P.Y. Bocquet, et la brèche ouverte au RN
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Le mieux pour éviter que le RN ne s’engoufre dans la brèche, ce serait quand même d'arrêter de préparer le terreau à son arrivée au pouvoir. Message pour les médias et pour les Retailleau, Darmanin et Macron qui relaient sans arrêt les idées nauséabo(...)
Émission très intéressante et d'intérêt public.
Je crains malheureusement que rajouter une ligne dans la Constitution ne soit pas le remède miracle pour éviter une catastrophe politique. C'est pas comme si il n'y avait qu'une mini brèchounette o(...)
Mmm, inviter un complice du désastre pour parler du désastre ?
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S'il s'agit de rajouter une ligne dans la constitution, ne peut-on pas interpeler nos députés et sénateurs ? Lancer une pétition ? Mais surtout partager cette émission, merci Mr SCHNEIDERMANN.
Attention tout de même au verrouillage total de la constitution.... Si c'est pour empêcher le RN de mettre en œuvre ses idées nauséabondes, ça me va très bien, mais dans l'autre sens, si ça empêche LFI d'agir ?
Ce n'est pas que le programme de Mélenchon soit révolutionnaire, mais il n'est pas impossible que certaines mesures de son programme (notamment sur la fiscalité des plus riches) soient jugées anticonstitutionnelles...
Ce ne sera pas un ajustement de la constitution qui changera grand chose. L'enjeu est culturel. Les institutions ne tiennent que par la légitimation populaire, et effectivement, si la population dans son ensemble se reconnait dans d'autres principes de base que ceux qui sous-tendent la constitution à un moment donné, celle-là n'a pas d'existence sacro-sainte la plaçant au-dessus de façon immuable. Ce n'est ni la bible d'une théocratie, ni les pensées sacralisées de "pères fondateurs" incontestables. Les institutions ne vont pas résister artificiellement aux évolutions (progressions ou régressions) des représentations culturelles dans lesquelles elles baignent.
Ce sont ces représentations culturelles qui déterminent tout. Et c'est pourquoi le travail de l'extrême-droite est avant tout une guerre des médias et de l'éducation. Eloignés du vécu de la 2ème guerre mondiale, on en revient à questionner les bases morales de la démocratie libérale, et ses "évidences" en terme d'égalité et d'inclusivité. C'est un phénomène glaçant et intéressant. "Pourquoi la paix, après tout", se demande-t-on avant d'annexer l'Ukraine, Taïwan, le Panama, le Groenland ou le Canada. "Pourquoi la parité, après tout", se demande-t-on en effaçant les femmes de l'Histoire. "Pourquoi l'égalité, après tout", se demande-t-on en réinstaurant l'apartheid. En face, on bredouille que ça va de soi... Rien ne va de soi. Tout est construction humaine, à argumenter et défendre. Tout est un bras de fer entre un intellectualisme décentré et un pragmatisme nombriliste, et le pragmatisme nombriliste a le vent en poupe : la pensée lapidaire, la pensée slogan, le cri libérateur et les perspectives solipsistes sont survalorisés par nos technologies de l'immédiateté. De nouvelles formes de chacun-pour-soi (entre prédations et indifférences) se sont normalisées sur tout le spectre politique, et entrent en résonnance avec une idéologie spécifique, à un moment même où il est acquis par tout le monde que rien n'est acquis.
Il y a sans doute un cycle perpétuel, là-dessous, propulsé par des paradoxes fondamentaux. Hitler se déclarait le plus révolutionnaire des conservateurs. Un courant idéologique prône l'ouverture et le décentrement, le doute et l'humilité (rien n'est sûr face à l'intellectualisation). Un autre prône l'ethnocentrisme assumé et universaliste, la hiérarchie des identités (rien n'est discutable face au bon sens traditionnel). Le premier courant pose la démocratie comme articulation des incertitudes. Le second courant retourne cette incertitude contre la démocratie et pose en "pourquoi pas" son totalitarisme "parce que tout". Et les idées suivent. Toutes les valeurs démocratiques sont remises en question ("de quel droit s'opposer au fascisme conquérant", "à quoi bon s'interdire la manipulation", "à qui laisser le privilège de l'injustice"), le vieux monolithe immuable ré-émerge à travers ces fragilités révélées. La nature favorise les brutes.
