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Olivia Ruiz, odalisque-caméléon
Dans les couloirs du métro parisien ces jours-ci, cette affiche annonçant des concerts d'Olivia Ruiz :
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Derniers commentaires
Merci Alain mais pas vraiment merci !
J'ai du me fader (et non fado) le clip d'Olivia Ruiz et sa stridulante voix.
Certes, j'aurais pu couper le son.
Hélas, occupé à traquer le caméléonisme, j'ai oublié.
Punition : recopier 100 fois https://www.youtube.com/watch?v=MQprFhWYr0s
J'ai du me fader (et non fado) le clip d'Olivia Ruiz et sa stridulante voix.
Certes, j'aurais pu couper le son.
Hélas, occupé à traquer le caméléonisme, j'ai oublié.
Punition : recopier 100 fois https://www.youtube.com/watch?v=MQprFhWYr0s
Encore merci Alain!
Ca n'a presque rien à voir avec le boudin, mais ça fait longtemps que je me demande s'il est légitime de parler de "l'art africain" dans son ensemble ? N'est-ce pas une vision amalgamante d'Occidental ? (Oups, je viens de nous amalgamer là). Entre l'afrique du nord, de l'ouest, de l'est, et l'afrique du sud, il y a beaucoup de differences culturelles. Sans parler des differences génétiques, géographiques, de climat.
Au contraire il y a peut-être des points communs culturels forts qui permettent de globaliser ? Il me semble que cette expression est souvent utilisée par les artistes eux-mêmes...
Si qqun y connaît qqch...
Au contraire il y a peut-être des points communs culturels forts qui permettent de globaliser ? Il me semble que cette expression est souvent utilisée par les artistes eux-mêmes...
Si qqun y connaît qqch...
... à ceci, aussi...
Et connaissez vous le clip "come" de Jain ?
Avant Olivia Ruiz, Jain porte des fleurs sur un mur à fleurs.......
et par la suite, elle assume à fond ses influences africaines dans son clip Makeba ! ! !
Avant Olivia Ruiz, Jain porte des fleurs sur un mur à fleurs.......
et par la suite, elle assume à fond ses influences africaines dans son clip Makeba ! ! !
Cecilia Paredes peut-être ?
ou Myette Fauchère ?
ou Myette Fauchère ?
sinon j'avais Gregg Araki (en particulier "Nowhere" et "the doom generation" qui sont remplis de ce genre de tableaux):
http://images3.cinema.de/imedia/4318/2454318,VwhFldAt9VSesTlQO1wAKSzAvqPs01Lbqbf5kCRIWjxM1xxB7m5A6C93P67YzOOjlZaKygcQDjJaG9r5Npl0GQ==.jpg
http://wifflegif.com/gifs/472385-christopher-knight-gregg-araki-gif
https://quietus_production.s3.amazonaws.com/images/articles/8403/2955386293_1_3_wIXRrvIX_1333124563_crop_550x345.jpg
https://1.bp.blogspot.com/_-KdzSFWRf-8/TKo86OrqcvI/AAAAAAAAAas/IEIpBEfnx2w/s1600/nowje.jpg
http://images3.cinema.de/imedia/4318/2454318,VwhFldAt9VSesTlQO1wAKSzAvqPs01Lbqbf5kCRIWjxM1xxB7m5A6C93P67YzOOjlZaKygcQDjJaG9r5Npl0GQ==.jpg
http://wifflegif.com/gifs/472385-christopher-knight-gregg-araki-gif
https://quietus_production.s3.amazonaws.com/images/articles/8403/2955386293_1_3_wIXRrvIX_1333124563_crop_550x345.jpg
https://1.bp.blogspot.com/_-KdzSFWRf-8/TKo86OrqcvI/AAAAAAAAAas/IEIpBEfnx2w/s1600/nowje.jpg
Cher Alain, vous auriez aussi pu citer, puisque évoluant dans le même domaine, le clip Comede la chanteuse Jain où elle apparaît à plusieurs reprises (0'08'' 0'38'' 1'28'' 2'12'') vêtue d'une robe qui se confond avec l'arrière-plan.
Maître Korkos va bientôt prendre la forme et la couleur d'un retraité ....et nous, nous serons tristes
( par ailleurs, " le caméléon n'a la couleur du caméléon que lorsqu'il est posé sur un caméléon " . Cavanna.
( par ailleurs, " le caméléon n'a la couleur du caméléon que lorsqu'il est posé sur un caméléon " . Cavanna.
Inspire-moi, Tanit la Tendre, Tanit la Tunisienne,
Quand je chante les Djerbiennes au rythme des tam-tams et tabalas.
Les voilà entrant dans la danse, vases sveltes, un vase sur la tête altière.
Les voilà longues lisses, les Djerbiennes à la tête d’or
Et les hauts dieux d’ébène pour rythmer leurs pas.
Les tam-tams dansent et les tabalas, les tam-tams sous les mains d’ébène dur.
Les voici de soie fine, les Djerbiennes, soyeuses et souples
Et déroulant rythmée leur fuite frissonnante, gracieuse.
Et montent les hosannahs dans la nuit bleue étoilée.
Les djerbiennes
Léopold Sédar SENGHOR
Quand je chante les Djerbiennes au rythme des tam-tams et tabalas.
Les voilà entrant dans la danse, vases sveltes, un vase sur la tête altière.
Les voilà longues lisses, les Djerbiennes à la tête d’or
Et les hauts dieux d’ébène pour rythmer leurs pas.
Les tam-tams dansent et les tabalas, les tam-tams sous les mains d’ébène dur.
Les voici de soie fine, les Djerbiennes, soyeuses et souples
Et déroulant rythmée leur fuite frissonnante, gracieuse.
Et montent les hosannahs dans la nuit bleue étoilée.
Les djerbiennes
Léopold Sédar SENGHOR