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Planning familial : les anti-trans, "cautions progressistes" des réacs

Deux militantes anti-trans, Marguerite Stern et Dora Moutot, demandent le "recadrement" du Planning familial suite à une affiche montrant un homme trans enceint. Une panique morale qui leur a valu une tribune dans "Marianne" et une invitation à l'Assemblée. Petit guide de leur "femellisme" qui nie la transidentité, et de la galaxie de complotisme, d'ultra-conservatisme et d'idées proches de l'extrême-droite qui l'infusent.

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Merci pour ce récapitulatif très complet. Moutot et Stern sont des dangers publics. Les personnes qui leur donnent complaisamment la parole jouent un jeu dangereux pour les personnes trans en premier lieu,mais aussi pour les droits des femmes et des (...)

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L'appendicite, l'extraction des dents de sagesse, l'ablation des amygdales sont des mutilations, pourtant personne ne s'en offusque. Si la procédure est voulue par l'individu et considérée souhaitable pour sa santé physique et mentale, cela ne devrai(...)

Pffffffffouuuu. Bon, je différencie Stern de Moutot, la proximité de la seconde avec l ED et casasnovas, c'est pas tenable.Ceci posé, il est bien dommage que des media de référence de gauche (s'il y en a encore?) ne relaient pas le pbme que pose(...)

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Sur un sujet très simplement pratique : mettre la date de publication du droit de réponse serait sans doute utile pour améliorer la compréhension.

Concernant le droit de réponse, je retiens ça :


"Notre opposition à l'idéologie de l'auto-détermination qui voudrait que n'importe quelle personne qui se déclare femme soit considérée comme telle ne se réduit ni à la transphobie, ni à l'extrême droite". Alors, l'extrême-droite, je ne sais pas. Mais considérer que les gens ne peuvent pas se déclarer femme ou homme comme iels l'entendent, c'est très clairement de la transphobie. Comment pourrait-il en être autrement ?

Je pense qu'une bonne partie de ces conflits interminables tient quand même au quiproquo terminologique. Le mot "homme" définit  le genre et le sexe. Biologiquement on déduit initialement le sexe de sa fonction dans la reproduction. On s'aperçoit aujourd'hui que c'est aussi un peu plus complexe que ça. 

Ceux qui considèrent le terme "homme" comme un descriptif de sexe ne peuvent pas effacer cette définition première, et refusent au genre les pouvoirs du sexe. Les défenseurs du genre n'abolissent pas cette ambiguïté sémantique. Ce débat est stérile (n'y voyez aucun jeu de mot) et pourtant (à cause des réseaux) franchement délétère.

Le portrait de J. Peterson dans l'article apparaît manquer de subtilité, et au final, déloyalement à charge.


Premièrement, s'il est défavorable à la loi C-16, c'est en raison du projet de "criminalisation" de la mauvaise utilisation des pronoms alternatifs. Transposé à la célèbre séquence de web-télévision où D. Schneidermann qualifiait A. Gauthier-Fawas (article d'@si) d'être un homme, le capitaine d'@si se serait exposé à une éventuelle condamnation au nom de la loi canadienne sur les droits de la personne.


C'est à dire que J. Peterson ne s'oppose manifestement nullement aux droits LGBT, mais à la restriction de la liberté d'expression. Et attention, il ne défend nullement le droit d'appeler une femme trans un homme, mais le droit d'appeler une personne qui ressemble à un homme par des pronoms masculins. Exactement de la même manière qu'A. Gauthier-Fawas a interpellé D. Schneiderman par le substantif monsieur.


On pourrait légitimement se dire qu'invoquer une restriction de la liberté d'expression pour ne pas accéder aux desiderata de certains activistes trans n'est qu'une pirouette de mauvaise foi pour s'opposer de manière réactionnaire au progrès des droits humains. Cependant, transposons cette requête identitaire trans, à une éventuelle requête identitaire chrétienne. Quel serait les réactions si E. Ciotti proposait un projet de loi visant à obliger l'ensemble des français à s'adresser et à parler des chrétiens en faisant précéder leur nom du mot "saint" ? Comme dans "Saint Bolloré remanie la direction de ses médias".


