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#Onvautmieuxqueça : le livre qui signe la rupture

De l’eau dans le gaz. Mardi 26 avril, un petit opuscule #OnVautmieuxqueça signé par neuf auteurs est sorti aux éditions Flammarion, entraînant un début de médiatisation à la radio et à la télé. Petit hic : le collectif du même nom assure n’avoir publié aucun livre. Que s’est-il passé ? Les membres à l’initiative de ce collectif né en février n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur leur rapport aux médias. D’où le schisme.

Derniers commentaires

Mal placé
A force de vouloir approcher le soleil (des projecteurs), les papillons se brûleront les ailes.
D'autres ont fait la même erreur qu'eux.
Lire par exemple le livre ON/OFF d'Olivier Pourriol, qui s'est fait écraser par la machine Canal +.

RadioDebout est la preuve qu'on peut faire un bon médium sans passer par la voie mainstream.
Au diable les querelles de chapelle... Oui cet usage non concerté du Hashtag vis à vis du collectif c'est pas joli joli... mais est-ce vraiment le plus important ? Il y a un mouvement social. Beaucoup de personnes, (bien que divisées ), s'expriment enfin ! Des libertaires jusqu'aux sympathisants socialistes déçus, on bouge, on se réunis, on reprend la parole... On occupe des places, des Facs, des supermarchés... Enfin on ne se laisse plus faire !!! C'est ça qu'il faut inscrire dans la réalité, cette prise de conscience que non... ça n'est plus possible le chantage à l'emploi, la culpabilisation du chômeur, et ce mépris caractérisé de la classe dominante !! Rien que sur les alternatives possible il y a eu du changement... avant le mouvement que cette loi Travail a initié peu de personne n'avait entendu parlé de Lordon, Ruffin, Friot... et bien que nous ne soyons pas tous d'accord avec leur concept, on redécouvre enfin les vraies valeurs de la vraie gauche: celles de la justice sociale et de la redistribution des richesses... je suis peut être naïf mais j'ai encore envi d'y croire à ce mouvement social !!! Stop à la sape !!!
Dommage que vous n'ayez pas parlé du mensonge pur et simple du collectif "officiel", qui a renvoyé certains de ses membres, à l'égard du logo. Dany Caligula sur son compte ou le "collectif" lui-même ont déclaré que le logo était sous licence Creative Commons et qu'en conséquent il avait été "volé" (usage commercial) par les auteurs du livre. Or, le logo n'a jamais été sous licence Creative Commons, et l'auteur du logo a donné son autorisation, donc aucun souci de ce point de vue.
Voir les réponses faites sur la FAQ du livre : http://www.onvautmieuxqueca.com/#questions
la moindre des choses: demander leur autorisation aux gens qui ont témoigné, publier une version pdf gratuite.
Il ne faut pas rever. Il y a 1001 lignes de fracture a Gauche. Elles s'ouvriront plus ou moins mais cela ne signifie pas necessairement la defaite car il y a aussi 1001 maniere de les depasser. L'initiative #OnVautMieuxQueCa a deux tetes? Ca veut aussi dire qu'elle est suceptible de toucher plus de monde. Il ne faut pas avoir honte de ses desaccords. Au final, je ne crois pas que qui que ce soit se retrouve ici ridiculise, ni d'un cote ni de l'autre.
Selon Usul, la question politique était aussi devenue clivante : "il y avait deux lignes politiques. Une qui prônait une forme de radicalité propre à la culture d’Internet, et l’autre proche du Parti de gauche. Certains étaient même d’anciens apparatchiks du PG. Ils ne juraient que par Podemos. D’où la rupture".

Ça commence sérieusement à saouler ces procès en pureté de la part d'Usul, pour qui avoir été membre d'un parti signifie qu'on en a été un "apparatchik".

Mais comme dirait DanyCaligula : "C'est là que ce bouquin fait mal : il nous met dans une situation impossible. Il nous pousse à parler de nos divergences, et donc, à nous ridiculiser.".

