Commentaires
Photo "pourrie" de Mélenchon : Libé élargit le plan
Ce dimanche 30 août, Libération.fr publiait une photo d'un Mélenchon à la bouche grande ouverte et aux bras levés au ciel, éructant, vitupérant, tempêtant tel un dictateur des années 30. L'ex-co-patron du Parti de Gauche s'en émut sur Twitter : «L'ordre médiatique règne. Photo pourrie dans @libe comme d'habitude. Les photos de Le Pen sont magnifiques. »
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Parmi les représentations dégueulasses de Mélenchon, j'étais passé à côté de celle-ci : https://seldoondessins.wordpress.com/2017/04/30/hologauche/
Sérieux !? Y a des dessinateurs qui se sentent vraiment d'aller jusque là !? Il va finir par me faire aimer Plantu.
Sérieux !? Y a des dessinateurs qui se sentent vraiment d'aller jusque là !? Il va finir par me faire aimer Plantu.
Moi honnêtement je préfère Hitler d'abord il est mieux habillé et en plus il ressemble à quelque chose pas comme Mélenchon qui ne resemble à rien et surtout qui raconte n'importe quoi. Lol !!!!!!
Pas grave, Hitler a été élu...
moi qui pensait qu'une photo disait le verité intresequement , etant reel et sans manipulation . Ceci est bien la photo de melenchon, sans retouche, ni manipulation .
Tient donc le cadrage est important .
Un travelling est une affaire de morale comme le disait Godard
Tient donc le cadrage est important .
Un travelling est une affaire de morale comme le disait Godard
Traitement similaire avec Varoufakis.
Les médias moutonniers dirigés par l'oligarchie l'ont d'abord encensé,
[quote=Médiapart]Comparé à Bruce Willis par la chaîne publique de TV allemande ZDF, félicité pour sa « virilité classique » par Stern, qualifié de « sex icon » par le journal Die Welt proche des milieux conservateurs d’Angela Merkel, Varoufakis a fait l’unanimité des médias qui ont reconnu en lui un « intéressant personnage », une story. La palme revint au magazine Stylebook qui fit ce commentaire : « Son style cool est quelque chose que vous ne pouvez pas manquer », sous le titre : « Pauvre mais sexy ! »
Ils voulaient sans doute en faire une star afin de se le mettre à leurs bottes, mais comme ça n'a pas marché, aujourd'hui il est devenu l'homme à abattre ...
[quote=Médiapart]... on lui trouva soudain des airs de « videur de boîte de nuit ». « Les tenues décontractées qu’affiche M. Varoufakis, affirmait The Financial Times, vont bien au-delà d’une question de style. Elles symbolisent le message selon lequel Syriza, le parti de la gauche radicale au pouvoir à Athènes, est un mouvement anti-establishment dont l’intention est de défier l’orthodoxie dont l’Allemagne est le chef de file. » La responsable de la rubrique “Fashion” du Guardian observait que le style de Varoufakis a marqué les esprits à Londres. « Une veste en cuir et une chemise jazzy, ce n’est pas une tenue habituelle pour une réunion internationale des finances »…
http://www.mediapart.fr/journal/international/300815/rencontre-avec-yanis-varoufakis-il-est-temps-d-ouvrir-les-boites-noires
Les médias moutonniers dirigés par l'oligarchie l'ont d'abord encensé,
[quote=Médiapart]Comparé à Bruce Willis par la chaîne publique de TV allemande ZDF, félicité pour sa « virilité classique » par Stern, qualifié de « sex icon » par le journal Die Welt proche des milieux conservateurs d’Angela Merkel, Varoufakis a fait l’unanimité des médias qui ont reconnu en lui un « intéressant personnage », une story. La palme revint au magazine Stylebook qui fit ce commentaire : « Son style cool est quelque chose que vous ne pouvez pas manquer », sous le titre : « Pauvre mais sexy ! »
Ils voulaient sans doute en faire une star afin de se le mettre à leurs bottes, mais comme ça n'a pas marché, aujourd'hui il est devenu l'homme à abattre ...
[quote=Médiapart]... on lui trouva soudain des airs de « videur de boîte de nuit ». « Les tenues décontractées qu’affiche M. Varoufakis, affirmait The Financial Times, vont bien au-delà d’une question de style. Elles symbolisent le message selon lequel Syriza, le parti de la gauche radicale au pouvoir à Athènes, est un mouvement anti-establishment dont l’intention est de défier l’orthodoxie dont l’Allemagne est le chef de file. » La responsable de la rubrique “Fashion” du Guardian observait que le style de Varoufakis a marqué les esprits à Londres. « Une veste en cuir et une chemise jazzy, ce n’est pas une tenue habituelle pour une réunion internationale des finances »…
http://www.mediapart.fr/journal/international/300815/rencontre-avec-yanis-varoufakis-il-est-temps-d-ouvrir-les-boites-noires
Quelqu'un peut-il me renseigner sur la guerre des chiffres entre Mélenchon et Najat Vallaud Belcacem sur les embauches dans l'éducation nationale ?
Elle dit que les enseignants stagiaires ont vocation à devenir titulaire l'année suivante. Mais depuis quand cette formation a été réactivée ? Et comment se fait-il qu'il n'y ait eu que 4000 embauches de titulaires pour plus de 25000 stagiaires ?
Elle dit que les enseignants stagiaires ont vocation à devenir titulaire l'année suivante. Mais depuis quand cette formation a été réactivée ? Et comment se fait-il qu'il n'y ait eu que 4000 embauches de titulaires pour plus de 25000 stagiaires ?
Explications détaillées sur le blog de Loys Bonod sur Marianne.fr ce matin :
"C'est la rentrée : retour sur le tour de passe-passe des 60 000 postes !"
"C'est la rentrée : retour sur le tour de passe-passe des 60 000 postes !"
Merci, mais cela ne répond pas à mes interrogations ;)
C'est en 2013 que la décision de redonner une formation rémunérée au futurs professeurs des écoles a été prise.
En 2010, Sarkozy et son gouvernement ont décidé de supprimer cette formation rémunérée : les futurs prof des écoles devaient aller jusqu'à bac + 5 sur leurs propres moyens (ou ceux de leurs parents) + ils se retrouvaient devant des classes sans aucune période de stage.... et leurs "tuteurs" n'avaient pas été formés, ni de temps libéré pour le tutorat....
Mise en place à partir progressivement à partir de 2014 (deux concours : un concours direct vers les classes pour faire face aux besoins annuels et un concrous vers la formation).
Pour répondre à votre question : l'année de stage dure un an. Les 24 300 stagiaires seront donc prof à plein temps dès la rentrée 2016....
En 2010, Sarkozy et son gouvernement ont décidé de supprimer cette formation rémunérée : les futurs prof des écoles devaient aller jusqu'à bac + 5 sur leurs propres moyens (ou ceux de leurs parents) + ils se retrouvaient devant des classes sans aucune période de stage.... et leurs "tuteurs" n'avaient pas été formés, ni de temps libéré pour le tutorat....
Mise en place à partir progressivement à partir de 2014 (deux concours : un concours direct vers les classes pour faire face aux besoins annuels et un concrous vers la formation).
Pour répondre à votre question : l'année de stage dure un an. Les 24 300 stagiaires seront donc prof à plein temps dès la rentrée 2016....