Aujourd'hui, le sens commun est fascisant : l'acceptation trumpienne des totalitarismes se fait unanime entre la droite bolloréenne, la "gauche nétanyahou" et la "gauche poutine". Toutes unies dans une même rhétorique coup-de-poing, visuelle, verbale et intime, dans les mêmes postures héroïsantes, victimaires et grégaires. Mais ce sur quoi tout le monde est d'accord (la fin justifiant les moyens, l'honnêteté secondaire à l'adhésion, l'excusabilité des écrasements et conquêtes territoriales) n'est pas neutre. C'était le consensus croissant des années 30. Et à une époque de déconstruction (légitime) des normes, présupposés et habitudes de pensées, dans cette espèce de saine tabula rasa cartésienne d'où on espérait sortir un ordre anthropologique plus équitable, c'est surtout ces intersections fascisantes qui émergent en nouveau sens commun.
Bref, nous validons d'être des salauds, et nous nous étonnons que les plus salauds en sortent grandis. En parallèle, nous dénonçons vertueusement nos bases socioculturelles (par exemple nos fondamentaux et illégitimes patriarcats et binarités) et illustrons ainsi l'arbitraire de tous nos vieux impensés (y compris, par extension, les normes démocratiques, le consensus qui protégeait ces institutions). C'est une périlleuse conjonction culturelle. Une saine ouverture aux révolutions, mais y compris conservatrices. Si nous n'arrivons pas à re-légitimer des valeurs culturelles à l'antithèse des fascismes opportunistes, si nous continuons à valider les pires d'entre elles avec l'excuse que "oui mais de notre part c'est différent", alors c'est simplement les principes moraux collectifs qu'elles définiront, et que les élections cristalliseront. Les institutions n'en seront que l'épiphénomène, et aucun verrou administratif ne les préservera.
je suppose que les patrons ont quitté le conclave parce qu'il leur a été demandé des sous et de devoir garder plus longtemps ceux qui plombent davantage leur masse salariale
Chapoutot sort aussi un livre d'histoire sur les irresponsables après Munich
C8 s'est tue, mais Cnews recevait le fou du Puy en prime time, combien a-t-il payé pour ce publireportage?
le service militaire semble avoir du plomb dans l'aile, tant mieux cela ressemblait par trop aux horribles "chantiers de jeunesse" de Vichy ( pardon pour cette charmante ville! )
et nos députés ne votent même pas la censure!
A mon avis il y a plutôt un intérêt convergent à ce que cette petite phrase ne soit jamais ajoutée à la constitution car outre le RN ou edouard philippe, LFI souhaite également avoir recours a l'article 11 pour sa constituante.
ca parait compliqué d'avoir une majorité sans même parler de majorité qualifiée pour amender la constitution dans ces conditions.
https://programme.lafranceinsoumise.fr/livrets/constituante/
"Certain·es tentent d’opposer à cette exigence démocratique un contre-argument juridique, clamant qu’il serait juridiquement impossible de convoquer une Assemblée constituante. C’est évidemment faux !
L’article 11 de la Constitution de 1958 permet au président de la République de soumettre au référendum un projet de loi « portant sur l’organisation des pouvoirs publics », sans passer par un vote à la majorité qualifiée des deux chambres du Parlement. Le président Charles de Gaulle l’a fait deux fois, sans que le Conseil constitutionnel n’ait trouvé à y redire, le peuple assurant lui-même la sanction de cette initiative par son vote souverain (un rejet de la réforme proposée valant, en pratique, « motion de défiance » à l’égard du chef de l’État). Une fois élu, notre candidat disposera donc des moyens constitutionnels de proposer officiellement la convocation d’une Assemblée constituante."