Au-delà du ridicule, cela semble mettre en exergue une pathologie mentale pour certains.
hum... rupture de quoi ? le seul jeu qui vaille la peine en ces temps de marasme c'est la primaire à gauche pour reprendre la main sur le calendrier politique, le vrai - tout le reste est intéressant, utile sans doute, mais non décisif. Sinon, il y a l'action syndicale, collective, qui pourrait prendre des vraies questions à bras le corps - les inégalités sociales, notamment scolaires et universitaires, plutôt que la loi Travail qui a été largement modérée par Valls et Macron après les succès de la mobilisation de mars.

Qui peut croire encore au grand soir ? la France contre le reste du monde ? organiser la révolution à la Lénine comme dit explicitement Todd dans Fakir ? bof... au fait Todd dit dans cette interview qu'il faut "mettre en cause l'Europe" : ce sera sans moi.

le seul jeu qui vaille la peine en ces temps de marasme c'est la primaire à gauche


C'est vrai que c'est exaltant de choisir si c'est François Hollande, Emmanuel Macron, Pierre Laurent ou Cécile Duflot qui va représenter "la gauche" au 1er tour. J'entends déjà les foules se mettre en mouvement pour ce grand combat ! Hé ho hé ho !
Sans compter que le débat de la « primaire à gauche », s'il a lieu, va laaaargement occuper l'espace médiatique, entre petites phrases, pronostics et débats entre des gens qui pensent plus ou moins la même chose. Soit encore moins de place aux voix divergentes, ceux dont la pensée est encore un peu fraîche et revigorante. On a hâte.
Le seul intérêt de ce genre de primaire est de faire taire toutes les personnes qui ne sont pas sur la même ligne que la ligne majoritaire du PS (soutenant Hollande et le gouvernement), et du coup de priver des millions de gens de représentation lors de l'élection présidentielle.
Ce n'est donc pas dans l'intérêt de tout le monde. Mais on comprend qu'Hollande et ses amis mettent le paquet là-dessus. Ce qui est moins compréhensif, c'est que des @sinautes en fassent la promotion. :(
Pour ma part, je ne sais pas encore si ces primaires seront organisées d'une manière qui vaut le coup, mais la question me semble mériter réflexion.

On peut prendre en compte que le système politique français fait tous les efforts pour imposer un bipartisme, que la gauche y a participé dès le programme commun de 1972, que les uns et les autres se refusent à mettre en place un minimum de proportionnelle aux législatives et que dans ces systèmes, ça déplace le débat sur des primaires comme aux Etats-Unis.

Si le cadre institutionnel structure le rapport de force de telle manière qu'il y a au final le choix entre primaire à gauche, primaire à droite et FN, quelqu'un qui veut une réelle influence sur les politiques effectives, sur le gouvernement, devrait peut-être évaluer les possibilités qu'offrent les primaires. Ce n'est pas de la représentation réelle qu'on obtient en participant à des élections qu'on ne gagne pas, c'est au pire juste de la pub, du genre Lutte Ouvrière qui s'en moque de gouverner, qui profite juste de l'occasion pour exister médiatiquement/publiquement.

Est-il plus facile d'imposer ses idées dans un débat entre sympathisants de gauche, de chercher à remporter une primaire, ou de le faire dans le débat général ?

Les primaires peuvent avoir l'intérêt de faire un premier tri, de pousser les forces en présence à clarifier leur discours pour autant qu'il y ait un réel investissement citoyen autour, que ça ne se réduise pas à la sélection par les militants de leur apparatchik préféré, le jeu des motions du PS et autres.