Les 24300 stagiaires ont tous commencé en même temps et seront automatiquement titularisés à la rentrée 2016 ? Ou est-ce qu'ils peuvent ne pas être titularisés ? Le sens de ma question vise à essayer de comprendre s'il y a vraiment eu ou non les créations de postes revendiquées. L'inquiétude est que des contrats précaires et à temps partiel servent à remplacer des CDI, juste pour gonfler artificiellement les chiffres.
Le timing est lui aussi important, car si des stagiaires ont déjà complété leur année, il serait intéressant de savoir si ils ont bien été embauchés à temps plein à la suite de ces formations. Quand vous dites progressivement, cela ne lève pas le doute. Si vous nous dites qu'aucun des stagiaires n'a pour l'instant complété sa formation, cela lève le doute.
Le timing est lui aussi important, car si des stagiaires ont déjà complété leur année, il serait intéressant de savoir si ils ont bien été embauchés à temps plein à la suite de ces formations. Quand vous dites progressivement, cela ne lève pas le doute. Si vous nous dites qu'aucun des stagiaires n'a pour l'instant complété sa formation, cela lève le doute.
Autres éléments d'analyse détaillés fournis ce matin par Mélenchon sur son blog.
Il dément les chiffres diffusés par la Ministre en s'appuyant sur les chiffres publiés par son propre Ministère (il faiut le lire pour le croire !) : "ce qui portera la somme des créations de titulaires à 4 131 entre 2012 et 2015".
Quant aux stagiaires, Mélenchon explique aussi où est l'enfumage par rapport à leur titularisation.
Il dément les chiffres diffusés par la Ministre en s'appuyant sur les chiffres publiés par son propre Ministère (il faiut le lire pour le croire !) : "ce qui portera la somme des créations de titulaires à 4 131 entre 2012 et 2015".
Quant aux stagiaires, Mélenchon explique aussi où est l'enfumage par rapport à leur titularisation.
Pour étayer xtf ci-dessus, voici en effet, le tour de passe-passe bien détricoté par JLM, d'où la fureur de NVB.
Comme il le précise d'ailleurs, le "journaliste" (P. Cohen) ne risque pas de la démentir alors qu'il a les chiffres à sa disposition. Le passe plats parfait.
"Voici les chiffres. Sarkozy a supprimé 80 000 postes. Hollande a promis de créer 60 000 postes. En toute hypothèse, il en manquerait 20 000 alors que le nombre d’élèves aura augmenté. Ça c’est la base de l’enfumage de Hollande. Maintenant voyons la réalisation. Najat Vallaud-Belkacem parle de « 35 200 postes créés ». Qu’en est-il ? Première mise au point : dans ce total, il y a 24 300 postes de professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (école, collège et lycée). En fait ce ne sont pas des professeurs titulaires. Ils sont stagiaires. Madame la ministre dit qu’ils finiront par être titularisés. Admettons par principe qu’il y ait 100 % d’admis à la fin du stage. Pourquoi pas. Ils seraient alors tous professeurs. Est-ce que cela fera 24 300 professeurs de plus devant les élèves ? Non. Pourquoi ? Parce que chaque année il y a des départs à la retraite. Combien ? 17 000 l’an passé. Si l’on fait la soustraction on voit que 24 300 – 17 000 laisse un solde positif de 7300.
Ce n’est pas le seul démenti par les chiffres que je veux opposer aux propos de la ministre. Je lui demande de lire les chiffres publiés par son propre ministère. Le ministère dit qu’il y a eu 4130 créations de postes. Pas un de plus. Tout le monde peut aller vérifier ! Ce qui n’a rien à voir avec les 30 000 annoncés ! Je continue mon raisonnement. J’accepte d’ajouter sans autres forme de discussion les 4100 du ministère plus les 7000 qui resteraient après remplacement de départ en retraite. On voit que dans le meilleur des cas, il y aura à terme 11 000 professeurs de plus. Pas 24 000 et encore moins 30 000 ! Encore faut-il bien préciser que tout cela reste bien théorique et calculé de la façon la plus favorable au ministre. En effet l’année suivante, en 2016, il y aura 13 000 départs de plus à la retraite chez les professeurs. Pour rester dans le raisonnement précédent, il faudrait qu’il y ait donc 13 000 stagiaires recrutés cette année, en 2015 ! C’est-à-dire qu’il faudrait embaucher en un an la moitié des embauches faites en trois ans de mandat ! Après quoi il n’y aurait pourtant toujours pas un professeur de plus devant les élèves !
Pendant ce temps, la qualité d’encadrement des jeunes continuera à baisser. En effet si le nombre des professeurs diminue, le nombre des élèves, lui, augmente ! Il y en a 54 000 de plus cette année ! Dans ces conditions, il y a plus d’élèves par enseignant aujourd’hui qu’en 2005 en primaire et dans le secondaire ! C’est tout cela que l’arrogante Najat Vallaud-Belkacem veut effacer par des paroles trompeuses. Elle ment dans le détail. A moins qu’elle ne sache pas de quoi elle parle. Ainsi, dit-elle dans le cours de son discours sur France Inter, sans être démentie ni pendant ni après, que ses fameux 24 300 stagiaires sont des emplois « temps plein ». Budgétairement c’est vrai. Sur le terrain c’est faux. En effet les stagiaires ne sont que 50 % du temps devant les élèves puisqu’ils sont eux-mêmes en formation ! Autrement dit, les 24 300 ne font que 12 150 équivalent temps plein. Dans la meilleure tradition solférinienne, la ministre dit une chose, en fait une autre, pendant qu’une troisième a lieu.
Elle ment sciemment. Mais elle me recommande de façon hautaine de « me grandir » et même de « grandir » avec toute la morgue de ces sortes de parvenus qui grouillent autour de Valls. Je lui recommande d’apprendre les additions et les soustractions, qui s’apprennent en CM1, et peuvent se réviser à tout âge. Dans ce domaine comme dans tous ceux qui concernent la vie de gens simples qui croient à l’école et au mérite, le quinquennat aura été une honte, une régression et une amputation du futur. J’ajoute ici que ces gens-là sont responsables de la fermeture de 36 lycées professionnels depuis trois ans. 12 par an ! Un gâchis consternant ! Tout cela est fait pour pousser les jeunes en apprentissage. Mais ce ne sont pas leurs gosses, bien sûr ! "
Comme il le précise d'ailleurs, le "journaliste" (P. Cohen) ne risque pas de la démentir alors qu'il a les chiffres à sa disposition. Le passe plats parfait.
"Voici les chiffres. Sarkozy a supprimé 80 000 postes. Hollande a promis de créer 60 000 postes. En toute hypothèse, il en manquerait 20 000 alors que le nombre d’élèves aura augmenté. Ça c’est la base de l’enfumage de Hollande. Maintenant voyons la réalisation. Najat Vallaud-Belkacem parle de « 35 200 postes créés ». Qu’en est-il ? Première mise au point : dans ce total, il y a 24 300 postes de professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (école, collège et lycée). En fait ce ne sont pas des professeurs titulaires. Ils sont stagiaires. Madame la ministre dit qu’ils finiront par être titularisés. Admettons par principe qu’il y ait 100 % d’admis à la fin du stage. Pourquoi pas. Ils seraient alors tous professeurs. Est-ce que cela fera 24 300 professeurs de plus devant les élèves ? Non. Pourquoi ? Parce que chaque année il y a des départs à la retraite. Combien ? 17 000 l’an passé. Si l’on fait la soustraction on voit que 24 300 – 17 000 laisse un solde positif de 7300.
