"Prime Europe" pour des journalistes : débat à France Télés
Le Monde révèle que des primes sont accordées à certains chefs de France Télévisions en fonction des sujets traités. Le but ? Pousser certains thèmes délaissés : handicap, Outre-Mer, diversité, Europe. Les syndicats s'insurgent et demandent leur suppression.
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Commentaires préférés des abonnés
Et une prime pour parler des ouvriers ? des chômeurs ? des luttes sociales ?
J'arrive pas à me scandaliser par cette politique éditoriale. J'ai du mal à voir la réaction des syndicats comme autre chose qu'une crise d'orgueil parce qu'ils étaient pas au courant.
Dans le climat malsain du fonctionnement des médias en France ce n'est qu'un pneu crevé de plus pour cette guimbarde folle, laissée au bon vouloir des élus, plutôt mal élus qui décident de ce que le peuple peut être informé.
Derniers commentaires
Distribuer des primes pour convaincre les journalistes à faire des choses intelligentes donne une image sinistrée de la profession. Je comprends mieux le résultat des élections avec de tels ambitieux de l'information.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
réflexions à chaud : chez Arte, ils n'ont pas attendu pour faire du zèle sur l'Europe...
comme c'est reposant de ne plus regarder/écouter cette propagande incessante !
ma compagne a commencé à lire "1984" pour la première fois, elle est déjà traumatisée à la page 60...
(oui, j'y vois un lien)
Quoi? Pas de prime pour ceux qui n'ont pas voulu voir les violences policières? Trop injuste, ça!
Le vrai probleme c'est qu'il failel faire ça pour que les journalistes fassent le job ... Y a t il eu des primes pour Macron 2017 ?je demande je demande
Dans le climat malsain du fonctionnement des médias en France ce n'est qu'un pneu crevé de plus pour cette guimbarde folle, laissée au bon vouloir des élus, plutôt mal élus qui décident de ce que le peuple peut être informé.
Et une prime pour parler des ouvriers ? des chômeurs ? des luttes sociales ?
J'arrive pas à me scandaliser par cette politique éditoriale. J'ai du mal à voir la réaction des syndicats comme autre chose qu'une crise d'orgueil parce qu'ils étaient pas au courant.
