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Pacte budgétaire : le pacte "oui mais non"
Vous faites quoi le dimanche 18 novembre ? Rien ? Alors calons ce jour-là le référendum sur le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG). Ça nous laisse six semaines pour débattre de ce texte – dit aussi pacte budgétaire – et déterminer si oui ou non on inscrit le principe de la règle d’or dans nos lois, autrement dit si on s’engage à ne pas laisser notre déficit structurel dépasser 0,5% du PIB. Six semaines ça devrait aller, le traité est court (
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Derniers commentaires
Une perle :
"extrait de l’accord signé le 9 mars 2012 entre le MRC (Chevénement) et le Parti Socialiste. Voici ce que contient ce document signé par Martine Aubry, au nom du PS : « Les deux partis conviennent que le traité européen tel qu'il a été convenu par le sommet du 30 janvier 2012 et signé le 2 mars dernier est inacceptable. La vision purement budgétaire et disciplinaire qui est celle du traité déboucherait sur une austérité et une récession généralisée ». "
(trouvé sur le blog de Mélenchon)
Une autre :
Dans le TSCG, il y aurait une erreur concernant la limite du déficit structurel. Au lieu d'écrire que 0,5 % de déficit structurel est la limite supérieure, il est écrit que c'est la limite inférieure. ( Tribune parue dans Libération du 2 octobre sous le titre "un lapsus collectif", de Pierre Khalfa et Christiane Marty). Si c'est vrai, c'est que cette erreur est passée inaperçue des centaines de lecteurs et traducteurs tous plus experts les uns que les autres. On peut s'amuser à imaginer qu'ils sont tellement persuadés que cette règle est inaplicable, qu'ils l'ont écrit. Ou que les gouvernements pourront arguer de la lettre du texte pour ne pas l'appliquer ...
"extrait de l’accord signé le 9 mars 2012 entre le MRC (Chevénement) et le Parti Socialiste. Voici ce que contient ce document signé par Martine Aubry, au nom du PS : « Les deux partis conviennent que le traité européen tel qu'il a été convenu par le sommet du 30 janvier 2012 et signé le 2 mars dernier est inacceptable. La vision purement budgétaire et disciplinaire qui est celle du traité déboucherait sur une austérité et une récession généralisée ». "
(trouvé sur le blog de Mélenchon)
Une autre :
Dans le TSCG, il y aurait une erreur concernant la limite du déficit structurel. Au lieu d'écrire que 0,5 % de déficit structurel est la limite supérieure, il est écrit que c'est la limite inférieure. ( Tribune parue dans Libération du 2 octobre sous le titre "un lapsus collectif", de Pierre Khalfa et Christiane Marty). Si c'est vrai, c'est que cette erreur est passée inaperçue des centaines de lecteurs et traducteurs tous plus experts les uns que les autres. On peut s'amuser à imaginer qu'ils sont tellement persuadés que cette règle est inaplicable, qu'ils l'ont écrit. Ou que les gouvernements pourront arguer de la lettre du texte pour ne pas l'appliquer ...
Bonjour
Le problème de ce traité c'est qu'il s'agit du nième…
Et à chaque fois on nous dit que demain sera meilleur… Quand on observe ce qui se passe et le résultat des courses on peut avoir des doutes sur la ritournelle.
Alors Anne-Sophie, même si vous trouvez des éléments dedans qui vous paraissent positifs, sachez qu'on ne nous la refait plus. Il est temps de revoir complètement la copie européenne avant que plus personne n'y croie.
Le problème de ce traité c'est qu'il s'agit du nième…
Et à chaque fois on nous dit que demain sera meilleur… Quand on observe ce qui se passe et le résultat des courses on peut avoir des doutes sur la ritournelle.
Alors Anne-Sophie, même si vous trouvez des éléments dedans qui vous paraissent positifs, sachez qu'on ne nous la refait plus. Il est temps de revoir complètement la copie européenne avant que plus personne n'y croie.