Ce n’est pas le seul démenti par les chiffres que je veux opposer aux propos de la ministre. Je lui demande de lire les chiffres publiés par son propre ministère. Le ministère dit qu’il y a eu 4130 créations de postes. Pas un de plus. Tout le monde peut aller vérifier ! Ce qui n’a rien à voir avec les 30 000 annoncés ! Je continue mon raisonnement. J’accepte d’ajouter sans autres forme de discussion les 4100 du ministère plus les 7000 qui resteraient après remplacement de départ en retraite. On voit que dans le meilleur des cas, il y aura à terme 11 000 professeurs de plus. Pas 24 000 et encore moins 30 000 ! Encore faut-il bien préciser que tout cela reste bien théorique et calculé de la façon la plus favorable au ministre. En effet l’année suivante, en 2016, il y aura 13 000 départs de plus à la retraite chez les professeurs. Pour rester dans le raisonnement précédent, il faudrait qu’il y ait donc 13 000 stagiaires recrutés cette année, en 2015 ! C’est-à-dire qu’il faudrait embaucher en un an la moitié des embauches faites en trois ans de mandat ! Après quoi il n’y aurait pourtant toujours pas un professeur de plus devant les élèves !
Pendant ce temps, la qualité d’encadrement des jeunes continuera à baisser. En effet si le nombre des professeurs diminue, le nombre des élèves, lui, augmente ! Il y en a 54 000 de plus cette année ! Dans ces conditions, il y a plus d’élèves par enseignant aujourd’hui qu’en 2005 en primaire et dans le secondaire ! C’est tout cela que l’arrogante Najat Vallaud-Belkacem veut effacer par des paroles trompeuses. Elle ment dans le détail. A moins qu’elle ne sache pas de quoi elle parle. Ainsi, dit-elle dans le cours de son discours sur France Inter, sans être démentie ni pendant ni après, que ses fameux 24 300 stagiaires sont des emplois « temps plein ». Budgétairement c’est vrai. Sur le terrain c’est faux. En effet les stagiaires ne sont que 50 % du temps devant les élèves puisqu’ils sont eux-mêmes en formation ! Autrement dit, les 24 300 ne font que 12 150 équivalent temps plein. Dans la meilleure tradition solférinienne, la ministre dit une chose, en fait une autre, pendant qu’une troisième a lieu.
Elle ment sciemment. Mais elle me recommande de façon hautaine de « me grandir » et même de « grandir » avec toute la morgue de ces sortes de parvenus qui grouillent autour de Valls. Je lui recommande d’apprendre les additions et les soustractions, qui s’apprennent en CM1, et peuvent se réviser à tout âge. Dans ce domaine comme dans tous ceux qui concernent la vie de gens simples qui croient à l’école et au mérite, le quinquennat aura été une honte, une régression et une amputation du futur. J’ajoute ici que ces gens-là sont responsables de la fermeture de 36 lycées professionnels depuis trois ans. 12 par an ! Un gâchis consternant ! Tout cela est fait pour pousser les jeunes en apprentissage. Mais ce ne sont pas leurs gosses, bien sûr ! "
Voyez, ça me gêne ce style : "l’arrogante Najat Vallaud-Belkacem (...) elle me recommande de façon hautaine de « me grandir » et même de « grandir » avec toute la morgue de ces sortes de parvenus qui grouillent autour de Valls. Je lui recommande d’apprendre les additions et les soustractions, qui s’apprennent en CM1, et peuvent se réviser à tout âge. Dans ce domaine comme dans tous ceux qui concernent la vie de gens simples qui croient à l’école et au mérite"
Je trouve ça un rien cour de récré, le genre "t'es qui toi pour me parler comme ça" alors qu'à sa place ça m'aurait fait sourire qu'une gamine me demande de grandir.
Et c'est quoi la "méritocratie" républicaine à laquelle il semble croire sinon le fait qu'une fille d'ouvrier du bâtiment, née au Maroc devienne ministre de l'Education Nationale ? Sa réussite la transforme en parvenue qui ne sait plus ce que sont les "gens simples qui croient à l'école et au mérite" ? Ce n'est pas ça la "méritocratie", une usine à parvenus ?
Sinon, sur les chiffres, l'Obs a refait un calcul.
Je trouve ça un rien cour de récré, le genre "t'es qui toi pour me parler comme ça" alors qu'à sa place ça m'aurait fait sourire qu'une gamine me demande de grandir.
Et c'est quoi la "méritocratie" républicaine à laquelle il semble croire sinon le fait qu'une fille d'ouvrier du bâtiment, née au Maroc devienne ministre de l'Education Nationale ? Sa réussite la transforme en parvenue qui ne sait plus ce que sont les "gens simples qui croient à l'école et au mérite" ? Ce n'est pas ça la "méritocratie", une usine à parvenus ?
Sinon, sur les chiffres, l'Obs a refait un calcul.
"ça me gêne ce style "
Oui, il manque les petits violons et les petites fleurs autour.
Pour la suite, vous avez le droit de croire ce qui vous arrange, mais la vidéo que j'ai mise en lien devrait suffire.
Pour ma part, c'est le "style" du PS à faire croire qu'il fait de la gauche quand il fait de la droite, à assimiler depuis la campagne débutée en 2011, le FdG à l'extrême-gauche qui vaut pas mieux que le FN et poursuivre le travail de sape de Sarkozy tout en prétendant ne pas le faire, qui me gêne.
Question de sensibilité, sans doute.
Oui, il manque les petits violons et les petites fleurs autour.
Pour la suite, vous avez le droit de croire ce qui vous arrange, mais la vidéo que j'ai mise en lien devrait suffire.
Pour ma part, c'est le "style" du PS à faire croire qu'il fait de la gauche quand il fait de la droite, à assimiler depuis la campagne débutée en 2011, le FdG à l'extrême-gauche qui vaut pas mieux que le FN et poursuivre le travail de sape de Sarkozy tout en prétendant ne pas le faire, qui me gêne.
Question de sensibilité, sans doute.
Il aurait très bien pu faire la même critique sans injurier Vallaud-Belkacem mais bon, il doit penser que si les photos doivent être aimables, les mots peuvent être sur ce ton.
Je travaille dans un collège au public hétérogène,un peu difficile, pas top en terme de niveau, mais loin des ZEP les plus terribles.
Je vous fais la version courte. Le problème de base, c'est déjà de savoir ce qu'on attend de l'école en général, en terme d'éducation. Quel adulte on imagine vouloir "former". Je suis peut être exigeant.
Mais l'école aujourd'hui, c'est du bricolage. Les années défilent, les élèves nous échappent. Ils sont trop nombreux, on est pas assez. On les assommes, souvent ils saturent. L'éducation c'est le lit de Procuste. Mais un lit très très petit, avec beaucoup de monde dessus. Et puis les profs travaillent trop devant les élèves. On ne peut pas être patient, disposé pour s'adresser à un enfant à la demande.
Ils existent beaucoup de chose intéressantes qui se disent sur l'éducation.
Mais ces "ministres" choisissent toujours les moins chères, les plus utiles.
Tout dépend de ce qu'on attend de l'éducation...
Mais si on espère voir sortir autre chose de l'école que des agents économiques low-cost, il y a effectivement de quoi hurler en écoutant leur suffisante mauvaise foi chaque fois qu'ils feignent de s'intéresser à ce qui n'est qu'une étape dans leur carrière politique.
PS : 100% des stagiaires seront titularisés
Je vous fais la version courte. Le problème de base, c'est déjà de savoir ce qu'on attend de l'école en général, en terme d'éducation. Quel adulte on imagine vouloir "former". Je suis peut être exigeant.
