Nucléaire : un documentaire perturbe Arte
La NDR, une chaîne allemande, est accusée par une journaliste d'avoir censuré son documentaire sur le risque nucléaire, produit pour le compte d'Arte. La chaîne, qui dément, aurait préféré à la nuance une vision manichéenne du risque nucléaire.
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Malheureusement assez représentatif des documentaires produits par Arte, complètement binaires, n'acceptant aucune nuance, et s'apparentant très souvent à de la désinformation et de la propagande. La chaîne reste intéressante, mais plus quand elle di(...)
Le parallèle avec la crise du coronavirus (avec n’importe quelle crise en fait) est troublant : quand le « remède » peut être pire que le mal...
Et pourtant, on en a des tonnes d’experts en « gestion et quantification des risques », dans les assurance(...)
Heu , non'pas au gouvernement .... ou alors ce sont eux la catastrophe , c'est à dire le risque réalisé.
Derniers commentaires
40 heures de rush ..... ce qui m'ennuie plus dans tout ca c'est de devoir monter un truc en 40 minutes quand il y a matière pour bien plus. j'avais ressenti la même frustration en visionnant le reportage d'arte sur les nouvelles routes de la soie ou la aussi les rushs étaient pléthoriques.
Bon apres ce reproche n'est pas propre a arte, ce ratio n'est en soit pas exceptionnel mais c'est dans ces rare cas qu'on pourrait souhaiter voir ces reportages sur netflix ou les durées ne sont pas un probleme. (avec du coup parfois l'effet inverse , des series docu qui brodent pendant 10 episodes pour 30 minutes de contenus interessant)
Pour tous ceux qui pensent encore qu'évacuer un site d'accident nucléaire fait plus de mal que d'y laisser vivre les habitants : https://reporterre.net/Trente-ans-avant-Tchernobyl-la-catastrophe-nucleaire-de-Kychtym?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=nl_quotidienne
Toujours ce mythe, "les catastrophes nucléaires ne tuent pas". Ce n'est pas parce que les états répugnent à reconnaitre que les morts des catastrophes nucléaires ont effectivement été causés par ces catastrophes qu'on peut accepter l'idée qu'ils n'existent pas. Les bilans de la catastrophe de Tchernobyl vont de 43 morts à 200.000 morts. Le fait qu'on ne soit pas capable de trancher avec plus de précision est totalement aberrant. Je me demande pourquoi le gouvernement biélorusse n'a pas carrément dit qu'il n'y a pas de mort du tout, pourquoi se gêner ?
J'ai vu ce docu-fiction Je ne vois pas le problème. Les conséquences d'un exil suite à une catastrophe y sont abordées complètement ( diabète, troubles de l'alimentation, anxiété, etc). Ce docu permet de comprendre toutes les implications d'un accident nucléaire de niveau 7. C'est l'essentiel pour sensibiliser le public s'il fallait encore le faire.
Malheureusement assez représentatif des documentaires produits par Arte, complètement binaires, n'acceptant aucune nuance, et s'apparentant très souvent à de la désinformation et de la propagande. La chaîne reste intéressante, mais plus quand elle diffuse des documentaires qu'elle n'a pas elle même produits.
A vol d'oiseau, Cattenom est exactement à 10 kms seulement de la frontière, de 23 kms de Luxembourg ville, de 12 kms de Schengen et 33 kms de Metz !
C'était l'occasion de voir, ou revoir, l'excellent "The Bomb" de Peter Watkins, qui est exactement sur le souci de l'après-accident nucléaire. Ca doit trainer sur les zinternets.
Ca serait bien, en fait, d'avoir une version réactualisée de ce genre de projection malheureusement catastrophique (l'évacuation des alentours de la centrale du Bugey, typiquement, avec Lyon et Genève pas loin, hum...).
Cela aurait encore une occasion pour Woessner de défendre ses mandataires avec son outrance habituelle.
Le parallèle avec la crise du coronavirus (avec n’importe quelle crise en fait) est troublant : quand le « remède » peut être pire que le mal...
Et pourtant, on en a des tonnes d’experts en « gestion et quantification des risques », dans les assurances, les entreprises, les centres de formation, a l’ineris, au CEA, au gouvernement...