Et pour ce que j'en vois, nombre de mouvements se disant "citoyens" etc., ne me semblent pas développer une conception révolutionnaire, de renversement idéologique du système, mais plutôt exprimer l'attente d'une sincérité, d'une honnêteté pragmatique avec une fatigue vis-à-vis des postures artificielles qui deviennent mensonge une fois au pouvoir.
Je crois qu'auront un bonus ceux qui diront les choses comme ils veulent réellement les faire dans les conditions de possibilité actuelles, sans prétention aux lendemains qui chantent, qui le diront de manière aussi franche qu'ils veulent mais que ça n'ait pas l'air d'histoires pour enfants, et du coup, ça laisse une ouverture à des candidats en marge des jeux d'appareil où les discours sont prévus d'avance.
Le quinquenat d'Hollande a très largement démontré que les seuls qui ont gagné l'élection présidentielle sont le MEDEF et l'oligarchie en générale.
Sandy, vous me semblez sous-estimer la fameuse phrase de Shakespeare: " bien creusé, vieille taupe !". La vieille taupe de l'histoire est immortelle. Mais l'immortalité prend du temps, surtout vers la fin.
Les gens de gauche ne peuvent pas soutenir un tel groupe politique.
Des primaires impliquent nécessairement que l'on se choisit un candidat commun.
Sauf qu'ici il ne s'agit pas de se choisir un candidat commun, car on ne peut pas représenter le MEDEF et l'oligarchie d'un côté, et le peuple de l'autre.
Il s'agit bien d'empêcher une large partie des français d'être représentés à l'élection présidentielle.

Le MEDEF et l'oligarchie, s'ils perdent, (ce qui structurellement est impossible j'expliquerai plus loin) auront de toute façon la droite pour défendre leurs intérêts.
Si nous nous présentons à cette primaire, et si nous perdons, nous ne serons pas représentés.

Et bien sûr tout est fait pour que nous perdions.
Car les médias s'en donneront à coeur joie pour favoriser les candidats de l'oligarchie. Aucune loi ne pourra nous garantir un minimum de temps de parole vu que ces primaires se dérouleront hors cadre des institutions.
Et au niveau du financement, nécessaire pour aller défendre ses idées dans toute la france, là encore vu que cela se déroule hors cadre des institutions, impossible d'espérer le remboursement d'une campagne.

Aux états-unis, les campagnes des différents candidats sont financées en grandes parties par des dons privés, principalement de groupes d'intérêts, aussi tout est fait pour favoriser les candidats de l'oligarchie. Et les faits démontrent que ce sont toujours les candidats de l'oligarchie qui gagnent.
En France, fort heureusement une telle pratique n'est plus possible, mais cela n'empêche pas les partis de l'oligarchie d'être favorisés.
D'abord ils reçoivent quand même des dons privés, même si leur montant est limité.
Ensuite ils ont des milliers d'élus qui leurs permettent d'obtenir une importante part de l'argent public finançant les institutions.
Enfin ils ont l'avantage de l'accès au pouvoir, attirant bien plus d'adhérents.

Pour pouvoir modifier l'ordre politique il faut du temps et des moyens. Ce n'est évidemment pas en 2 débats tv lors de primaires que les choses vont changer. Votre idée comme quoi il est plus facile de convaincre des sympathisants de gauche est juste du foutage de gueule. Ce n'est pas le fait que les gens soient de gauche ou non qui est important, la plupart des gens ne sont pas aussi politisés que ça. Ce qu'il faut ce sont des moyens et du temps. Il faut pouvoir expliquer au plus de français possible ce que l'on propose, il faut confronter ce que l'on propose à ce que les autres proposent, et bien évidemment à la droite et l'extrême droite surtout. Et il faut laisser du temps aux gens pour les idées cheminent, pour qu'ils les mettent à l'épreuve des faits.
Pour cela il faut imposer ses thèmes dans le débat public, et pas pendant 3 semaines, même pas pendant une campagne de un an, mais bien autant que faire se peut, constamment si possible.
La question me semble d'abord tactique : rien n'empêche de faire le débat de la primaire, de se confronter aux autres candidats et de refuser derrière celui qui serait désigné, si on veut.
Rien n'oblige à avaliser le résultat d'un débat qui n'a pas d'existence institutionnelle définie, pas de valeur légale.
"se confronter aux autres candidats"
Dans une primaire non-mixte alors ?
Pour des débats il n'y a pas besoin d'une primaire, les candidats peuvent débattre quand ils veulent.