Mais l'école aujourd'hui, c'est du bricolage. Les années défilent, les élèves nous échappent. Ils sont trop nombreux, on est pas assez. On les assommes, souvent ils saturent. L'éducation c'est le lit de Procuste. Mais un lit très très petit, avec beaucoup de monde dessus. Et puis les profs travaillent trop devant les élèves. On ne peut pas être patient, disposé pour s'adresser à un enfant à la demande.
Ils existent beaucoup de chose intéressantes qui se disent sur l'éducation.
Mais ces "ministres" choisissent toujours les moins chères, les plus utiles.
Tout dépend de ce qu'on attend de l'éducation...
Mais si on espère voir sortir autre chose de l'école que des agents économiques low-cost, il y a effectivement de quoi hurler en écoutant leur suffisante mauvaise foi chaque fois qu'ils feignent de s'intéresser à ce qui n'est qu'une étape dans leur carrière politique.
PS : 100% des stagiaires seront titularisés
Euh... si ça s'adressait vraiment à moi, j'ai des enseignants dans mon entourage et quelque idée des difficultés du secteur mais ce n'est pas de ça dont je parlais. Mon sujet était en rapport avec l'image de Mélenchon et ce que je perçois comme une attaque personnelle inutile envers Vallaud-Belkacem surtout par rapport à ce qu'elle peut représenter sociologiquement : les fils et filles d'ouvrier sont suffisamment rares aux responsabilités pour qu'on évite de les traiter de "parvenus".
Je ne connais rien du parcours de NVB. Mais qu'un jeune ministre soit traité de parvenu ne me dérange en rien. Ça correspond à peu près à l'idée que je me fait du processus de nomination des ministres. Copinage, image, politique... Peu à voir avec l’engagement et les compétences.
J'ai peut être une vision pessimiste de nos représentants...
Quant à savoir ce que NVB "représente sociologiquement", j'avoue ne pas trop partager votre point de vue. Vous trouvez peut être positif qu'une femme, arabe, issue d'un milieu modeste soit devenue ministre. D'une certaine façon, je partage cet avis quand je vois à quel point cela fait enrager les bas du front. Mais d'un autre coté, cette vision self-made-woman à l'américaine ne me réjouit pas des masses. En donnant l'impression qu'il suffit de se bouger pour y arriver, cette représentation sociologique tant à faire la part belle au volontarisme et minimiser ainsi les injustices faites aux femmes, aux arabes, et aux catégories défavorisées.
La critique de Mélenchon est une vraie critique de gauche faite à une politicienne de droite. A mon sens, c'est son coté hargneux qui en fait tout son charme. Et on manque cruellement de critique de gauche...
J'ai peut être une vision pessimiste de nos représentants...
Quant à savoir ce que NVB "représente sociologiquement", j'avoue ne pas trop partager votre point de vue. Vous trouvez peut être positif qu'une femme, arabe, issue d'un milieu modeste soit devenue ministre. D'une certaine façon, je partage cet avis quand je vois à quel point cela fait enrager les bas du front. Mais d'un autre coté, cette vision self-made-woman à l'américaine ne me réjouit pas des masses. En donnant l'impression qu'il suffit de se bouger pour y arriver, cette représentation sociologique tant à faire la part belle au volontarisme et minimiser ainsi les injustices faites aux femmes, aux arabes, et aux catégories défavorisées.
La critique de Mélenchon est une vraie critique de gauche faite à une politicienne de droite. A mon sens, c'est son coté hargneux qui en fait tout son charme. Et on manque cruellement de critique de gauche...
Pour aller dans votre sens Gondalah,
je trouve que la maniere dont on agite quelques reussite de minorité ou de classe ouvriere, est tellement hypocrite :
en gros on a gardé les 0.01 % qui ont peu reussir a l'ecole, on a flatté leur narcisse, puis on les exhibes comme pour prouvé que le systeme est egalitaire, que la france est ouverte etc .
En gros on a selectioner les meilleurs (ou les plus dociles ) , on les a retirer de leur environement, pour les integrers chez les bourgeois, de cette maniere on a reussi le coup de force fantastique :
on enleve les plus doué des defavorisé (anihilant toute possibilité de pensé politique, de culture, de developpement) , les laissant entre "mediocre" defavorisé, puis on en fait un trophé qu'on exhibe avec le plus beau de la niché , pour prouver que les pauvres , sont pas si pauvre .
Vous savez bien , aux pauvres on donne toujours le plus pourris, mais si on trouve du petrole dessous, on trouve toujours une bonne excuse pour les deplacer, le tout tres moralement, tres rationelement , et en toute humanité
Si on jolie fleur pousse dans une cité, vite vite, on l'enleve, et l'exporte chez les riches. Et bien sur on rappelle bien son origine, ca fait double emploie : les riches sont rassuré, car on rappelle bien que il y a une difference , et le pauvre est super content , car un de sa classe est dans le pouvoir.
je trouve que la maniere dont on agite quelques reussite de minorité ou de classe ouvriere, est tellement hypocrite :
en gros on a gardé les 0.01 % qui ont peu reussir a l'ecole, on a flatté leur narcisse, puis on les exhibes comme pour prouvé que le systeme est egalitaire, que la france est ouverte etc .
En gros on a selectioner les meilleurs (ou les plus dociles ) , on les a retirer de leur environement, pour les integrers chez les bourgeois, de cette maniere on a reussi le coup de force fantastique :
on enleve les plus doué des defavorisé (anihilant toute possibilité de pensé politique, de culture, de developpement) , les laissant entre "mediocre" defavorisé, puis on en fait un trophé qu'on exhibe avec le plus beau de la niché , pour prouver que les pauvres , sont pas si pauvre .
Vous savez bien , aux pauvres on donne toujours le plus pourris, mais si on trouve du petrole dessous, on trouve toujours une bonne excuse pour les deplacer, le tout tres moralement, tres rationelement , et en toute humanité
Si on jolie fleur pousse dans une cité, vite vite, on l'enleve, et l'exporte chez les riches. Et bien sur on rappelle bien son origine, ca fait double emploie : les riches sont rassuré, car on rappelle bien que il y a une difference , et le pauvre est super content , car un de sa classe est dans le pouvoir.
Najat Vallaud Belkassem, ment comme elle respire alors qu'elle est écoutée par des millions de gens, qui sans contradiction, vont donc sans doute la croire sur parole, et il ne faudrait pas la traiter de menteuse ? Appeler un chat un chat ça froisse vos oreilles sensibles et raffinées ?
Vallaud-Belkassem mérite bien, elle ,d'être critiquée par Meslanchon.
Meslanchons, c'est peut-être un (gauche)-pluriel à lui tout seul.
^^
Essayons le même style 15 ans en arrière, disons que Morandini ou Lagaf répondent à l'ironie de Mélenchon sur le contenu culturel du " Bigdil " et les prestations de monsieur Morandini par : "l’arrogant Jean-Luc Mélenchon avec toute la morgue de ces sortes de parvenus mittérandiens qui grouillent autour de Jospin".
Le bigdil, Faab.... pour que l'analogie fonctionne, vous auriez pu éviter ça, quand même.
En tout cas, si le but de votre propos est de dire que Mélenchon fut autrefois lui même un parvenu, pourquoi pas.
Partons du principe, si vous le pensez, que l'on peut comparer JLM en 2001 à NVB en 2015.
