Commentaires
Quand on n'a que ça à footre
Il y a des mots qui se bousculent au portillon en piaillant moi mdame moi mdame steuplait pitié mets-moi dans ta chronique allez vas-y quoi choisis moi.
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http://www.dailymotion.com/video/xcfkzs_gaspard-proust-a-montreux_fun ( timecode 01:15 )
Il fait chaud. Et à Lyon, on est bien partis pour atteindre la canicule cette semaine, avec des températures supérieures à 30 °C toute la semaine. D'ailleurs, l'étymologie du mot "canicule" est très jolie, si vous pouviez en parler Anne-Sophie, ce serait...rafraîchissant.
J'adore.
On peux passer commande ? Pas dans le même genre, mais j'aimerais bien savoir si le succès actuel du mot "caïd" pour stigmatiser les "chefs" des "racailles" tient aux connotations xénophobes que permettrait son étymologie marocaine. Pourquoi pas gangster, parrain, boss, bandit, meneur ... ? Les footballeurs ne sont pas des voyous, des sauvageons ou des délinquants, mais il faut bien que nos commentateurs médiatiques expriment leurs sombres sentiments, et c'est "caïds" qui marche, en ce moment. Pourquoi ?
Il a vécu quelles aventures, ce mot, entre son histoire coloniale et son présent succès ?
On peux passer commande ? Pas dans le même genre, mais j'aimerais bien savoir si le succès actuel du mot "caïd" pour stigmatiser les "chefs" des "racailles" tient aux connotations xénophobes que permettrait son étymologie marocaine. Pourquoi pas gangster, parrain, boss, bandit, meneur ... ? Les footballeurs ne sont pas des voyous, des sauvageons ou des délinquants, mais il faut bien que nos commentateurs médiatiques expriment leurs sombres sentiments, et c'est "caïds" qui marche, en ce moment. Pourquoi ?
Il a vécu quelles aventures, ce mot, entre son histoire coloniale et son présent succès ?
Ahahahahahahah !!! Qu'est ce qu'on rigole Pow Wow !!!
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Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa Looooooovvvveeeeeeeeellllllllllllyyyyyyyyyyyyy !!!!!
Citation : "Aujourd’hui foutre et une partie de ses dérivés ont perdu leur sens érotique. C’est le cas de foutoir mais aussi de foutriquet, personnage insignifiant, ou foutaise, chose insignifiante,"
A propos de "foutaise", chose insignifiante, il y a son synonyme "bagatelle" très apprécié par Molière ("Le malade imaginaire" et "Les fourberies de Scapin" dans une scène reprise à l'identique dans les deux pièces) terme qui, comme chacun le sait, est aussi utilisé quand on va voir Madame Foutaise. On pourrait donc dire que l'esprit sportif de certains de nos Bleus footeux est une bagatelle...
A propos de "foutaise", chose insignifiante, il y a son synonyme "bagatelle" très apprécié par Molière ("Le malade imaginaire" et "Les fourberies de Scapin" dans une scène reprise à l'identique dans les deux pièces) terme qui, comme chacun le sait, est aussi utilisé quand on va voir Madame Foutaise. On pourrait donc dire que l'esprit sportif de certains de nos Bleus footeux est une bagatelle...
Ah c'est du propre, Anne-Sophie ! "Aucune trace [de foutre] dans le Gaffiot"... Il est effectivement heureux que les pages ne soient pas collées !
On peut ainsi le fourrer dans son baise-en-ville afin de finir sa chro-nique dans sa garçonnière.
On peut ainsi le fourrer dans son baise-en-ville afin de finir sa chro-nique dans sa garçonnière.
Il me semble que de même se sont "désexualisés", comme vous dites, les termes "con", "enfoiré" (qui pourtant était dans ma jeunesse plus violent que celui utilisé par Anelka à l'adresse de son entraîneur…) ou encore "mec", qui désignait un "mac" (un hareng, quoi…) etc.
Les mots s'édulcorent grave, ma pauv' dame.
Les mots s'édulcorent grave, ma pauv' dame.
Je me sens foutrement plus intelligente...
On dirait que c'est contagieux, mais ici aussi c'est le foutoir figurez-vous, et vous allez constater que je suis loin d'exagérer.
Oh je sais pas, un phénomène planétaire sûrement, une malédiction peut-être, une funeste conjonction des planètes que sais-je, des fois on sait jamais des planètes pas alignées pile-poil comme y faut au cordeau ou ben tiens si elles sont alignées, mais dans le mauvais ordre par exemple, Mercure qui se retrouve après Pluton, Saturne qui vient se faire bronzer les anneaux près du soleil, me demandez pas comment c'est possible je suis pas chargé de la physique du placement des planètes dans le civil, genre je fais pas des signes aux planètes comme on fait pour faire manoeuvrer un camion ("braque à fond à gauche Marcel, tu y es presque, encore deux mètres!") pour les mettre sur leur orbite, les planètes, pas les camions. Je suis pas chargé du contrôle de leur placement sur le plan de l'écliptique avec un uniforme bleu. "Bonjour Madame, contrôle du placement sur le plan de l'écliptique, vous avez les papiers du véhicule planétoïde?" Non non, je fais un boulot sérieux, moi.
