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"Oui, il y a des fois où j'ai envie de cogner dur"
Comment Internet renouvelle (et prolonge ?) l'art de la polémique médiatique.
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Derniers commentaires
et Mireille Mathieu
Philippe Cohen était sur votre plateau. Depuis il a quitté Mariannne 2 pour créer un journal (?). On a beaucoup parlé d'Askolovitch mais bien peu d'Eric Dupin qui remplace Philippe Cohen sur Marianne 2. Eh oui Eric Dupin qui s'est fait remarquer plusieurs fois sur le plateau de "C dans l'air" par la vacuité de ses propos et ses pitoyables retournements de veste. Depuis ça dézingue le PS (sport national dans la presse et sur le net) un peu plus chaque jour sur ce site. Aucune une ligne éditoriale = bouillie pour les chats. Beaucoup d'internautes prostestent sans la moindre réactivité. Domenach a disparu dans la nature sans la moindre explication. Une belle entreprise de démolition est en cours et l'audience, ça fout le camp très vite. Mais bon ça a l'air de leur passer totalement au dessus du cigare. Du moment qu'on se case, les chiens aboient, la caravane passe,
Aphatie tellement il est journaliste qu'il vote blanc. D'abord, je sais pas si c'est vrai (l'isoloir, c'est pas pour le décor!), ensuite aphatie est tout sauf neutre. Non, sérieusement. Il patauge dans le consensus mou. Mais surtout, aphatie ne voit rien et n'entend rien. Quand Cohen parle des "médias traditionnels qui ont du mal à passer sous silence des info qui commencent à percer sur le Net", Apathie n'y croit "pas du tout". Il pousse la malhonnête jusqu'à oser dire cette énormité : France 2 auraient diffusé les images du fameux "casse-toi pôv con", s'ils les avaient eues!! On croit rêver! Mais dès lors que Justine lui rappelle que les médias traditionnels ont relayé une révélation qu'il avait faite sur le blog, alors là, oui, il veut bien arrêter de jouer au con, et admettre que le journalisme, sur Internet, ça peut avoir du poids. On aurait aussi pu lui demander pourquoi il n'a pas fait cette révélation sur un plateau TV, ou à la radio. Mais cela aurait été fastidieux, et peut être même violent, de lui faire admettre qu'il était plus libre de le faire sur internet. La question aphatie c'est : comment être journaliste quand on est aveugle, sourd et muet? La pétition "Pour une vigilance républicaine" lancée par Marianne n'est pas une révolte, elle se veut simplement garante d'une République non tenue pour acquise. Mais non, aphatie est radicalement contre. Pour lui c'est une conspiration contre l'élu. En toute neutralité, même qu'il vote blanc. Au lieu d'écouter ce vieux fou de jean-françois kahn, lisez plutôt le blog d'aphatie, c'est lui qui détient la vérité. Jamais, dit-il, il n'écrit quelque chose qu'il n'aurait pas vérifié avant. Alors, comprenez bien, tant qu'aphatie n'ira pas vérifier là où il faut, il répétera inlassablement que, non, Madame la Marquise, y'a rien à voir par ici.
En visionnant votre émission du 8 Août 2008 avec Jean-Michel Aphatie, mon attention a été attirée par sa tirade sur le "scandale" du replacement d'Arnaud Teulé (ancien candidat dissident à la mairie de Neuilly) dans l'éducation nationale. Aphatie dit que la dette n'est pas sa seule préoccupation sur son blog. Sauf qu'après vérification, il n'a jamais exprimé son indignation à propos de cette nomination sur son blog...
Quand le candidat dissident de l'UMP aux municipales de Neuilly est recasé à l'Education nationale
^^
Quand le candidat dissident de l'UMP aux municipales de Neuilly est recasé à l'Education nationale
^^
Bonjour à tous,
Je m'adresse surtout à l'équipe d'@SI, en espérant qu'elle me lira.
La question de la dette est évoquée régulièrement, sur @SI, sur la toile, comme dans les médias traditionnels, mais vous ne lui avez jamais consacré de sujet entier (sur le fond j'entends). Au premier abord cela paraît très grave, qu'en est-il réellement ? Ces dernières années, la question est de plus en plus vivement débattue sur la toile :
_Certains pensent que la dette fait partie intégrante du système économique, entraînant une fuite en avant perpétuelle.
Voir à ce sujet le film "money as debt" http://sathyadas2.blogspot.com/2008/06/money-as-debt-largent-comme-dette.html . Ce film à vocation pédagogique m'est apparu comme très convainquant (mais trompeur selon certains, je me garde bien de porter un jugement -je n'ai pas les connaissances pour).
De nombreux sites, comme "les faux monnayeurs" http://www.fauxmonnayeurs.org/ défendent ce point de vue.
Il existe également des livres comme "la dette publique, une affaire rentable" d'André -Jacques Holbecq et Philippe derudder, à ce sujet il est intéressant de noter la réponse très langue de bois de Mr Giscard sur son blog http://vge-europe.eu/index.php?post/2008/07/25/Reponse-de-VGE#comments , ainsi que les commentaires.
_D'autres prétendent que le montant de la dette n'a rien de grave car ce ne serait qu'une façon parmi d'autres de trouver un financement
Voir "l'hystérie de la dette publique" sur le site d'éconoclaste http://econoclaste.org.free.fr/dotclear/index.php/?2006/11/01/660-l-hysterie-de-la-dette-publique , les liens figurant dans le texte ainsi que "mon déficit et moi" http://econo.free.fr/index.php?option=com_wrapper&Itemid=53 .
Il est intéressant de noter que tous sont d'accord pour dire que les médias occultent le fond du problème.
_ A savoir, pour les uns, l'origine de la dette publique -en France comme ailleurs- prendrait sa source dans le transfert du droit de création monétaire du public au privé, contraignant les Etat à emprunter au privé, leur versant ainsi des intérêts de plus en plus importants. Un dessin valant mieux que de long discours, je vous laisse explorer les graphiques (en bas de page) http://www.societal.org/docs/dette-publique.htm et par rapport aux détenteurs de la dette : http://www.aft.gouv.fr/IMG/jpg/0805_oat_porteurs_fr.jpg .
_ Pour les autres (je me permet de citer econoclaste) : "La dépense publique est-elle utile, efficace, juste, correspond-elle à des besoins réels? L'impôt est-il simple, peu distorsif? Le système fiscal est-il juste? la redistribution fonctionne-t-elle de façon satisfaisante? N'y a-t-il pas des gaspillages publics? Tous ces aspects, qui permettent de juger l'action concrète du gouvernement (car il peut agir sur ces variables-là, bien plus que sur le chômage ou sur la croissance), sont gommés par la mythologie du déficit. Et pour les gouvernements français, tout ce qui permet de dissimuler la réalité de l'action publique est bon à prendre. Sinon, les citoyens pourraient demander des comptes, ça ferait des histoires."
Le monde diplomatique, dans son édition de juillet 2008, propose un article passionnant sur le sujet de la dette. Il stigmatise lui aussi le traitement médiatique de la dette (en critiquant la comparaison du budget de l'Etat à celui d'une entreprise ou d'un ménage par exemple).
Bref, j'aurai voulu savoir si vous prévoyez une émission complète dans un futur plus ou moins lointain, c'est un sujet qui en vaut de l'or (ou de la dette?) ;)
Jean
Je m'adresse surtout à l'équipe d'@SI, en espérant qu'elle me lira.
La question de la dette est évoquée régulièrement, sur @SI, sur la toile, comme dans les médias traditionnels, mais vous ne lui avez jamais consacré de sujet entier (sur le fond j'entends). Au premier abord cela paraît très grave, qu'en est-il réellement ? Ces dernières années, la question est de plus en plus vivement débattue sur la toile :
_Certains pensent que la dette fait partie intégrante du système économique, entraînant une fuite en avant perpétuelle.
Voir à ce sujet le film "money as debt" http://sathyadas2.blogspot.com/2008/06/money-as-debt-largent-comme-dette.html . Ce film à vocation pédagogique m'est apparu comme très convainquant (mais trompeur selon certains, je me garde bien de porter un jugement -je n'ai pas les connaissances pour).
De nombreux sites, comme "les faux monnayeurs" http://www.fauxmonnayeurs.org/ défendent ce point de vue.
Il existe également des livres comme "la dette publique, une affaire rentable" d'André -Jacques Holbecq et Philippe derudder, à ce sujet il est intéressant de noter la réponse très langue de bois de Mr Giscard sur son blog http://vge-europe.eu/index.php?post/2008/07/25/Reponse-de-VGE#comments , ainsi que les commentaires.
_D'autres prétendent que le montant de la dette n'a rien de grave car ce ne serait qu'une façon parmi d'autres de trouver un financement
Voir "l'hystérie de la dette publique" sur le site d'éconoclaste http://econoclaste.org.free.fr/dotclear/index.php/?2006/11/01/660-l-hysterie-de-la-dette-publique , les liens figurant dans le texte ainsi que "mon déficit et moi" http://econo.free.fr/index.php?option=com_wrapper&Itemid=53 .
Il est intéressant de noter que tous sont d'accord pour dire que les médias occultent le fond du problème.
_ A savoir, pour les uns, l'origine de la dette publique -en France comme ailleurs- prendrait sa source dans le transfert du droit de création monétaire du public au privé, contraignant les Etat à emprunter au privé, leur versant ainsi des intérêts de plus en plus importants. Un dessin valant mieux que de long discours, je vous laisse explorer les graphiques (en bas de page) http://www.societal.org/docs/dette-publique.htm et par rapport aux détenteurs de la dette : http://www.aft.gouv.fr/IMG/jpg/0805_oat_porteurs_fr.jpg .
_ Pour les autres (je me permet de citer econoclaste) : "La dépense publique est-elle utile, efficace, juste, correspond-elle à des besoins réels? L'impôt est-il simple, peu distorsif? Le système fiscal est-il juste? la redistribution fonctionne-t-elle de façon satisfaisante? N'y a-t-il pas des gaspillages publics? Tous ces aspects, qui permettent de juger l'action concrète du gouvernement (car il peut agir sur ces variables-là, bien plus que sur le chômage ou sur la croissance), sont gommés par la mythologie du déficit. Et pour les gouvernements français, tout ce qui permet de dissimuler la réalité de l'action publique est bon à prendre. Sinon, les citoyens pourraient demander des comptes, ça ferait des histoires."
Le monde diplomatique, dans son édition de juillet 2008, propose un article passionnant sur le sujet de la dette. Il stigmatise lui aussi le traitement médiatique de la dette (en critiquant la comparaison du budget de l'Etat à celui d'une entreprise ou d'un ménage par exemple).
Bref, j'aurai voulu savoir si vous prévoyez une émission complète dans un futur plus ou moins lointain, c'est un sujet qui en vaut de l'or (ou de la dette?) ;)
Jean
Trois fois rien, mais la vidéo dure plus de 52 minutes.
Là où il est fort , Aphatie, c'est qu'il arrive à centrer toute l'émission sur lui , même quand il se fait ouvertement chier. C'est aussi ce qui le rend insupportable et absolument pas crédible comme journaliste. Il ne réfléchit pas , il ne sait parler que de lui ou se taire.
Merci pour cette émission que je viens de regarder seulement maintenant.
Merci pour cette émission que je viens de regarder seulement maintenant.
L'idée est évoquée dans l'émission, mais je préfère la répéter, voir la préciser et l'analyser :
Aphatie l'évoque lui-même sans s'y éterniser ; et je pense que c'est LA raison de son auto-interdiction de voter (puisque c'est la 1ère) :
c'est pour que les 'gens' qui lui demandent "pour qui tu vote?" ne l'enferme pas dans un militantisme pour tel ou tel partis/candidat.
(Alors que, on va le voir, il n'en n'a pas besoin - de cette excuse).
De ce point de vue, je le comprend tout à fait, car en plus ça n'est pas pareil que de dire "je ne veux pas le dire" qui a un côté 'petit cachotier' si cela vient de n'importe-qui.
Mais si cela viens d'Aphatie, qui n'est pas n'importe qui, notament qu'il est 'journaliste politique', alors que, -si correctement expliquée- c'est une 'excuse' ("je ne veux pas le dire") tout à fait valable, en tout cas venant de personnes disont cultivées, qui ne votent pas pour un oui ou pour un non.
Et donc en soit, cette chose n'est pas grand-chose!
1) Par-contre, Aphatie l'utilise comme preuve irréfutable pour dire 'je ne suis pas engagé pour un tel ou un tel', et/ou 'je n'ai pas d'opinion, car je suis le bon sens incarné' (ce qui est faux puisque même le bon sens a une opinion, qui est par définition la bonne opinion), et notament, le pire, 'je n'ai aucuns liens même idéologiques avec aucuns partis'. Et d'ailleurs, si aucun partis ne le plaisait, il le crierait bien plus fort que ça (personnellement je ne l'entend pas), or en l'occurence il n'avance que le seul argument 'je vote blanc', qui ne peut pas en être un (et on pourrait dire qu'il en est l'exemple-même, mais dans cet argumentaire, ce serait une conclusion trop attive)
2) Par exemple, il pourrait tout à fait être 100% Socialiste (hypothèse 100% hypothétique!), tout en votant blanc!
Venant d'une personne comme lui, ça serait possible, et alors le fait de voter blanc, on s'en contre-balance complètement.
3) Il n'y a pas besoin de savoir pour qui vote une personne pour savoir ce qu'elle pense. Car c'est bien dans ce sens que ce font les choses : à partir de ce que l'on pense, on vote pour quelqu'un (et non l'inverse, en tout cas pour les personnes qui réfléchissent à leur acte).
Et car c'est bien la pensée qui nous intéresse, car le vote n'est que l'illustration de la pensée.
C'est ce que dit maladroitement Cohen par "respirer le Sarkozysme sans être Sarkozyste" : maladroitement car bien que sa phrase le fasse comprendre, il peut y avoir une imcompréhension face au terme "respirer" ;
on ne peut dire de quelqu'un qu'il est soit 0%, soit 100% (ce que sous-entend "être Sarkozyste") Sarkozyste ;
le "respirer", il faut le comprendre comme du "entre 1 et 99%".
Je croit qu'en 2ème temps, c'est surtout pour se démarquer des autres "personnalités médiatiques", pour qu'on s'intéresse à lui.
J'aimerais le croire l'incarnation du bon sens, si il était juste dans sa distribution des bons et mauvais points, ce qui n'est pas le cas ;
il tape fort sur certains, sans raison, et ne tape pas sur d'autres, quand c'est évident.
Dés alors, on ne peut avoir que de forts doutes quant à son 'bon sens' (pourtant si bien dévellopé via son analyse du problème de la dette, mais il est hélas victime comme beaucoup de gens d'une incohérence personnelle globale, qui consiste à se spécialiser sur un sujet, à le maitriser correctement, mais sans le mettre en perspective avec toutes ses autres analyses au sujet de tout et n'importe quoi).
Bonus track pour les intéressés :
tout le monde aura remarqué (formule de mise) au moins 2 sourires mesquins d'Aphatie, précisément localisé par mes soins :
Acte 5 : 3min12 à '14 et 4min32 à '35
Emission entière : 47min19 à '21 et 48min38 à '41
D'où : DS aurait pu lui demander précisément (même si cela parait évident) si à Canal, ils avaient préparé l'arrivée de JF Kahn, si oui comment,...
2ème Bonus :
ayant subitement un doute sur l'écriture de 'Aphatie', je fait une recherche... c'est bien 'Aphatie', et non 'Apathie',
*** qui signifie d'après Wikipédia :
Apathie est un terme médical désignant un état de fatigue physique ou intellectuelle profond (mais le plus souvent réversible) se caractérisant par une indifférence à l'émotion et aux désirs. Ne pas confondre avec l'ataraxie.