Le parcours de Mélenchon depuis 15 ans n'est il pas cohérent au regard de ses convictions et de la ligne du PS ces dernières années?
Inutile de rentrer il me semble de le pourquoi d'une telle hargne. Le fait est qu'elle vous dérange.
Mais ne la trouvez vous pas méritée?
En tout cas, si le but de votre propos est de dire que Mélenchon fut autrefois lui même un parvenu, pourquoi pas.
Partons du principe, si vous le pensez, que l'on peut comparer JLM en 2001 à NVB en 2015.
Le parcours de Mélenchon depuis 15 ans n'est il pas cohérent au regard de ses convictions et de la ligne du PS ces dernières années?
Inutile de rentrer il me semble de le pourquoi d'une telle hargne. Le fait est qu'elle vous dérange.
Mais ne la trouvez vous pas méritée?
La question du style m'importe parce que c'est un des éléments qui fait que je ne vois pas Mélenchon comme apte à rassembler.
Par exemple, je connais une jeune conseillère municipale P.S., "recrutée" pour ses compétences (c'est bien le P.S. qui lui a proposé une place alors qu'elle n'était pas au parti et qu'elle n'avait rien demandé), qui n'hésite pas à se dire elle-même "technocrate" parce qu'elle voit les affaires publiques comme devant se traiter de manière pragmatique, pour l'intérêt général.
Elle sera en position éligible aux régionales en décembre, et, qui sait, finira peut-être ministre à moins de 40 ans.
Ira-t-on lui dire que c'est une parvenue parce qu'elle a une mentalité "service public" plus proche du fonctionnaire sans idéologie que du militant ?
Vallaud-Belkacem, Macron, Fleur Pellerin sont de ces générations qui ont eu à se construire une pensée politique dans un monde sans réel pouvoir alternatif au libéralisme occidental, dans un monde où les Soviets s'écroulaient ou étaient morts. Plutôt que de l'insulter, peut-être faudrait-il la convaincre qu'il y a vraiment des alternatives crédibles, qu'elle peut faire mieux avec les budgets disponibles ou qu'une politique complètement différente pourrait rallier les français.
Après, au niveau générationnel, je suis plus proche de Vallaud-Belkacem que de Mélenchon et ceci explique peut-être aussi cela, j'ai sans doute tendance à voir les effets de manche comme de la comédie qui n'apporte rien. Les "Che" & co., c'est bon, j'en ai suffisamment vu s'agiter en vain pour penser à d'autres modes d'expression que celui du tribun poing levé.
Par exemple, je connais une jeune conseillère municipale P.S., "recrutée" pour ses compétences (c'est bien le P.S. qui lui a proposé une place alors qu'elle n'était pas au parti et qu'elle n'avait rien demandé), qui n'hésite pas à se dire elle-même "technocrate" parce qu'elle voit les affaires publiques comme devant se traiter de manière pragmatique, pour l'intérêt général.
Elle sera en position éligible aux régionales en décembre, et, qui sait, finira peut-être ministre à moins de 40 ans.
Ira-t-on lui dire que c'est une parvenue parce qu'elle a une mentalité "service public" plus proche du fonctionnaire sans idéologie que du militant ?
Vallaud-Belkacem, Macron, Fleur Pellerin sont de ces générations qui ont eu à se construire une pensée politique dans un monde sans réel pouvoir alternatif au libéralisme occidental, dans un monde où les Soviets s'écroulaient ou étaient morts. Plutôt que de l'insulter, peut-être faudrait-il la convaincre qu'il y a vraiment des alternatives crédibles, qu'elle peut faire mieux avec les budgets disponibles ou qu'une politique complètement différente pourrait rallier les français.
Après, au niveau générationnel, je suis plus proche de Vallaud-Belkacem que de Mélenchon et ceci explique peut-être aussi cela, j'ai sans doute tendance à voir les effets de manche comme de la comédie qui n'apporte rien. Les "Che" & co., c'est bon, j'en ai suffisamment vu s'agiter en vain pour penser à d'autres modes d'expression que celui du tribun poing levé.
Ira-t-on lui dire que c'est une parvenue parce qu'elle a une mentalité "service public" plus proche du fonctionnaire sans idéologie que du militant ?
Je ne sais pas, Faab. Peut être qu'un jour, les évènements la pousseront à devenir de moins en moins pragmatique et de plus en plus politicienne. Peut être qu'un jour, son "parler-vrai" sonnera de plus en plus comme de la démagogie...
Peut être qu'un jour elle ressemblera à s'y méprendre aux politicards dont elle semble être si loin aujourd'hui.
Il y a quand même une bonne dose de parti pris dans votre discours. Je suis à peine plus jeune que Vallaud-Belkacem et je trouve qu'il y a chez elle quelque chose d'au moins aussi déprimant que ce que vous inspire un tribun poing levé. Voir par exemple que le temps passe et que rien ne bouge, voir ce que peut être l'arrogance de la jeunesse qui ne sait pas encore ce qu'est le vécu. Il y a peut être une génération entre Vallaud-Belkacem et Mélenchon. Mais on parle là d'image, en rien de fond, en rien de conviction. Moi, je le trouve ringard dans ces discours Mélenchon, je trouve que les vieux profs en lutte à la sauce F.O sont pleins de poussière. Toutes ces manifs, ces militants, c'est désuet... Comme je la trouvait passéiste ma mère avec son communisme à la noix, quand Chirac était plus fun avec ses pommes et sa marionnette.
Aujourd'hui pourtant, c'est moi qui la saoule avec mon Mélenchon. Parce qu'à travers l'image, je perçois quelque chose de plus important. Je perçois qu'il y a toujours eu des gens pour être aussi choqué que moi de la façon dont tourne le monde . Et accessoirement, je perçois aussi qu'il n'y a rien de plus ironique que le caractère immuable des conflits de générations.
Il y a du parti pris dans votre discours. Je trouve ça assez gênant que vous parliez de la capacité de Mélenchon à rassembler. D'abord, je ne vois pas ce que ça veut dire. Et surtout, j'ai surtout l'impression que votre problème avec Mélenchon, c'est que vous ne partagez pas ses convictions.
Admettez le et le reste sera plus simple. Moi, par exemple, je n'aime pas les gens de droites comme Vallaud-Belkacem par exemple. Donc, je ne suis pas objectif. Je la trouve menteuse, mauvaise, carriériste... Blablabla.
Je ne sais pas, Faab. Peut être qu'un jour, les évènements la pousseront à devenir de moins en moins pragmatique et de plus en plus politicienne. Peut être qu'un jour, son "parler-vrai" sonnera de plus en plus comme de la démagogie...
Peut être qu'un jour elle ressemblera à s'y méprendre aux politicards dont elle semble être si loin aujourd'hui.
Il y a quand même une bonne dose de parti pris dans votre discours. Je suis à peine plus jeune que Vallaud-Belkacem et je trouve qu'il y a chez elle quelque chose d'au moins aussi déprimant que ce que vous inspire un tribun poing levé. Voir par exemple que le temps passe et que rien ne bouge, voir ce que peut être l'arrogance de la jeunesse qui ne sait pas encore ce qu'est le vécu. Il y a peut être une génération entre Vallaud-Belkacem et Mélenchon. Mais on parle là d'image, en rien de fond, en rien de conviction. Moi, je le trouve ringard dans ces discours Mélenchon, je trouve que les vieux profs en lutte à la sauce F.O sont pleins de poussière. Toutes ces manifs, ces militants, c'est désuet... Comme je la trouvait passéiste ma mère avec son communisme à la noix, quand Chirac était plus fun avec ses pommes et sa marionnette.