Finalement, le PS aura donné le dernier tour de vis à tout ce montage Merkozy de la suprématie du contrôle européen sur les finances publiques des Etats membres permettant ainsi de sauver le capitalisme libéral.
Cela prouve deux choses :
- que la gauche avait les crocs de revenir au pouvoir, mais sans idées et encore moins des idées socialistes ;
- que nos politiques n'ont aucun courage et pas celui d'assumer les coupes claires dans le budget de leur pays, en décidant que des structures exogènes (UE, Haut Conseil des Finances, ...) viennent les censurer et prennent des décisions à leur place.
Comme le disait Emmanuel Todd, nos élites ne sont pas au niveau...
Cela prouve deux choses :
- que la gauche avait les crocs de revenir au pouvoir, mais sans idées et encore moins des idées socialistes ;
- que nos politiques n'ont aucun courage et pas celui d'assumer les coupes claires dans le budget de leur pays, en décidant que des structures exogènes (UE, Haut Conseil des Finances, ...) viennent les censurer et prennent des décisions à leur place.
Comme le disait Emmanuel Todd, nos élites ne sont pas au niveau...
Merci pour cet excellent article!
Le Krugman de jeudi revient aussi sur ces histoires de déficit, mais à propos de l'Espagne:
"Prenons les graves maux de l’Espagne. Quel est le véritable problème économique ? En fait, l’Espagne ne parvient pas à digérer les conséquences de la gigantesque bulle immobilière... Tout d’abord, ce n’est pas parce que le pays était dépensier que l’Espagne s’est retrouvée dans cette situation. Au contraire, à la veille de la crise, l’Espagne dégageait des bénéfices budgétaires et avait une dette minime. D’importants déficits sont apparus lorsque l’économie a faibli, emportant avec eux les recettes fiscales, mais même alors, l’Espagne ne semblait pas avoir une dette aussi élevée que ce que l’on pourrait croire."
et " Alors, pourquoi exige-t-on davantage de souffrance ?
L’explication tient en partie au fait qu’en Europe, tout comme en Amérique, beaucoup trop de "Gens Très Sérieux" se sont laissés envoûter par le culte de l’austérité, par cette croyance selon laquelle les déficits budgétaires sont le danger identifié le plus immédiat, et non le chômage de masse, et que la réduction des déficits résoudra d’une certaine façon un problème amené en premier lieu par les excès du secteur privé."
http://www.rtbf.be/info/chroniques/chronique_la-folie-de-l-austerite-en-europe-paul-krugman?id=7847059&chroniqueurId=5032403
"Prenons les graves maux de l’Espagne. Quel est le véritable problème économique ? En fait, l’Espagne ne parvient pas à digérer les conséquences de la gigantesque bulle immobilière... Tout d’abord, ce n’est pas parce que le pays était dépensier que l’Espagne s’est retrouvée dans cette situation. Au contraire, à la veille de la crise, l’Espagne dégageait des bénéfices budgétaires et avait une dette minime. D’importants déficits sont apparus lorsque l’économie a faibli, emportant avec eux les recettes fiscales, mais même alors, l’Espagne ne semblait pas avoir une dette aussi élevée que ce que l’on pourrait croire."
et " Alors, pourquoi exige-t-on davantage de souffrance ?
L’explication tient en partie au fait qu’en Europe, tout comme en Amérique, beaucoup trop de "Gens Très Sérieux" se sont laissés envoûter par le culte de l’austérité, par cette croyance selon laquelle les déficits budgétaires sont le danger identifié le plus immédiat, et non le chômage de masse, et que la réduction des déficits résoudra d’une certaine façon un problème amené en premier lieu par les excès du secteur privé."
http://www.rtbf.be/info/chroniques/chronique_la-folie-de-l-austerite-en-europe-paul-krugman?id=7847059&chroniqueurId=5032403
L'un des plus grands articles sur le sujet que j'ai lus es dernières semaines, merci Anne-Sophie !