Tiens d'ailleurs je me demande si c'est Saturne qui a des anneaux ou bien une autre planète à anneaux qui aurait des anneaux des fois par hasard, en tous cas c'est une planète qui préside à tout ce qui touche à l'apéritif dans le monde, comme quoi rien n'est dû au hasard, et c'est pas de notre faute si des fois on boit des canons sûrement, c'est la grande mécanique céleste qui veut ça.
Si, je me souviens que ma grand-mère, à l'heure du mouillage des dents du fond, ne jurait que par les "Saints anneaux". C'est mystérieux, les grand-mères alcooliques. J'étais petit, je comprenais que dalle au monde des grands. Mais j'ai grandi, j'ai réfléchi, et je comprends toujours que dalle. Mais là n'est pas mon propos. Enfin si il est là puisque vous lisez ce que j'écris, mais ce n'est pas celui-ci. Enfin si c'est celui-là aussi, disons que c'est un tout, en fait. Ce propos-là plus un autre qui va bientôt arriver dans pas longtemps je le sens, ça fait un propos en général. C'est un ensemble de propos qui font que ça fait un propos. Je sais, c'est bien foutu, moi-même je suis confondu devant un tel enchantement. Non je tiens absolument à éclaircir ce point crucial avant d'aller plus loin, non quand je dis que je vais plus loin, je reste là en fait soyez pas pris de panique, il faut garder son calme et en cas de besoin, pour évacuer dans le calme absolu et la sérénité la plus parfaite si le besoin s'en faisait sentir, on suit le plus calmement du monde les boitiers lumineux avec les flèches vertes avec le petit bonhomme qui panique et qui se barre en courant.
Ceci étant dit, passons à la suite.
Ah oui mais non, j'ai oublié des trucs ah merde.
Bon...alors ceci étant dit, revenons à nos moutons.
Voi-làà.
Or donc, ce foutoir est peut-être dû à diverses causes variées, comme les légumes dans les régimes, si l'on en croit les nutritionnistes, qui ont la vie belle soit dit en passant. Vous avez remarqué, mais si, que les catastrophes s'enchaînent parfois en série sur certains points du globe. Quand on dit "globe", on désigne la Terre bien entendu, c'est pour faire simple. Mais cette expression n'est pas à mettre à toutes les sauces pour parler de la terre, la matière noble sur laquelle on marche et on fait pipi. Un agriculteur hirsute et bourru ne dira jamais "tiens la Germaine, j'allions labourer le globe pour semer les patates nom didiou", non, un agriculteur est un grand garçon qui connait le sens des mots, il a la tête sur les épaules, il a le sens des valeurs, et il a plein de bordel dans sa cuisine, généralement. Et même des poules des fois. c'est bordélique un agriculteur.
Oui bon, si ça se trouve, des forces célestes qui dépassent notre entendement choisissent parfois un quartier de la Terre, suivant en celà la découpe des méridiens, et lorsqu'elles choisissent un méridien, voilà du boudin.
Non c'est une hypothèse à moi, je vous le cache pas. En ce sens qu'elle n'est nullement validée par des thèses scientifiques ou des études payées cher, d'ailleurs à ma connaissance il n'existe pas de théorie scientifique mettant en corrélation la découpe des méridiens terrestres et celle du boudin, et ce sont, pour dire la vérité, deux disciplines totalement différentes et sans aucun rapport l'une avec l'autre. Ne serait-ce que dans l'apparence déjà. Un géophysicien n'est jamais habillé d'un béret blanc et d'un tablier en tissu vichy mauve maculé de bout de gras de cochon. Si vous croisez un jour un géophysicien accoutré de telle manière avec un tablier sanguinolent, fuyez, c'est que c'est un mauvais géophysicien soit qui a mal compris la matière qu'il étudie, soit c'est un géophysicien qui a choisi une voie non conventionnelle dans sa discipline, en tous les cas il y matière à suspicion, je vous préviens. Pareil pour les astronomes en culottes courtes, méfiance, toujours.