Et celui qui participerai et ne respecterait pas le résultat serait trainé plus bas que terre.
Super tactique !
Le problème, c'est qu'il n'y a pas de débat, que chacun reste dans son coin, qu'on ne sait même plus ce que signifie "gauche". Il n'y a qu'à voir ce que fait le PC, incapable de se fixer une ligne et de s'y tenir.
Si au moins tout ce beau monde se décidait à un agenda pour mettre les choses à plat, on y verrait plus clair, quitte à ce qu'on soit au final d'accord sur le caractère irréconciliable de leurs désaccords et que les élections se déroulent sans unité.
Ce que je crains, c'est que les partis ne veuillent pas clarifier les choses, qu'ils préfèrent la pure politique politicienne qui leur permet de conserver des postures sans affronter réellement les questions concrètes de bilan et d'application de leurs propositions.
Le fait qu'il n'y ait pas de débat provient essentiellement du fait que la "gauche" que vous défendez ment comme elle respire, et préfère éviter le débat d'idées.
Ce n'est pas le fait de Mélenchon, qui lui n'a pas la faveur des médias et à tout intérêt à multiplier les interventions et les débats.
Et comme j'ai expliqué plus haut pour changer le rapport de force politique nous avons besoin de l'émergence d'un mouvement citoyen.
Les seuls débats qu'ils acceptent sont sur des terrains qui leur sont favorables et où il n'est pas possible de faire la moindre phrase sans être interrompu.
Ce n'est pas une histoire de sentiments, d'irréconciliable ou je ne sais quoi du genre, c'est une histoire d'idées, des intérêts et des personnes défendues, et donc contradictoires.
Hollande et le PS font des politiques qui servent les intérêts de l'oligarchie, leurs projets de lois sont surement directement écrits par le MEDEF à l'image du "pacte de responsabilité" et de la loi licenciement El-khomri. Ils doivent donc être combattus. On ne peut pas se regrouper avec ces gens là.
Ou alors, ça vient du fait qu'il y a des gens qui font spontanément des séparations franches du type "la gauche que vous défendez" vs Mélenchon.
Et du coup, quand on lit derrière "émergence d'un mouvement citoyen", ça ressemble à "émergence d'un mouvement citoyen favorable à Mélenchon"...
Perso, mon programme de 2012 aurait emprunté à ceux du PS, FdG, EELV et NPA.

Et "débat" dans le cadre d'une primaire à l'américaine, c'est quelques débats contradictoires entre candidats mais surtout une pré-campagne médiatisée où chacun expose son programme avant l'échéance légale, où on a plusieurs mois pour évaluer ce qui est proposé, construire des tendances, voir les convergences possibles, et où se désistent ceux qui sont le moins suivis par l'opinion.

Mais bon, on n'a pas en France cette expérience, le format de primaires reste à construire (si se maintient la structuration bipartisane, pas de proportionnelle etc.).

P.S. : "Irréconciliable" n'était pas pour des sentiments, c'était pour des courants d'idées, qui peuvent ou pas se concilier, être compatibles. Pour ma part, j'ai du mal à m'arrêter aux personnes, d'où d'ailleurs certains agacements vis-à-vis de Mélenchon qui, pour moi, se la joue trop perso.
Pour le mouvement citoyen je l'ai déjà expliqué, s'il en sort un parti politique comme Podemos en Espagne, alors je le soutiendrai, et je pense que Mélenchon aussi. L'important c'est de faire basculer le rapport de force politique, et il faut soutenir le mouvement le mieux placé pour le faire.

Aussi pour l'instant il n'y a que la candidature de Mélenchon qui porte mes espoirs à gauche, et c'est pour cette raison que je me permets de la distinguer de cette fausse gauche qui soutient le gouvernement.

Nous ne sommes pas aux états-unis, et tant mieux. Car alors que vous mettez en avant quelques débats contradictoires, il faut se rappeler que les campagnes qui sont menées lors de ces primaires sont financées principalement par des dons privés d'entreprises et de groupes d'intérêt, ce qui favorise totalement les candidats soutenus par l'oligarchie US.