J'attends le contre-argumentaire de Kerbraz, qui m'intéresse aussi s'il revient par ici.
J'attends le contre-argumentaire de Kerbraz, qui m'intéresse aussi s'il revient par ici.
Bien dit. Aubry avait dit :"Hollande c'est la gauche molle." Je ne me faisais guère d'illusions sur lui, mais là ça dépasse tous les pronostiques ,au niveau de la félonie,il est champion du monde, le capitaine de pédalo ! Chapeau bas... Tous à la manif Dimanche..
Merci pour cet article.
Une critique néanmoins: vous citez Quatremer comme une source journalistique valable. C'est votre droit. Nénamoins, je pense qu'il faudrait prendre vis-à-vis de cette source les mêmes précautions que pour d'autres "journalistes" lesquels —sous le prétexte de leur statut de journaliste (via la carte de presse)— prétendent que leur production propagandiste et/ou pamphlétaire est de l'information: je pense aux éditocrates patentés, au petit journal, à de nombreux journalistes du Figaro, ou de la presse audiovisuelle. La liste est trop longue pour que je fasse une énumération complète, mais Quatremer me semble rentrer pleinement dans ce cadre: sous prétexte de "journalisme" relatant des faits, il fait passer une opinion dominante dans les cercles qu'il fréquente, quoiqu'il se prétende objectif (ce qu'on croit souvent être dès lors que nous sommes les seuls juges de nous-mêmes). De plus, Quatremer représente exemplairement le cas pathologique d'un "euro-crétinisme" béat (l'expression est tiré d'un récent billet de Frédéric Lordon) qui lui fait considérer tout opposant à cette Europe comme un dangereux belliciste, doublé d'un nationaliste le couteau entre les dents (et pire en sus sans doute). Aussi ses analyses, purement idéologiques et sans aucune connaissance de la réalité, me semblent relever moins du journalisme que de l'"éditocratisme", quand bien même l'essentiel de sa douteuse prose s'exprimerait sur son blogue (exemple: il s'était jadis basé sur la facture douteuse d'un repas au resto en Grèce pendant ses vacances pour tirer une leçon de la gabegie fiscale de l'Etat grec, sans saisir un chouïa que des questions macro-économiques aussi complexes que la fiscalité ne pouvaient se limiter à sa lorgnette idiote micro-économique).
Bref, Quatremer est certainement une excellente source sur Bruxelles, mais avec de grosses limites: il peut raconter tel ou tel bruit de couloir au sein de la commission ou du parlement européen avec moult détails et précisions. Il peut même expliquer telle ou telle querelle de personnes, ou de groupes. Mais il est clairement au dessus de ses moyens de se livrer à une analyse politique ou idéologique des questions qui sous-tendent les choix qui divisent les politiques européens. Il s'y essaie quand même (c'est ce qu'il a fait piteusement dans son dernier billet de blog): intellectuellement c'est un échec, mais au niveau de médiocrité du journalisme contemporain, il apparaît comme compétent. Arrêt sur images ne devrait pas tomber dans le panneau de cette imposture.