Ceci dans un contexte où l'activisme LGBT nord-américain confine, de plus en plus, à l'autoritarisme.


Deuxièmement, la dernière vidéo de J. Peterson qui circule sur les internet mondiaux montre le psychologue s'adressant aux incels. Il explique en substance que les femmes qui les rejettent ont raison de les rejeter. Et il leur pose les questions suivantes : "Est-ce que vous faites attention à comment vous vous habillez, à comment vous vous comportez ? Est-ce que vous êtes aussi éduqués et cultivés que vous devriez l'être ? Elles ont raison de vous rejeter. Vous avez tort."


De toute évidence, cela va à l'encontre du portrait qui est habituellement fait de lui. J. Peterson est manifestement la coqueluche de l'art-right américaine. Parce-que tel le RN qui pioche ce qui l'arrange dans le programme de la FI, l'alt-right américaine fait circuler les propos de J. Peterson qui l'arrangent. Mais est-ce pour autant qu'il faille rejeter J. Peterson parce-que l'art-right américaine l'adore ? Faut-il brûler Matrix parce-que l'alt-right américaine adore ce film ?


Globalement, J. Peterson rejète le concept de privilège masculin. Mais sans pour autant rejeter les discriminations faites aux femmes. Chiffre à l'appui, il rappelle le taux de suicide, le taux d'incarcération, le taux d'accidents et de maladies liés travail, etc. Et quand on lui rétorque que la société est globalement régie par les hommes, il rétorque par des hommes seulement. Et une infime minorité de ceux-ci. De sorte que l'immense majorité des hommes (pauvres) est en grande partie également oppressée par des hommes (riches) que ne le sont les femmes (pauvres).


Ainsi, son discours est peut être bien plus à gauche que la gauche et la droite ne veulent bien le reconnaître. Sur des sujets aussi clivants, où les discussions partent aussi facilement en cacahuète, il semble que le manque de subtilité, d'écoute, et de raisonnement ne rangent J. Peterson dans une case qu'il ne mérite pas. Qu'@si l'interviewe serait probablement une bonne idée.

Mais qui a donné cette idée d'affiche au Planning Familial ?

C'est fun le forum d'ASI. 


Comme quoi on peut y être abonné et avoir des réflexions nauséabondes. 


De fait, vu la véhémence de certains commentaires "argumentés", et vu l'irruption de certains pseudo encore jamais vus ici , je me demande si on n'a pas juste à faire à des transphobes qui se sont abonné dans l'unique but de partager avec nous leur discours éclatés au sol. Comme d'hab, ils se voilent sous des arguments empli de scientifisme (qui n'ont rien de scientifiques) aussi naze que les théories des "riches juifs qui veulent asservir les humains en les faisant devenir des machines grâce à l'"idéologie " trans".

Ça sonne complement débile ?

En effet. 

Et pour celles et ceux qui pensent "non ce que je dis est très sensé, je ne balancerais jamais des bêtises aussi grosses que ce délire transhumaniste", sachez que ça sera votre ligne d'arrivée si vous continuez sur cette voie.



La France a peur! C'est la fin de la civilsation! Prenez-garde! 

Le Grand-Remplacement de la population blanche hétéro-judéo-chrétienne par des hordes déchainées de "Trans" est en cours! 

Aujourd'hui c'est le Planning Familial (institution sataniste) qui est visé, mais si on les laisse faire demain iels installeront des unités de conversion dans les écoles maternelles! 

"Jeanne! Au secours!" comme disait le vieux cyclope :-) 


Bon, avec ça Pascal Praud et les autres mange-merdes des chaînes d'intox sont refaits pour le mois.