*** également dans le Wiktionnaire : http://fr.wiktionary.org/wiki/apathie
1) (Vieux) État d’une âme qui n’est susceptible d’aucune émotion.
Les stoïciens voulaient que leur sage fût dans une entière apathie.
2) Signifie le plus communément nonchalance, indolence.
'Tomber dans l’apathie.'
'Il est d’une apathie dont rien ne peut le faire sortir.'
*** aussi, pour plus de détails : http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/apathie-525.html
3ème Bonus :
AU passage, je suis tombé sur ce site qui me parait intéressant, qui a un petit article sympa intitulé "Apathie et Denisot réinventent la minute blonde pour JF Kahn" : http://www.lesmotsontunsens.com/apathie-denisot-jean-francois-kahn-grand-journal-canal-plus
Aphatie l'évoque lui-même sans s'y éterniser ; et je pense que c'est LA raison de son auto-interdiction de voter (puisque c'est la 1ère) :
c'est pour que les 'gens' qui lui demandent "pour qui tu vote?" ne l'enferme pas dans un militantisme pour tel ou tel partis/candidat.
(Alors que, on va le voir, il n'en n'a pas besoin - de cette excuse).
De ce point de vue, je le comprend tout à fait, car en plus ça n'est pas pareil que de dire "je ne veux pas le dire" qui a un côté 'petit cachotier' si cela vient de n'importe-qui.
Mais si cela viens d'Aphatie, qui n'est pas n'importe qui, notament qu'il est 'journaliste politique', alors que, -si correctement expliquée- c'est une 'excuse' ("je ne veux pas le dire") tout à fait valable, en tout cas venant de personnes disont cultivées, qui ne votent pas pour un oui ou pour un non.
Et donc en soit, cette chose n'est pas grand-chose!
1) Par-contre, Aphatie l'utilise comme preuve irréfutable pour dire 'je ne suis pas engagé pour un tel ou un tel', et/ou 'je n'ai pas d'opinion, car je suis le bon sens incarné' (ce qui est faux puisque même le bon sens a une opinion, qui est par définition la bonne opinion), et notament, le pire, 'je n'ai aucuns liens même idéologiques avec aucuns partis'. Et d'ailleurs, si aucun partis ne le plaisait, il le crierait bien plus fort que ça (personnellement je ne l'entend pas), or en l'occurence il n'avance que le seul argument 'je vote blanc', qui ne peut pas en être un (et on pourrait dire qu'il en est l'exemple-même, mais dans cet argumentaire, ce serait une conclusion trop attive)
2) Par exemple, il pourrait tout à fait être 100% Socialiste (hypothèse 100% hypothétique!), tout en votant blanc!
Venant d'une personne comme lui, ça serait possible, et alors le fait de voter blanc, on s'en contre-balance complètement.
3) Il n'y a pas besoin de savoir pour qui vote une personne pour savoir ce qu'elle pense. Car c'est bien dans ce sens que ce font les choses : à partir de ce que l'on pense, on vote pour quelqu'un (et non l'inverse, en tout cas pour les personnes qui réfléchissent à leur acte).
Et car c'est bien la pensée qui nous intéresse, car le vote n'est que l'illustration de la pensée.
C'est ce que dit maladroitement Cohen par "respirer le Sarkozysme sans être Sarkozyste" : maladroitement car bien que sa phrase le fasse comprendre, il peut y avoir une imcompréhension face au terme "respirer" ;
on ne peut dire de quelqu'un qu'il est soit 0%, soit 100% (ce que sous-entend "être Sarkozyste") Sarkozyste ;
le "respirer", il faut le comprendre comme du "entre 1 et 99%".
Je croit qu'en 2ème temps, c'est surtout pour se démarquer des autres "personnalités médiatiques", pour qu'on s'intéresse à lui.
J'aimerais le croire l'incarnation du bon sens, si il était juste dans sa distribution des bons et mauvais points, ce qui n'est pas le cas ;
il tape fort sur certains, sans raison, et ne tape pas sur d'autres, quand c'est évident.
Dés alors, on ne peut avoir que de forts doutes quant à son 'bon sens' (pourtant si bien dévellopé via son analyse du problème de la dette, mais il est hélas victime comme beaucoup de gens d'une incohérence personnelle globale, qui consiste à se spécialiser sur un sujet, à le maitriser correctement, mais sans le mettre en perspective avec toutes ses autres analyses au sujet de tout et n'importe quoi).
Bonus track pour les intéressés :
tout le monde aura remarqué (formule de mise) au moins 2 sourires mesquins d'Aphatie, précisément localisé par mes soins :
Acte 5 : 3min12 à '14 et 4min32 à '35
Emission entière : 47min19 à '21 et 48min38 à '41
D'où : DS aurait pu lui demander précisément (même si cela parait évident) si à Canal, ils avaient préparé l'arrivée de JF Kahn, si oui comment,...
2ème Bonus :
ayant subitement un doute sur l'écriture de 'Aphatie', je fait une recherche... c'est bien 'Aphatie', et non 'Apathie',
*** qui signifie d'après Wikipédia :
Apathie est un terme médical désignant un état de fatigue physique ou intellectuelle profond (mais le plus souvent réversible) se caractérisant par une indifférence à l'émotion et aux désirs. Ne pas confondre avec l'ataraxie.
*** également dans le Wiktionnaire : http://fr.wiktionary.org/wiki/apathie
1) (Vieux) État d’une âme qui n’est susceptible d’aucune émotion.
Les stoïciens voulaient que leur sage fût dans une entière apathie.
2) Signifie le plus communément nonchalance, indolence.
'Tomber dans l’apathie.'
'Il est d’une apathie dont rien ne peut le faire sortir.'
*** aussi, pour plus de détails : http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/apathie-525.html
3ème Bonus :
AU passage, je suis tombé sur ce site qui me parait intéressant, qui a un petit article sympa intitulé "Apathie et Denisot réinventent la minute blonde pour JF Kahn" : http://www.lesmotsontunsens.com/apathie-denisot-jean-francois-kahn-grand-journal-canal-plus
Quel personnage désagréable que ce Monsieur(?)Apathie:mépris affiché pour le journaliste de Marianne 2(dont le temps de parole est limité!),pour la jeune femme qui pourtant le renvoie à ses propres paroles (qu'il n'a même pas l'honnêteté de reconnaître),quelle auto-satisfaction!décidément je préfère-et de loin- le "ton" de Demorand(qu'il prend aussi pour cible)...
Très bonne émission. Je suis d'accord les commentaires, le couple marche bien.
"Oui, il y a des fois où j'ai envie de cogner dur"
moi aussi quand j'entends parler apathie
apathie ,
mais il revient toujours
à la charge
moi aussi quand j'entends parler apathie
apathie ,
mais il revient toujours
à la charge
En cette période de jeux olympiques Apathie serait à classer dans la catégorie "escrime " Un bon sabreur sans plus; au fleuret y se ferait "moucheter" bien vite
son seul défaut (bien caché ) mais pourtant si visible c'est qu'il est droitier voyez vous ? Manque de souplesse évident dans le poignet !Pas si bon breteur que ça le Gascon ;-))
Pour le reste chez Canal + avec la" bande " a Deniso il joue parfaitement son rôle de clown de service ,esprit de troupe oblige. Et quel Ego-cent-trique !
son seul défaut (bien caché ) mais pourtant si visible c'est qu'il est droitier voyez vous ? Manque de souplesse évident dans le poignet !Pas si bon breteur que ça le Gascon ;-))
Pour le reste chez Canal + avec la" bande " a Deniso il joue parfaitement son rôle de clown de service ,esprit de troupe oblige. Et quel Ego-cent-trique !
[large]je suis desole de creer un message de plus dans ce forum qui ne traite pas du fond de cette emission mais plutot de la forme.
La forme SONORE!
Il faut absolument que vous fassiez quelque chose pour le probleme recurrent du volume sonore de vos emissions (c'est quand meme pas sorcier!).
Comme d'autres abonnés, je n'ai aucun probleme de son sur d'autres sites, mais sur le votre c'est carrement le cauchemar, j'ai failli me decoller l'oreille a force de la tendre.
Sans le son, un debat c'est moins marrant...
Bref, tournez le bouton du volume vers le haut la prochaine fois et je vous jure que je ne vociferai plus sur ce forum a propos de problemes techniques.[/large]
La forme SONORE!
Il faut absolument que vous fassiez quelque chose pour le probleme recurrent du volume sonore de vos emissions (c'est quand meme pas sorcier!).
Comme d'autres abonnés, je n'ai aucun probleme de son sur d'autres sites, mais sur le votre c'est carrement le cauchemar, j'ai failli me decoller l'oreille a force de la tendre.
Sans le son, un debat c'est moins marrant...
Bref, tournez le bouton du volume vers le haut la prochaine fois et je vous jure que je ne vociferai plus sur ce forum a propos de problemes techniques.[/large]
Il me semble que l'émission commence à prendre son rythme de croisière: formellement, c'est l'une des meilleures.
La présence d'un binôme aux côtés de DS me paraît fondamentale (Justine le fait très bien !): cela introduit des respirations bienvenues, cela permet à DS de souffler un peu.
J'espère qu'elle sera désormais systématique.
Sur le fond, bonne émission aussi. L'animal Apathie est assez fascinant: énervant parfois mais unique (pas un de ces clones sarkozystes lisses et ennuyeux).
La présence d'un binôme aux côtés de DS me paraît fondamentale (Justine le fait très bien !): cela introduit des respirations bienvenues, cela permet à DS de souffler un peu.
J'espère qu'elle sera désormais systématique.
Sur le fond, bonne émission aussi. L'animal Apathie est assez fascinant: énervant parfois mais unique (pas un de ces clones sarkozystes lisses et ennuyeux).
le 'procès' d'apathie, moi je l'aime bien jma cet accent et je crois qu'il en veut à cette gauche ps dont il a très vite démissionné, et enfin c'est un gars qui s'est fait tout seul, et ce ton me plaît, forcément il y a de la subjectivité quoique que l'on dire ou fasse.
je dirais acquitté avec les 'félicitations du jury'
jba
je dirais acquitté avec les 'félicitations du jury'
jba
c'est sûr que ce type manie plutôt bien la langue de bois concernant sont prétendu impartialité, et pour le moins que l'on puisse dire les questions sociales sont loin d'être sont dada. En tout les cas l'ambiguité semble un peu être son fond de commerce. Quand à JFK j'avais trouvé qu'il a quand même pas mal de répondant pour un type de son âge et ce malgré tout !
Je trouve que dans ce débat (émission + commentaires), il est établi comme un fait absolu que l'émission du Grand Journal de Canal+ était un traquenard pour Jean-François Kahn (Marianne). Il est vrai que l'extrait choisi par @si n'a pas mis les interventions de JFK (non, non, pas Kennedy lol) à son avantage.
En revisionnant l'intégralité de l'émission de Canal+, j'ai pu me rendre compte qu'au contraire, c'est Jean-Michel Aphatie qui tourne vinaigre ! Il nous ressort 4 fois la déclaration de Mitterrand en 1964, interrompt sans cesse JFK en posant la même question à répétition, formule des contre-vérités à propos de la pétition de Marianne, marquant par là sa méconnaissance du dossier (pour un soi-disant « éminent » journaliste), se contredit sur l'objet de cette pétition...
Finalement, je reste convaincu (comme JFK) qu'Aphatie n'est pas sarkoziste... il est encore plus à droite que Sarkozy !
En revisionnant l'intégralité de l'émission de Canal+, j'ai pu me rendre compte qu'au contraire, c'est Jean-Michel Aphatie qui tourne vinaigre ! Il nous ressort 4 fois la déclaration de Mitterrand en 1964, interrompt sans cesse JFK en posant la même question à répétition, formule des contre-vérités à propos de la pétition de Marianne, marquant par là sa méconnaissance du dossier (pour un soi-disant « éminent » journaliste), se contredit sur l'objet de cette pétition...
Finalement, je reste convaincu (comme JFK) qu'Aphatie n'est pas sarkoziste... il est encore plus à droite que Sarkozy !
Fantastique Aphatie !
Hallucinant gredin… Il y a quand même des détails qui tuent, par exemple la cravate d’homme politique ou de banquier, les 5 boutons de la manche de veste (au moins un de trop pour quelqu’un d’élégant, et il faudrait de toute façon laisser le dernier déboutonné !) Dans le cinquième bouton on mesure l’enflure de l’ego, la boursouflure du paysan qui accède au tailleur, mais ne choisit pas le bon – ou ne l’écoute pas…
C’est évidemment un détail, mais tellement révélateur !
Sur le fond quelqu’un qui se frite avec J.-F. K. ne peut pas avoir raison… Il est parfaitement évident qu’Aphatie est Sarkoziste – voire à sa droite comme le suggère Philippe Cohen, ce qui est un exploit très difficile à concevoir !
Le fait qu’il vote ou non ne change rien à cette évidence, d’ailleurs personne ne le suit dans l’isoloir pour voir quel bulletin il glisse dans l’enveloppe.
Pourtant il y a une curiosité que le débat s’est bien gardé d’approfondir et le forum encore moins : l’opinion d’Aphatie sur la dette.
Et l’autre zozo qui ne trouve rien de mieux que de citer de prétendus économistes favorables à la dette… Des fossoyeurs, oui !
Car la réalité est très simple : endetter un État pour financer de grands projets, sur une courte période, pourquoi pas ? Fonctionner en lourd déficit pendant plus de 30 ans pour financer les dépenses courantes c’est une honte absolue, la preuve qu’on ne fait pas son métier et qu’on cède à toutes les facilités.
Il faut ajouter que l’enfumage du citoyen dans ce domaine est insensé : on nous explique benoîtement que le déficit est de 3% du PIB… Très drôle – le chiffre ne fait pas trop peur, en réalité l’État dépense année après année 20% de plus qu’il ne gagne, essentiellement pour payer ses fonctionnaires dont le nombre est très excessif lorsqu’on sait que les Etats-Unis et le Japon (sous-administrés comme chacun sait) se contentent de 15% ou moins (Japon) de fonctionnaires par rapport à l’ensemble des actifs… Quand nous sommes à 25% en France !
Et là on se pose des questions : qui souhaite quoi en France dans ce domaine ?
Traditionnellement la gauche distribue l’argent qu’elle n’a pas (ce qui entretient pour pas cher sa réputation de générosité) et commence par taxer les “riches”, ce qui les fait fuir promptement, pour continuer en taxant les “pauvres” – plus maniables et moins mobiles – et finalement vivre à crédit, laissant les dettes aux générations futures qui seront certainement enchantées de devoir se serrer la ceinture pour solder les salaires de nos aimables – et surtout indispensables – fonctionnaires des 30 dernières années…
Mais finalement la droite a bien compris la leçon : pourquoi se rendre impopulaire en serrant la ceinture des Français ? Ne vaut-il pas mieux laisser de lourdes dettes aux futures générations (qui ne les paieront probablement pas, une bonne guerre y pourvoira) sans leur demander leur avis ? De toute façon pour désendetter la France il faudrait réduire les dépenses de 40% pendant des années… On fait comment ? Ou augmenter les impôts de 40% ? On est déjà à fond, record du monde !
Dernière issue : déposer au bord du chemin 40% de nos fonctionnaires (auxquels, on ne sait pourquoi, on a garanti un emploi à vie, une retraite de bonne heure et un taux de retraite beaucoup plus favorable que dans le privé)… En fait on sait pourquoi : tout simplement parce qu’à l’époque de cette idée lumineuse les salaires du public étaient inférieurs à ceux du privé. On faisait passer la pilule à crédit, déjà : nos descendants paieront vos retraites…
Et nous les payons (plus longtemps que prévu avec l’allongement de la durée de la vie), mais nous ne les provisionnons pas dans nos dettes avouées : 1.200 milliards d’€uros + 800 milliards d’€uros de provisions pour retraites. Attention entre le moment où je l’écris et celui où vous le lisez pas mal de millions sont venus s’ajouter à ces chiffres…
Alors que veut Aphatie, puisqu’il est question de lui ?
