biseau, qui aurait mérité d'être appronfondie.
Ce dernier a par ailleurs eu le mérite d'insister suffisamment pour faire calmement passer son idée.
Dans l'espoir que ma critique soit constructive et prise comme telle...!
Merci à l'équipe d'ASI pour son travail.
Pour faire court, je crois que Mr Schneidermann est atteint du syndrome de la "ménagère de plus de 50 ans", c'est à dire qu'ayant travaillé à la télé, il a tendance à penser que les explications longues et complexes sont incompréhensibles par la majorité des lecteurs-auditeurs-spectateurs. C'est pourquoi il coupe les intervenants dès que cela semble s'éloigner du terre à terre.
Peut-être a t-il raison pour une majorité de ses lecteurs, mais dans ce cas autant regarder la télé..
Peut-être a t-il raison pour une majorité de ses lecteurs, mais dans ce cas autant regarder la télé..
Grégoire Biseau aurait une analyse différente simplement parce qu'il est (serait) au-dessus des revenus moyens, et non parce qu'il prendrait le temps de réfléchir différemment de la masse ? On remet en question - de façon un peu pernicieuse - son mode de vie pour balayer d'un geste son analyse ?! Ca me choque profondément.
il y a une marge entre "balayer d'un geste son analyse" et accepter cette analyse sans se poser la moindre question sur son auteur.
Je suis moi-même quelqu'un qui fait ses courses et ne remarque pas forcément les hausses de prix aussi importantes soient elles ... je n'en trouve pas moins légitime la question de M. Scheidermann.
Oui le milieu social (entre autres) peut inconsciemment biaiser une analyse ou la façon de la présenter ... ce qui n'empêche pas l'auteur de cette analyse de faire preuve de suffisamment d'intelligence pour interroger sa propre objectivité et éventuellement corriger ce biais (s'il est avéré).
Toute analyse possède une part de subjectivité. Ré-examiner une analyse en prenant en compte les éléments potentiellement source de cette subjectivité me semble normal voire nécessaire et absolument pas choquant.
Sur un sujet concernant la consommation il me semble que la classe sociale des intervenants n'est pas hors sujet ... ce qui n'invalide en rien l'analyse de l'un ou l'autre de ces intervenants : c'est juste un facteur à considérer dans la lecture de ces analyses.
@Leptitbenji
Oui, votre remarque est juste, la subjectivité de l'analyste est à prendre en compte et à questionner. Mais tout de même, dans ce cas, je ne vois pas l'intérêt de souligner cela. Grégoire Biseau avançait une analyse différente, mettait en valeur des questions différentes (et non contradictoires). Peut-être que sa relative aisance financière lui permet d'être moins focalisé que d'autres sur ces questions, que ça lui donne plus de liberté d'esprit pour réfléchir un peu plus loin. Ou peut-être que ça vient de sa profession... En fait peu importe. Son point de vue était intéressant, et n'a malheureusement pas été assez creusé pendant l'émission.
Oui, votre remarque est juste, la subjectivité de l'analyste est à prendre en compte et à questionner. Mais tout de même, dans ce cas, je ne vois pas l'intérêt de souligner cela. Grégoire Biseau avançait une analyse différente, mettait en valeur des questions différentes (et non contradictoires). Peut-être que sa relative aisance financière lui permet d'être moins focalisé que d'autres sur ces questions, que ça lui donne plus de liberté d'esprit pour réfléchir un peu plus loin. Ou peut-être que ça vient de sa profession... En fait peu importe. Son point de vue était intéressant, et n'a malheureusement pas été assez creusé pendant l'émission.