Aujourd'hui pourtant, c'est moi qui la saoule avec mon Mélenchon. Parce qu'à travers l'image, je perçois quelque chose de plus important. Je perçois qu'il y a toujours eu des gens pour être aussi choqué que moi de la façon dont tourne le monde . Et accessoirement, je perçois aussi qu'il n'y a rien de plus ironique que le caractère immuable des conflits de générations.
Il y a du parti pris dans votre discours. Je trouve ça assez gênant que vous parliez de la capacité de Mélenchon à rassembler. D'abord, je ne vois pas ce que ça veut dire. Et surtout, j'ai surtout l'impression que votre problème avec Mélenchon, c'est que vous ne partagez pas ses convictions.
Admettez le et le reste sera plus simple. Moi, par exemple, je n'aime pas les gens de droites comme Vallaud-Belkacem par exemple. Donc, je ne suis pas objectif. Je la trouve menteuse, mauvaise, carriériste... Blablabla.
Oui Faab défend la grosse menteuse carriériste championne de langue de bois parce qu'il partage la même idéologie et les mêmes intérêts, il ne faut pas aller chercher plus loin. Ce qu'il n'aime pas dans Mélenchon, c'est qu'il soit réellement de gauche. Mélenchon est la preuve concrète que tous les Faab Vallaut-Belkasaeme, Hollande Macron ou Valls n'ont de gauche que leurs prétentions, et qu'en réalité dans les faits, ce ne sont que des arrivistes de merde, roulant pour l'oligarchie parce c'est la seule manière d'obtenir qu'on leur ouvre des portes, et donc menant très concrètement des politiques de droite.
C'est comme les personnes qui n'aiment pas les miroirs, parce qu'ils leur renvoient leur vraie image, et non pas celle qu'ils se sont construite dans leur tête, en s'autopersuadant d'être beaux alors qu'ils savent très bien qu'ils sont laids.
C'est comme les personnes qui n'aiment pas les miroirs, parce qu'ils leur renvoient leur vraie image, et non pas celle qu'ils se sont construite dans leur tête, en s'autopersuadant d'être beaux alors qu'ils savent très bien qu'ils sont laids.
(...) Je trouve ça assez gênant que vous parliez de la capacité de Mélenchon à rassembler. D'abord, je ne vois pas ce que ça veut dire. Et surtout, j'ai surtout l'impression que votre problème avec Mélenchon, c'est que vous ne partagez pas ses convictions. (...)
Ca veut dire que le Front de Gauche a échoué en 2012, que les discussions pour faire plus large de EELV au Front de Gauche en passant par Nouvelle Donne pour les Régionales ont avorté, qu'il n'y a ni Podemos ni Syriza pointant son nez, et qu'on n'est pas prêt de voir d’union de la gauche vu la réaction de Duflot au pamphlet de Mélenchon sur l'Allemagne.
Ca veut donc dire que si je ne partage pas toutes les options du programme du FdG, j’apprécierais qu’un projet commun se monte avec d’autres forces de gauche pour autant que quelqu’un veuille en discuter, qu'on veuille un large rassemblement.
Mais las, trois fois hélas, Mélenchon semble lui savoir déjà quoi penser et quoi dire, il se voit déjà en candidat pour 2017 avec son programme de 2012 : "D'autres disent 'd'abord le projet'. Oui, très bien ceux qui n'en ont pas n'ont qu'à en avoir un. Moi j'en ai un depuis 2012, il s'appelle l'Humain d'abord".
Et tant que les médias lui font occuper l'espace critique à gauche, ça inhibe la "concurrence", il emporte la primaire virtuelle par un adoubement médiatique qui garantit par ailleurs que rien ne change : les mêmes causes engendrant les mêmes effets, un même candidat avec un même programme a toutes les chances d'échouer pareillement.
Valls et ses minions ne s'inquiètent pas trop puisqu'il n'y a pas de force crédible à leur gauche et qu'à mon sens, celle-ci ne pourra se construire que par une phase de discussion où chacun reste modeste en attendant un accord et prend aussi en compte les mouvements se disant "citoyens".
Parce que les Vallaud-Belkacem et Macron pourraient n’être que des symptômes de la mentalité de générations plus intéressés par ces mouvements dits “citoyens” que le théâtre politicien partisan.
J’ai cru voir ça en 2007 avec Bayrou et le Modem, des espoirs d’une “révolution” calme et son échec avec retour au centre-droit, et le retrouver dans des compte-rendus d’une section de Nouvelle Donne qui étaient du genre : on est des citoyens, pas des politiciens, pas question de jouer la comédie des partis, on transformera la société en gens sérieux, raisonnables, adultes (il faut grandir...).
Du côté de Podemos, ça me semble aussi un peu ça, toute une population qui ne sait plus se positionner sur le champ idéologique et se méfie des discours trop partisans et des effets de manche.
Au final, c’est globalement des positions de gauche mais sans référence historique explicite, sans revendication d’héritage, de prétention à être “la vraie gauche” ou autre, ne cherchant pas le souffle d’un grand récit idéologique. Ils semblent surtout vouloir un débat public large, un programme clair de transformation, des engagements qui seront tenus, et des compétences pour les réaliser.
Donc, pour fédérer tout ça, il vaut mieux être à l’écoute, se dire prêt à discuter, évoluer, construire à nouveau un projet etc. , et je vois Mélenchon comme quelqu'un qui préfère affirmer sa conviction et son ambition individuelle, quelqu'un qui entretient son image d'intransigeance, sûr de son fait, le "Che" de 2017.
Ca veut dire que le Front de Gauche a échoué en 2012, que les discussions pour faire plus large de EELV au Front de Gauche en passant par Nouvelle Donne pour les Régionales ont avorté, qu'il n'y a ni Podemos ni Syriza pointant son nez, et qu'on n'est pas prêt de voir d’union de la gauche vu la réaction de Duflot au pamphlet de Mélenchon sur l'Allemagne.
Ca veut donc dire que si je ne partage pas toutes les options du programme du FdG, j’apprécierais qu’un projet commun se monte avec d’autres forces de gauche pour autant que quelqu’un veuille en discuter, qu'on veuille un large rassemblement.
Mais las, trois fois hélas, Mélenchon semble lui savoir déjà quoi penser et quoi dire, il se voit déjà en candidat pour 2017 avec son programme de 2012 : "D'autres disent 'd'abord le projet'. Oui, très bien ceux qui n'en ont pas n'ont qu'à en avoir un. Moi j'en ai un depuis 2012, il s'appelle l'Humain d'abord".
Et tant que les médias lui font occuper l'espace critique à gauche, ça inhibe la "concurrence", il emporte la primaire virtuelle par un adoubement médiatique qui garantit par ailleurs que rien ne change : les mêmes causes engendrant les mêmes effets, un même candidat avec un même programme a toutes les chances d'échouer pareillement.
Valls et ses minions ne s'inquiètent pas trop puisqu'il n'y a pas de force crédible à leur gauche et qu'à mon sens, celle-ci ne pourra se construire que par une phase de discussion où chacun reste modeste en attendant un accord et prend aussi en compte les mouvements se disant "citoyens".
Parce que les Vallaud-Belkacem et Macron pourraient n’être que des symptômes de la mentalité de générations plus intéressés par ces mouvements dits “citoyens” que le théâtre politicien partisan.