Peut-être venir à bout d’un service public globalement failli puisqu’il a abusé de sa force (et de la faiblesse des politiques) pour obtenir d’innombrables avantages indus, tant sur les salaires et retraites que sur les effectifs (c’est beaucoup moins fatigant de se mettre à 3 pour faire le travail d’un seul !)
A-t-il tort, a-t-il raison ? Son attitude est-elle de droite ? Peut-être, mais comment la gauche peut-elle justifier de vivre aux frais de son éventuelle descendance ?
Finalement, pour ce qui me concerne, incapable d’avoir la moindre sympathie pour la droite égoïste, et maintenant bling-bling, je suis assez révulsé par la jean-foutrerie de la gauche en fait d’argent… D’autant plus qu’elle a contaminé la droite ! Mais y a-t-il réellement une différence entre droite et gauche ? Marianne, justement, s’interroge cette semaine sur une éventuelle différence entre Hitler et Staline… Les vrais spécialistes en trouvent très peu, les pays de l’Est souhaitent dénoncer les innombrables crimes du communisme (le musée le plus visité de Budapest est consacré aux crimes communistes et nazis) mais les pays de l’Ouest traînent la patte…
Bien-pensance oblige, semble-t-il !
Très bonne émision quoi qu'il en soit, prétexte à se poser quelques questions...
***
Hallucinant gredin… Il y a quand même des détails qui tuent, par exemple la cravate d’homme politique ou de banquier, les 5 boutons de la manche de veste (au moins un de trop pour quelqu’un d’élégant, et il faudrait de toute façon laisser le dernier déboutonné !) Dans le cinquième bouton on mesure l’enflure de l’ego, la boursouflure du paysan qui accède au tailleur, mais ne choisit pas le bon – ou ne l’écoute pas…
C’est évidemment un détail, mais tellement révélateur !
Sur le fond quelqu’un qui se frite avec J.-F. K. ne peut pas avoir raison… Il est parfaitement évident qu’Aphatie est Sarkoziste – voire à sa droite comme le suggère Philippe Cohen, ce qui est un exploit très difficile à concevoir !
Le fait qu’il vote ou non ne change rien à cette évidence, d’ailleurs personne ne le suit dans l’isoloir pour voir quel bulletin il glisse dans l’enveloppe.
Pourtant il y a une curiosité que le débat s’est bien gardé d’approfondir et le forum encore moins : l’opinion d’Aphatie sur la dette.
Et l’autre zozo qui ne trouve rien de mieux que de citer de prétendus économistes favorables à la dette… Des fossoyeurs, oui !
Car la réalité est très simple : endetter un État pour financer de grands projets, sur une courte période, pourquoi pas ? Fonctionner en lourd déficit pendant plus de 30 ans pour financer les dépenses courantes c’est une honte absolue, la preuve qu’on ne fait pas son métier et qu’on cède à toutes les facilités.
Il faut ajouter que l’enfumage du citoyen dans ce domaine est insensé : on nous explique benoîtement que le déficit est de 3% du PIB… Très drôle – le chiffre ne fait pas trop peur, en réalité l’État dépense année après année 20% de plus qu’il ne gagne, essentiellement pour payer ses fonctionnaires dont le nombre est très excessif lorsqu’on sait que les Etats-Unis et le Japon (sous-administrés comme chacun sait) se contentent de 15% ou moins (Japon) de fonctionnaires par rapport à l’ensemble des actifs… Quand nous sommes à 25% en France !
Et là on se pose des questions : qui souhaite quoi en France dans ce domaine ?
Traditionnellement la gauche distribue l’argent qu’elle n’a pas (ce qui entretient pour pas cher sa réputation de générosité) et commence par taxer les “riches”, ce qui les fait fuir promptement, pour continuer en taxant les “pauvres” – plus maniables et moins mobiles – et finalement vivre à crédit, laissant les dettes aux générations futures qui seront certainement enchantées de devoir se serrer la ceinture pour solder les salaires de nos aimables – et surtout indispensables – fonctionnaires des 30 dernières années…
Mais finalement la droite a bien compris la leçon : pourquoi se rendre impopulaire en serrant la ceinture des Français ? Ne vaut-il pas mieux laisser de lourdes dettes aux futures générations (qui ne les paieront probablement pas, une bonne guerre y pourvoira) sans leur demander leur avis ? De toute façon pour désendetter la France il faudrait réduire les dépenses de 40% pendant des années… On fait comment ? Ou augmenter les impôts de 40% ? On est déjà à fond, record du monde !
Dernière issue : déposer au bord du chemin 40% de nos fonctionnaires (auxquels, on ne sait pourquoi, on a garanti un emploi à vie, une retraite de bonne heure et un taux de retraite beaucoup plus favorable que dans le privé)… En fait on sait pourquoi : tout simplement parce qu’à l’époque de cette idée lumineuse les salaires du public étaient inférieurs à ceux du privé. On faisait passer la pilule à crédit, déjà : nos descendants paieront vos retraites…
Et nous les payons (plus longtemps que prévu avec l’allongement de la durée de la vie), mais nous ne les provisionnons pas dans nos dettes avouées : 1.200 milliards d’€uros + 800 milliards d’€uros de provisions pour retraites. Attention entre le moment où je l’écris et celui où vous le lisez pas mal de millions sont venus s’ajouter à ces chiffres…
Alors que veut Aphatie, puisqu’il est question de lui ?
Peut-être venir à bout d’un service public globalement failli puisqu’il a abusé de sa force (et de la faiblesse des politiques) pour obtenir d’innombrables avantages indus, tant sur les salaires et retraites que sur les effectifs (c’est beaucoup moins fatigant de se mettre à 3 pour faire le travail d’un seul !)
A-t-il tort, a-t-il raison ? Son attitude est-elle de droite ? Peut-être, mais comment la gauche peut-elle justifier de vivre aux frais de son éventuelle descendance ?
Finalement, pour ce qui me concerne, incapable d’avoir la moindre sympathie pour la droite égoïste, et maintenant bling-bling, je suis assez révulsé par la jean-foutrerie de la gauche en fait d’argent… D’autant plus qu’elle a contaminé la droite ! Mais y a-t-il réellement une différence entre droite et gauche ? Marianne, justement, s’interroge cette semaine sur une éventuelle différence entre Hitler et Staline… Les vrais spécialistes en trouvent très peu, les pays de l’Est souhaitent dénoncer les innombrables crimes du communisme (le musée le plus visité de Budapest est consacré aux crimes communistes et nazis) mais les pays de l’Ouest traînent la patte…
Bien-pensance oblige, semble-t-il !
Très bonne émision quoi qu'il en soit, prétexte à se poser quelques questions...
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Moi, je me pose la question de l'objectivité du journalisme lorsque l'on voit que la firme du fabricant d'armes Dassault est autorisée par l'Union Européenne à prendre le controle de 70 publications dont le Figaro, l'Express et un tiers de la presse quotidienne générale.
@Patrice Guyot.
Votre post est très intéressant car il est symptomatique des réflexions en vogue actuellement et appuie largement les « théories » libérales prônées par le pouvoir en place. Pour expliquer la dette, vous fustigez une partie de la population, les fonctionnaires, en dressant l'autre partie contre eux. C'est une dialectique largement employée depuis des lustres par les régimes de droite, voire d'extrême droite : les riches contre les pauvres, les actifs contre les chômeurs, les exploitants contre les exploités, ceux qui travaillent-et-se-lèvent-tôt contre les assistés sociaux, les citadins contre les paysans, etc...
Malheureusement, votre démonstration ne tient pas.
...essentiellement pour payer ses fonctionnaires dont le nombre est très excessif lorsqu’on sait que les Etats-Unis et le Japon (sous-administrés comme chacun sait) se contentent de 15% ou moins (Japon) de fonctionnaires par rapport à l’ensemble des actifs… Quand nous sommes à 25% en France !
Je n'ai pas vérifié vos chiffres et veux bien vous les accorder pour vrais. Mais ceux-ci font référence aux fonctionnaires par rapport aux actifs.
Les taux de chômage sont pour les États-Unis de 5% et pour le Japon de 3,80% alors qu'en France le taux est de 8,20% (officiellement mais dépasse certainement les 10% sans les tours de passe-passe). Notre proportion d'actif est donc moindre, ce qui gonfle le ratio de fonctionnaires, pourtant aussi indispensables aux actifs qu'aux inactifs.
...commence par taxer les “riches”, ce qui les fait fuir promptement
Le relèvement du bouclier fiscal, les abattements sur les successions, les cadeaux sur les charges patronales (heures supplémentaires, RTT rachetables, détaxation des primes de fin d'année...) n'ont pas fait revenir les « riches » aux dernières nouvelles. A se demander si ces fuyards n'étaient pas partis pour d'autres raisons... Auquel cas ces mesures n'étaient destinées qu'à faire des cadeaux « aux copains », la fuite des capitaux n'étant qu'un prétexte.
...pour désendetter la France il faudrait réduire les dépenses de 40% pendant des années… On fait comment ? Ou augmenter les impôts de 40% ? On est déjà à fond, record du monde !
Je concède que la réduction des dépenses est un des éléments à prendre en compte et cela passe par une meilleure gestion des structures de la nation (entre autres, les 8 niveaux de décision : région, département, pays, communautés de communes, etc...).
Mais vouloir éliminer la dette sur les fondements actuels de l'économie, c'est comme vouloir assécher l'océan en puisant avec une petite cuillère. Le problème essentiel vient de la monnaie, des finances mondiales. Songez que les richesses mondiales ne représentent que 20% des réserves monétaires. Les gouvernements et surtout les banquiers, les spéculateurs n'ont cessé de créer du papier ! Il est là le véritable « enfumage du citoyen », comme vous dites. Et Sarko qui tanne la Banque Centrale pour baisser ses taux (c'est à dire créer du papier monnaie) pour relancer l'économie !
...pour obtenir d’innombrables avantages indus, tant sur les salaires et retraites que sur les effectifs (c’est beaucoup moins fatigant de se mettre à 3 pour faire le travail d’un seul !)
Vous n'avez pas honte d'écrire de pareilles âneries ? Depuis quand un salaire est-il un « avantage indu » ? Est-ce que mériter une retraite lorsqu'on a cotisé toute sa vie est un « avantage indu » ? Le parachute en or de Patricia Russo (Alcatel) après avoir coulé sa boite, n'est-il pas un « avantage indu » ? Les 40 millions d'euros donnés à Bernard Tapie par Sarko, alors que le Crédit Lyonnais nous a laissé une dette de 40.000 euros à chaque français, n'est-il pas un « avantage indu » ? Quant à l'effectif qui consiste à penser que 2 fonctionnaires sur 3 ne foutent rien, je ne vous souhaite pas de vous retrouver dans un hôpital où vous n'auriez qu'une visite d'une infirmière toutes les 24 heures au lieu de toutes les 8 heures, un train sur 3 (car un conducteur au lieu de 3), un guichet de poste au lieu de 3, un facteur qui passerait tous les 3 jours !
Enfin, votre amalgame final communisme / fascisme est digne d'une rhétorique de droite hors sujet destinée à polémiquer. A moins que vous n'ayez cité Marianne pour nous montrer que vous avez de bonnes lectures. Encore faut-il savoir interpréter et ne pas répéter servilement tout ce que vous entendez chez télélysée ou ailleurs.
Ah ! J'oubliais de vous dire que je ne suis pas fonctionnaire, ni ouvrier-communiste, je suis travailleur indépendant.
Votre post est très intéressant car il est symptomatique des réflexions en vogue actuellement et appuie largement les « théories » libérales prônées par le pouvoir en place. Pour expliquer la dette, vous fustigez une partie de la population, les fonctionnaires, en dressant l'autre partie contre eux. C'est une dialectique largement employée depuis des lustres par les régimes de droite, voire d'extrême droite : les riches contre les pauvres, les actifs contre les chômeurs, les exploitants contre les exploités, ceux qui travaillent-et-se-lèvent-tôt contre les assistés sociaux, les citadins contre les paysans, etc...
Malheureusement, votre démonstration ne tient pas.
...essentiellement pour payer ses fonctionnaires dont le nombre est très excessif lorsqu’on sait que les Etats-Unis et le Japon (sous-administrés comme chacun sait) se contentent de 15% ou moins (Japon) de fonctionnaires par rapport à l’ensemble des actifs… Quand nous sommes à 25% en France !
Je n'ai pas vérifié vos chiffres et veux bien vous les accorder pour vrais. Mais ceux-ci font référence aux fonctionnaires par rapport aux actifs.
Les taux de chômage sont pour les États-Unis de 5% et pour le Japon de 3,80% alors qu'en France le taux est de 8,20% (officiellement mais dépasse certainement les 10% sans les tours de passe-passe). Notre proportion d'actif est donc moindre, ce qui gonfle le ratio de fonctionnaires, pourtant aussi indispensables aux actifs qu'aux inactifs.
...commence par taxer les “riches”, ce qui les fait fuir promptement
Le relèvement du bouclier fiscal, les abattements sur les successions, les cadeaux sur les charges patronales (heures supplémentaires, RTT rachetables, détaxation des primes de fin d'année...) n'ont pas fait revenir les « riches » aux dernières nouvelles. A se demander si ces fuyards n'étaient pas partis pour d'autres raisons... Auquel cas ces mesures n'étaient destinées qu'à faire des cadeaux « aux copains », la fuite des capitaux n'étant qu'un prétexte.
...pour désendetter la France il faudrait réduire les dépenses de 40% pendant des années… On fait comment ? Ou augmenter les impôts de 40% ? On est déjà à fond, record du monde !
Je concède que la réduction des dépenses est un des éléments à prendre en compte et cela passe par une meilleure gestion des structures de la nation (entre autres, les 8 niveaux de décision : région, département, pays, communautés de communes, etc...).
Mais vouloir éliminer la dette sur les fondements actuels de l'économie, c'est comme vouloir assécher l'océan en puisant avec une petite cuillère. Le problème essentiel vient de la monnaie, des finances mondiales. Songez que les richesses mondiales ne représentent que 20% des réserves monétaires. Les gouvernements et surtout les banquiers, les spéculateurs n'ont cessé de créer du papier ! Il est là le véritable « enfumage du citoyen », comme vous dites. Et Sarko qui tanne la Banque Centrale pour baisser ses taux (c'est à dire créer du papier monnaie) pour relancer l'économie !
...pour obtenir d’innombrables avantages indus, tant sur les salaires et retraites que sur les effectifs (c’est beaucoup moins fatigant de se mettre à 3 pour faire le travail d’un seul !)
Vous n'avez pas honte d'écrire de pareilles âneries ? Depuis quand un salaire est-il un « avantage indu » ? Est-ce que mériter une retraite lorsqu'on a cotisé toute sa vie est un « avantage indu » ? Le parachute en or de Patricia Russo (Alcatel) après avoir coulé sa boite, n'est-il pas un « avantage indu » ? Les 40 millions d'euros donnés à Bernard Tapie par Sarko, alors que le Crédit Lyonnais nous a laissé une dette de 40.000 euros à chaque français, n'est-il pas un « avantage indu » ? Quant à l'effectif qui consiste à penser que 2 fonctionnaires sur 3 ne foutent rien, je ne vous souhaite pas de vous retrouver dans un hôpital où vous n'auriez qu'une visite d'une infirmière toutes les 24 heures au lieu de toutes les 8 heures, un train sur 3 (car un conducteur au lieu de 3), un guichet de poste au lieu de 3, un facteur qui passerait tous les 3 jours !
Enfin, votre amalgame final communisme / fascisme est digne d'une rhétorique de droite hors sujet destinée à polémiquer. A moins que vous n'ayez cité Marianne pour nous montrer que vous avez de bonnes lectures. Encore faut-il savoir interpréter et ne pas répéter servilement tout ce que vous entendez chez télélysée ou ailleurs.