Correction : mon message précédent est une réponse à "dominique baldo" et non à "Leptitbenji"
Je ne reviens qu'aujourd'hui et constate qu'un de mes messages avait été repris, mais je crains que, plutôt que reprise, il y ait surtout méprise. Il n'y a de ma part aucun ressentiment. Bien que mon salaire ne soit pas mirobolant (1200 euros), moi non plus je ne regarde pas les prix quand je fais les courses. J'estime moi aussi faire partie d'une catégorie plutôt aisée de la population(pour des raisons que je n'ai pas à spécifier ici). Et je ne reproche pas à Grégoire Biseau de bien gagner sa vie. Mais moi, je ne prétend pas rendre compte de l'opinion publique en tant qu'instance médiatique, c'est à dire en tant que relais entre le public et les décideurs (économiques, politiques, sociaux, etc.). Et il me semble aujourd'hui que si l'on critique tant le monde médiatique, c'est aussi parce que s'est crée un fossé entre la vie quotidienne d'une grande partie du public et la vie médiatique, coupée de certaines réalités: combien de journalistes présents à la conf' de presse de Sarko ont des problèmes pour boucler les fins de mois? Pas étonnant que le thème du pouvoir d'achat passe alors à la trappe au profit de thèmes qui intéressent les journalistes sur le style présidentiel, le mariage avec Carla Bruni, les questions de politique politicienne, etc.[Autre exemple: Quand un rédac chef télé passe un sujet à la trappe en disant "ça n'intéresse pas les gens", est-il sûr que c'est la vérité? N'est-ce pas plutôt 1. que ça ne l'intéresse pas, lui et 2. qu'il a complètement intégré dans son métier les exigences d'audience demandée par les annonceurs via la régie publicitaire de sa chaîne. Mais rien ne dit ce qui n'intéresse pas les annonceurs n'intéresse pas les gens]. Donc, je constatais juste que M. Biseau ne pouvait être réactif sur une question qui le touche peu au finale. Rien de méchant là dedans.
Si j'ai fait une incise en rappelant que le monde médiatique use et abuse de contrats précaires, c'est juste pour rappeler que dans les dénonciations outragées d'un système économique qui tend à la précarisation des salariés, dénonciations que l'on retrouve dans une bonne partie de la presse de gauche (celle que je lis, en gros le Monde Diplo et Libé; Grégoire Biseau n'a-t-il pas d'ailleurs reproché à la rédac-chef de 60 millions... de parler trop du point de vue du consommateur au dépens des intérêts du salarié?), on oublie trop souvent que le monde médiatique n'est pas le dernier à exploiter pour des sommes dérisoires de valeureux précaires. Et que donc il y a un léger problème. Je me souviens ainsi que lors du CPE, Libé avait consacré quatre pages au début du journal à la question de la précarité de l'emploi des jeunes. Le lecteur attentif que j'étais avait quand même pu remarquer un court entrefilet rappelant que ledit dossier était réalisé... par des stagiaires. Le serpent qui se mord la queue...
Donc, ma remarque ne visait nullement Grégoire Biseau: je ne lui reproche pas son salaire. Je constate seulement qu'il est ensuite plus difficile d'être un journaliste réactif sur les questions d'inflation des prix et de baisse du pouvoir d'achats.
J'espère avoir été plus clair dans ce deuxième message...
Si j'ai fait une incise en rappelant que le monde médiatique use et abuse de contrats précaires, c'est juste pour rappeler que dans les dénonciations outragées d'un système économique qui tend à la précarisation des salariés, dénonciations que l'on retrouve dans une bonne partie de la presse de gauche (celle que je lis, en gros le Monde Diplo et Libé; Grégoire Biseau n'a-t-il pas d'ailleurs reproché à la rédac-chef de 60 millions... de parler trop du point de vue du consommateur au dépens des intérêts du salarié?), on oublie trop souvent que le monde médiatique n'est pas le dernier à exploiter pour des sommes dérisoires de valeureux précaires. Et que donc il y a un léger problème. Je me souviens ainsi que lors du CPE, Libé avait consacré quatre pages au début du journal à la question de la précarité de l'emploi des jeunes. Le lecteur attentif que j'étais avait quand même pu remarquer un court entrefilet rappelant que ledit dossier était réalisé... par des stagiaires. Le serpent qui se mord la queue...
Donc, ma remarque ne visait nullement Grégoire Biseau: je ne lui reproche pas son salaire. Je constate seulement qu'il est ensuite plus difficile d'être un journaliste réactif sur les questions d'inflation des prix et de baisse du pouvoir d'achats.
J'espère avoir été plus clair dans ce deuxième message...
Les plateaux sont de mieux en mieux, bravo.
Le sujet a été très bien traité. Il en a soulevé d'autres qui mériteraient sans doute approfondissement ultérieur car non abordés :
- La schizophrénie du consommateur qui veut une baisse de prix, qui veut un emploi salarié mais n'achète pas Made in France
_ Une hausse de prix peut être légitime on l'a compris. Mais profitent-elles au salarié quand elles ont lieu, ou à l'actionnaire ?
