Pegasus : la cybersécurité fait sa promo dans les médias
Pour ceux qui ont des choses à vendre, les mauvaises nouvelles peuvent aussi être de bonnes nouvelles : l’affaire Pegasus a été l’occasion pour plusieurs sociétés et experts de se promouvoir grâce aux médias. Revue de presse légèrement publicitaire.
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tehtris, qui prétend lutter contre l'espionnage mais dont les logiciels ne sont pas sous licence libre (pas même en code source ouvert). Ils ne sont pas crédibles.
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Bonjour !
Je ne parviens pas à accéder aux annexes ''Lire aussi'' de cet article. Je suis sur ma tablette qui fonctionne bien; elle est réactive aux actions tactiles. Je peux sélectionner/ouvrir d'autres articles sans aucun problème.
Avant c'était le voisinage qui renseignait à notre insu, pour les landa que nous sommes. Maintenant nous devenons des VIP du renseignement à notre insu grâce à la technologie. Fahrenheit 451 ... Quand Macron dictait l'injection de lire avec son mépris coutumier, pensait-il à ce livre ?
Notons que l'excellente société française Amesys, filiale de Bull (Bull qui elle-même a été rachetée par Atos), s'était fait prendre la main dans le pot de confiture (ou plutôt dans le pot de tripes d'opposants) en vendant des outils de traque et surveillance à Khadafi, puis au très gentil général Al Sissi, tout en concoctant la base de données biométrique des passeports français, ainsi qu'une base de données personnelles associées aux cartes nationales d'identité.
Gageons que cette société, ses dirigeants, ou ses faux-nez, quelque soit leur nouveau nom (car c'est bien comme ça que ça se passe d''ordinaire, après un scandale la boite ou le parti change de nom), ne seront jamais réellement inquiétés. Au pire quelques cadres intérmédiare sont mis en examen, serviront de fusibles, et puis, "show must go on!"
Cybersécurité orthographique : temps est masculin. Donc, temps réel.
tehtris, qui prétend lutter contre l'espionnage mais dont les logiciels ne sont pas sous licence libre (pas même en code source ouvert). Ils ne sont pas crédibles.
"Jean-Marc Manach [...] se demande si le marketing, autour de l'affaire Pegasus, n'est pas à chercher plutôt du côté de certains médias ayant parfois gonflé à l'hélium les révélations du consortium de médias Forbidden Stories. "
tiens donc !