Au passage qui a raison ? P.Y. Bocquet qui affirme que le conseil constitutionnel s'est opposé a De Gaulle dans un vote 7-2 en 62 ou LFI qui affirme que le conseil constitutionnel n'a rien trouvé à redire (ou plutot ne s'est pas juge competent). le site du conseil constitutionnel semble plutôt donner raison a LFI.
https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/1962/6220DC.htm
Pour ma part j'ai bien peur que le rajout de la petite phrase pour bloquer l'utilisation abusive de l'article 11 ne soit qu'une goutte de citron dans la purée, je ne suis pas sur que cela aura beaucoup d'impact quand un président fraîchement élu et légitimé par le suffrage universel decidera d'imposer le référendum pendant que les médias nous abreuveront de sondages montrant que a plus de 123% "les Français veulent un référendum parce que c'est plus démocratique que de passer par le parlement ". Et j'ai du mal a croire que le parlement destituerait un président fraîchement nommé si celui ci s'obstinait. pas beaucoup plus optimiste quant a l'opposition du conseil constitutionnel dont la crédibilité et l'autorité sont en chute libre.
Si les politiques et notre parlement avaient vraiment du courage et faisaient passer leurs ambitions personnelles après l'intérêt des Français, ils reformeraient la constitution pour dégager le régime présidentiel (et plus si affinites) dès aujourd'hui via l'article 89 dans un moment ou le président est relativement faible et impopulaire et ou par un grand concours de circonstances le scrutin majoritaire nous a donné une assemblée assez représentative des équilibres électoraux et donc une certaine forme de légitimité. (bon ok le sénat est lui pas du tout representatif)
Le parlement pourrait même utiliser l'article 89 pour permettre la formation d'une constituante ce qui permettrait de légitimer le process, il me semble que ca avait été suggérée en juillet dernier.
Malheureusement nos leaders politiques pensent surtout a leur destin personnel et ce qu'ils feront quand ils seront présidents, pourquoi iraient ils supprimer la fonction qui les obsèdent.
Il est évident qu'en comparaison être premier ministre d'un régime parlementaire c'est beaucoup moins glamour, a la moindre crise de jupiterisme ou de melonite aigue ca n'est pas simplement le parlement qui vous menace ceux sont les requins de votre propre parti. Nos aspirants monarques ont probablement tous en tete la tres tres courte carriere de Liz Truss au 10 downing street.
J’ai raté qqch ou ce fameux ajout à mettre d’urgence n’a pas été dit dans cet entretien ? Ensuite, parler des conséquences de cet ajout car il y en a toujours. on a tout de même affaire à un ancien conseiller de Hollande donc prudence!
Probablement l'entretien le plus important depuis 2002 sur ce que peut signifier une bascule de la démocratie en France par le truchement d'une faille constitutionnelle, de contre-pouvoirs inefficaces et un élan démagogique dont on sait qu'il fait le lit à des pouvoirs forts, illibéraux y compris dans de vieilles démocraties. L'invité, P.Y. Bocquet, donne également une solution immédiate (que nous devons exiger de nos députés et du Pdt Macron), bref l'émission doit être propulsée vers toutes et tous et être libre (comme celle avec Chapouteau... En plus, un court échange dans l'émission nous offre une lecture de ce que l'on nomme la démocratie, c'est-à-dire une "histoire" que tout le monde partage avec la très expressive image de la vache dans la prairie qui ne croirait pas à l'électricité et alors que nous assistons, en direct, à l'effondrement démocratique d'un pays, l'une des plus vieilles démocraties du monde, après quelques autres dont une en Europe et la plus peuplée (Hongrie, Inde).