_ J'entends que Carrefour et Auchan c'est pas bien, mais existe-t-il d'autres modes d'approvisionnement pour le consommateur aujourd'hui que la grande distrib ?
_ Et le Sud ?
Le sujet a été très bien traité. Il en a soulevé d'autres qui mériteraient sans doute approfondissement ultérieur car non abordés :
- La schizophrénie du consommateur qui veut une baisse de prix, qui veut un emploi salarié mais n'achète pas Made in France
_ Une hausse de prix peut être légitime on l'a compris. Mais profitent-elles au salarié quand elles ont lieu, ou à l'actionnaire ?
_ J'entends que Carrefour et Auchan c'est pas bien, mais existe-t-il d'autres modes d'approvisionnement pour le consommateur aujourd'hui que la grande distrib ?
_ Et le Sud ?
C'est bizarre il y a un nom qui n'est pas sorti dans le plateau, c'est celui de Leclerc. Et justement l'activité de lobbying côté grand public, c'est bien Michel-Edouard Leclerc qui la mène. La longueur du plateau a permis de toucher le fond du problème : cette mise en lumière très médiatique de la flambée des prix va permettre au gouvernement de donner à la grande distribution ce qu'elle attend. Est-ce que le consommateur en sortira gagnant ? pas sûr car comme l'évoque bien M. Biseau : la pression de plus en plus importante sur les producteurs les forcera à délocaliser toujours plus, pour faire plaisir aux actionnaires. Un jour il faudra que les médias français se posent la question du juste prix : quel est le prix raisonnable d'un produit pour qu'il soit produit en France et que tous les maillons de la chaîne récupèrent leur part. Certes l'opacité actuelle de la négociation n'aide pas. Ce que ce plateau montre bien, c'est qu'aussi bien les chaînes tv que le gouvernement passent à côté du vrai sujet dans cet emballement médiatique.
et bien, les mots clés étant absents, je vous propose quelques pistes : hausse des prix, euro, le caddie, l'enfant, le magasin, l'étalage, la richesse, la pauvreté, les courses, la caissière, les caissières, la voiture, l'essence, les vacances, l'absence de vacances, la neige, l'absence de neige...Ouh, je m'emballe ! J'avais observé que mon caddie était moins lourd et plus cher car je ne pouvais pas acheter de la viande, je quittais les grandes enseignes pour liddle ou norma...
Pour répondre à gihel2 je rejoint M. Biseau sur son argumentation sur la manipulation possible de cet engouement sur l'enquête de 60 M. de consommateurs.
Peut-être que la politique actuelle (surtout sa communication) me rend parano mais je verrais bien derrière tout ça le prétexte d'un volontarisme politique pour placer des mesures "coup de poings" très ciblées dont l'effet éternuerait légèrement la hausse actuelle sans régler le problème.
Il suffirait après de vérifier les prix des produits concernés pour avoir des chiffres satisfaisants alors que la moyenne serait restée stable.
L'autre hypothèse qui met en exergue le lobby des grands groupes de distributeurs sur la suppression d'une loi contraignante pour ces grands groupes me parait tout aussi plausible.
Par contre l'hypothèse sur la hausse de la TVA me parait faussée car la moyenne de la hausse générale n'est que de 4,5%.
En tout cas merci à ASI et aux invités qui ont tenu un débat très intéressant.
Peut-être que la politique actuelle (surtout sa communication) me rend parano mais je verrais bien derrière tout ça le prétexte d'un volontarisme politique pour placer des mesures "coup de poings" très ciblées dont l'effet éternuerait légèrement la hausse actuelle sans régler le problème.
Il suffirait après de vérifier les prix des produits concernés pour avoir des chiffres satisfaisants alors que la moyenne serait restée stable.
L'autre hypothèse qui met en exergue le lobby des grands groupes de distributeurs sur la suppression d'une loi contraignante pour ces grands groupes me parait tout aussi plausible.
Par contre l'hypothèse sur la hausse de la TVA me parait faussée car la moyenne de la hausse générale n'est que de 4,5%.
En tout cas merci à ASI et aux invités qui ont tenu un débat très intéressant.
