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Porte a savouré la première question à Hollande
Didier Porte ne connaissait pas "l'association de la presse présidentielle", qui regroupe les journalistes accrédités à l'Elysée. Il a fait connaissance avec son président, un journaliste du Figaro, en suivant la conférence de presse de François Hollande à la télévision. Verdict d'un Didier conquis : "presque régalien dans son maintien et son phrasé".
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Derniers commentaires
Merci de m'avoir fait découvrir cette association magnifique. Rien que le nom, c'est tout un programme ! Et vas-y que j'te remercie de m'avoir adressé tes voeux, et vas-y que j'donne un coup de langue à deux des ministres présents. Il manque plus qu'une révérence. Le tout en direct à la télé avec les dorures de l'Elysée en fond, tu m'étonnes que les Anglais s'étranglent de rire (en même temps, eux, ils célèbrent carrément une famille de sang divin, alors bon...).. Bon, je sais, on dira que c'est jamais que le protocole de la Vème République mais quand même, on n'avait pas élu un homme qui devait rompre avec tout ça il y a 2 ans ? Un Président normal ?...
J'ai surtout remarqué la tronche sinistre des ministres.
Je crois qu'on vient de trouver un bon chef de meute des chiens de garde.
Comme dirait Luchini, c'est énorme.
Merci Didier.
Comme dirait Luchini, c'est énorme.
Merci Didier.
Le journaliste pt de l'asso de la presse présidentielle, posant la premiere question, a envoyé sur touitere :
"Albert Londres, pardonne moi!"
Or Albert Londres est un exemple de "bidonneur" (voir notamment Cyril Lemieux (dir.), La Subjectivité journalistique, Éditions de
l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), 2010).
Si c'est Albert Londres le modèle du journalisme, au secours !
Il y a vraiment une "fracture sociale" dans la profession ! Entre eux qui sont addicts aux mythes désuets, et ceux qui sont dans le monde réel.
"Albert Londres, pardonne moi!"
Or Albert Londres est un exemple de "bidonneur" (voir notamment Cyril Lemieux (dir.), La Subjectivité journalistique, Éditions de
l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), 2010).
Si c'est Albert Londres le modèle du journalisme, au secours !
Il y a vraiment une "fracture sociale" dans la profession ! Entre eux qui sont addicts aux mythes désuets, et ceux qui sont dans le monde réel.
"Me xxx est-elle encore aujourd'hui première dame de France"!?
Mais qu'est ce c'est que cette question? Il n'y a ni première dame ni premier monsieur en France. Vraiment lamentable.
Mais qu'est ce c'est que cette question? Il n'y a ni première dame ni premier monsieur en France. Vraiment lamentable.
Tiens, pour une fois je suis étonné de l'angle : ce n'est pas tant le ton protocolaire qui est choquant que le mélange des genres, en gros "je commence par évoquer vite fait les otages parce qu'il faut bien le faire, et ensuite j'embraye sur la vraie question sérieuse : votre lit", c'est particulièrement gerbant comme manière de procéder. Même l'écrivain d'anticipation politique le plus pessimiste n'aurait pas pu imaginer pareille inversion de la hiérarchie des sujets. Société du spectacle, quand tu nous tiens...
Didier Porte ne pouvait pas laisser passer ça, c'est son boulot. Imaginons l'effondrement intellectuel qui se produirait s'il n'y avait pas de Didier Porte. Tous les dieudonnés occuperaient le terrain. L'horreur. Merci Didier.
Cette "association" n'est pas déclarée en préfecture... (comme le sont les assos loi 1901) : en quoi est-elle légitime, ou même légale ?
Son adresse (en bas de ses rares communiqués) est "55 boulevard du Faubourg St Honoré" c'est à dire l'adresse de l'Elysée : on a vu mieux en terme d'indépendance.
Son président d'honneur est le président de la République : d'où la déférence dégoulinante, sans doute...
Son adresse (en bas de ses rares communiqués) est "55 boulevard du Faubourg St Honoré" c'est à dire l'adresse de l'Elysée : on a vu mieux en terme d'indépendance.
Son président d'honneur est le président de la République : d'où la déférence dégoulinante, sans doute...
Eva Morletto est très bien aussi.
Du grand Didier !