Une critique néanmoins: vous citez Quatremer comme une source journalistique valable. C'est votre droit. Nénamoins, je pense qu'il faudrait prendre vis-à-vis de cette source les mêmes précautions que pour d'autres "journalistes" lesquels —sous le prétexte de leur statut de journaliste (via la carte de presse)— prétendent que leur production propagandiste et/ou pamphlétaire est de l'information: je pense aux éditocrates patentés, au petit journal, à de nombreux journalistes du Figaro, ou de la presse audiovisuelle. La liste est trop longue pour que je fasse une énumération complète, mais Quatremer me semble rentrer pleinement dans ce cadre: sous prétexte de "journalisme" relatant des faits, il fait passer une opinion dominante dans les cercles qu'il fréquente, quoiqu'il se prétende objectif (ce qu'on croit souvent être dès lors que nous sommes les seuls juges de nous-mêmes). De plus, Quatremer représente exemplairement le cas pathologique d'un "euro-crétinisme" béat (l'expression est tiré d'un récent billet de Frédéric Lordon) qui lui fait considérer tout opposant à cette Europe comme un dangereux belliciste, doublé d'un nationaliste le couteau entre les dents (et pire en sus sans doute). Aussi ses analyses, purement idéologiques et sans aucune connaissance de la réalité, me semblent relever moins du journalisme que de l'"éditocratisme", quand bien même l'essentiel de sa douteuse prose s'exprimerait sur son blogue (exemple: il s'était jadis basé sur la facture douteuse d'un repas au resto en Grèce pendant ses vacances pour tirer une leçon de la gabegie fiscale de l'Etat grec, sans saisir un chouïa que des questions macro-économiques aussi complexes que la fiscalité ne pouvaient se limiter à sa lorgnette idiote micro-économique).
Bref, Quatremer est certainement une excellente source sur Bruxelles, mais avec de grosses limites: il peut raconter tel ou tel bruit de couloir au sein de la commission ou du parlement européen avec moult détails et précisions. Il peut même expliquer telle ou telle querelle de personnes, ou de groupes. Mais il est clairement au dessus de ses moyens de se livrer à une analyse politique ou idéologique des questions qui sous-tendent les choix qui divisent les politiques européens. Il s'y essaie quand même (c'est ce qu'il a fait piteusement dans son dernier billet de blog): intellectuellement c'est un échec, mais au niveau de médiocrité du journalisme contemporain, il apparaît comme compétent. Arrêt sur images ne devrait pas tomber dans le panneau de cette imposture.
Cet article est incompréhensible. On comprend que son auteur se fait plaisir à enchaîner les paradoxes apparents, mais ça ne fait nullement avancer les affaires.
Et quel rapport avec les objectifs d'Arrêt sur images, qui selon moi s'occupe de la critique des médias ?
Et quel rapport avec les objectifs d'Arrêt sur images, qui selon moi s'occupe de la critique des médias ?
MASSALA.K : Ayrault présente le budget 2013
et du même dessinateur, l'origine du mal : http://massalak.blogspirit.com/archive/2011/12/01/massalak-tue.html
et du même dessinateur, l'origine du mal : http://massalak.blogspirit.com/archive/2011/12/01/massalak-tue.html
Bonjour Anne-Sophie
sans revenir sur l'origine de ces 3 % telle que la revendique Guy Abeille, indice du surréalisme de la politique, je voudrais attirer votre attention sur cet article de BFM TV :
http://www.bfmtv.com/economie/gouvernement-tente-t-il-daffaiblir-traite-europeen-340972.html
Je dois dire que l'article 16 point III du projet de loi organique me laisse perplexe… écrit encore par une plume surréaliste semble-t-il…
Pour ma part, j'ai l'impression qu'on en a rien à faire, en réalité de ce traité… c'est ce que disait à demi-mots Montebourg chez Plenel, la semaine dernière… on dirait que c'est juste un ticket à payer pour pouvoir rester à la table des négociations, et donc continuer à arracher des concessions, sur la régulation bancaire ("mise sous tutelle" des banques par la BCE) sur la croissance (micro-fonds de 120 Mds) etc.
Ce dernier article sur Médiapart, "Pourquoi je voterai oui au TSCG" ne fait que renforcer mon impression…
Le pacte budgétaire est « avant tout un outil diplomatique, et non un outil économique. Il faut le prendre comme tel, et prévoir de le renégocier à la hauteur de notre ambition politique pour l'Europe et de notre disposition aux compromis nécessaires à la réorientation de son fonctionnement et de ses objectifs ». Par Christophe Cavard, député EELV du Gard.