Juste une remarque d'un amateur d'arithmétique:
Pour faire entrer plus d'argent de les caisses (vidées) de l'état on peut:
1 - augmenter la TVA sur des prix fixes
2 - ne pas augmenter la TVA sur des prix qui augmentent.
Ainsi lorsqu'un prix augment de 50%, la TVA qui s'applique de 19.6% (par exemple) rapporte
aussi 50% de plus . Ce qui revient a augmenter la TVA de 19.6% à 29.4% , ce sans demander
l'accord de l'europe.
Penser que ceci est voulu est parano, j'en convient, mais je sais aussi que ces derniers temps on se trompe moins souvent
en privilégiant une approche parano qu'une autre ... (?)
Pour faire entrer plus d'argent de les caisses (vidées) de l'état on peut:
1 - augmenter la TVA sur des prix fixes
2 - ne pas augmenter la TVA sur des prix qui augmentent.
Ainsi lorsqu'un prix augment de 50%, la TVA qui s'applique de 19.6% (par exemple) rapporte
aussi 50% de plus . Ce qui revient a augmenter la TVA de 19.6% à 29.4% , ce sans demander
l'accord de l'europe.
Penser que ceci est voulu est parano, j'en convient, mais je sais aussi que ces derniers temps on se trompe moins souvent
en privilégiant une approche parano qu'une autre ... (?)
Merci pour cette émission. Le débat courtois sans être complaisant permettait de comprendre deux approches journalistiques qui, sans être antithétiques, ne reposent ni sur les même principes ni ne visent les mêmes objectifs.
Je reviendrais sur une remarque de Grégoire Biseau: bien qu'il fasse ses courses lui-même, il ne s'était pas rendu vraiment compte de la hausse des prix. De fait, il fait partie d'une classe sociale plutôt aisée (du moins plus aisée que de nombreux journalistes précaires/stagiaires/CDD/intérim qui peuplent les salles de rédaction, car il est chef du service économie de libération), et n'est donc pas le premier touché par la hausse des prix sur l'alimentaire. Il a les moyens de ne pas trop souffrir du portefeuille.
Je rapprocherais cette remarque de l'attitude des journalistes présents à la conférence de presse de l'Elysée, où la question du pouvoir d'achat a à peine été posée —et où le chef de l'Etat a eu une réponse pour le moins méprisantes à l'égard des électeurs auxquels il avait promis pourtant qu'avecluitoutdevientpossible: "que voulez-vous que je fasse, que je vide des caisses qui sont déjà vides?". Là aussi, les journalistes qui étaient présents (et qui devaient être parmi les mieux payés d'une profession qui n'hésite pas à exploiter du stagiaire) n'ont pas saisi que cette question du pouvoir d'achat pouvait être centrale pour une grande partie de leurs lecteurs/auditeurs/téléspectateurs car leurs salaires sont suffisamment confortables pour qu'ils n'aient pas à vérifier leur ticket de caisse quand ils font leurs courses.
Je reviendrais sur une remarque de Grégoire Biseau: bien qu'il fasse ses courses lui-même, il ne s'était pas rendu vraiment compte de la hausse des prix. De fait, il fait partie d'une classe sociale plutôt aisée (du moins plus aisée que de nombreux journalistes précaires/stagiaires/CDD/intérim qui peuplent les salles de rédaction, car il est chef du service économie de libération), et n'est donc pas le premier touché par la hausse des prix sur l'alimentaire. Il a les moyens de ne pas trop souffrir du portefeuille.
Je rapprocherais cette remarque de l'attitude des journalistes présents à la conférence de presse de l'Elysée, où la question du pouvoir d'achat a à peine été posée —et où le chef de l'Etat a eu une réponse pour le moins méprisantes à l'égard des électeurs auxquels il avait promis pourtant qu'avecluitoutdevientpossible: "que voulez-vous que je fasse, que je vide des caisses qui sont déjà vides?". Là aussi, les journalistes qui étaient présents (et qui devaient être parmi les mieux payés d'une profession qui n'hésite pas à exploiter du stagiaire) n'ont pas saisi que cette question du pouvoir d'achat pouvait être centrale pour une grande partie de leurs lecteurs/auditeurs/téléspectateurs car leurs salaires sont suffisamment confortables pour qu'ils n'aient pas à vérifier leur ticket de caisse quand ils font leurs courses.
