Quand Macron séduisait la presse à Las Vegas
Surtout "ne pas chercher à affaiblir" la ministre du Travail. Cette consigne du porte-parole de l'Elysée, Christophe Castaner, à l'attention des médias, a tenté (en vain) d'endiguer plusieurs semaines de révélations du Canard enchaîné, de Libération, du JDD et de Mediapart, sur l'actuelle ministre du travail, Muriel Pénicaud. En cause, son rôle en tant qu'ex-directrice générale de Business France dans l'organisation d'une soirée en marge d'un déplacement d'Emmanuel Macron à Las Vegas début 2016. La semaine dernière, une information judiciaire a été ouverte sur des soupçons de "favoritisme et recel de favoritisme".
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Derniers commentaires
Merci.
C'est une bonne chose si ces irrégularités finissent par être sanctionnées et retomber sur leurs auteurs (y compris, comme le remarque hansolo plus haut, sur le premier intéressé, même si on peut en douter).
Mais au delà de ça, et quand bien même les règles d'appels d'offre auraient été respectées, combien de pognon public déversé dans le gosier de ces sociétés de communication ? Combien de fric dilapidé pour permettre aux pubards de se gaver tout en conseillant leurs poulains sur la meilleure manière de dénoncer l'assistanat ?
Quel intérêt à ces grand-messes dans le débat politique et les choix de société ? Rien : du creux, du vent, du "projet". Des flatulences de non-discours.
Je passe sur l'inculture consternante des groupies comme Alba Ventura : "le seul dans tout le paysage politique français qui a compris que le digital et le numérique, c'était la révolution industrielle du XXIème siècle", qui réussit à cumuler méconnaissance crasse de l'anglais et redondance en cumulant le barbarisme "digital" avec son équivalent correct "numérique".
La même chose à plus grande échelle, manifestement.
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Du même tonneau que les reprises médiatiques de l'audit de la Cour des comptes qui ne "rappellent" pas que le Président était ministre de l'Économie il y a 10 mois ...
Ensuite, je parie la moitié d'un dollar, on est à Vegas ,mais je suis pingre, que la Muriel Penicaud est en train de répéter en coulisse son rôle de fusible.
Plumes et paillettes.
Et pendant ce temps, les zinvestisseurs comptent leurs dividendes.
(*)Las ! Voyez comme en peu d'espace, mignonne, elle a dessus la place, mignonne,
Las, las ! Sa beauté laissé choir (à cheveux)
Apparemment c'est toute la gestion de Business France dirigée alors par la Ministre qui pose problème...
Après se posera la question de la campagne électorale de "En Marche" faite très tôt hors de la période de la campagne électorale et hors du contrôle des financements et sur fonds publics....
Tout est dit...
Mais les réveils seront difficiles, quand on aura mesuré enfin sa "capacité de destruction".