Merci pour cet article. Un élément qui n'est pas précisé, mais qui mériterait de l'être, est que les personnes trans sont souvent éloignées des soins adaptés à leur réalité biologique. Pour plein de raison : les préjugés intériorisés par les personnes elles-mêmes, ceux des soignants avec qui elles interagissent, ceux du reste de la société (dont des influenceurs par exemple, cf. l'article...). 


La normalisation de la phrase "un homme peut être enceint" est nécessaire pour rapprocher les personnes trans de genre masculin des soins gynécologiques. Parce qu'au final, l'objectif de notre système de santé devrait être de traiter toutes les personnes qui ont besoin de soins de manière indiscriminée et en construisant la confiance entre patients et personnel soignant. Et pas de les forcer à rentrer dans des cases socio-culturelles en préalable de tout soin.

Si je comprends bien, il s'agit à la base pour les deux militantes de ne pas faire la promotion d'un individu qui a un utérus (donc une femme) et qui a adopté sur son état civil l'identité masculine, et qui revendique le droit d'être enceint(e). (...ouf). Enfin il s'agirait de contester le droit de l'institution à afficher la photo de cette personne. L'article appelle cette personne "un homme trans enceint".


Bon en fait c'est une femme, qui naturellement a le droit d'être enceinte. Ce qui devrait déranger les féministes c'est qu'on l'appelle "homme trans enceint", et qu'on lui conteste les revendications féministes alors qu'elle a un utérus. Non ?


Puisqu'il s'agit de remettre en question les droit d'une femme (dont l'état civile, elle a le droit, la compte comme homme), on peut dire en effet que ça rejoint la cause de l'extrême droite avec tout l'attirail des luttes conservatrices comme la remise en cause du mariage gay, du droit à l'avortement et compagnie.


Ne pas confondre ce mouvement avec le mouvement TERF, lui aussi pouvant être qualifié de transphobe.

Là il s'agit de féministes qui luttent pour le droit des personnes qui ont un utérus, et revendiquent l'exclusion des hommes transformés en femme de la lutte féministe. 


Petite anecdote pour illustrer: 


Page Wikipedia de la romancière J. K. Rowling:

"En juin 2020, elle provoque la colère des militants de la cause trans en ironisant sur l'expression « personne qui a des règles » et en suggérant d'utiliser à la place le mot « femme  ; des propos qui lui valent d'être à nouveau accusée de transphobie, et d'être qualifiée de TERF (trans-exclusionary radical feminist)" 


En conclusion, qu'on soit "femelliste" ou terf ou masculiniste ou totalement tolérant, cette affiche peut paraitre débile.


Alors des phrases comme "Il a suffi d'une affiche" dans l'article ou encore "Ce seront des hommes (genre et/ou physique) mais enceintes. Il n'y a rien de choquant là dedans." dans les commentaires, ça laisse rêveur !

Ce qui laisse rêveur c'est surtout la bêtise et les syllogismes à la pelle de votre message.

"Enfin il s'agirait de contester le droit de l'institution à afficher la photo de cette personne"

Je vous laisse lui demander l'autorisation...


Lien vers l'affiche

Mais d'ailleurs pourquoi ils ont été coller une barbe à l'autre personnage ? C'est n'importe quoi! Alors une femme qui devient un homme et qui est enceint est forcement en couple avec une femme à barbe ? Non parce qu'on pourrait supposer que l'homme trans enceint est à la base une femme lesbienne, qu'elle aime donc les femmes qui ressemblent à des femme. Ou alors il s'agit d'un homme transformé en femme, auquel cas on aurait affaire à un couple formé par une femme transformée en homme avec un homme transformé en femme ?

La femme à barbe est un homme cisgenre gay précise l'auteur :

https://twitter.com/Laurier_the_Fox/status/1562585790240043008



ça c'est marrant je trouve. le coup de crayon de la dessinatrice fait effectivement penser à une femme à barbe. aucun rapport avec le pantalon rose.

elle devrait apprendre à mieux dessiner plutot qu'à traiter tout le monde de transphobe.