Tout ça pour dire, car j'en viens à l'objet de ce commentaire dès à présent, et vous l'aurez remarqué, cette fois j'ai veillé particulièrement à une certaine cohésion, une certaine ligne de pensée pour éviter justement le foutoir, car je dois bien vous l'avouer, je suis parfois digne d'une cuisine d'agriculteur quand j'écris mes fulgurances, sauf que moi y a pas de poules qui traînent dans mes commentaires, on peut me reprocher beaucoup de choses, mais là-dessus j'ai mon honneur, j'ai jamais de gallinacées qui cavalent dans mes messages. On a sa fierté. Ce que je veux dire, c'est que je vais bientôt révéler le coeur de mon message, sa substantifique moëlle, un peu comme le petit morceau de truffe dans le foie gras, ou le morceau de champignon noir dans la galantine de volaille, tout ça dépend bien sûr des moyens financiers dont on dispose. Et en celà on rejoint directement la découpe du boudin et la merveilleuse profession de charcutier, voyez comme ma mécanique est implacable, voyez comme tout se tient, rhô lô lô c'est clair et limpide comme du jus d'hydrogène et d'oxygène, là tout d'un coup je suis ému, j'ai la gorge serrée à l'instant-même, je suis sous le choc de la pertinence, de la cohérence et du déroulé de mon commentaire. Là tout de suite je m'aime. Ah putain ça n'arrive pas souvent, généralement c'est madame pow wow qui se coltine la tâche la pauvre, mais là je m'aime terriblement, dommage qu'il y ait du monde, sinon je m'aimerais comme une bête là tout de suite, sur le bureau. Bon du coup, je suis réduit à trouver des ouatères d'urgence. Non non, pas du tout pour ça, bande d'esprits mal tournés, mais parce que dans les ouatères il ya une glace et je pourrai m'embrasser sur la bouche, faut que j'en profite pendant que je m'aime. Tiens déjà je m'embrasse les avant-bras pour commencer, pour faire monter le désir en moi.
........................
Bon, là je reviens des ouatères, ça a mal tourné. Putain j'ai flippé. Moi je voulais me faire des bisous tranquillement dans la glace et j'ai rencontré une collègue sexy et accorte qui a voulu me faire des bisous à ma place ! Elle est bonne celle-là, dire que sur son lieu de travail on se fait agresser maintenant ! J'ai bataillé ferme pour résister à ses avances, je ne suis pas le genre à me coucher dans un lavabo à la première occasion. Je dois dire cependant que je suis victime de mon physique, et ça je le sais. Je sens les regards concupiscents lourds de signification qui se posent sur mon corps d'Apollon lorsque je parcours d'un air détaché le coin des femmes bien malgré moi, et quand j'en ai fait vingt fois le tour, je sens bien que ces bêtes en rut n'ont de regard que pour la puissance sexuelle que j'évoque. Elles m'abordent alors sans honte et sans retenue, j'en suis gêné pour elles. Jamais elles viennent me voir pour me demander un Figolu ou un Pépito, non, c'est toujours pour la même chose, je suis bien à plaindre en vérité. Pourtant je suis pas regardant sur les Figolu et les Pépito, par contre je planque mes Petits Ecoliers parce que y a des limites au partage.
Revenons-en à mon commentaire. Si j'ai choisi ce jour pour évoquer cet aspect essentiel qui, vous allez le voir, est d'une pénétrante actualité, et d'une c'est parce que je fais c'que j'veux déjà premièrement, et de deux aussi, également. Le vendredi est un jour idéal pour se laisser aller à la confidence, après on a tout le week-end pour regretter, c'est ça qu'est bien. Donc lundi je reviendrai parmi vous, vous aurez tout loisir de me juger et de me dire mes quatre vérités, je suis prêt, je n'ai pas peur, je n'ai peur de rien, hier par exemple j'ai regardé le DVD de Bambi et je n'ai même pas cillé quans sa maman elle meurt à Bambi, alors vous pensez si je suis blindé. De chez blindé. C'est plus une carapace que j'ai, c'est pire. Là c'est un short et des tongs parce qu'il fait trop chaud, j'ai jugé ce matin que ce n'était pas un temps à carapace, mais sinon c'est dix centimètres de revêtement mi kevlar pour la souplesse mi céramique pour l'esthétique. C'est bien simple, je ressemble à un carafon Bernardaud de Limoges. Avec des filets dorés et une scène champêtre, parce que j'aime le champêtrage dans les scènes de la vie courante.
Pour en terminer parce qu'il faut bien se quitter et que j'ai pas que ça à foutre justement (bien qu'on pourrait jurer du contraire dans ce cas d'espèce), voilà donc: après l'épisode des bleus, l'épisode des retraites, les humoristes exécutés, les trains qui déraillent ou même aujourd'hui des jeunes qui se suicident par paquets dans certaine région, on le voit, la scoumoune est sur nous. C'est notre méridien qui est attaqué, c'est notre quartier de terre qui est sous le feu de l'ennemi, et, pour ne rien arranger, j'ai moi-même été frappé durement dès ce matin, dès potron-minou, c'est dire si l'ennemi invisible est à nos trousses. Ce matin, dans la salle de bain lors de mon passage, il ne restait QU'UN SEUL coton-tige alors que j'en utilise deux habituellement, en plus je l'ai fait tomber et je me suis cogné la tête sur le coin du lavabo. C'est la dure loi des séries.
Voilà ,la défaite des bleus s'accompagne d'un bleu sur la tête pour ma part, tout est lié.
Je ne vous mentais pas quant à l'importance essentielle de ce commentaire que j'ai voulu carré et millimétré pour éviter d'en rajouter au foutoir ambiant, ne me remerciez pas, c'est dû à ma nature généreuse, rapport aux Figolu vous l'aurez compris.