Votre "Oui mais non" résonne sur la même note. Je me demande si soutenir le gouvernement n'est pas la moins déraisonnable des attitudes…
"Oui mais non" allez-vous me répondre… ;-)
sans revenir sur l'origine de ces 3 % telle que la revendique Guy Abeille, indice du surréalisme de la politique, je voudrais attirer votre attention sur cet article de BFM TV :
http://www.bfmtv.com/economie/gouvernement-tente-t-il-daffaiblir-traite-europeen-340972.html
Je dois dire que l'article 16 point III du projet de loi organique me laisse perplexe… écrit encore par une plume surréaliste semble-t-il…
Pour ma part, j'ai l'impression qu'on en a rien à faire, en réalité de ce traité… c'est ce que disait à demi-mots Montebourg chez Plenel, la semaine dernière… on dirait que c'est juste un ticket à payer pour pouvoir rester à la table des négociations, et donc continuer à arracher des concessions, sur la régulation bancaire ("mise sous tutelle" des banques par la BCE) sur la croissance (micro-fonds de 120 Mds) etc.
Ce dernier article sur Médiapart, "Pourquoi je voterai oui au TSCG" ne fait que renforcer mon impression…
Le pacte budgétaire est « avant tout un outil diplomatique, et non un outil économique. Il faut le prendre comme tel, et prévoir de le renégocier à la hauteur de notre ambition politique pour l'Europe et de notre disposition aux compromis nécessaires à la réorientation de son fonctionnement et de ses objectifs ». Par Christophe Cavard, député EELV du Gard.
Votre "Oui mais non" résonne sur la même note. Je me demande si soutenir le gouvernement n'est pas la moins déraisonnable des attitudes…
"Oui mais non" allez-vous me répondre… ;-)
Mais il ne sait pas compter.
Le président de la République s'est engagé vendredi 29 septembre à ce qu'il n'y ait "pas un euro de plus" de dette à la fin de son quinquennat, lors d'un point de presse au Salon de l'Automobile.
Sachant qu'il "s'engage" aussi sur l'équilibre budgétaire pour 2017 et donc que le dit budget sera en déficit jusque là, la dette va mécaniquement augmenter. A titre d'exemple, 3% de déficit en 2013 correspond (en gros) à 60 milliards.
Le président de la République s'est engagé vendredi 29 septembre à ce qu'il n'y ait "pas un euro de plus" de dette à la fin de son quinquennat, lors d'un point de presse au Salon de l'Automobile.
Sachant qu'il "s'engage" aussi sur l'équilibre budgétaire pour 2017 et donc que le dit budget sera en déficit jusque là, la dette va mécaniquement augmenter. A titre d'exemple, 3% de déficit en 2013 correspond (en gros) à 60 milliards.
C'est quoi la procédure pour que ce contenu soit mis en avant et puisse être éventuellement rendu publique ? Cela vaut le coup je trouve. Merci Anne-Sophie
Pour info, il n'y a pas de bureau national à EELV (on parle de bureau exécutif), contrairement au PS. En effet, à EELV, c'est le conseil fédéral, parlement du parti, qui a pris la décision, et non simplement l'exécutif comme au PS.
Par ailleurs, tous les eurodéputés EELV ne sont pas mécontents de la décision de leur mouvement sur le TSCG: sur 16, il n'y en a que 5 ou 6.
Par ailleurs, tous les eurodéputés EELV ne sont pas mécontents de la décision de leur mouvement sur le TSCG: sur 16, il n'y en a que 5 ou 6.
Anne-Sophie on sent vraiment le travail.
Écrire tant de lignes qui se veulent présenter des arguments et contre arguments pour finir pour en fait ne présenter les arguments que d'un camp en simplifiant à l'extrême ceux de l'autre camp ...
Bref belle contre-performance journalistique !
Écrire tant de lignes qui se veulent présenter des arguments et contre arguments pour finir pour en fait ne présenter les arguments que d'un camp en simplifiant à l'extrême ceux de l'autre camp ...
Bref belle contre-performance journalistique !
Encore une fois, une excellente synthèse!
Merci Anne-Sophie.
Merci Anne-Sophie.