On a retrouvé l'aieul de Guevara, le chien de Tolbiac...
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Commentaires préférés des abonnés
Pour qu'ils aient l'air encore plus révolutionnaires, il faudrait leur mettre des.........
........bonnets phrychiens.
inexact
je réponds aussi sur le fond et la forme, je donne des compléments biblio pour appuyer mes dires, ou je justifie des prises de positions, ou je reconnais qd j'ai fait un peu vite par moment, ou qd j'ai dit des trucs pas clair, ou fait des erre(...)
Bravo ! Voté !
J'ai énormément apprécié cette chronique.
Est-ce que au-delà du psychpompe et de ce qu'on fait " dire" au chien SUR le peuple, il n'y a pas aussi, lorsque ce sont les révoltés qui mettent en avant le chien, une imagerie qui consist(...)
Derniers commentaires
Merci pour cette savoureuse chronique !
Mathilde comment faites-vous pour être aussi intéressante, charmante et vous-même, une femme intelligente. Gros bisous à vous.
Finalement à regarder de plus près il semble que le chien peut être mis à toute les sauces ( comme font les chinois, je crois). Sur cet animal Alexandre Vialatte a écrit quelques phrases admirables ( comme souvent ) dont je citerai quelques lignes : "De temps en temps le chien s'arrête au pied du marronnier, s'accroupit et regarde dans le vide, le front convulsé par l'effort. Son maître, à l'autre bout de la laisse, regarde ailleurs d'un air pensif mais détaché. Il s'efforce à garder une attitude mondaine."
Il ajoute " Le chien, tel qu'on le voit aujourd'hui, et qu'on emploie dans les villas de banlieue pour éloigner les cousins pauvres en les mordant au gras de la cuisse, le chien remonte à la plus haute antiquité"
Cette dernière remarque est particulièrement pertinente car qui ne souvient de Argos le chien d'Ulysse.
Enfin il faut bien reconnaître à Guevara, participant à un débat autour d'une table, plus d'à-propos et plus d'intelligence dans le regard que Christophe Barbier en vitesse de croisière dialectique.
Pour qu'ils aient l'air encore plus révolutionnaires, il faudrait leur mettre des.........
........bonnets phrychiens.
De quoi de quoi ? Des chiens adespotes ?
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Merci.
C’est sûr qu’on ne pourrait pas trop compter sur eux pour les révoltes :
Le grand peuplier du virage de "la queue de l'âne" se découpe en ciel déjà tout bleu. Ca va cogner sec pourtant les matraques se rangent un peu. C'est la trêve du chien.
Je ne peux bouder mon plaisir à écouter et voir Madame Mathilde. Merci.
"Plus interprétatif qu'explicatif..." ai-je lu? Et alors?
Quelquefois, au matin, mes poules chantent et je me dis:: "tiens un oeuf!" .
Quand j'y vais, rien. Elles avaient chanté pour avoir du grain.
J'avais mal interprété...et j'avais négligé d'aller au delà de l'évidence.
Faute. Rester dans le confort de l'habitude peut nuire!
Dommage que les images ne soient pas sourcées dans le texte de la chronique...d'abord parce que du coup on ne sait pas vraiment d'où elles viennent et c'est difficile de prolonger la découverte, et aussi parce que les moteurs de recherche ne les trouveront pas.
Il y a des détails qui me semblent vraiment trop approximatifs.
Par exemple, dans la caricature piémontaise du bon noble et du mauvais révolutionnaire, j'ai eu l'impression que le chien était un genre de lévrier ( chien de noble ) qui défendait son maître. Et donc pas du tout un symbole de l'agressivité révolutionnaire.
Bien sur je peux me tromper, mais les interprétations de Mathilde Larrère me semblent discutables.
J'en profite pour dire que je n'aime pas les chroniques en vidéo : il est trop long de retrouver un point précis du discours.
J'ai l'impression qu'il s'agit plus d'emporter la conviction du spectateur que de permettre une réflexion.
C'est dommage qu'on ne puisse pas télécharger facilement, je ne regarde pas sur pc.
Super chronique!
ça me choque, qu'on puisse appeler un chien "Guevara".
Je ne peux que joindre mes aboiements de joie au concert des autres :
superbe rubrique, merci. Je l'ai vue rapidement, je me promets de la revoir demain.
Es-ce mon oreille qui a entendu l'Enterrement à Oran. En tous les cas, j'ai glapi en entendant cela avec amusement à cette rencontre des deux mondes
Je trouve déjà que le nom de Mercantile ne manquait pas d'humour car n'y a t il pas là une preuve d'ironie suprême d'appeler son chien du nom qui convient le mieux à celui qui envoie les CRS, McRon
pas encore vu mais merci pour le suivi , google etait un peu sec sur le sujet.
Pour les lansquenets, les sbires de tous poils : je leur garde un chien de ma cheyenne !
Je ne sais pas si maître Korkos aime les chiens. Je sais seulement que cette chronique d'histoire de l'art est digne, oh combien de ces chroniques ET en même temps, (sic) des vôtres.
Un grand ouah, ou wouah, de gratitude.
A propos, gente dame, pouvez vous m'expliquer comment on "nunute" un chien ?
Bravo ! Voté !
J'ai énormément apprécié cette chronique.
Est-ce que au-delà du psychpompe et de ce qu'on fait " dire" au chien SUR le peuple, il n'y a pas aussi, lorsque ce sont les révoltés qui mettent en avant le chien, une imagerie qui consiste à désigner ce qui est " naturellement juste" ?
Je m'exprime mal, mais en gros l'idée c'est que le chien, qui n'est pas pris dans le jeu politique, dans les rapports sociaux et qui est " hors la loi" parce qu'il n'est pas humain, peut être la figure du "bon côté", de la cause juste.
Les forces de l'ordre n'utilisent jamais les chiens ( policiers pour le coup) dans les opérations anti-émeutes ?
Est-ce qu'on voit des chiens dans les images de NDDL ?
Wouah !