Oh je sais pas, un phénomène planétaire sûrement, une malédiction peut-être, une funeste conjonction des planètes que sais-je, des fois on sait jamais des planètes pas alignées pile-poil comme y faut au cordeau ou ben tiens si elles sont alignées, mais dans le mauvais ordre par exemple, Mercure qui se retrouve après Pluton, Saturne qui vient se faire bronzer les anneaux près du soleil, me demandez pas comment c'est possible je suis pas chargé de la physique du placement des planètes dans le civil, genre je fais pas des signes aux planètes comme on fait pour faire manoeuvrer un camion ("braque à fond à gauche Marcel, tu y es presque, encore deux mètres!") pour les mettre sur leur orbite, les planètes, pas les camions. Je suis pas chargé du contrôle de leur placement sur le plan de l'écliptique avec un uniforme bleu. "Bonjour Madame, contrôle du placement sur le plan de l'écliptique, vous avez les papiers du véhicule planétoïde?" Non non, je fais un boulot sérieux, moi.
Tiens d'ailleurs je me demande si c'est Saturne qui a des anneaux ou bien une autre planète à anneaux qui aurait des anneaux des fois par hasard, en tous cas c'est une planète qui préside à tout ce qui touche à l'apéritif dans le monde, comme quoi rien n'est dû au hasard, et c'est pas de notre faute si des fois on boit des canons sûrement, c'est la grande mécanique céleste qui veut ça.
Si, je me souviens que ma grand-mère, à l'heure du mouillage des dents du fond, ne jurait que par les "Saints anneaux". C'est mystérieux, les grand-mères alcooliques. J'étais petit, je comprenais que dalle au monde des grands. Mais j'ai grandi, j'ai réfléchi, et je comprends toujours que dalle. Mais là n'est pas mon propos. Enfin si il est là puisque vous lisez ce que j'écris, mais ce n'est pas celui-ci. Enfin si c'est celui-là aussi, disons que c'est un tout, en fait. Ce propos-là plus un autre qui va bientôt arriver dans pas longtemps je le sens, ça fait un propos en général. C'est un ensemble de propos qui font que ça fait un propos. Je sais, c'est bien foutu, moi-même je suis confondu devant un tel enchantement. Non je tiens absolument à éclaircir ce point crucial avant d'aller plus loin, non quand je dis que je vais plus loin, je reste là en fait soyez pas pris de panique, il faut garder son calme et en cas de besoin, pour évacuer dans le calme absolu et la sérénité la plus parfaite si le besoin s'en faisait sentir, on suit le plus calmement du monde les boitiers lumineux avec les flèches vertes avec le petit bonhomme qui panique et qui se barre en courant.
Ceci étant dit, passons à la suite.
Ah oui mais non, j'ai oublié des trucs ah merde.
Bon...alors ceci étant dit, revenons à nos moutons.
Voi-làà.
Or donc, ce foutoir est peut-être dû à diverses causes variées, comme les légumes dans les régimes, si l'on en croit les nutritionnistes, qui ont la vie belle soit dit en passant. Vous avez remarqué, mais si, que les catastrophes s'enchaînent parfois en série sur certains points du globe. Quand on dit "globe", on désigne la Terre bien entendu, c'est pour faire simple. Mais cette expression n'est pas à mettre à toutes les sauces pour parler de la terre, la matière noble sur laquelle on marche et on fait pipi. Un agriculteur hirsute et bourru ne dira jamais "tiens la Germaine, j'allions labourer le globe pour semer les patates nom didiou", non, un agriculteur est un grand garçon qui connait le sens des mots, il a la tête sur les épaules, il a le sens des valeurs, et il a plein de bordel dans sa cuisine, généralement. Et même des poules des fois. c'est bordélique un agriculteur.
Oui bon, si ça se trouve, des forces célestes qui dépassent notre entendement choisissent parfois un quartier de la Terre, suivant en celà la découpe des méridiens, et lorsqu'elles choisissent un méridien, voilà du boudin.
Non c'est une hypothèse à moi, je vous le cache pas. En ce sens qu'elle n'est nullement validée par des thèses scientifiques ou des études payées cher, d'ailleurs à ma connaissance il n'existe pas de théorie scientifique mettant en corrélation la découpe des méridiens terrestres et celle du boudin, et ce sont, pour dire la vérité, deux disciplines totalement différentes et sans aucun rapport l'une avec l'autre. Ne serait-ce que dans l'apparence déjà. Un géophysicien n'est jamais habillé d'un béret blanc et d'un tablier en tissu vichy mauve maculé de bout de gras de cochon. Si vous croisez un jour un géophysicien accoutré de telle manière avec un tablier sanguinolent, fuyez, c'est que c'est un mauvais géophysicien soit qui a mal compris la matière qu'il étudie, soit c'est un géophysicien qui a choisi une voie non conventionnelle dans sa discipline, en tous les cas il y matière à suspicion, je vous préviens. Pareil pour les astronomes en culottes courtes, méfiance, toujours.