La solution du pire, en espérant que ce "pire" provoquera un soulèvement révolutionnaire, que certains prônent dans les entre-deux-tours pour s'abstenir de se salir les mains, outre le fait qu'elle expose toute une partie de la population à des représailles immédiates, une partie qui n'est pas celle disposant du droit de vote, n'a, dans l'histoire récente des médias de masse et de la mise en scène de l'empire de la marchandise (Bolloré, privatisation des restes du "service public", presse inféodée), jamais été démontrée ! Combien d'années ont séparé le coup d'État fasciste renversant Allende et le retour à la démocratie au Chili, par où a du passer l'Italie de Mussolini pour le dégager, combien d'années Orban peut-il encore durer, idem pour Erdogan ou Poutine ??? Ces régimes s'installent toujours pour durer, c'est même leur objectif central !Promotion pour une chienne de garde. On voit bien qui est leur ennemi. Et ce n'est pas le RN:
Émission très intéressante et d'intérêt public.
Je crains malheureusement que rajouter une ligne dans la Constitution ne soit pas le remède miracle pour éviter une catastrophe politique. C'est pas comme si il n'y avait qu'une mini brèchounette ouverte par notre camarade De Gaulle.
C'est l'oligarchie, mes chers amis. Rien ou très peu n'a été fait pour entraver l'accumulation, l'accaparement des ressources, la corruption lente de la société et des institutions par des LVMH et autres Bolloré.
Aujourd'hui les reliquats des grands partis traditionnels (PS et LR) et l’extrême droite font la course pour servir les milliardaires et obtenir leurs grâces.
Si on a une fois l'an un élu de droite, du PS au RN, qui se réveille pour servir l'intérêt général, style Charles de Courson, c'est le bout du monde, on est fou de joie et on remercie les dieux.
Selon mon humble avis, les individus avec des patrimoines et des fortunes importantes sont les seuls à avoir intérêt à mettre l'extrême droite au pouvoir. Si des affaires de corruptions, des échecs trop nombreux, ou le discrédit empêchent leurs agents habituels (PS, LR) de tenir le pouvoir politique, alors il est naturel pour eux de se tourner vers la solution suivante, le fascisme. "Qu'ils s'entre-tuent, que tout brûle, mais qu'on nous laisse tranquille sur notre tas d'or" se disent-ils sans doute. Ou bien "tout sauf la prison" peut-être.
L'éducation civique censée faire de nous des citoyens était ridicule de mon temps d'écolier dans les années 90/2000. C'était des organigrammes, des rectangles avec des noms, reliés par des flèches. Je crains que cela n'ait pas suffit à faire de nos générations des citoyens éveillés, et je crains que les cours d'éducation civique actuels ne soient guère plus poussés. L'école fait de nous de futurs employés, pas du tout des citoyens.
Si la démocratie c'est d'abord "des histoires qu'on se raconte", si en dernier ressort ce sont les imaginaires et les représentations qui tiennent la société, alors il y a à s'inquiéter tant que le conditionnement par la diffusion de l'idéologie RN se poursuit.
Le temps joue pour l’extrême droite, avec le matraquage incessant de leur idéologie par des médias et des réseaux confisqués par les milliardaires. Le conditionnement des esprits ne fonctionne que trop bien et très vite, il est inévitable avec le temps.
Le salut, la solution logique serait une alternance politique qui permettrait de casser ce conditionnement et assurer la protection de la société contre les milliardaires.
Ces derniers en sont bien conscient, s'ils s'engagent pour financer des candidats et influencer la politique ce n'est pas par plaisir, ils ont sûrement trop à perdre et craignent sans doute que l'on mette le nez dans leurs affaires et de finir avec un bracelet électronique, si les institutions faisaient vraiment leur boulot avec un gouvernement intègre pour s'en assurer.
La brèche la plus béante c'est la concentration des médias par où s'opère le conditionnement. Heureusement qu'on a ASI, Gloire à ASI, mais ce qu'il nous faut c'est une loi qui garantisse la pluralité des médias et la fin des empires médiatiques.