J’ai cru voir ça en 2007 avec Bayrou et le Modem, des espoirs d’une “révolution” calme et son échec avec retour au centre-droit, et le retrouver dans des compte-rendus d’une section de Nouvelle Donne qui étaient du genre : on est des citoyens, pas des politiciens, pas question de jouer la comédie des partis, on transformera la société en gens sérieux, raisonnables, adultes (il faut grandir...).
Du côté de Podemos, ça me semble aussi un peu ça, toute une population qui ne sait plus se positionner sur le champ idéologique et se méfie des discours trop partisans et des effets de manche.
Au final, c’est globalement des positions de gauche mais sans référence historique explicite, sans revendication d’héritage, de prétention à être “la vraie gauche” ou autre, ne cherchant pas le souffle d’un grand récit idéologique. Ils semblent surtout vouloir un débat public large, un programme clair de transformation, des engagements qui seront tenus, et des compétences pour les réaliser.
Donc, pour fédérer tout ça, il vaut mieux être à l’écoute, se dire prêt à discuter, évoluer, construire à nouveau un projet etc. , et je vois Mélenchon comme quelqu'un qui préfère affirmer sa conviction et son ambition individuelle, quelqu'un qui entretient son image d'intransigeance, sûr de son fait, le "Che" de 2017.
Faab, vous vous faites plaisir sur ce coup, mais pour moi votre discours ne fait pas sens.
Vous parlez de Mélenchon comme si le fond de son projet n'était pas premier. On peut discuter de ce projet. Mais si vous pensez qu'il peut y avoir une comparaison entre Bayrou et Mélenchon, nous n'avons clairement pas le même référentiel. Je vous lis, et la seule question que je me pose est : "mais de quelle gauche me parle t-il?"
Discuter, évoluer, construire, c'est creux. Ce qui compte c'est autour de quelle idée.
Que vous voyez Mélenchon comme quelqu'un qui préfère affirmer sa conviction et son ambition individuelle, quelqu'un qui entretient son image d'intransigeance, sûr de son fait, le "Che" de 2017, pourquoi pas. Nous pourrions même ne pas être très loin de nous comprendre. Mais à ce compte là, qu'est ce qui vous permet de voir une différence quand Mélenchon dit de Vallaud-Belkacem qu'elle est une arrogante parvenue? Qu'est ce que vous faites sinon prendre position, et surtout, sur quelle bases sinon celles de vos convictions. Je ne vois là rien de très objectif.
Moi, je vois Mélenchon comme l'option la plus crédible pour que la société avance selon mes convictions. Plus d'égalité, moins de finance. Plus d'humain, quoi, même si je trouve, comme vous, cette expression un peu trop pompeuse. Je ne rentre pas dans les détails, mais je pense qu'un tel objectif, un tel projet ne se marie pas avec tous les projets.
Il existe quand même des forces qui vont dans des sens opposés, et j'ai l'impression que vous ne les évoquez jamais, préférant plutôt faire une critique sur l'image.
Vous parlez de Mélenchon comme si le fond de son projet n'était pas premier. On peut discuter de ce projet. Mais si vous pensez qu'il peut y avoir une comparaison entre Bayrou et Mélenchon, nous n'avons clairement pas le même référentiel. Je vous lis, et la seule question que je me pose est : "mais de quelle gauche me parle t-il?"
Discuter, évoluer, construire, c'est creux. Ce qui compte c'est autour de quelle idée.
Que vous voyez Mélenchon comme quelqu'un qui préfère affirmer sa conviction et son ambition individuelle, quelqu'un qui entretient son image d'intransigeance, sûr de son fait, le "Che" de 2017, pourquoi pas. Nous pourrions même ne pas être très loin de nous comprendre. Mais à ce compte là, qu'est ce qui vous permet de voir une différence quand Mélenchon dit de Vallaud-Belkacem qu'elle est une arrogante parvenue? Qu'est ce que vous faites sinon prendre position, et surtout, sur quelle bases sinon celles de vos convictions. Je ne vois là rien de très objectif.
Moi, je vois Mélenchon comme l'option la plus crédible pour que la société avance selon mes convictions. Plus d'égalité, moins de finance. Plus d'humain, quoi, même si je trouve, comme vous, cette expression un peu trop pompeuse. Je ne rentre pas dans les détails, mais je pense qu'un tel objectif, un tel projet ne se marie pas avec tous les projets.
Il existe quand même des forces qui vont dans des sens opposés, et j'ai l'impression que vous ne les évoquez jamais, préférant plutôt faire une critique sur l'image.
Bayrou-Mélenchon : je ne parle pas des idées, je parle des dynamiques électorales et des comportements individuels.
Pour un peu de variété (j'en cherche...) :
François Coustal, membre d'Ensemble (Front de Gauche), ancien membre du NPA : "A propos du Hareng de Bismarck".
Comme moi, il fait quelques remarques sur le style de Mélenchon :
"on y trouve des « Teutons bougons », « Frau Merkel » « Angela » et autres « Mutti Merkel », aussi douteux qu’inutiles. Et qui permettent aux détracteurs de Mélenchon d’en rester là et d’éviter de lui répondre sur le fond. Ce qui, en retour, permet à Jean-Luc Mélenchon de se présenter en victime du système médiatique et de polémiques superficielles. Ce qu’il est effectivement… parfois."
Le même sur L'attristant congrès du NPA :
"Le troisième congrès du Nouveau parti anticapitaliste s’est tenu le week-end dernier, laissant le sentiment d’un profond gâchis. Points d’orgue : le rejet de toute démarche unitaire et l’aggravation de la logique isolationniste d’une formation sans orientation."
Après, si personne ne voit l'intérêt d'un mouvement unitaire à gauche et l'importance des formes en politique...
Ce mouvement unitaire vaguement tenté est déjà foiré pour les Régionales, sauf erreur, il n'y aura pas d'élections en 2016 et donc, surprise, surprise pour 2017.
Faut dire que la situation n'est pas si grave, c'est juste le FN qui a le plus représentants au parlement européen, et on a seulement des intentions de vote pour 2017 où Mélenchon atteint au mieux 13% avec la Le Pen au 2nd tour contre Sarko.
Donc, oui, je suis sévère avec Mélenchon parce que je le vois comme de ceux qui bloquent une reconstruction à gauche pendant qu'on a une montée du national-socialisme qui n'en demandait pas tant. J'en ai autant pour d'autres responsables à gauche mais comme c'est lui qui est placé si souvent en étendard unique de la radicalité salvatrice, c'est lui qui prend...
Pour un peu de variété (j'en cherche...) :
François Coustal, membre d'Ensemble (Front de Gauche), ancien membre du NPA : "A propos du Hareng de Bismarck".
Comme moi, il fait quelques remarques sur le style de Mélenchon :
"on y trouve des « Teutons bougons », « Frau Merkel » « Angela » et autres « Mutti Merkel », aussi douteux qu’inutiles. Et qui permettent aux détracteurs de Mélenchon d’en rester là et d’éviter de lui répondre sur le fond. Ce qui, en retour, permet à Jean-Luc Mélenchon de se présenter en victime du système médiatique et de polémiques superficielles. Ce qu’il est effectivement… parfois."
Le même sur L'attristant congrès du NPA :
"Le troisième congrès du Nouveau parti anticapitaliste s’est tenu le week-end dernier, laissant le sentiment d’un profond gâchis. Points d’orgue : le rejet de toute démarche unitaire et l’aggravation de la logique isolationniste d’une formation sans orientation."
Après, si personne ne voit l'intérêt d'un mouvement unitaire à gauche et l'importance des formes en politique...