Tout ça pour dire, car j'en viens à l'objet de ce commentaire dès à présent, et vous l'aurez remarqué, cette fois j'ai veillé particulièrement à une certaine cohésion, une certaine ligne de pensée pour éviter justement le foutoir, car je dois bien vous l'avouer, je suis parfois digne d'une cuisine d'agriculteur quand j'écris mes fulgurances, sauf que moi y a pas de poules qui traînent dans mes commentaires, on peut me reprocher beaucoup de choses, mais là-dessus j'ai mon honneur, j'ai jamais de gallinacées qui cavalent dans mes messages. On a sa fierté. Ce que je veux dire, c'est que je vais bientôt révéler le coeur de mon message, sa substantifique moëlle, un peu comme le petit morceau de truffe dans le foie gras, ou le morceau de champignon noir dans la galantine de volaille, tout ça dépend bien sûr des moyens financiers dont on dispose. Et en celà on rejoint directement la découpe du boudin et la merveilleuse profession de charcutier, voyez comme ma mécanique est implacable, voyez comme tout se tient, rhô lô lô c'est clair et limpide comme du jus d'hydrogène et d'oxygène, là tout d'un coup je suis ému, j'ai la gorge serrée à l'instant-même, je suis sous le choc de la pertinence, de la cohérence et du déroulé de mon commentaire. Là tout de suite je m'aime. Ah putain ça n'arrive pas souvent, généralement c'est madame pow wow qui se coltine la tâche la pauvre, mais là je m'aime terriblement, dommage qu'il y ait du monde, sinon je m'aimerais comme une bête là tout de suite, sur le bureau. Bon du coup, je suis réduit à trouver des ouatères d'urgence. Non non, pas du tout pour ça, bande d'esprits mal tournés, mais parce que dans les ouatères il ya une glace et je pourrai m'embrasser sur la bouche, faut que j'en profite pendant que je m'aime. Tiens déjà je m'embrasse les avant-bras pour commencer, pour faire monter le désir en moi.
........................
Bon, là je reviens des ouatères, ça a mal tourné. Putain j'ai flippé. Moi je voulais me faire des bisous tranquillement dans la glace et j'ai rencontré une collègue sexy et accorte qui a voulu me faire des bisous à ma place ! Elle est bonne celle-là, dire que sur son lieu de travail on se fait agresser maintenant ! J'ai bataillé ferme pour résister à ses avances, je ne suis pas le genre à me coucher dans un lavabo à la première occasion. Je dois dire cependant que je suis victime de mon physique, et ça je le sais. Je sens les regards concupiscents lourds de signification qui se posent sur mon corps d'Apollon lorsque je parcours d'un air détaché le coin des femmes bien malgré moi, et quand j'en ai fait vingt fois le tour, je sens bien que ces bêtes en rut n'ont de regard que pour la puissance sexuelle que j'évoque. Elles m'abordent alors sans honte et sans retenue, j'en suis gêné pour elles. Jamais elles viennent me voir pour me demander un Figolu ou un Pépito, non, c'est toujours pour la même chose, je suis bien à plaindre en vérité. Pourtant je suis pas regardant sur les Figolu et les Pépito, par contre je planque mes Petits Ecoliers parce que y a des limites au partage.
Revenons-en à mon commentaire. Si j'ai choisi ce jour pour évoquer cet aspect essentiel qui, vous allez le voir, est d'une pénétrante actualité, et d'une c'est parce que je fais c'que j'veux déjà premièrement, et de deux aussi, également. Le vendredi est un jour idéal pour se laisser aller à la confidence, après on a tout le week-end pour regretter, c'est ça qu'est bien. Donc lundi je reviendrai parmi vous, vous aurez tout loisir de me juger et de me dire mes quatre vérités, je suis prêt, je n'ai pas peur, je n'ai peur de rien, hier par exemple j'ai regardé le DVD de Bambi et je n'ai même pas cillé quans sa maman elle meurt à Bambi, alors vous pensez si je suis blindé. De chez blindé. C'est plus une carapace que j'ai, c'est pire. Là c'est un short et des tongs parce qu'il fait trop chaud, j'ai jugé ce matin que ce n'était pas un temps à carapace, mais sinon c'est dix centimètres de revêtement mi kevlar pour la souplesse mi céramique pour l'esthétique. C'est bien simple, je ressemble à un carafon Bernardaud de Limoges. Avec des filets dorés et une scène champêtre, parce que j'aime le champêtrage dans les scènes de la vie courante.
Pour en terminer parce qu'il faut bien se quitter et que j'ai pas que ça à foutre justement (bien qu'on pourrait jurer du contraire dans ce cas d'espèce), voilà donc: après l'épisode des bleus, l'épisode des retraites, les humoristes exécutés, les trains qui déraillent ou même aujourd'hui des jeunes qui se suicident par paquets dans certaine région, on le voit, la scoumoune est sur nous. C'est notre méridien qui est attaqué, c'est notre quartier de terre qui est sous le feu de l'ennemi, et, pour ne rien arranger, j'ai moi-même été frappé durement dès ce matin, dès potron-minou, c'est dire si l'ennemi invisible est à nos trousses. Ce matin, dans la salle de bain lors de mon passage, il ne restait QU'UN SEUL coton-tige alors que j'en utilise deux habituellement, en plus je l'ai fait tomber et je me suis cogné la tête sur le coin du lavabo. C'est la dure loi des séries.
