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Otages / rançons : zone grise du journalisme

La récente libération des otages d'Arlit, et la capture aujourd'hui d'un prêtre au Cameroun, a relancé le débat sur la médiatisation des enlèvements, des rançons versées ou non aux ravisseurs et sur la façon dont les journalistes doivent traiter ces questions. Comment parler des otages ? Leur médiatisation ne risque-t-elle pas de faire monter les enchères ? Dorothée Moisan, journaliste à l'AFP, publie justement un ouvrage d'enquête sur les prises d'otages. Il s'intitule

Derniers commentaires

et pas une excuse des médias quand ils font une grosse boulette
Que tous les français quittent l'Afrique, et on ne se posera plus la question ... (En plus on fera faire des économies aux contribuables !)
Merci Laure Daussy. Ayant été plusieurs fois otage de la CGT lors d'assauts contre la SNCF, je compatis.

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