On peut donc parer à cette menace. On fait quoi, une pétition qui alerte et mobilise pour mettre le sujet en "Une"? Déjà j'achète le livre. A plus tard, ici ou ailleurs.
P.Y. Bocquet quand la caméra le prend de profil, on lui trouverait des ressemblances avec F. Hollande jeune (le mimétisme enarque-PS ?)
Autre point, P.Y. Bocquet dit qu'il a échangé avec Jean-Marc Ayrault sur son projet de tract ... quand on se souvient de la clairvoyance politique de Jean-Marc Ayrault depuis des lustres, on se dit qu'il aurait très bien pu en parler à son cheval, pour le même effet. Ce qui en dit long, sur cet argument d'un "soutien" de son projet par Jean-Marc Ayrault. Si tu n'as besoin de rien, parles-en à Jean-Marc ...
autre point de droit consit, le discours de Bayeux en 1944 du Général De Gaull, décrivait clairmeent ce qu'il souhaitait faire (souvenir de mes cours de droit contit des plus standards au début des années 80.) Donc, l'argument de Mr Bocquet est lui aussi un peu faiblard sur le point que tout est déjà sur le papier et dans les dires de M LePen ... comme pour le De Gaulle, donc !
On peut dire aussi, que la 5eme république, est inspirée et très proche de la Consit de la république de Weimar et celle-ci a bien été capable de porter au pouvoir Adolf avec l'aide ses sociaux-démocrates allemands (après avoir laissé assasiner Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg, pour rappel)
Plus politiquement, dans l'ambiance délétère actuelle qui pourrait imaginer qu'une majorité des députés/sénateurs (hors RN) puisse se lancer dans une réforme de l'article 89 et encore moins le Président.
Il est gentil, ce jeune, mais il parle dans le désert !
Oui je sais mais je ne sais pas comment faire pour le.faire savoir à ceux qui ne veulent surtout pas savoir.
Mmm, inviter un complice du désastre pour parler du désastre ?
"Encore un mot : oui, il est possible de l'empêcher, et de colmater cette incroyable brèche juridique.
Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. DS"
Merci de nous alerter.
Dites, M. Schneidermann, vous pouvez faire un petit effort supplémentaire et nous dire ce qu'il faut faire pour que l'inéluctable ne le soit pas ?
Le mieux pour éviter que le RN ne s’engoufre dans la brèche, ce serait quand même d'arrêter de préparer le terreau à son arrivée au pouvoir. Message pour les médias et pour les Retailleau, Darmanin et Macron qui relaient sans arrêt les idées nauséabondes du RN . Ce Monsieur Bocquet, que je ne connais pas, aurait pu alerter Hollande, à l'époque où il travaillait avec lui , sur les dangers d'une politique néoliberale qui delaisse les plus fragiles et qui propulse un peu plus haut le danger de l'extrême-droite. Surtout quand on se dit de gauche.
Bref plutôt que de vouloir reconstruire un énième barrage, il serait judicieux d'arrêter de calomnier ceux qui proposent un vrai progrès social . A coup d'accusation d’antisémitisme notamment.
Mais on a bien compris qui était pour eux le vrai danger. Et ce n'est certainement pas l'extrême-droite avec qui le bloc bourgeois est prêt à s'allier .
Encore et toujours Hitler plutôt que le Front Populaire.
Et puisque que l'on parle de dictateur, le nôtre n'a rien a envié à celui des US.
Un entretien d'utilité publique. Je vote l’accès libre, naturellement, afin de le diffuser le plus largement possible.
merci me=sssieurs.
Passionnant. D'intérêt public !
C’est effondrant…
Ca n’est pourtant pas neuf : « Ils ont des yeux pour voir et ne voient pas, ils ont des oreilles pour entendre et n’entendent pas… à quoi sert le sel de la terre s’il perd son goût ? »
Je laisserai à chacun le soin de retrouver les références.
… En sommes-nous là ?