C'est bizarre moi j'ai vu direct un homme. Son coup de crayon n'est donc peut-être pas le seul coupable de cette mésinterprétation. 

Oui, c'est sûrement pas par hasard qu'il a une barbe j'imagine, pour que ce soit clair - parce que, plus que les cheveux, c'est quand même un marqueur qui différencie bien.

dans un monde où les hommes sont enceints, je ne vois pas pourquoi une barbe devrait être un critère uniquement masculin.

Ou bien c'est un homme avec les cheveux long et une barbe ?

Quand vous comprenez rien à rien, vous faites pas semblant vous !

"individu qui a un utérus (donc une femme)"

C'est bien dans les prémisses qu'on trouve le noeud du problème. Le genre est multifactoriel. Notamment, quid des personnées nées ou intersexe assignées femmes sans utérus?

Vouloir tout définir clairement par la biologie pose deux problèmes : 1) les frontières ne sont pas claires et aucun choix n'est parfait et 2) c'est partir de principe que le genre, ou si vous voulez sexe social, n'existe pas où est juste la manifestation du sexe biologique.

L'article d'@si excplicite bien pourquoi il en est ainsi : il s'agit d'affirmer une définition "naturelle" (traditionnelle serait plus juste) des identités et rôles de genre. Justifier ceci par la science, c'est la quadrature du sexe.

Et c'est quoi cette histoire de parler des femmes comme 'femelles', on parle d'être humains là. Si vous voulez parler de biologie dites 'né femme' ou afab on à l'impression qu'on parle d'une portée de chiots

Très bon article !
Juste une petite remarque, je trouve la formulation suivante pas très clair et peux mener à des confusions :
Parce que les droits des personnes trans sont "les derniers arrivés" dans la lutte pour les droits LGBT, "on s'attaque à [eux] en premier" 

On pourrait interpréter cette phrase comme les trans sont les derniers arrivés dans la lutte, hors les personnes trans sont présents dès le début des luttes modernes pour les droits LGBT+, dès Stonewall.

 Pour être plus clair, on pourrait dire :

Parce que les droits des personnes trans sont "les derniers acquis" dans la lutte pour les droits LGBT, "on s'attaque à [eux] en premier" 


Mais c'est peut être moi qui m'embrouille tout seul à la lecture. Merci pour l'article !

Merci beaucoup très bon article, j'espère que vous pourrez suivre les développements. Notamment l'importation plus ou moins directe des méthodes et idées des USA et UK.

Dame Polony va encore s'énerver si on pointe une fois de plus le rapprochement idéologique de Marianne avec Valeurs actuelles.

Mon dernier commentaire sur le sujet.

Je ne connais pas les personnes en question, mais je me méfie par défaut aux reductio ad hitlerum.


Je prédis dans des temps que j'espère ne pas connaitre, une évolution du principe mutilateur vers la "source" c'est à dire le cerveau. Comme au XIXe siècle, pour "traiter" exactement le même sujet mais suivant une idéologie inverse..


De "droite" ou de "gauche", "progressiste" ou "réactionnaire", le fascisme reste le fascisme...

Je me délecte d'observer les voies que prends la Nature, Gaya, le Cosmos, l'Instinct de survie ou ce que vous voulez, pour réduire la population de notre espèce sur cette planète en plein bouleversement... :-)

C'est fascinant.

Et tout ça alors qu'on n'a pas encore inventé le générateur d'improbabilites infinies 😺

Oh ! Des Ultra-TERFs ! Vous en avez trouvé hahaha

Une définition du woofing serait la bienvenue.

J'ai un problème .


""Selon elles, "seules les femmes, c'est-à-dire les femelles adultes humaines peuvent être enceintes". Sauf que les hommes trans qui sont nés femmes et ont transitionné sans faire une ablation de l'utérus peuvent toujours être enceints et accoucher. ""

Ceci n'a pas de sens.

Un "homme" trans né femelle ne devient pas mâle par ablation de son utérus. 