Voilà ,la défaite des bleus s'accompagne d'un bleu sur la tête pour ma part, tout est lié.
Je ne vous mentais pas quant à l'importance essentielle de ce commentaire que j'ai voulu carré et millimétré pour éviter d'en rajouter au foutoir ambiant, ne me remerciez pas, c'est dû à ma nature généreuse, rapport aux Figolu vous l'aurez compris.
Ah... queue dire queue dire sous cette chronique foutrement bien footue et si bien goalée ? Le pied quoi avec crampons alu inox tout terrain.
Je ne sais pas si quelqu'un y a pensé plus haut mais j'ai la flemme de vérifier, allez, pour le plaisir, un plaisir simple et facile, me direz-vous, mais par les temps qui courent on va pas bouder quand même !
Je ne sais pas si quelqu'un y a pensé plus haut mais j'ai la flemme de vérifier, allez, pour le plaisir, un plaisir simple et facile, me direz-vous, mais par les temps qui courent on va pas bouder quand même !
Foutrale, votre chronique, Anne-Sophie ! Bien foutue, quoi ... Pas de foutaises, que du dur ...
Loin de la presse spécialiste du foot (attention, là je viens juste de reprendre ma manie des contrepèteries) ! Tout petit, je préférais n'approcher le foot qu'avec des grands ...
Loin de la presse spécialiste du foot (attention, là je viens juste de reprendre ma manie des contrepèteries) ! Tout petit, je préférais n'approcher le foot qu'avec des grands ...
Un régal cette chronique, une fois de plus.
Tiens, en bonus votre metteur de footoir préféré http://dai.ly/dhemEa ;)
Tiens, en bonus votre metteur de footoir préféré http://dai.ly/dhemEa ;)
bravo pour cette excellente chronique qui redonne à notre langue tout son parfum!!
où avez-vous lu Mike que je pointais une perte de sens ?
Au contraire, à partir de ce footoir et de cette blague à deux degrés, je découvre au fil de ma chronique le pénis contenu dans le mot foutre, une queue qui ne m'avait pas sauté aux yeux (la formule est licencieuse mais vous me pardonnerez j'en suis sûre).
Au contraire, à partir de ce footoir et de cette blague à deux degrés, je découvre au fil de ma chronique le pénis contenu dans le mot foutre, une queue qui ne m'avait pas sauté aux yeux (la formule est licencieuse mais vous me pardonnerez j'en suis sûre).
Vous êtes, Anne-Sophie, bien trop nominaliste pour être pertinente !
Le Phallus en érection est symbole d'ordre, de force. Le Vagin est symbole de chaos, de faiblesse. Allez vers Rafik, Anne-Sophie, demandez-lui le nombre incalculable de mythes où l'intervention de la femme (et bien souvent l'intervention sexuelle de la femme, c'est-à-dire la rencontre du Phallus et du Vagin) est source de désordre. Et je dis bien dés-ordre, (car le dés-ordre n'est pas Vagin, n'est pas Chaos. Chaos est le non-ordre) c'est-à-dire destruction d'un ordre préalablement établi. Je peux déjà vous citer l'épopée de Gilgamesh, l'Iliade, le meurtre d'Abel, voire le péché originel, mais il y a tant d'autres...
Donc, non, il n'y a pas eu de perte de sens. Depuis les origines, la rencontre du Phallus et du Vagin a toujours été considérée comme dés-ordre, comme foutoir. Si on se fout des retraites ou de l'Assemblée Nationale, c'est que l'ordre, le contrat qu'elles impliquent ne nous intéressent pas.
Une victoire, qu'elle soit guerrière (et le code du guerrier interdit d'ailleurs le coït avant la bataille) ou sportive, a donc besoin des attributs phalliques pour être effective. C'est lui et lui seul qu'on a toujours invoqué, vous êtes, lorsque vous parlez "débandade" et "foutoir" dans deux champs symboliques tout à fait distincts et qu'il ne faut pas confondre dans un sexuel bien trop large pour en tirer un sens commun.
La débandade, c'est l'échec phallique. C'est un Phallus qui ne vaut plus rien. Et s'il ne vaut plus rien, il est alors bon pour le foutoir. Mais c'est à cette seule condition. Parce que c'est dans le foutoir que le Phallus peut renaître de ses cendres.
Adler appelait cela la protestation virile.
Le Phallus en érection est symbole d'ordre, de force. Le Vagin est symbole de chaos, de faiblesse. Allez vers Rafik, Anne-Sophie, demandez-lui le nombre incalculable de mythes où l'intervention de la femme (et bien souvent l'intervention sexuelle de la femme, c'est-à-dire la rencontre du Phallus et du Vagin) est source de désordre. Et je dis bien dés-ordre, (car le dés-ordre n'est pas Vagin, n'est pas Chaos. Chaos est le non-ordre) c'est-à-dire destruction d'un ordre préalablement établi. Je peux déjà vous citer l'épopée de Gilgamesh, l'Iliade, le meurtre d'Abel, voire le péché originel, mais il y a tant d'autres...