Ce mouvement unitaire vaguement tenté est déjà foiré pour les Régionales, sauf erreur, il n'y aura pas d'élections en 2016 et donc, surprise, surprise pour 2017.
Faut dire que la situation n'est pas si grave, c'est juste le FN qui a le plus représentants au parlement européen, et on a seulement des intentions de vote pour 2017 où Mélenchon atteint au mieux 13% avec la Le Pen au 2nd tour contre Sarko.
Donc, oui, je suis sévère avec Mélenchon parce que je le vois comme de ceux qui bloquent une reconstruction à gauche pendant qu'on a une montée du national-socialisme qui n'en demandait pas tant. J'en ai autant pour d'autres responsables à gauche mais comme c'est lui qui est placé si souvent en étendard unique de la radicalité salvatrice, c'est lui qui prend...
Vous ne voyez pas la différence entre une simple critique de l'U.E. et un pamphlet titré et sous-titré "Le Hareng de Bismarck (Le poison allemand)" ?
Je vois que Mélenchon écrit ce livre, mais je vois aussi que sur son site, il donne une tribune à un homme politique Allemand, je vois qu'il poste la vidéo de l'intervention d'une députée européenne allemande.
Je ne suis pas d'accord pour faire comme vous le constat d'une germanophobie évidente.
Après, et je pense que c'est sur ce terrain qu'est notre vrai désaccord, il me semble qu'on ne peut pas parler d'une simple critique de l'U.E.
Il y a un aspect dramatique de cette construction économique européenne qui semble être pour vous de l'ordre de l'acceptable.
Pour moi, cette Europe, c'est niet. Je ne veux pas en entendre parler. Alors les appels à l'union de la gauche, ça me fait bien marrer quand on sait qu'une partie de la "gauche" était pour le oui en 2005 et l'autre pour le non.
Et vous citez un ancien du NPA pour appuyer votre propos. Mais la différence entre lui et vous, c'est que lui semble trouver premier l'aspect dramatique, sur le plan social s'entend, de cette construction européenne. On est d'accord sur le fond, discutons de la forme, ok. Ce n'est pas votre cas. Vous ne discutez que de forme et oubliez que le vrai désaccord est un désaccord de fond.
Après, les sophisme sur le danger du FN, on peut en faire ce qu'on veut. Tant que la gauche gouvernera comme la droite, faudra pas non plus s’étonner que le FN continue de grimper.
Si on considère par exemple les Montebourg et autres Duflot, on voit qu'ils ont cherché l'union, si j'étais mauvaise langue, je dirais qu'ils ont cherché un poste, et voilà le résultat. La désunion.
Il existe une sorte d’allégeance aux impératifs économiques qu'une certaine "gauche" semble ne pas pouvoir dépasser. Et il y a des raisons pour ça. Appelons ça le réalisme si vous voulez. Ce n'est pas ma gauche.
On peut discuter sur ce point.
Mais les critiques sur la forme, du genre "Mélenchon (...) je le vois comme de ceux qui bloquent une reconstruction à gauche" c'est malhonnête. Mélenchon ne bloque rien du tout, il ne pense pas comme vous au niveau du réalisme politique. Et c'est bien pour ça que je vote pour lui.
Je vois que Mélenchon écrit ce livre, mais je vois aussi que sur son site, il donne une tribune à un homme politique Allemand, je vois qu'il poste la vidéo de l'intervention d'une députée européenne allemande.
Je ne suis pas d'accord pour faire comme vous le constat d'une germanophobie évidente.
Après, et je pense que c'est sur ce terrain qu'est notre vrai désaccord, il me semble qu'on ne peut pas parler d'une simple critique de l'U.E.
Il y a un aspect dramatique de cette construction économique européenne qui semble être pour vous de l'ordre de l'acceptable.
Pour moi, cette Europe, c'est niet. Je ne veux pas en entendre parler. Alors les appels à l'union de la gauche, ça me fait bien marrer quand on sait qu'une partie de la "gauche" était pour le oui en 2005 et l'autre pour le non.
Et vous citez un ancien du NPA pour appuyer votre propos. Mais la différence entre lui et vous, c'est que lui semble trouver premier l'aspect dramatique, sur le plan social s'entend, de cette construction européenne. On est d'accord sur le fond, discutons de la forme, ok. Ce n'est pas votre cas. Vous ne discutez que de forme et oubliez que le vrai désaccord est un désaccord de fond.
Après, les sophisme sur le danger du FN, on peut en faire ce qu'on veut. Tant que la gauche gouvernera comme la droite, faudra pas non plus s’étonner que le FN continue de grimper.
Si on considère par exemple les Montebourg et autres Duflot, on voit qu'ils ont cherché l'union, si j'étais mauvaise langue, je dirais qu'ils ont cherché un poste, et voilà le résultat. La désunion.
Il existe une sorte d’allégeance aux impératifs économiques qu'une certaine "gauche" semble ne pas pouvoir dépasser. Et il y a des raisons pour ça. Appelons ça le réalisme si vous voulez. Ce n'est pas ma gauche.
On peut discuter sur ce point.
Mais les critiques sur la forme, du genre "Mélenchon (...) je le vois comme de ceux qui bloquent une reconstruction à gauche" c'est malhonnête. Mélenchon ne bloque rien du tout, il ne pense pas comme vous au niveau du réalisme politique. Et c'est bien pour ça que je vote pour lui.
Il me semble que Libe en avait aussi publie de Hollande pas trop a son avantage... Ici il est vrai que la photo est terrible. Mais Julot a raison l'éclairage n'arrange rien... Un conseiller image pour Meluche ?
Plus qu'avec des photos d'Hitler, ne faudrait-il pas comparer avec une référence plus proche, c'est-à-dire avec celles de Le Pen père? Il me semble que lui aussi était souvent représenté en train d'éructer et de faire de grands mouvements énervés. Ca serait encore plus directement dans la ligne éditoriale des médias centre / centre-gauche (Mélenchon = Le Pen rouge).
Encore un super article dans asi.......Quand est-ce-que vous nous faites un débat dordon/macron...? ça aurait d'la gueule non...?
Parce que vous assimilez le fait de gesticuler et d'être expressif, de s'emporter dans ses discours au fait d'être nazi ?
Il faut se tenir à carreau, avec vous....
Il faut se tenir à carreau, avec vous....
Pour faire bonne mesure : https://video-fra3-1.xx.fbcdn.net/hvideo-xpt1/v/t42.1790-2/11921121_918857804830769_407377798_n.mp4?efg=eyJybHIiOjM1OCwicmxhIjo1MTJ9&rl=358&vabr=199&oh=407c5f58ce23bc30db7800be292f86ec&oe=55E49EB9
Une chose à laquelle Libé ne peut rien, avec la [s]plus mauvaise[/s] meilleure volonté du monde, c'est le l'éclairage maladroit de la tribune qui produit des ombres disgracieuses sur le visage de Jean-Luc Mélenchon. Il semble barbouillé de chocolat ou, au mieux, mal rasé.
Et les flatulences de ses adversaires la culture politique de domdom.
Ses éructations habituelles illustrent tout de même bien certaines photos...
"co-patron du Parti de Gauche"
Erratum dans l'article, il ne l'est plus depuis plus d'un an. Les coordinateurs sont Éric Coquerel et Danielle Simonnet.
Erratum dans l'article, il ne l'est plus depuis plus d'un an. Les coordinateurs sont Éric Coquerel et Danielle Simonnet.