Ah ! J'oubliais de vous dire que je ne suis pas fonctionnaire, ni ouvrier-communiste, je suis travailleur indépendant.
Citation
Votre post est très intéressant car il est symptomatique des réflexions en vogue actuellement et appuie largement les « théories » libérales prônées par le pouvoir en place. Pour expliquer la dette, vous fustigez une partie de la population, les fonctionnaires, en dressant l'autre partie contre eux. C'est une dialectique largement employée depuis des lustres par les régimes de droite, voire d'extrême droite : les riches contre les pauvres, les actifs contre les chômeurs, les exploitants contre les exploités, ceux qui travaillent-et-se-lèvent-tôt contre les assistés sociaux, les citadins contre les paysans, etc...
Quelle drôle d’idée ! En quoi la bonne gestion serait-elle libérale tandis que la mauvaise serait collectiviste ?
Je suppose que vous ne m’avez pas lu car je ne condamne pas les fonctionnaires (qui sont cependant des profiteurs) je condamne les répugnants politicards qui lâchent depuis 30 ans – droite et gauche au coude à coude - tout ce qu’on leur demande avec un peu d’insistance, après avoir créé par nigauderie et ignorance des groupes de pression en position de monopole auxquels ils sont bien incapables de résister... Il s'agit bien entendu d'une énorme escroquerie (prétendre être capable de diriger un pays quand on ne serait même pas foutu de guider un troupeau d’oies dans la bonne direction c’est quand même un comble !)
Vous me prêtez une dialectique opposant les forts aux faibles… C’est exactement le contraire de ce que je défends : la preuve, je m’insurge contre le fait que nous vivions aux frais de nos nourrissons ou de nos enfants à naître qui ne peuvent pas se défendre… Vous n’aviez pas remarqué ?
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Malheureusement, votre démonstration ne tient pas.
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...essentiellement pour payer ses fonctionnaires dont le nombre est très excessif lorsqu’on sait que les Etats-Unis et le Japon (sous-administrés comme chacun sait) se contentent de 15% ou moins (Japon) de fonctionnaires par rapport à l’ensemble des actifs… Quand nous sommes à 25% en France !
Je n'ai pas vérifié vos chiffres et veux bien vous les accorder pour vrais. Mais ceux-ci font référence aux fonctionnaires par rapport aux actifs.
Les taux de chômage sont pour les États-Unis de 5% et pour le Japon de 3,80% alors qu'en France le taux est de 8,20% (officiellement mais dépasse certainement les 10% sans les tours de passe-passe). Notre proportion d'actif est donc moindre, ce qui gonfle le ratio de fonctionnaires, pourtant aussi indispensables aux actifs qu'aux inactifs.
Puis-je vous suggérer d’apprendre à compter : le décalage de chômage ne représente quasiment rien sur le ratio fonctionnaires/actifs, des poils de grenouille… Par ailleurs vous êtes dramatiquement sous-informé sur le chômage réel en France qui est aujourd’hui à 20% (source : cadres sup de l'ANPE et des ASSEDIC), compte tenu des très nombreuses catégories exclues du compte, à commencer par les innombrables gogos qui ont monté leur entreprise et se sont ramassés (j’en ai fait partie et Daniel Schneiderman s’il se prend les pieds dans le tapis – j’espère bien que non – en fera la douloureuse expérience)
Aucune indemnité et aucune place dans les comptes du chômage… Ils sont pourtant nombreux, croyez-moi, ceux qui ont cru s’en sortir en devenant leur propre patron, sans mesurer toutes les embûches et les traquenards que l’Etat dans sa grande mansuétude n’a pas oublié de dresser devant eux…
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...commence par taxer les “riches”, ce qui les fait fuir promptement
Le relèvement du bouclier fiscal, les abattements sur les successions, les cadeaux sur les charges patronales (heures supplémentaires, RTT rachetables, détaxation des primes de fin d'année...) n'ont pas fait revenir les « riches » aux dernières nouvelles. A se demander si ces fuyards n'étaient pas partis pour d'autres raisons... Auquel cas ces mesures n'étaient destinées qu'à faire des cadeaux « aux copains », la fuite des capitaux n'étant qu'un prétexte.
Totalement stupide : personne n’a envie de quitter la France spontanément, simplement les soi-disant “cadeaux” ne rassurent personne : tout le monde sait que la France déteste les “riches” et n’a d’autre objectif que de les détrousser… Ils restent à l’écart, bien naïf qui s’en étonne ! Pour ma part je suis en train de faire mes bagages pour un départ dans les prochains mois... Désolé de devoir vous fausser compagnie, je resterai sur le net comme je l'ai toujours fait lors de mes nombreux séjours en Asie du Sud Est !
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...pour désendetter la France il faudrait réduire les dépenses de 40% pendant des années… On fait comment ? Ou augmenter les impôts de 40% ? On est déjà à fond, record du monde !
Je concède que la réduction des dépenses est un des éléments à prendre en compte et cela passe par une meilleure gestion des structures de la nation (entre autres, les 8 niveaux de décision : région, département, pays, communautés de communes, etc...).
Mais vouloir éliminer la dette sur les fondements actuels de l'économie, c'est comme vouloir assécher l'océan en puisant avec une petite cuillère. Le problème essentiel vient de la monnaie, des finances mondiales. Songez que les richesses mondiales ne représentent que 20% des réserves monétaires. Les gouvernements et surtout les banquiers, les spéculateurs n'ont cessé de créer du papier ! Il est là le véritable « enfumage du citoyen », comme vous dites. Et Sarko qui tanne la Banque Centrale pour baisser ses taux (c'est à dire créer du papier monnaie) pour relancer l'économie !
Je pense que vous avez appris l’économie dans la “Semaine de Suzette”… Les niveaux accumulés de décision (et de corruption) sont naturellement une enclume au cou du pays qu’on jette à l’eau, mais le papier n’est pas tellement le problème : dès qu’on en imprime trop par rapport au VRAI TRAVAIL on part en live dans l’inflation… Or le vrai travail c’est celui de ceux qui font vraiment quelque chose, pas l’activité de ceux qui racontent à longueur d’année les maladies infantiles de leurs marmots autour de la machine à café (entre deux arrêts maladie)… Sarko fait semblant de tanner : il n’a pas le moindre pouvoir sur la Banque Européenne (heureusement, vous avez peut-être remarqué qu’en tant que ministre de l’économie il s’est contenté de se faire installer une quantité d’écrans plats pour le confort de l’inoubliable (?) Cécilia…)
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...pour obtenir d’innombrables avantages indus, tant sur les salaires et retraites que sur les effectifs (c’est beaucoup moins fatigant de se mettre à 3 pour faire le travail d’un seul !)
Vous n'avez pas honte d'écrire de pareilles âneries ? Depuis quand un salaire est-il un « avantage indu » ? Est-ce que mériter une retraite lorsqu'on a cotisé toute sa vie est un « avantage indu » ? Le parachute en or de Patricia Russo (Alcatel) après avoir coulé sa boîte, n'est-il pas un « avantage indu » ? Les 40 millions d'euros donnés à Bernard Tapie par Sarko, alors que le Crédit Lyonnais nous a laissé une dette de 40.000 euros à chaque français, n'est-il pas un « avantage indu » ? Quant à l'effectif qui consiste à penser que 2 fonctionnaires sur 3 ne foutent rien, je ne vous souhaite pas de vous retrouver dans un hôpital où vous n'auriez qu'une visite d'une infirmière toutes les 24 heures au lieu de toutes les 8 heures, un train sur 3 (car un conducteur au lieu de 3), un guichet de poste au lieu de 3, un facteur qui passerait tous les 3 jours !
J’ai rarement honte, je ne sais pourquoi… Un salaire est naturellement le prix d’un travail. Mais encore faut-il qu’il y ait travail, et il n’est pas inutile de se demander si le salaire correspond réellement à ce qui est fourni en échange !
Pour Patricia Russo (et l’ignoble Tchuruk) vous avez évidemment raison, pour Tapie c’est moins évident, à l’évidence le Crédit Lyonnais l’a escroqué sans aucune vergogne… Les pertes du Crédit Lyonnais ne sont pas dues à Tapie (qui l’a renfloué, au contraire, contre son gré) mais à la totale incompétence de ses dirigeants, couverts par le lamentable Trichet – promu patron de la BCE pour services éminents – et par l’Etat Français, toujours aussi brillant)
Dans le privé c’est extrêmement simple : un salarié doit rapporter presque trois fois ce qu’il va gagner en net ! Une fois pour financer le net, une autre fois pour les charges salariales et patronales et une de plus pour permettre à son patron de financer ses charges, emprunts, risques et bénéfices…
Un patron qui garde un salarié qui ne rapporte pas 3 fois son net est non seulement un imbécile mais surtout un futur chômeur ni indemnisé ni comptabilisé (voir plus haut)
Qu’en est-il dans la fonction publique du rapport entre rentabilité et salaire, je vous laisse regarder autour de vous… En ajoutant que notre aimable police tente de s’autofinancer (en vain, ils ne sont pas assez rapides) en débitant du PV à la vitesse de la lumière !
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Enfin, votre amalgame final communisme / fascisme est digne d'une rhétorique de droite hors sujet destinée à polémiquer. A moins que vous n'ayez cité Marianne pour nous montrer que vous avez de bonnes lectures. Encore faut-il savoir interpréter et ne pas répéter servilement tout ce que vous entendez chez télélysée ou ailleurs.
N’étant pas dentiste je ne pratique pas l’amalgame… Vous êtes poilant en voulant à tout prix m’étiqueter à droite (ma vraie tendance c’est l’anarchisme de Brassens, figurez-vous)
Je lis Marianne chaque semaine et il y a fort longtemps que je pense qu'entre stalinisme et hitlérisme il n'y a que quelques millions de cadavres en plus ou en moins, sans qu'on sache bien à qui les attribuer...
Par ailleurs je suis tout sauf servile, je vous laisse ce travers puisque vous démontrez amplement votre dévotion pour toutes les tartes à la crème à la mode au fil de ce post assez ridicule…
Citation
Ah ! J'oubliais de vous dire que je ne suis pas fonctionnaire, ni ouvrier-communiste, je suis travailleur indépendant.
Indépendant de quoi ou de qui ?
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Votre post est très intéressant car il est symptomatique des réflexions en vogue actuellement et appuie largement les « théories » libérales prônées par le pouvoir en place. Pour expliquer la dette, vous fustigez une partie de la population, les fonctionnaires, en dressant l'autre partie contre eux. C'est une dialectique largement employée depuis des lustres par les régimes de droite, voire d'extrême droite : les riches contre les pauvres, les actifs contre les chômeurs, les exploitants contre les exploités, ceux qui travaillent-et-se-lèvent-tôt contre les assistés sociaux, les citadins contre les paysans, etc...
Quelle drôle d’idée ! En quoi la bonne gestion serait-elle libérale tandis que la mauvaise serait collectiviste ?
Je suppose que vous ne m’avez pas lu car je ne condamne pas les fonctionnaires (qui sont cependant des profiteurs) je condamne les répugnants politicards qui lâchent depuis 30 ans – droite et gauche au coude à coude - tout ce qu’on leur demande avec un peu d’insistance, après avoir créé par nigauderie et ignorance des groupes de pression en position de monopole auxquels ils sont bien incapables de résister... Il s'agit bien entendu d'une énorme escroquerie (prétendre être capable de diriger un pays quand on ne serait même pas foutu de guider un troupeau d’oies dans la bonne direction c’est quand même un comble !)
Vous me prêtez une dialectique opposant les forts aux faibles… C’est exactement le contraire de ce que je défends : la preuve, je m’insurge contre le fait que nous vivions aux frais de nos nourrissons ou de nos enfants à naître qui ne peuvent pas se défendre… Vous n’aviez pas remarqué ?
Citation
Malheureusement, votre démonstration ne tient pas.
Citation:
...essentiellement pour payer ses fonctionnaires dont le nombre est très excessif lorsqu’on sait que les Etats-Unis et le Japon (sous-administrés comme chacun sait) se contentent de 15% ou moins (Japon) de fonctionnaires par rapport à l’ensemble des actifs… Quand nous sommes à 25% en France !
Je n'ai pas vérifié vos chiffres et veux bien vous les accorder pour vrais. Mais ceux-ci font référence aux fonctionnaires par rapport aux actifs.
Les taux de chômage sont pour les États-Unis de 5% et pour le Japon de 3,80% alors qu'en France le taux est de 8,20% (officiellement mais dépasse certainement les 10% sans les tours de passe-passe). Notre proportion d'actif est donc moindre, ce qui gonfle le ratio de fonctionnaires, pourtant aussi indispensables aux actifs qu'aux inactifs.
Puis-je vous suggérer d’apprendre à compter : le décalage de chômage ne représente quasiment rien sur le ratio fonctionnaires/actifs, des poils de grenouille… Par ailleurs vous êtes dramatiquement sous-informé sur le chômage réel en France qui est aujourd’hui à 20% (source : cadres sup de l'ANPE et des ASSEDIC), compte tenu des très nombreuses catégories exclues du compte, à commencer par les innombrables gogos qui ont monté leur entreprise et se sont ramassés (j’en ai fait partie et Daniel Schneiderman s’il se prend les pieds dans le tapis – j’espère bien que non – en fera la douloureuse expérience)
Aucune indemnité et aucune place dans les comptes du chômage… Ils sont pourtant nombreux, croyez-moi, ceux qui ont cru s’en sortir en devenant leur propre patron, sans mesurer toutes les embûches et les traquenards que l’Etat dans sa grande mansuétude n’a pas oublié de dresser devant eux…
Citation
Citation:
...commence par taxer les “riches”, ce qui les fait fuir promptement
Le relèvement du bouclier fiscal, les abattements sur les successions, les cadeaux sur les charges patronales (heures supplémentaires, RTT rachetables, détaxation des primes de fin d'année...) n'ont pas fait revenir les « riches » aux dernières nouvelles. A se demander si ces fuyards n'étaient pas partis pour d'autres raisons... Auquel cas ces mesures n'étaient destinées qu'à faire des cadeaux « aux copains », la fuite des capitaux n'étant qu'un prétexte.
Totalement stupide : personne n’a envie de quitter la France spontanément, simplement les soi-disant “cadeaux” ne rassurent personne : tout le monde sait que la France déteste les “riches” et n’a d’autre objectif que de les détrousser… Ils restent à l’écart, bien naïf qui s’en étonne ! Pour ma part je suis en train de faire mes bagages pour un départ dans les prochains mois... Désolé de devoir vous fausser compagnie, je resterai sur le net comme je l'ai toujours fait lors de mes nombreux séjours en Asie du Sud Est !
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Citation:
...pour désendetter la France il faudrait réduire les dépenses de 40% pendant des années… On fait comment ? Ou augmenter les impôts de 40% ? On est déjà à fond, record du monde !
Je concède que la réduction des dépenses est un des éléments à prendre en compte et cela passe par une meilleure gestion des structures de la nation (entre autres, les 8 niveaux de décision : région, département, pays, communautés de communes, etc...).
Mais vouloir éliminer la dette sur les fondements actuels de l'économie, c'est comme vouloir assécher l'océan en puisant avec une petite cuillère. Le problème essentiel vient de la monnaie, des finances mondiales. Songez que les richesses mondiales ne représentent que 20% des réserves monétaires. Les gouvernements et surtout les banquiers, les spéculateurs n'ont cessé de créer du papier ! Il est là le véritable « enfumage du citoyen », comme vous dites. Et Sarko qui tanne la Banque Centrale pour baisser ses taux (c'est à dire créer du papier monnaie) pour relancer l'économie !