La médiatisation ne vaut pas celle de la présidentielle qui elle reste encadrée par des lois sur l'égalité de temps de parole, même si celles-ci viennent de régresser.

Et je vous le répète une dernière fois, on ne peut pas se regrouper avec des gens qui défendent les intérêts de l'oligarchie, une primaire avec eux n'a AUCUN SENS et ne vise qu'à nous faire taire.
Le peuple, les travailleurs doivent être représentés, l'intérêt général doit être défendu à l'élection présidentielle par un candidat.
Je crois qu'on n'est pas si éloigné sur l'idée mais c'est vraiment une question tactique pour moi.

Mélenchon parlait de démarche des convergences citoyennes pour les régionales, ça a raté, et la question "tactique" que je me pose, c'est de savoir si cette force-là pourrait se constituer pour s'imposer dans des primaires à gauche, prendre la place du P.S. sur son propre terrain.

Forcément, si on part avec l'idée que les primaires ne sont qu'une opération de sélection du candidat P.S., ça n'a guère d'intérêt mais ça pourrait aussi être l'occasion de faire émerger réellement une alternative : même si le P.S. l'emporte par le poids de son appareil et de ses militants, il pourrait suffire que ce soit une proposition alternative aux candidats attendus qui apparaisse comme son réel concurrent pour que celle-ci assoie sa présence avant les élections et se renforce ensuite en touchant plus large, notamment chez les abstentionnistes voire cette part "prolétarienne" qui s'est tournée vers le FN.

Après, je ne sais pas trop, ça dépend vraiment de ce que seraient ces primaires, mais si elles sont réellement ouvertes, si elles ne sont pas limitées à la participation de candidats officiels des partis, ça pourrait valoir le coup.

Sur le web, je vois des initiatives qui semblent échapper aux appareils (p.e. notreprimaire.fr, primairedegauche.fr, mavoix.info) et il pourrait être intéressant que tout ça se fédère pour investir une éventuelle primaire des partis et s'afficher comme force crédible.

Y'a plus beaucoup de temps pour construire quelque chose...
Pour les mouvements citoyens, il faut se rendre compte qu'ils sont urbains, qu'à force de voir la population se concentrer dans les villes, c'est la vie politique comme dans les cités grecques qui réapparait. Il ne s'agit donc pas d'une conscience révolutionnaire en effet, mais de la conscience d'un intérêt commun. Ces populations diverses qui vivent dans les mêmes villes prennent conscience que leur destin est lié, qu'il existe un intérêt général. Et ça nous faisons le pari que c'est ce qui va tout bouleverser.

Il n'y a plus de conscience ouvrière, mais c'est cette conscience là, qui va prendre le relai.

A partir du moment où on prend conscience de l'intérêt général, on prend conscience que les politiques qui sont menées sont celles d'intérêts particuliers, et qu'elles vont à l'encontre de cet intérêt général. L'ordre politique il va forcément basculer du bon côté.
Un deuxième tour de présidentielles entre Marine et Jean Marie quelle rigolade!
Voyons, Ponteuxin : Comment pourrez-vous échapper à vos responsabilités de gauche ?
L'âne de Buridan hésitait,dit-on,entre un picotin d'avoine et un seau d'eau...Je me demande avec lequel des 2 je vais sauver la république.
A peine né et déjà en rupture. Les cibles de #nuitdebout se marrent, hélas: les politiques classiques, les médias traditionnels et conservateurs, les penseurs encroutés dans les vieilles grilles d'analyse. Comme pour Occupy Wall Street, ne rien revendiquer a ses limites, même si des idées sont nées de ce mouvement et feront leur chemin. L'histoire repasse les plats. Pensons par exemple, aux schismes entre communistes, trotkystes, socialistes et anarchistes pendant la guerre civile en Espagne. Pour finir en mars 1939 à passer la frontière française, une main devant, une main derrière ...
Madame Anne-Sophie, ça devient lassant. Je n'arrête pas de voter pour vos chroniques.
Merci encore.
Quatremer immolé, quelle injustice. Lui qui, le premier, découvrit la nature ultra libérale de l'Europe.

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