Donc, non, il n'y a pas eu de perte de sens. Depuis les origines, la rencontre du Phallus et du Vagin a toujours été considérée comme dés-ordre, comme foutoir. Si on se fout des retraites ou de l'Assemblée Nationale, c'est que l'ordre, le contrat qu'elles impliquent ne nous intéressent pas.
Une victoire, qu'elle soit guerrière (et le code du guerrier interdit d'ailleurs le coït avant la bataille) ou sportive, a donc besoin des attributs phalliques pour être effective. C'est lui et lui seul qu'on a toujours invoqué, vous êtes, lorsque vous parlez "débandade" et "foutoir" dans deux champs symboliques tout à fait distincts et qu'il ne faut pas confondre dans un sexuel bien trop large pour en tirer un sens commun.
La débandade, c'est l'échec phallique. C'est un Phallus qui ne vaut plus rien. Et s'il ne vaut plus rien, il est alors bon pour le foutoir. Mais c'est à cette seule condition. Parce que c'est dans le foutoir que le Phallus peut renaître de ses cendres.
Adler appelait cela la protestation virile.
punaise, y a pas à dire, Zahia elle est vraiment, enfin bon, je veux dire elle est ...bon ben je me comprends :)
Rhââââââââ Anne-Sophie, une belle chronique mais rhââââââââââ quand même, je sais que maline est de plus en plus employé, mais vous, amoureuse de la belle langue, vous auriez pu nous gratifier du mot maligne, rien que pour emmerder ceux qui voudraient le voir disparaître. Rhâââââââ donc. Et glups à la fin.
ben j'ai jamais compris pourquoi on ne peut pas maline. Malin, maline. Comme lapin, lapine.
Donc : pourquoi ? Si quelqu'un veut bien se dévouer...
Donc : pourquoi ? Si quelqu'un veut bien se dévouer...
C'est comme bénin, bénigne. Conclusion : tout ça c'est rapport à la tumeur/ tu meurs pas?
Mais j'en sais foutre rien ! ;o)
C'est un peu court pow wow. On attend votre commentaire foutraque, il arrive bientôt?
Un peu plus tard, je suis obligé de faire plusieurs choses en même temps.
comme de lire le journal en mâchant un chewing-gum ?
Je vous signale que c'est fini Anne-sophie. Pas le journal.
je suis venue
j'ai vu
et j'ai beaucoup rigolu
j'ai vu
et j'ai beaucoup rigolu
Alors là, non mais alors là je suis très embêté Fifi (vous permettez? ;o)) . Sur le site du dico de l'Académie Française, maline n'existe pas en tant qu'adjectif, mais seulement en tant que nom féminin, désignant une grande marée ou de la dentelle. Alors là je suis choquigne, d'autant que sur plusieurs pages Wiki, maline est souvent admis comme adjectif. Alors pour moi, bas du front comme je suis, l'Académie Française est une référence et je n'en démordrai pas, même si j'admets qu'aujourd'hui, maline est recevable (chuis bon prince hein?) . Remarquez en sus que j'ai déjà vu sur un rapport médical l'adjectif "bénine", bon là ça a été plus fort que moi, j'ai pété la gueule au toubib, je veux bien être gentil mais bon. j'ai bien fait hein?
Maline ne renvoie-t-il pas plutôt à l'attitude du diable ?
Le nom correspondant est malignité.
Alors que pour lapin lapine, c'est autre chose.
Alors que pour lapin lapine, c'est autre chose.
pas de lapignité ?
j'ai voulu faire un feu, mais lapignité trop humide pour l'allumer (oui j'allume toujours mon feu avec des pignes).
Moi gnon, gna fait trop mal; gnai arrêté.
mais c'est pas des pignes de cagnard !
Ah quand même -_-
" forte toile peinte, étendue au-dessus du pont pour abriter les hommes de quart"
vocabulaire de la marine à voile, éditions gisserot
voilà, ch'sors ma science
vocabulaire de la marine à voile, éditions gisserot
voilà, ch'sors ma science
Aaahhh.. ce dur étendard...
Bon, je me dévoue : en fait, au départ, c'est-à-dire pendant le Moyen-Age, à savoir pendant longtemps, il n'y avait qu'une forme, héritée du latin, soit maligne (et bénigne).
Comme c'est un peu imprononçable (je fais de la phonétique historique du pauvre, pardon si je vulgarise à l'excès ...), à l'oral c'est devenu "maline" et "bénine", d'où l'apparition du masculin de ces deux adjectifs selon une formation rationnelle : malin et bénin.
Mais la langue écrite est conservatrice (sans être au musée, mais on n'en est pas loin), aussi a-t-elle préservé scrupuleusement le féminin primitif, avec l'aide de l'Académie et de tout ce que la nation comporte de gens bien parlant.
Dans la langue dite familière (que nous parlons mais ne devons pas écrire paraît-il), les couples bénin/e et malin/e l'ont emporté, et les couples malin/gne et bénin/gne ont plutôt été réservés à la langue médicale qui, comme tous les jargons de spécialistes (cf le langage juridique par exemple), est de nature conservatrice, surtout quand cela permet de faire sentir au malade qu'on a fait des études.