Je pense que vous avez appris l’économie dans la “Semaine de Suzette”… Les niveaux accumulés de décision (et de corruption) sont naturellement une enclume au cou du pays qu’on jette à l’eau, mais le papier n’est pas tellement le problème : dès qu’on en imprime trop par rapport au VRAI TRAVAIL on part en live dans l’inflation… Or le vrai travail c’est celui de ceux qui font vraiment quelque chose, pas l’activité de ceux qui racontent à longueur d’année les maladies infantiles de leurs marmots autour de la machine à café (entre deux arrêts maladie)… Sarko fait semblant de tanner : il n’a pas le moindre pouvoir sur la Banque Européenne (heureusement, vous avez peut-être remarqué qu’en tant que ministre de l’économie il s’est contenté de se faire installer une quantité d’écrans plats pour le confort de l’inoubliable (?) Cécilia…)
Citation
Citation:
...pour obtenir d’innombrables avantages indus, tant sur les salaires et retraites que sur les effectifs (c’est beaucoup moins fatigant de se mettre à 3 pour faire le travail d’un seul !)
Vous n'avez pas honte d'écrire de pareilles âneries ? Depuis quand un salaire est-il un « avantage indu » ? Est-ce que mériter une retraite lorsqu'on a cotisé toute sa vie est un « avantage indu » ? Le parachute en or de Patricia Russo (Alcatel) après avoir coulé sa boîte, n'est-il pas un « avantage indu » ? Les 40 millions d'euros donnés à Bernard Tapie par Sarko, alors que le Crédit Lyonnais nous a laissé une dette de 40.000 euros à chaque français, n'est-il pas un « avantage indu » ? Quant à l'effectif qui consiste à penser que 2 fonctionnaires sur 3 ne foutent rien, je ne vous souhaite pas de vous retrouver dans un hôpital où vous n'auriez qu'une visite d'une infirmière toutes les 24 heures au lieu de toutes les 8 heures, un train sur 3 (car un conducteur au lieu de 3), un guichet de poste au lieu de 3, un facteur qui passerait tous les 3 jours !
J’ai rarement honte, je ne sais pourquoi… Un salaire est naturellement le prix d’un travail. Mais encore faut-il qu’il y ait travail, et il n’est pas inutile de se demander si le salaire correspond réellement à ce qui est fourni en échange !
Pour Patricia Russo (et l’ignoble Tchuruk) vous avez évidemment raison, pour Tapie c’est moins évident, à l’évidence le Crédit Lyonnais l’a escroqué sans aucune vergogne… Les pertes du Crédit Lyonnais ne sont pas dues à Tapie (qui l’a renfloué, au contraire, contre son gré) mais à la totale incompétence de ses dirigeants, couverts par le lamentable Trichet – promu patron de la BCE pour services éminents – et par l’Etat Français, toujours aussi brillant)
Dans le privé c’est extrêmement simple : un salarié doit rapporter presque trois fois ce qu’il va gagner en net ! Une fois pour financer le net, une autre fois pour les charges salariales et patronales et une de plus pour permettre à son patron de financer ses charges, emprunts, risques et bénéfices…
Un patron qui garde un salarié qui ne rapporte pas 3 fois son net est non seulement un imbécile mais surtout un futur chômeur ni indemnisé ni comptabilisé (voir plus haut)
Qu’en est-il dans la fonction publique du rapport entre rentabilité et salaire, je vous laisse regarder autour de vous… En ajoutant que notre aimable police tente de s’autofinancer (en vain, ils ne sont pas assez rapides) en débitant du PV à la vitesse de la lumière !
Citation
Enfin, votre amalgame final communisme / fascisme est digne d'une rhétorique de droite hors sujet destinée à polémiquer. A moins que vous n'ayez cité Marianne pour nous montrer que vous avez de bonnes lectures. Encore faut-il savoir interpréter et ne pas répéter servilement tout ce que vous entendez chez télélysée ou ailleurs.
N’étant pas dentiste je ne pratique pas l’amalgame… Vous êtes poilant en voulant à tout prix m’étiqueter à droite (ma vraie tendance c’est l’anarchisme de Brassens, figurez-vous)
Je lis Marianne chaque semaine et il y a fort longtemps que je pense qu'entre stalinisme et hitlérisme il n'y a que quelques millions de cadavres en plus ou en moins, sans qu'on sache bien à qui les attribuer...
Par ailleurs je suis tout sauf servile, je vous laisse ce travers puisque vous démontrez amplement votre dévotion pour toutes les tartes à la crème à la mode au fil de ce post assez ridicule…
Citation
Ah ! J'oubliais de vous dire que je ne suis pas fonctionnaire, ni ouvrier-communiste, je suis travailleur indépendant.
Indépendant de quoi ou de qui ?
***
Citation
Je suppose que vous ne m’avez pas lu car je ne condamne pas les fonctionnaires (qui sont cependant des profiteurs) je condamne les répugnants politicards qui lâchent depuis 30 ans – droite et gauche au coude à coude - tout ce qu’on leur demande avec un peu d’insistance, après avoir créé par nigauderie et ignorance des groupes de pression en position de monopole auxquels ils sont bien incapables de résister... Il s'agit bien entendu d'une énorme escroquerie (prétendre être capable de diriger un pays quand on ne serait même pas foutu de guider un troupeau d’oies dans la bonne direction c’est quand même un comble !)
***
Je m'arrête juste a cette phrase haineuse et lamentable, comment peut ton avoir envie de débattre quand on voit ce lieu commun dans une discussion, ça pue le vieux troll des montagnes qui ne s'est pas lavé depuis des mois, et coupe toute envie de débats, j'aurais bien envie d'expliquer tout les différents corps de métiers que sont les fonctionnaires, des profs aux éboueurs jusqu'au employés de mairie, alors certes il y en a qui profitent du système, mais en faire une généralité c'est juste dégueulasse... Jeter l'opprobre sur les petits fonctionnaires, ça permets d'oublier les trafics des hauts fonctionnaires, emplois fictifs, etc .. (les hauts de seines sont un haut lieu du grand banditisme fonctionnaire.
Tout ce qui est excessif est insignifiant ...
Je vous laisse a votre débat Edou et vous même ...
Vous devriez surtout nous expliquer pourquoi et comment il est possible de dépenser 50 milliards d'€uros de plus que ce que gagne l'Etat (en raclant à mort le contribuable et le prétendu contrevenant) pour financer des fonctionnaires dont une bonne partie est totalement inutile, voire profondément néfaste...
Nous vous écoutons avec attention !
***
Nous vous écoutons avec attention !
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Vous devriez surtout nous expliquer pourquoi et comment il est possible de dépenser 50 milliards d'€uros de plus que ce que gagne l'Etat (en raclant à mort le contribuable et le prétendu contrevenant) pour financer des fonctionnaires dont une bonne partie est totalement inutile, voire profondément néfaste...
Nous vous écoutons avec attention !
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Faudra me dire ou j'ai donné des solutions ? je ne suis pas économiste et je n'ai pas envie de l'être, ne de le jouer non plus, et sur ce débat la je vous laisse entre vous, ( Mr Guyot et Edou) j'ai juste demandé un peu de respect et de tolérance pour une profession qui me semble très large ..., ou alors il vous faut cibler...
Ps : c'est les Pyrénées et non les Alpes, vous devriez y aller ça vous ferait du bien, l'air de la montagne ça rends moins aigri)
Il est toujours beaucoup plus facile de poser les questions que de fournir les solutions...
Vous l'avez remarqué, je suppose ?
Les Pyrénées sont les terres de mes ancêtres, là je rentre de Touraine, tout va bien, et les fonctionnaires me font chier à un point incroyable !
Auraient-ils oublié que c'est nous qui les payons pour organiser une vie sociale aussi vivable que possible... Tandis qu'ils nous pourrissent la vie à chaque seconde ?
Je n'ose le croire !
***
Vous l'avez remarqué, je suppose ?
Les Pyrénées sont les terres de mes ancêtres, là je rentre de Touraine, tout va bien, et les fonctionnaires me font chier à un point incroyable !
Auraient-ils oublié que c'est nous qui les payons pour organiser une vie sociale aussi vivable que possible... Tandis qu'ils nous pourrissent la vie à chaque seconde ?
Je n'ose le croire !
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J'ai eu le même discours en recevant une notification d'infraction relevée par un de ces radars automatiques de m**de.
S'attaquer à la fonction publique n'amène que des rancoeurs : C'est peine perdue.
1.La fonction publique est indispensable et irréfragable pour la plupart des services qu'elle rend.
2.C'est grâce à elle si l'économie ne prend pas complètement l'eau : elle entretient le niveau de consommation, au travers de la redistribution de ses ressources (impôts, taxes).
3.Même si on retire l'aspect "public", il n'en demeure pas moins que le besoin pour le service existe. Il n'y a pas de corrélation entre qualité de service et public ou privé : L'exemple de l'angleterre et du Thatcherisme est suffisamment parlant : Le démentèlement des services publics n'a amené que des problèmes, sans coûter moins cher aux usagers...
S'attaquer à la fonction publique n'amène que des rancoeurs : C'est peine perdue.
1.La fonction publique est indispensable et irréfragable pour la plupart des services qu'elle rend.
2.C'est grâce à elle si l'économie ne prend pas complètement l'eau : elle entretient le niveau de consommation, au travers de la redistribution de ses ressources (impôts, taxes).
3.Même si on retire l'aspect "public", il n'en demeure pas moins que le besoin pour le service existe. Il n'y a pas de corrélation entre qualité de service et public ou privé : L'exemple de l'angleterre et du Thatcherisme est suffisamment parlant : Le démentèlement des services publics n'a amené que des problèmes, sans coûter moins cher aux usagers...
Cher Atom. Permettez-moi de vous faire remarquer que la citation dont vous faites référence n'est pas de moi mais de Patrice Guyot. Vous avez du sauter un post, je pense.
Quant au sus-nommé, sa réponse n'apporte rien de plus que sa première déjection. Je le considère donc comme un troll de plus sur la toile et pratiquerai avec lui comme je fais toujours : l'indifférence.
Bon voyage Monsieur l'entrepreneur (anarchiste tendance Brassens ? laisse-moi me désopiler !) qui ne veut pas contribuer à la communauté en payant ses impôts. Et surtout ne revenez pas ! Ce ne sont pas vos copains qui ont dit : "quand on n'aime pas la France, on la quitte" ?
Quant au sus-nommé, sa réponse n'apporte rien de plus que sa première déjection. Je le considère donc comme un troll de plus sur la toile et pratiquerai avec lui comme je fais toujours : l'indifférence.
Bon voyage Monsieur l'entrepreneur (anarchiste tendance Brassens ? laisse-moi me désopiler !) qui ne veut pas contribuer à la communauté en payant ses impôts. Et surtout ne revenez pas ! Ce ne sont pas vos copains qui ont dit : "quand on n'aime pas la France, on la quitte" ?
Moi aussi, surtout sur un article du Monde qui est sorti hier mais qui m'en a rappelé un autre sorti en Mai dernier. Que nous disait l'article d'hier.
La BCE laisse son taux directeur inchangé, mais baisse ses prévisions de croissance
La Banque centrale européenne (BCE) a confirmé, jeudi 4 septembre, le statu quo anticipé par les marchés, en laissant son principal taux directeur inchangé à 4,25 %. Son président, Jean-Claude Trichet, a précisé lors d'une conférence de presse que le conseil des gouverneurs n'avait discuté que d'"une seule option", à savoir maintenir les taux actuels, et avait pris cette décision "à l'unanimité". La BCE, selon son dirigeant français, juge que sa politique monétaire actuelle est adaptée et qu'elle "va contribuer à atteindre son objectif" de stabilité des prix.
L'institution de Francfort, qui a pour mission de maintenir la hausse des prix légèrement en-deçà de 2 %, table sur une inflation à 3,5 % en 2008 et 2,6 % en 2009. Elle compte atteindre son objectif "au cours de 2010", a indiqué Jean-Claude Trichet, tout en reconnaissant que le niveau actuel était "inquiétant".
La BCE a également revu en forte baisse ses prévisions de croissance pour la zone euro. Pour 2008, elle envisage une croissance du PIB de 1,4 %, bien loin du 1,8 % annoncé lors de sa dernière prévision. La baisse se répercute également sur 2009, où la croissance devrait être de 1,2 %, et non pas 1,5 % comme précédemment établi.
CHUTE DE L'EURO
Selon le président de la BCE, si la croissance faiblit, c'est à cause de la forte augmentation du PIB du premier trimestre, mais aussi du coup de frein de la demande mondiale et intérieure, lié aux prix élevés des matières premières. Si le conseil des gouverneurs reconnaît que "nous sommes dans un creux aux deuxième et troisième trimestres", M. Trichet s'est voulu rassurant : "Cet épisode de faiblesse sera suivi d'une reprise progressive."
Les conséquences de l'annonce de la BCE n'ont pas tardé à se faire sentir : l'euro a reculé face au dollar, la Bourse de Paris perdait 1,41 % dans un marché dubitatif quant aux intentions de la Banque centrale. D'autres indices témoignent de la morosité de l'économie de l'UE. L'Allemagne, premier exportateur mondial, a annoncé jeudi une baisse de ses commandes industrielles au mois de juillet. En Grande-Bretagne, la menace d'une récession d'ici à la fin de l'année plane toujours et la livre connaît ses niveaux historiques les plus bas face à l'euro.
Face à ces mauvais signaux, les pressions politiques sur la BCE pourraient s'accentuer. Le ministre des finances belge, Didier Reynders, a estimé jeudi, dans un entretien au journal La Croix, que la BCE devait pouvoir "à terme" décider d'une baisse de taux pour aider l'économie. "Si l'inflation reflue, si les prix reculent sur les marchés pétroliers, il faut éviter que la politique monétaire n'empêche toute croissance un peu consolidée", a-t-il estimé.
Curieux article qui nous informe que la croissance économique s'effondre. Toutefois les 18 Mai 2008, un journaliste économique du Monde "Pierre-Antoine Delhommais" nous faisait l'appologie de la politique de Monsieur Trichet, et demandait aux cassandres de faire leur autocritiques. J'aimerais bien aujourd'hui que Le Monde et monsieur Delhommais fassent la leur. Je cite l'article car il vaut le détour.
Jean-Claude Trichet savoure son triomphe avec modestie
Article paru dans l'édition du 18.05.08
CETTE FOIS, ce n'est plus une victoire, c'est un triomphe. Complet, total, sans appel.Une forme d'apothéose pour Jean-Claude Trichet. Le président de la Banque centrale européenne (BCE) avait déjà gagné sur le front de l'inflation, en annonçant depuis longtemps, contre l'avis des meilleurs experts, que celle-ci n'était pas morte.
Il avait aussi réussi, depuis le début de la crise des subprimes, à empêcher qu'une catastrophe bancaire ait lieu dans la zone euro, à l'image de ce qui s'était produit aux Etats-Unis, avec l'effondrement de Bear Stearns, ou au Royaume-Uni, avec la défaillance de Northern Rock.
Mais voilà maintenant M. Trichet qui l'emporte aussi sur le front de la croissance, là où sa position apparaissait pourtant comme la plus fragile. Sa politique monétaire, qualifiée d'ultra-rigoureuse par ses détracteurs, n'empêche visiblement pas l'Europe de croître à un rythme soutenu.
CADENCE QUASI CHINOISE
Selon les statistiques publiées jeudi 15 mai, le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro a progressé de 0,7 % au premier trimestre. Dans le même temps, celui des Etats-Unis a pour ainsi dire stagné, à moins de 0,2 %. Mieux, en Allemagne, première puissance économique de la zone, il a augmenté de 1,5 % au cours de cette période, soit 6 % en rythme annuel, une cadence quasi chinoise.
Ces performances ne semblent pas seulement relever du miracle - les analystes prévoyaient une expansion deux fois moindre en Allemagne. Elles sont aussi un camouflet pour tous les adversaires de M. Trichet, pour tous ceux qui dénonçaient le caractère « destructeur et ravageur » de la stratégie monétaire suivie à Francfort en pleine crise financière.