C'est étrange que vous n'ayez pas parler de la séquence video de luc chatel, un ministre en colère ! avec à la main LE numéro de 60 millions de consomateurs, et qui nous ressort le coup du porc transformé en jambon !
Bonsoir,
j'aimerais pouvoir utiliser des passages de ce "contenu" avec mes élèves de Terminale ES. Dans quelles conditions puis-je le faire ?
j'aimerais pouvoir utiliser des passages de ce "contenu" avec mes élèves de Terminale ES. Dans quelles conditions puis-je le faire ?
J'ai aimé ce plateau même si j'étais un peu sceptique au début...
Je me surprends par ailleurs à regarder scrupuleusement chaque plateau d'ASI sur le net...
Alors qu'il m'arrivait de zapper régulièrement ASI TV...
Et je me demande pourquoi je suis plus fidèle ici que je ne l'était là bas...
Je ne peux trouver que des tentatives de réponses (dont je ne sais pas lesquelles sont explicatives)...
1. Je paye spécifiquement pour ce programme, donc je veux rentabiliser mon achat.
2. J'ai été mobilisé par la suppression d'ASI TV (qui me semblait d'abord politique) et c'est en citoyen engagé que je m'attache à ne rien louper de la nouvelle version (une façon de voter avec mes clics).
3. Le format a changé et il est plus souple de visionner des séquences parfois plus courtes et qui sont surtout centrées sur un seul sujet (contrairement à ASI TV qui faisait un bloc avec des sujets et chroniques très différents, même s'il y avait un sujet dominant sur plateau...)
4. Peut-être un mélange de tout ça... Faire partie d'une tribu engagée, qui s'est financièrement et donc volontairement constituée autour d'une certaine idée de la démocratie médiatique, qui piaffe et échange en interactivité avec un capitaine qui nous fait partager les coulisses et sait créer une forme honnête de connivence.
Et puis un site de qualité, sans quoi toutes les raisons précedentes ne sauraient nous retenir de quitter le navire...
Je me surprends par ailleurs à regarder scrupuleusement chaque plateau d'ASI sur le net...
Alors qu'il m'arrivait de zapper régulièrement ASI TV...
Et je me demande pourquoi je suis plus fidèle ici que je ne l'était là bas...
Je ne peux trouver que des tentatives de réponses (dont je ne sais pas lesquelles sont explicatives)...
1. Je paye spécifiquement pour ce programme, donc je veux rentabiliser mon achat.
2. J'ai été mobilisé par la suppression d'ASI TV (qui me semblait d'abord politique) et c'est en citoyen engagé que je m'attache à ne rien louper de la nouvelle version (une façon de voter avec mes clics).
3. Le format a changé et il est plus souple de visionner des séquences parfois plus courtes et qui sont surtout centrées sur un seul sujet (contrairement à ASI TV qui faisait un bloc avec des sujets et chroniques très différents, même s'il y avait un sujet dominant sur plateau...)
4. Peut-être un mélange de tout ça... Faire partie d'une tribu engagée, qui s'est financièrement et donc volontairement constituée autour d'une certaine idée de la démocratie médiatique, qui piaffe et échange en interactivité avec un capitaine qui nous fait partager les coulisses et sait créer une forme honnête de connivence.
Et puis un site de qualité, sans quoi toutes les raisons précedentes ne sauraient nous retenir de quitter le navire...
Plus on avance dans le débat, meilleur c'est.
J'ai douté au début de la plus value de faire un plateau là dessus, mais finalement, ça valait. Grégoire Biseau a apporté un recul que j'ai vraiment trouvé intéressant.
J'ai douté au début de la plus value de faire un plateau là dessus, mais finalement, ça valait. Grégoire Biseau a apporté un recul que j'ai vraiment trouvé intéressant.
Mr Schneidermann m'agace de plus en plus quand il joue à la bête en faisant semblant de ne pas comprendre les arguments de Mr Biseau (je pense à l'idée que cette enquête puisse profiter à terme aux grandes surfaces). De plus, il a toujours tendance à couper les gens qui ne vont pas dans son sens et Mme Husset n'a jamais pu terminer son argumentation finale, parce-que l'interviewer pose des questions du même niveau que celles de TF1.
Très déçu par cette interview alors que les intervenants étaient de bonne tenue.
Très déçu par cette interview alors que les intervenants étaient de bonne tenue.