Cette personne née femelle devient un humain indéfini, dont le genre légal et reconnu (ou pas) est masculin, mais qui n'est en rien un mâle pour l'espèce.


La phrase prend la peine de définir le sens du mot "femme" dans la déclaration. Elle peut défriser mais est inattaquable.

Parce qu'au final aucun mâle de l'espèce n'accouche, et aucune femelle de l'espèce ne féconde par la méthode animale propre à l'espèce. Et aucune mutilation physique, médicale ou psychologique ne peut changer ces faits.


Je vous demande de bien réfléchir au fait qu'on en arrive à trouver normales, voire souhaitables, des mutilations physiques profondes et irréversibles sur des êtres humains...


oui très bon article; les mouvements TERF et la panique morale antitrans qui ont pris de l'ampleur au RU (autour de JK Rowling entre autres); puis aux USA sont en train de prendre de l'ampleur ici; ce qui represente une menace sérieuse sur les droits de personnes trans; puisqu'on voit déja ces groupes murmurer à l'oreille du pouvoir et d'institutions comme la DILCRAH.  Moutot et Stern ne se cachent même plus d'être sorti d'une démarche féministe en adoptant une démarche essentialiste en totale opposition aux discours féministes. Leur petit séjour en woofing chez Casasnovas achève bien le tableau, plus personne ne peut croire qu'elles parlent depuis des positions féministes. 

Evidemment comme dit dans l'article les attaques contre les droits des personnes trans (qu'il faut défendre) sont un premier jalon qui mène à l'attaque des personnes LGBT dans leur ensemble puis des droits notamment reproductifs de toutes les femmes. c'est exactement ce qu'il s'est passé aux états-unis. A noter aussi les attaques extremement virulentes contre certaines personnalités; swattés doxés; menacés de mort et forcés à fuir par des groupes très organisés (voir les attaques contre Keffals par le forum kiwifarm)

Pffffffffouuuu. Bon, je différencie Stern de Moutot, la proximité de la seconde avec l ED et casasnovas, c'est pas tenable.Ceci posé, il est bien dommage que des media de référence de gauche (s'il y en a encore?) ne relaient pas le pbme que posent les transactivistes-ã differencier des trans lambda qui vivent leur vie et tant mieux pour elleux.

J'ai lu l'article un peu vite, donc j'ai,peut-être loupé ca,MStern est régulièrement menacée harcelée etc, des transactivistes appellent au meurtre des "terf" et ce sont bien des MtF qui ont entamé cela.... je n'ai pas vu ou lu de féministe pertinente appelant au meurtre de trans .

On différencie genre et sexe biologique, les féministes ont notamment eu pour objet de travail de déconstruire les stéréotypes de genre et non la différence des sexes.


 C'est bien parce que ce travail commence à porter ses fruits que tout individu se définir comme ca lui chante  ou justement s'affranchir des stéréotypes de genre

En revanche il faut bien être biologiquement femme, donc femelle de l'espèce, pour porter un bébé, se frapper une endométriose, une ivg, des regles douloureuses , une violence systémique et une moindre reconnaissance socioeconomique...

bref, tout ceci tourne dans les réseaux feministes et malheureusement les transactivistes qui insultent/menacent les féministes ne font pas la même chose envers els hommes qui pensent les memes choses, curieusement.

Je pose ce vrac plutôt décousu là et je suppose que je vais en prendre plein la poire, mais globalement, comprenez que ce que nous voyons dans tout ce militantisme c'est  effacement des femmes et de leurs droits, puisque les MtF portent en exergue un ultrastereotype de féminin tell que vu dans l'imaginaire patriarcal comme identité seule valable pour (se) dire "femme", et ce n'est donc pas qu'un pbme de vocabulaire.

Merci pour ce récapitulatif très complet. Moutot et Stern sont des dangers publics. Les personnes qui leur donnent complaisamment la parole jouent un jeu dangereux pour les personnes trans en premier lieu,mais aussi pour les droits des femmes et des minorités sexuelles.

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