Il était clair, selon eux, que la BCE était engagée dans un statu quo suicidaire, préférant sacrifier, par idéologie et par monétarisme forcené, la croissance et les emplois plutôt que de baisser ses taux. La Réserve fédérale américaine (Fed), qui avait fait l'arbitrage inverse, oubliant l'inflation pour sauver l'économie américaine de la récession, était au contraire louée pour son pragmatisme et son esprit éclairé.
Les chiffres de PIB publiés en Europe ont tendance à démontrer que M. Trichet n'est pas ce tueur de croissance et ce fabricant de chômeurs que le camp hétéroclite « keynésiano-fitousso (les amis de Jean-Paul Fitoussi, le patron de l'OFCE)-sarkoziste » l'accusait d'être. Malgré son immobilisme sur les taux et son acceptation d'un euro fort, l'économie européenne fait beaucoup mieux que celle des Etats-Unis.
A Francfort, on a le triomphe modeste. « La stabilité des prix est une condition nécessaire à une croissance économique durable, à la création d'emplois et à la cohésion sociale », a déclaré sobrement M. Trichet, vendredi. La BCE doit être « crédible en assurant la stabilité des prix sur la durée », a-t-il ajouté, mais « la crédibilité n'est pas donnée ». La meilleure façon de l'établir est « que le public nous voie toujours concentrés sur un même objectif ». M. Trichet sait pouvoir compter sur le soutien de ce « public », obsédé par la dégradation de son pouvoir d'achat.
De nombreux contempteurs du président de la BCE se montrent aujourd'hui étrangement silencieux. Ils préfèrent subitement se passionner pour d'autres sujets économiques. D'autres, plus honnêtes, font leur autocritique.
« La BCE fait son travail », estime Philippe de Buck, le secrétaire général de Business Europe, la principale fédération patronale européenne. Christine Lagarde, la ministre française de l'économie et des finances, juge elle aussi que la BCE « fait son métier ». « C'est un risque pour tout le monde cette inflation, cela contribue à l'augmentation du prix des produits que payent nos consommateurs », ajoute-t-elle.
On attend maintenant l'autocritique de Nicolas Sarkozy, qui n'a cessé de décrier la politique de la BCE depuis qu'il s'est installé à l'Elysée. Vendredi, il a préféré s'en prendre à la Commission et aux économistes, « ceux qu'on appelle des «sachants» ». Pour l'éloge de M. Trichet par M. Sarkozy, il faudra patienter encore un peu.
Pierre-Antoine Delhommais
La BCE laisse son taux directeur inchangé, mais baisse ses prévisions de croissance
La Banque centrale européenne (BCE) a confirmé, jeudi 4 septembre, le statu quo anticipé par les marchés, en laissant son principal taux directeur inchangé à 4,25 %. Son président, Jean-Claude Trichet, a précisé lors d'une conférence de presse que le conseil des gouverneurs n'avait discuté que d'"une seule option", à savoir maintenir les taux actuels, et avait pris cette décision "à l'unanimité". La BCE, selon son dirigeant français, juge que sa politique monétaire actuelle est adaptée et qu'elle "va contribuer à atteindre son objectif" de stabilité des prix.
L'institution de Francfort, qui a pour mission de maintenir la hausse des prix légèrement en-deçà de 2 %, table sur une inflation à 3,5 % en 2008 et 2,6 % en 2009. Elle compte atteindre son objectif "au cours de 2010", a indiqué Jean-Claude Trichet, tout en reconnaissant que le niveau actuel était "inquiétant".
La BCE a également revu en forte baisse ses prévisions de croissance pour la zone euro. Pour 2008, elle envisage une croissance du PIB de 1,4 %, bien loin du 1,8 % annoncé lors de sa dernière prévision. La baisse se répercute également sur 2009, où la croissance devrait être de 1,2 %, et non pas 1,5 % comme précédemment établi.
CHUTE DE L'EURO
Selon le président de la BCE, si la croissance faiblit, c'est à cause de la forte augmentation du PIB du premier trimestre, mais aussi du coup de frein de la demande mondiale et intérieure, lié aux prix élevés des matières premières. Si le conseil des gouverneurs reconnaît que "nous sommes dans un creux aux deuxième et troisième trimestres", M. Trichet s'est voulu rassurant : "Cet épisode de faiblesse sera suivi d'une reprise progressive."
Les conséquences de l'annonce de la BCE n'ont pas tardé à se faire sentir : l'euro a reculé face au dollar, la Bourse de Paris perdait 1,41 % dans un marché dubitatif quant aux intentions de la Banque centrale. D'autres indices témoignent de la morosité de l'économie de l'UE. L'Allemagne, premier exportateur mondial, a annoncé jeudi une baisse de ses commandes industrielles au mois de juillet. En Grande-Bretagne, la menace d'une récession d'ici à la fin de l'année plane toujours et la livre connaît ses niveaux historiques les plus bas face à l'euro.
Face à ces mauvais signaux, les pressions politiques sur la BCE pourraient s'accentuer. Le ministre des finances belge, Didier Reynders, a estimé jeudi, dans un entretien au journal La Croix, que la BCE devait pouvoir "à terme" décider d'une baisse de taux pour aider l'économie. "Si l'inflation reflue, si les prix reculent sur les marchés pétroliers, il faut éviter que la politique monétaire n'empêche toute croissance un peu consolidée", a-t-il estimé.
Curieux article qui nous informe que la croissance économique s'effondre. Toutefois les 18 Mai 2008, un journaliste économique du Monde "Pierre-Antoine Delhommais" nous faisait l'appologie de la politique de Monsieur Trichet, et demandait aux cassandres de faire leur autocritiques. J'aimerais bien aujourd'hui que Le Monde et monsieur Delhommais fassent la leur. Je cite l'article car il vaut le détour.
Jean-Claude Trichet savoure son triomphe avec modestie
Article paru dans l'édition du 18.05.08
CETTE FOIS, ce n'est plus une victoire, c'est un triomphe. Complet, total, sans appel.Une forme d'apothéose pour Jean-Claude Trichet. Le président de la Banque centrale européenne (BCE) avait déjà gagné sur le front de l'inflation, en annonçant depuis longtemps, contre l'avis des meilleurs experts, que celle-ci n'était pas morte.
Il avait aussi réussi, depuis le début de la crise des subprimes, à empêcher qu'une catastrophe bancaire ait lieu dans la zone euro, à l'image de ce qui s'était produit aux Etats-Unis, avec l'effondrement de Bear Stearns, ou au Royaume-Uni, avec la défaillance de Northern Rock.
Mais voilà maintenant M. Trichet qui l'emporte aussi sur le front de la croissance, là où sa position apparaissait pourtant comme la plus fragile. Sa politique monétaire, qualifiée d'ultra-rigoureuse par ses détracteurs, n'empêche visiblement pas l'Europe de croître à un rythme soutenu.
CADENCE QUASI CHINOISE
Selon les statistiques publiées jeudi 15 mai, le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro a progressé de 0,7 % au premier trimestre. Dans le même temps, celui des Etats-Unis a pour ainsi dire stagné, à moins de 0,2 %. Mieux, en Allemagne, première puissance économique de la zone, il a augmenté de 1,5 % au cours de cette période, soit 6 % en rythme annuel, une cadence quasi chinoise.
Ces performances ne semblent pas seulement relever du miracle - les analystes prévoyaient une expansion deux fois moindre en Allemagne. Elles sont aussi un camouflet pour tous les adversaires de M. Trichet, pour tous ceux qui dénonçaient le caractère « destructeur et ravageur » de la stratégie monétaire suivie à Francfort en pleine crise financière.
Il était clair, selon eux, que la BCE était engagée dans un statu quo suicidaire, préférant sacrifier, par idéologie et par monétarisme forcené, la croissance et les emplois plutôt que de baisser ses taux. La Réserve fédérale américaine (Fed), qui avait fait l'arbitrage inverse, oubliant l'inflation pour sauver l'économie américaine de la récession, était au contraire louée pour son pragmatisme et son esprit éclairé.
Les chiffres de PIB publiés en Europe ont tendance à démontrer que M. Trichet n'est pas ce tueur de croissance et ce fabricant de chômeurs que le camp hétéroclite « keynésiano-fitousso (les amis de Jean-Paul Fitoussi, le patron de l'OFCE)-sarkoziste » l'accusait d'être. Malgré son immobilisme sur les taux et son acceptation d'un euro fort, l'économie européenne fait beaucoup mieux que celle des Etats-Unis.
A Francfort, on a le triomphe modeste. « La stabilité des prix est une condition nécessaire à une croissance économique durable, à la création d'emplois et à la cohésion sociale », a déclaré sobrement M. Trichet, vendredi. La BCE doit être « crédible en assurant la stabilité des prix sur la durée », a-t-il ajouté, mais « la crédibilité n'est pas donnée ». La meilleure façon de l'établir est « que le public nous voie toujours concentrés sur un même objectif ». M. Trichet sait pouvoir compter sur le soutien de ce « public », obsédé par la dégradation de son pouvoir d'achat.
De nombreux contempteurs du président de la BCE se montrent aujourd'hui étrangement silencieux. Ils préfèrent subitement se passionner pour d'autres sujets économiques. D'autres, plus honnêtes, font leur autocritique.
« La BCE fait son travail », estime Philippe de Buck, le secrétaire général de Business Europe, la principale fédération patronale européenne. Christine Lagarde, la ministre française de l'économie et des finances, juge elle aussi que la BCE « fait son métier ». « C'est un risque pour tout le monde cette inflation, cela contribue à l'augmentation du prix des produits que payent nos consommateurs », ajoute-t-elle.
On attend maintenant l'autocritique de Nicolas Sarkozy, qui n'a cessé de décrier la politique de la BCE depuis qu'il s'est installé à l'Elysée. Vendredi, il a préféré s'en prendre à la Commission et aux économistes, « ceux qu'on appelle des «sachants» ». Pour l'éloge de M. Trichet par M. Sarkozy, il faudra patienter encore un peu.
Pierre-Antoine Delhommais
Hallucinant...
Il faut arrêter à tout prix cette vision qui met la rentabilité en avant à tout prix. C'est d'une débilité à manger du foin. Il est bien évident que des secteurs comme l'hôpital ou l'éducation nationale ne peuvent pas être bénéficiaire....
Et les fonctionnaires qui ne travaillent pas.. Encore un vilain cliché d'un type aigri parce qu'il met 30 minutes à aller récupérer un colis à la Poste.. C'est justement parce qu'on réduit leurs effectifs partout que cela devient de moins en moins vivable. Quant à citer le Japon ou les Etats-Unis.. Je me marre. Pas de couverture sociale aux Etas-unis sans une assurance privée.. On voit où çà mène. Et c'est un peu pareil au Japon, sauf que les mendiants et autres SDF sont soigneusement cachés aux yeux des touristes..
Les réductions d'effectifs dans l'Education Nationale ne vont créer que des problèmes supplémentaires et ne faciliteront pas la mission des profs, qui est tout sauf mercantile. Sans parler des hôpitaux où les urgentistes bataillent à 96h par semaine car le nombre de postes attribués à leur hosto est ridicule.
Enfin, comparer les retraites est ridicules. Privé et public n'ont pas le même régime. Le calcul de la somme est donc différent. point barre.
Sur ce..
Il faut arrêter à tout prix cette vision qui met la rentabilité en avant à tout prix. C'est d'une débilité à manger du foin. Il est bien évident que des secteurs comme l'hôpital ou l'éducation nationale ne peuvent pas être bénéficiaire....
Et les fonctionnaires qui ne travaillent pas.. Encore un vilain cliché d'un type aigri parce qu'il met 30 minutes à aller récupérer un colis à la Poste.. C'est justement parce qu'on réduit leurs effectifs partout que cela devient de moins en moins vivable. Quant à citer le Japon ou les Etats-Unis.. Je me marre. Pas de couverture sociale aux Etas-unis sans une assurance privée.. On voit où çà mène. Et c'est un peu pareil au Japon, sauf que les mendiants et autres SDF sont soigneusement cachés aux yeux des touristes..
Les réductions d'effectifs dans l'Education Nationale ne vont créer que des problèmes supplémentaires et ne faciliteront pas la mission des profs, qui est tout sauf mercantile. Sans parler des hôpitaux où les urgentistes bataillent à 96h par semaine car le nombre de postes attribués à leur hosto est ridicule.
Enfin, comparer les retraites est ridicules. Privé et public n'ont pas le même régime. Le calcul de la somme est donc différent. point barre.
Sur ce..
Citation P.Guyot
Il faut ajouter que l’enfumage du citoyen dans ce domaine est insensé : on nous explique benoîtement que le déficit est de 3% du PIB… Très drôle – le chiffre ne fait pas trop peur, en réalité l’État dépense année après année 20% de plus qu’il ne gagne, essentiellement pour payer ses fonctionnaires dont le nombre est très excessif lorsqu’on sait que les Etats-Unis et le Japon (sous-administrés comme chacun sait) se contentent de 15% ou moins (Japon) de fonctionnaires par rapport à l’ensemble des actifs… Quand nous sommes à 25% en France !
En plus, tout le monde sait que le système de santé, le système scolaire américain est tout à fait égalitaire. C'est bien la preuve qu'ils ont un service public hors-pair ! on devrait prendre exemple sur eux... Mais tiens ! mais c'est ce que fait petit sarko !
et, je ne sais pas s'il faut le préciser, mais tous les fonctionnaires ne sont pas dans l'administration, loin de là ! (sncf, hôpitaux, éducation, culture,...)
Mais je vous l'accorde, il y a sans doute des efforts à faire pour faire des économies, mais sans doute pas sur le personnel.
Mais finalement la droite a bien compris la leçon : pourquoi se rendre impopulaire en serrant la ceinture des Français ? Ne vaut-il pas mieux laisser de lourdes dettes aux futures générations (qui ne les paieront probablement pas, une bonne guerre y pourvoira) sans leur demander leur avis ? De toute façon pour désendetter la France il faudrait réduire les dépenses de 40% pendant des années… On fait comment ? Ou augmenter les impôts de 40% ? On est déjà à fond, record du monde !
Dernière issue : déposer au bord du chemin 40% de nos fonctionnaires (auxquels, on ne sait pourquoi, on a garanti un emploi à vie, une retraite de bonne heure et un taux de retraite beaucoup plus favorable que dans le privé)… En fait on sait pourquoi : tout simplement parce qu’à l’époque de cette idée lumineuse les salaires du public étaient inférieurs à ceux du privé. On faisait passer la pilule à crédit, déjà : nos descendants paieront vos retraites…
"record du monde d'impôt" : on a aussi le meilleur service public qui soit, même s'il est à réformer. La plupart des personnes un tout petit peu honnêtes sont prêtes à payer les impôts qu'il faut pour que les richesses de ce pays soient équitablement partagées. La condition du bonheur de tous serait que l'on puisse vivre ensemble, dans un monde de libertés, où chacun peut subvenir à ses besoins. Non ?
"un taux de retraite beaucoup plus favorable que dans le privé" : mais des augmentations de salaire beaucoup moins rapides que dans le privé ; et les salaires du privé sont aujourd'hui encore supérieurs à ceux du public.
donc, si je comprends bien, votre solution, c'est de payer moins les gens et de diminuer les retraites ? mais vous avez tout à fait raison mon cher, c'est exactement sur cette voie qu'il faut aller, elle va résoudre tous les problèmes, réduire les inégalités. Car si les fonctionnaires n'ont pas le droit à des salaires et à des retraites décentes, j'imagine que les travailleurs du privé n'y auront pas plus droit (pourquoi le privé ferait ce que ne fait pas le premier employeur de France, l'Etat ?). La France que vous envisagez semble tout à fait parfaite, c'est même le paradis, vous êtes un véritable génie M.Guyot.
"un taux de retraite beaucoup plus favorable que dans le privé" : mais des augmentations de salaire beaucoup moins rapides que dans le privé ; et les salaires du privé sont aujourd'hui encore supérieurs à ceux du public.
Totalement faux : les moyens de pression du public lui ont permis de "griller" très largement le privé !
donc, si je comprends bien, votre solution, c'est de payer moins les gens et de diminuer les retraites ? mais vous avez tout à fait raison mon cher, c'est exactement sur cette voie qu'il faut aller, elle va résoudre tous les problèmes, réduire les inégalités. Car si les fonctionnaires n'ont pas le droit à des salaires et à des retraites décentes, j'imagine que les travailleurs du privé n'y auront pas plus droit (pourquoi le privé ferait ce que ne fait pas le premier employeur de France, l'Etat ?). La France que vous envisagez semble tout à fait parfaite, c'est même le paradis, vous êtes un véritable génie M.Guyot.
Non ! Ma solution est de faire travailler les gens à des choses utiles et créatrices de valeur ajoutée, c'est très différent !
Un génie, moi ? Vous plaisantez, à côté de vous je fais pâle figure...
***
Totalement faux : les moyens de pression du public lui ont permis de "griller" très largement le privé !
donc, si je comprends bien, votre solution, c'est de payer moins les gens et de diminuer les retraites ? mais vous avez tout à fait raison mon cher, c'est exactement sur cette voie qu'il faut aller, elle va résoudre tous les problèmes, réduire les inégalités. Car si les fonctionnaires n'ont pas le droit à des salaires et à des retraites décentes, j'imagine que les travailleurs du privé n'y auront pas plus droit (pourquoi le privé ferait ce que ne fait pas le premier employeur de France, l'Etat ?). La France que vous envisagez semble tout à fait parfaite, c'est même le paradis, vous êtes un véritable génie M.Guyot.
Non ! Ma solution est de faire travailler les gens à des choses utiles et créatrices de valeur ajoutée, c'est très différent !
Un génie, moi ? Vous plaisantez, à côté de vous je fais pâle figure...
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Merci Delphes, Atom, Edou et Jeff pour vos réponses au Sieur Guyot,
Pour ma part après avoir vu ses denières déjections ici Je m'abstiendrai de lui adresser la parole, en le laissant barboter dans sa ... vulgarité-grossièreté et son total manque de respect pour nous tous.
Pour ma part après avoir vu ses denières déjections ici Je m'abstiendrai de lui adresser la parole, en le laissant barboter dans sa ... vulgarité-grossièreté et son total manque de respect pour nous tous.
Il y a des bruits à un moment de telephones portables, c'est assez long et desagréable...
Sinon j'aime toujours cette ambiance du plateau d'@si :)
Sinon j'aime toujours cette ambiance du plateau d'@si :)
Les bras m'en tombent quand Apathie dit qu'il n'y a pas de tabous dans les médias alors que lui-même indique qu'il s'autocensure sur RTL !!!
De même, quand il s'insurge contre la divulgation de faits connus (rencontre Dassault, Baytou, Sarko au Pyla, Sarko vantant ouvertement les mérites de L. Ferrari) lorsqu'ils expliquent à posteriori certains événements sous prétexte qu'ils orienteraient le lecteur dans de fausses pistes: "Vous en êtes sur ?"
Dans ce cas, un enquêteur travaillant sur la recherche d'indices pour confondre un criminel ne devrait pas le faire parce qu'il n'aurait pas assisté au crime !!!
De même, quand il s'insurge contre la divulgation de faits connus (rencontre Dassault, Baytou, Sarko au Pyla, Sarko vantant ouvertement les mérites de L. Ferrari) lorsqu'ils expliquent à posteriori certains événements sous prétexte qu'ils orienteraient le lecteur dans de fausses pistes: "Vous en êtes sur ?"
Dans ce cas, un enquêteur travaillant sur la recherche d'indices pour confondre un criminel ne devrait pas le faire parce qu'il n'aurait pas assisté au crime !!!
Bravo à Justine pour le justesse de ses interventions!
On peut écouter mon petit commentaire personnel sur l'émission en cliquant sur le lien ci dessous:
Cliquez ici
Cliquez ici
... je serais bien curieux de voir le temps de parole exact accordé à l'un puis à l'autre.
D'entrée de jeu, dans les 10 premières minutes, oser dire que les JT et la télévision dans son ensemble ne censurent rien, évoquent toutes les informations que le net diffuse..
personne ne moufte, à part un plus que timide "Sarkozy joyeux lors du G8" par Daniel Schneidermann, mais sans insister ni lui balancer un exemple supplémentaire comme ceux qui circulent depuis des mois sur ASI, et notamment les forums.
Fallait pas fâcher le VIP ?
Parce-que Cohen a bien tenté d'allumer quelques flammèches à quelques moments donnés, vite éteintes par Aphatie qui coupait sans cesse la parole; sinon c'était Daniel Schneidermann qui passait à autre chose en tuant dans l'œuf le moindre embryon de polémique qui pointait le bout de son nez.
Contrairement à J.F. Kahn lors du grand journal (pas invité, mais intervenu en droit de réponse), on peut dire que J.M. Aphatie n'est pas vraiment tombé dans un traquenard durant l'émission.
Il n'a pas eu besoin de se donner trop de peine pour enfumer et endormir son voisinage.
C'est la première fois, en visionnant cette 44ème émission si je ne me trompe pas, que j'avais envie d'intervenir à cette table et secouer un peu le cocotier afin de tomber le vernis et la prodigieuse langue de bois de la star.
Pour la blague, quelqu'un aurait pu faire tomber un livre, anonyme ou non, par terre.
Parce-que des faits, lui qui prétend donner une leçon de journalisme à son interlocuteur ("vous pensez que...".. "il paraitrait que..." etc) avant de le réduire en miettes, il y en avait une pleine brouette à étaler comme une belle confiture devant lui. Et qui contredisaient par a + b son point de vue sur la diffusion de l'information sur internet et aux JT. Et qui, en reprenant certaines de ses citations, démontraient qu'il était tout sauf neutre en tant que journaliste. Paroles, attitudes, regards dérobés (il doit savoir de quelle couleur est le sol sur le plateau d'ASI),... on n'a que l'embarras du choix.
Et puis, quelle marrade, ses moues en convenant du bout des lèvres un soupçon de parti pris gouvernemental de la part du Figaro.
Bref, un goût amer en fin d'émission, qui m'a donné l'impression que les protagonistes ne voulaient pas se mettre en porte-à-faux avec Aphatie....
... et surtout que l'argumentation, contrairement à nombre de précédentes émissions, n'était pas au rendez-vous.
Contrariant, quand la première phrase de l'article qui entoure l'émission évoque la polémique médiatique.
D'entrée de jeu, dans les 10 premières minutes, oser dire que les JT et la télévision dans son ensemble ne censurent rien, évoquent toutes les informations que le net diffuse..
personne ne moufte, à part un plus que timide "Sarkozy joyeux lors du G8" par Daniel Schneidermann, mais sans insister ni lui balancer un exemple supplémentaire comme ceux qui circulent depuis des mois sur ASI, et notamment les forums.
Fallait pas fâcher le VIP ?
Parce-que Cohen a bien tenté d'allumer quelques flammèches à quelques moments donnés, vite éteintes par Aphatie qui coupait sans cesse la parole; sinon c'était Daniel Schneidermann qui passait à autre chose en tuant dans l'œuf le moindre embryon de polémique qui pointait le bout de son nez.
Contrairement à J.F. Kahn lors du grand journal (pas invité, mais intervenu en droit de réponse), on peut dire que J.M. Aphatie n'est pas vraiment tombé dans un traquenard durant l'émission.
Il n'a pas eu besoin de se donner trop de peine pour enfumer et endormir son voisinage.
C'est la première fois, en visionnant cette 44ème émission si je ne me trompe pas, que j'avais envie d'intervenir à cette table et secouer un peu le cocotier afin de tomber le vernis et la prodigieuse langue de bois de la star.
Pour la blague, quelqu'un aurait pu faire tomber un livre, anonyme ou non, par terre.
Parce-que des faits, lui qui prétend donner une leçon de journalisme à son interlocuteur ("vous pensez que...".. "il paraitrait que..." etc) avant de le réduire en miettes, il y en avait une pleine brouette à étaler comme une belle confiture devant lui. Et qui contredisaient par a + b son point de vue sur la diffusion de l'information sur internet et aux JT. Et qui, en reprenant certaines de ses citations, démontraient qu'il était tout sauf neutre en tant que journaliste. Paroles, attitudes, regards dérobés (il doit savoir de quelle couleur est le sol sur le plateau d'ASI),... on n'a que l'embarras du choix.
Et puis, quelle marrade, ses moues en convenant du bout des lèvres un soupçon de parti pris gouvernemental de la part du Figaro.
Bref, un goût amer en fin d'émission, qui m'a donné l'impression que les protagonistes ne voulaient pas se mettre en porte-à-faux avec Aphatie....
... et surtout que l'argumentation, contrairement à nombre de précédentes émissions, n'était pas au rendez-vous.
Contrariant, quand la première phrase de l'article qui entoure l'émission évoque la polémique médiatique.
...Tant pis, je la pose ma question bête....Pouvez-vous me dire quel est le mot que prononce M. Cohen à la 22 mn 13 de l'émission ? J'entends head...VAD, ? VAN...???? enfin bref, ce qui m'intéresse c'est de savoir quel est l'outil dont il parle qui lui permet de visualiser sur son écran 30/40 sources d'informations sur le net. Je vous remercie, cette question autour de l'information sur internet m'ouvre des horizons (d'information) que je n'avais pas eu le temps d'explorer jusqu'à maintenant. La forme des émissions d'été est différente, parfois embarquée par des égos surdimensionnés mais c'est une mine, merci pour ce travail, cette constance et cette lucidité.
pour JMA le bon sens c'est être de droite sans l'avouer. prétendre ne pas voter pour conserver son impartialité est dune bêtise sans nom, pour reprendre les termes utilisés à l'encontre de JFK. j'avais presque oublié cette séance du grand journal ou le rire abject de la *$ù*$*! d'ariane massenet me soulève encore le coeur.
et de surcroît dire de quelqu'un qu'il est d'extrême droite parce qu'il pense que shakeqi n'aime pas la France, ça c'est carrément fort de café !!!! je ne savais même pas que j'étais d'extrême droite :-)) merci JMA pour l'info, ça c'est du journalisme...
il est bel et bien le représentant absolu de la pensée unique.
en espérant qu'il lise les réactions de cette émission, le contraire m'étonnerait.
à propos, commenkifon les invités non abonnés pour voir les réactions de leur émission ? @si leur offre l'accès au forum ou leur envoie un résumé ?
et de surcroît dire de quelqu'un qu'il est d'extrême droite parce qu'il pense que shakeqi n'aime pas la France, ça c'est carrément fort de café !!!! je ne savais même pas que j'étais d'extrême droite :-)) merci JMA pour l'info, ça c'est du journalisme...
il est bel et bien le représentant absolu de la pensée unique.
en espérant qu'il lise les réactions de cette émission, le contraire m'étonnerait.
à propos, commenkifon les invités non abonnés pour voir les réactions de leur émission ? @si leur offre l'accès au forum ou leur envoie un résumé ?
Si Apathie était un joueur de football, on dirait de lui qu'il est bon technicien, qu'il marque, mais un peu trop perso : Il semble pris entre le désir d'exercer son art, et celui d'avoir en même temps le rôle d'arbitre.
C'est ce qui lui est reproché. C'est en cela qu'il est proche de Sarkozy : Il voudrait pouvoir jouer sur tous les tableaux. Juge et partie, tour à tour, suivant la position qui lui serait le plus favorable.
Certains le voient comme un renard, d'autres une anguille...
Il a réussi à obtenir la considération dont il jouit en ce moment, grâce à sa technique, la qualité logique de ses démonstrations, son bagou.
Ce qui est plus génant, c'est son prétendu non-choix officiel sur la politique. C'est difficile à croire, et jette le doute sur sa personne... Problème d'ego ?
C'est ce qui lui est reproché. C'est en cela qu'il est proche de Sarkozy : Il voudrait pouvoir jouer sur tous les tableaux. Juge et partie, tour à tour, suivant la position qui lui serait le plus favorable.
Certains le voient comme un renard, d'autres une anguille...
Il a réussi à obtenir la considération dont il jouit en ce moment, grâce à sa technique, la qualité logique de ses démonstrations, son bagou.
Ce qui est plus génant, c'est son prétendu non-choix officiel sur la politique. C'est difficile à croire, et jette le doute sur sa personne... Problème d'ego ?
Que c'est dur de savoir si Apathie est neutre. Pour savoir si il est au point zéro, ni plus, ni moins, il faut définir la position du point zéro. Et cette position a une multitude de coordonées qui dépendent de la position politique de celui qui la décide. Pour moi, il est de droite parce que mon zéro est surement un peu plus à gauche que le zéro "absolu". Pour ma grand mère, il est de gauche ! (scoop)
Mais si on regarde les faits... comme relevé dans d'autres posts, comme par hasard il loupe toujours ses interviews de personnes de droites. C'est pas de chance. Par expérience personelle, je le trouve plus polémiste avec les personnes de gauche que de droite. Surement la faute de mon point zéro.
En tout cas je trouve très mal-honnete sa façon d'argumenter. Toujours, il évoque sa position avec sérieux, argument après argument. Et puis, la parole passe dans le camp adverse, et là il se met à rigoler, à couper l'adversaire... cela donne mais donne seulement l'impression que les arguments de l'opposant sont de la foutaise, alors que pour ses arguments à lui, personne n'a rit : non point qu'ils sont exempts de remise en cause, mais seulement parce que les gens ont un savoir vivre monsieur A.
Voilà encore un post pour rien dire !
Mais si on regarde les faits... comme relevé dans d'autres posts, comme par hasard il loupe toujours ses interviews de personnes de droites. C'est pas de chance. Par expérience personelle, je le trouve plus polémiste avec les personnes de gauche que de droite. Surement la faute de mon point zéro.
En tout cas je trouve très mal-honnete sa façon d'argumenter. Toujours, il évoque sa position avec sérieux, argument après argument. Et puis, la parole passe dans le camp adverse, et là il se met à rigoler, à couper l'adversaire... cela donne mais donne seulement l'impression que les arguments de l'opposant sont de la foutaise, alors que pour ses arguments à lui, personne n'a rit : non point qu'ils sont exempts de remise en cause, mais seulement parce que les gens ont un savoir vivre monsieur A.
Voilà encore un post pour rien dire !
Jean-Michel Apathie est-il Sarkozyste ? Aime-t-il cogner dur ? Pratique-t-il l’auto censure ?
Franchement quelle est l’importance des sujets traités dans cette (très) longue émission ?
Je regrette profondément l’Arrêt sur Image sur France 5, car très souvent vos programmes internet tournent en rond, ne présentent aucun intérêt et au lieu de traiter des sujets « médias » de fond et pertinents, dérivent vers une banalité nombriliste et superficielle qui est affligeante.
Dommage…
Franchement quelle est l’importance des sujets traités dans cette (très) longue émission ?
Je regrette profondément l’Arrêt sur Image sur France 5, car très souvent vos programmes internet tournent en rond, ne présentent aucun intérêt et au lieu de traiter des sujets « médias » de fond et pertinents, dérivent vers une banalité nombriliste et superficielle qui est affligeante.
Dommage…
Alors là ! Oui on a bien vu et on a bien compris que oui Apathie a des fois envie de cogner dur, et qu'il se réprime. Et quand on l'aide à cogner, il a l'air d'en jouir (ex précédemment évoqué de l'épisode au grand journal). Que c'est lui qui sait ! Point ! Que le pouvoir il est bien encore entre les mains des médias dominants (radios-tv), internet c'est encore de la broutille.
Qu'il a donc bien encore le pouvoir entre ses mots.
Il est effectivement apparu comme un "loup déguisé" en je ne sais pas trop quoi d'ailleurs. Je l'ai trouvé presqu'aussi effrayant qu'Elkabach.
Son unique bulletin de vote ne pèse pas très lourd par rapport aux répercutions de son pouvoir de persuasion.
Très marrant l'allusion de Cohen à Fulda et Ferrari. Mais là je m'autocensure ...
Félicitations à Daniel Schneiderman.
Qu'il a donc bien encore le pouvoir entre ses mots.
Il est effectivement apparu comme un "loup déguisé" en je ne sais pas trop quoi d'ailleurs. Je l'ai trouvé presqu'aussi effrayant qu'Elkabach.
Son unique bulletin de vote ne pèse pas très lourd par rapport aux répercutions de son pouvoir de persuasion.
Très marrant l'allusion de Cohen à Fulda et Ferrari. Mais là je m'autocensure ...
Félicitations à Daniel Schneiderman.
Cet Aphatie il est quand meme tres fort...
Il nous dit: Moi je suis un journaliste neutre. Oui, ca ne l'empeche pas de s'exprimer sur des sujets politiques sans contradicteurs. En particulier, tous les soirs au grand journal, ou il delivre constament des affirmations lenifiantes, entre le dessert et le fromage, face au biographe de Sarkozy.
Il nous dit:On ne peut pas se permettre de dire que je suis Sarkozyste. Ah bon? Il ne se prive pas de dire que Beytout est de droite, et pourtant en a-t-il la preuve formelle? Une photocopie de la carte UMP de Nico peut etre?
Il nous dit:Moi je m'embete pas de contredire Mougeotte. Il faudra que l'on m'explique en quoi sont intervention de 2 secondes ou il dit, 'Martine Aubry qu'en pensez-vous?' est un acte de bravoure? Et il se la joue modeste, genre je fais mon travail. Ben encore heureux! Et puis mougeotte, dans le role du vieux fatigue que l'on pousse dans les orties, il y avait pas mieux.
Il nous dit: Oui c'est vrai j'ai rate cette interview. Comme pas hasard, face a Ockrent. Madame patronne de Tele publique, Monsieur Ministre. Il avait un boulevard pour la demonter! Un paillasson en forme de porc-epique.
Il nout dit:'Les sois-disant journaliste affirme que Sarkozy a place Beytout au Figaro, mais ils n'ont pas la preuve formelle'. Cohen lache qu'il n'en a pas, il exulte : 'Sarkozy ne regente pas tout dans la republique'. Je vais lire attentivement son blog pour qu'il donne la preuve formelle que Sarko n'a pas place Beytout! Heureusement qu'il reste de vrai jounaliste comme lui.
Meme si Aphatie n'est pas le pire des journalistes vendus, c'est un journaliste de droite, qui affirme une impartialite qu'il ne pratique pas. Point. Un loup deguise en brebis. Mais au moins, il n'est pas outrancier comme Elkabash, alors on lui pardonne.
Et qu'est ce qu'on en a a faire d'Anne Fulda? Qqun peut me le dire?
Non, ne repondez pas...
Il nous dit: Moi je suis un journaliste neutre. Oui, ca ne l'empeche pas de s'exprimer sur des sujets politiques sans contradicteurs. En particulier, tous les soirs au grand journal, ou il delivre constament des affirmations lenifiantes, entre le dessert et le fromage, face au biographe de Sarkozy.
Il nous dit:On ne peut pas se permettre de dire que je suis Sarkozyste. Ah bon? Il ne se prive pas de dire que Beytout est de droite, et pourtant en a-t-il la preuve formelle? Une photocopie de la carte UMP de Nico peut etre?
Il nous dit:Moi je m'embete pas de contredire Mougeotte. Il faudra que l'on m'explique en quoi sont intervention de 2 secondes ou il dit, 'Martine Aubry qu'en pensez-vous?' est un acte de bravoure? Et il se la joue modeste, genre je fais mon travail. Ben encore heureux! Et puis mougeotte, dans le role du vieux fatigue que l'on pousse dans les orties, il y avait pas mieux.
Il nous dit: Oui c'est vrai j'ai rate cette interview. Comme pas hasard, face a Ockrent. Madame patronne de Tele publique, Monsieur Ministre. Il avait un boulevard pour la demonter! Un paillasson en forme de porc-epique.
Il nout dit:'Les sois-disant journaliste affirme que Sarkozy a place Beytout au Figaro, mais ils n'ont pas la preuve formelle'. Cohen lache qu'il n'en a pas, il exulte : 'Sarkozy ne regente pas tout dans la republique'. Je vais lire attentivement son blog pour qu'il donne la preuve formelle que Sarko n'a pas place Beytout! Heureusement qu'il reste de vrai jounaliste comme lui.
Meme si Aphatie n'est pas le pire des journalistes vendus, c'est un journaliste de droite, qui affirme une impartialite qu'il ne pratique pas. Point. Un loup deguise en brebis. Mais au moins, il n'est pas outrancier comme Elkabash, alors on lui pardonne.
Et qu'est ce qu'on en a a faire d'Anne Fulda? Qqun peut me le dire?
Non, ne repondez pas...
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Comme l'émission précédente celle-ci tourne en rond.
Petits problèmes personnels énumérés, survol de polémiques déjà largement relatées, personnalités qui ne livrent pas grand chose de nouveau et ne discutent pas vraiment ensemble sur les thèmes abordés.
JMA, tout comme face à J.F. Kahn au Grand Journal, s'embourbe à nouveau sur sa confusion entre journaliste d'information totalement neutre et journaliste d'opinion type chroniqueur qui cherche à faire passer ses idées.
Je ne retiens pas grand chose de tout cela, j'espère que les émissions de la rentrée seront plus pertinentes.
Petits problèmes personnels énumérés, survol de polémiques déjà largement relatées, personnalités qui ne livrent pas grand chose de nouveau et ne discutent pas vraiment ensemble sur les thèmes abordés.
JMA, tout comme face à J.F. Kahn au Grand Journal, s'embourbe à nouveau sur sa confusion entre journaliste d'information totalement neutre et journaliste d'opinion type chroniqueur qui cherche à faire passer ses idées.
Je ne retiens pas grand chose de tout cela, j'espère que les émissions de la rentrée seront plus pertinentes.
Salut à tous !!
Je trouve très intéressant ce qui découle de la question de daniel concernant la fonction du net dans les cas de conflit inter-journalistes (par exemple). Alors que tous les grands théoriciens post-modernistes "glissent" sur la mode de la société sans histoire, fonctionnelle et multifactorielle. Des êtres humains anomiques, ne cherchant que la satisfaction de désirs inscrits dans un système fonctionnel. Daniel met exergue, sans le dire clairement, le fait qu'Internet réintègre l'histoire dans la société. Il réintègre les évènements, le discours et l'histoire de ces évènements et permettant un retour constant et théoriquement infini sur l'information et de manière générale sur la connaissance.
Le débat que permet Internet dépossède tout le monde, tous les dominants, tous les vecteurs d'opinion traditionnels pour proposer l'opinion indépendante, la redistribuer à ce "tout le monde".
Je pense que c'est pour cela que le travail de journaliste est mis en défaut dès le départ, et vit une crise éthique, dans cette période de transition numérique. À mon sens, et en définitive, Internet est ce qui arrive de mieux pour les journalistes. L'accès à l'histoire et à ses évènements responsabilise de nouveau les journalistes, les forçant à recommencer leur travail depuis longtemps, en partie, assimilé à la sphère du pouvoir.
Merci pour cette émission ! Mais pourquoi avoir attendu 2 mois pour la publier ?
Bonne journée et lâchez pas !
Je trouve très intéressant ce qui découle de la question de daniel concernant la fonction du net dans les cas de conflit inter-journalistes (par exemple). Alors que tous les grands théoriciens post-modernistes "glissent" sur la mode de la société sans histoire, fonctionnelle et multifactorielle. Des êtres humains anomiques, ne cherchant que la satisfaction de désirs inscrits dans un système fonctionnel. Daniel met exergue, sans le dire clairement, le fait qu'Internet réintègre l'histoire dans la société. Il réintègre les évènements, le discours et l'histoire de ces évènements et permettant un retour constant et théoriquement infini sur l'information et de manière générale sur la connaissance.
Le débat que permet Internet dépossède tout le monde, tous les dominants, tous les vecteurs d'opinion traditionnels pour proposer l'opinion indépendante, la redistribuer à ce "tout le monde".
Je pense que c'est pour cela que le travail de journaliste est mis en défaut dès le départ, et vit une crise éthique, dans cette période de transition numérique. À mon sens, et en définitive, Internet est ce qui arrive de mieux pour les journalistes. L'accès à l'histoire et à ses évènements responsabilise de nouveau les journalistes, les forçant à recommencer leur travail depuis longtemps, en partie, assimilé à la sphère du pouvoir.
Merci pour cette émission ! Mais pourquoi avoir attendu 2 mois pour la publier ?
Bonne journée et lâchez pas !
"On fait çà pour rien" dit Daniel, concernant les blog et autres médias "internet".
Ben non !... vous ne faites pas cela pour rien !... La preuve, je rentre de belles balades en montagne pour me ressourcer (me revigorer !... et prendre le large après tant de "mouises" professionnelles... Et où vais-je m'informer ? Sur @si.... mon ré- abonnement ne fait aucun doute... Et c'est quand au fait ?
Bises à tous les asinautes et aux pro qui bataillent pour nous informer .
Ben non !... vous ne faites pas cela pour rien !... La preuve, je rentre de belles balades en montagne pour me ressourcer (me revigorer !... et prendre le large après tant de "mouises" professionnelles... Et où vais-je m'informer ? Sur @si.... mon ré- abonnement ne fait aucun doute... Et c'est quand au fait ?
Bises à tous les asinautes et aux pro qui bataillent pour nous informer .
La mauvaise impression que me fait J-M A persiste après avoir vu cette émission .Imbu de lui et "fauchton ". Je ne regarde plus le grand journal depuis qu'il y est et j'ignore RTL . Ca va être dur à la rentreé de trouver une émission digne d'être écoutée . Je ne capte pas france inter . Je me raccroche à internet et c'est là que j'essaye de me forger une opinion .
Merci à arrêt sur images .
Merci à arrêt sur images .
Bonjour
J'ai eu quelques problèmes de son. En avez-vous eu aussi?
Pour le reste, c'était une émission un peu trop centrée sur M. Apathie, même si j'en conviens le personnage est intéressant. Il est vrai qu'il n'écoute pas beaucoup le journaliste de Marianne 2. C'est assez insultant et peu professionnel. Avez-vous remarqué le sourire franchement narquois que M. Apathie affichait au moment où M.Cohen relatait les réactions des autres chroniqueurs du GRAND Journal envers J.F. Kahn? Terrible image qui en dit bien plus long que de longues analyses sur M. Apathie.
J'ai eu quelques problèmes de son. En avez-vous eu aussi?
Pour le reste, c'était une émission un peu trop centrée sur M. Apathie, même si j'en conviens le personnage est intéressant. Il est vrai qu'il n'écoute pas beaucoup le journaliste de Marianne 2. C'est assez insultant et peu professionnel. Avez-vous remarqué le sourire franchement narquois que M. Apathie affichait au moment où M.Cohen relatait les réactions des autres chroniqueurs du GRAND Journal envers J.F. Kahn? Terrible image qui en dit bien plus long que de longues analyses sur M. Apathie.
Merci de cette rencontre avec APATHIE
- Le personnage APATHIE présente une facette particulière et originale de la conception de journalisme politique qui n'est pas loin de me faire penser à la version SCHNEIDERMANN s'agissant des médias ;
une véritable conception du métier de journaliste ( avec un fondement "déontologique" qui se base sur le "traditionnel",
une approche non dénuée de curiosité sur l'évolution du métier,
une cetaine assurance quant à la qualité du travail effectué ou la "compétence" et le savoir-faire acquis ( lié à une expérience professionnelle riche ou variée),
une lucidité (tentée de cynisme ?) sur le "microcosme" journalisitique,
une exigence et une rigueur sur soi et sur les autres ;
mais également une vraie rancoeur perceptible ou une animositié à peine cachée liée à l'historique personnel de la carrière.
Chacun l'exprimant à sa manière et avec sa langue ou sa voix ...
Cohen a bien du mal à se faire entendre et Justine (si Daniel lui pr^te vie et un peu de patience) progresse dans la maîtirse qui laisse présager qu'elle pourra être bientôt la petite voix fil rouge des futures émissions ...
Malgré quelques moments un peu confus, encore une fois j'aime ces émissions qui autour des médias dévoilent également des personnalités et sous-jacentes les amitiés et inimitiés du petite monde de LEMEDIAS qui nous intéressent tant.
- Le personnage APATHIE présente une facette particulière et originale de la conception de journalisme politique qui n'est pas loin de me faire penser à la version SCHNEIDERMANN s'agissant des médias ;
une véritable conception du métier de journaliste ( avec un fondement "déontologique" qui se base sur le "traditionnel",
une approche non dénuée de curiosité sur l'évolution du métier,
une cetaine assurance quant à la qualité du travail effectué ou la "compétence" et le savoir-faire acquis ( lié à une expérience professionnelle riche ou variée),
une lucidité (tentée de cynisme ?) sur le "microcosme" journalisitique,
une exigence et une rigueur sur soi et sur les autres ;
mais également une vraie rancoeur perceptible ou une animositié à peine cachée liée à l'historique personnel de la carrière.
Chacun l'exprimant à sa manière et avec sa langue ou sa voix ...
Cohen a bien du mal à se faire entendre et Justine (si Daniel lui pr^te vie et un peu de patience) progresse dans la maîtirse qui laisse présager qu'elle pourra être bientôt la petite voix fil rouge des futures émissions ...
Malgré quelques moments un peu confus, encore une fois j'aime ces émissions qui autour des médias dévoilent également des personnalités et sous-jacentes les amitiés et inimitiés du petite monde de LEMEDIAS qui nous intéressent tant.
La part un peu belle à Apathie.
Mais drôle de personnage tout de même... Il aime bien les idées qui bougent, les idées sarkozystes, mais sans en revendiquer l'étiquette : dans son équipe on s'y est trompés !
C'est dire toute la clarté du coco qui se veut revendiquer d'un journalisme hyper-rigoureux (pas d'hypothèses de travail, si pas les preuves en face) et donc dont le travail ne peut se limiter qu'à deux choses : passer pour un simplet-naïf, critiquer après-coup le travail des confrères qui se sont risqués à quelques prises de position.
Et encore, si j'ai bien compris, il met beaucoup de limites à sa critique.
Mais drôle de personnage tout de même... Il aime bien les idées qui bougent, les idées sarkozystes, mais sans en revendiquer l'étiquette : dans son équipe on s'y est trompés !
C'est dire toute la clarté du coco qui se veut revendiquer d'un journalisme hyper-rigoureux (pas d'hypothèses de travail, si pas les preuves en face) et donc dont le travail ne peut se limiter qu'à deux choses : passer pour un simplet-naïf, critiquer après-coup le travail des confrères qui se sont risqués à quelques prises de position.
Et encore, si j'ai bien compris, il met beaucoup de limites à sa critique.
La vidéo ne fait pas 52 minutes mais presque 65. Tant mieux!
Aphatie ne fait même pas semblant d'être intéressé par les propos de Cohen; il semble être davantage absorbé par le mobilier d'@si.
Aphatie ne fait même pas semblant d'être intéressé par les propos de Cohen; il semble être davantage absorbé par le mobilier d'@si.
"Demorand qui veut se groinfrer à France 2" ... par Aphatie, qui est en concurrence sur le même horaire... Sympa, le vachard du Sud.