Au passage, le couple lapin/lapine est très fécond ... sur le plan étymologique ; mais comme on a déjà fait le tour du rabbit à propos de la chronique précédente, je m'en tiens là. Sinon, j'enterre mon lapin (contrepèterie propre, une fois n'est pas coutume).
Comme c'est un peu imprononçable (je fais de la phonétique historique du pauvre, pardon si je vulgarise à l'excès ...), à l'oral c'est devenu "maline" et "bénine", d'où l'apparition du masculin de ces deux adjectifs selon une formation rationnelle : malin et bénin.
Mais la langue écrite est conservatrice (sans être au musée, mais on n'en est pas loin), aussi a-t-elle préservé scrupuleusement le féminin primitif, avec l'aide de l'Académie et de tout ce que la nation comporte de gens bien parlant.
Dans la langue dite familière (que nous parlons mais ne devons pas écrire paraît-il), les couples bénin/e et malin/e l'ont emporté, et les couples malin/gne et bénin/gne ont plutôt été réservés à la langue médicale qui, comme tous les jargons de spécialistes (cf le langage juridique par exemple), est de nature conservatrice, surtout quand cela permet de faire sentir au malade qu'on a fait des études.
Au passage, le couple lapin/lapine est très fécond ... sur le plan étymologique ; mais comme on a déjà fait le tour du rabbit à propos de la chronique précédente, je m'en tiens là. Sinon, j'enterre mon lapin (contrepèterie propre, une fois n'est pas coutume).
Ah mais alors cela nous mene ver conin!
1229,G de Montr; lat cuniculum. Lapin(d'apresdic de l'ancien français larousse1979
nous allons donc foutre les cons ou se foutre des lapins?
1229,G de Montr; lat cuniculum. Lapin(d'apresdic de l'ancien français larousse1979
nous allons donc foutre les cons ou se foutre des lapins?
étant à bord, je ne peux écrire ni prononcer son nom : ça porte malheur d'être superstitieux.
m"enfin il y a le conejo en espagnol, coniglio (conillo en prononc.fr) en italien , et le con donne coño en espagnol. Connais pas d'équivalent en italien, qui est plutôt porté sur des fruits tels que la figue; et l'expression " figa" désigne également de manière triviale une jolie fille , dans le sens de "bandante"
la figa est aussi la chance, la sfiga, la malchance.
et enfin, rien à voir, mais j'aime bien : fidare è buono, sfidare è meglio
mais là je vous laisse bosser la traduc ))
m"enfin il y a le conejo en espagnol, coniglio (conillo en prononc.fr) en italien , et le con donne coño en espagnol. Connais pas d'équivalent en italien, qui est plutôt porté sur des fruits tels que la figue; et l'expression " figa" désigne également de manière triviale une jolie fille , dans le sens de "bandante"
la figa est aussi la chance, la sfiga, la malchance.
et enfin, rien à voir, mais j'aime bien : fidare è buono, sfidare è meglio
mais là je vous laisse bosser la traduc ))
Soit mais si une belle figue bien mûre et juteuse peut de sa forme rappelé le sujet de la chose dont auquel nous devisons.
Tranchée et laissans voir son inbtériorité(j'essye de faire du Mike)nous évoque une ressenlance(oui le b est avant)avec le sexe de Madame la femelle alors que le lapin évoque le systême pileux exterieur.
Quid de la vision latine et gauloise du susdit?
Tranchée et laissans voir son inbtériorité(j'essye de faire du Mike)nous évoque une ressenlance(oui le b est avant)avec le sexe de Madame la femelle alors que le lapin évoque le systême pileux exterieur.
Quid de la vision latine et gauloise du susdit?
N'oublions pas l'expression très contemporaine "qu'ils aillent se faire foutre !"
Est-ce qu'il y a un rapport avec "futon", le machin japonais où on peut "ne rien foutre" ou, au contraire, faire des trucs d'ordre sexuel ?
A la réflexion, moi qui en avait marre d'entendre gloser à longueur de radio, d'info et d'apéro, sur cette défaite "catastrophique" de l'équipe de France, je me dis que j'ai bien fait de ne pas me fermer complètement les yeux et les oreilles! J'en aurais loupé cet excellent papier!
Une pensée oubliée resurgi au long de la lecture sur l'origine du mot fuck. Il ne me semblait pas en avoir étant un acronyme de "Fornication Under the Consentment of the King". Est-ce une légende nouvellement créée dans la mouvance du Da Vinci Code ou une réalité?
Enfin, sur les footballeurs français, après la tête de Zidane, la main d'Henry et le sexe de Ribery, la "gravité" de la situation aurait dû, cette fois, les faire jouer avec leurs pieds...
Une pensée oubliée resurgi au long de la lecture sur l'origine du mot fuck. Il ne me semblait pas en avoir étant un acronyme de "Fornication Under the Consentment of the King". Est-ce une légende nouvellement créée dans la mouvance du Da Vinci Code ou une réalité?
Enfin, sur les footballeurs français, après la tête de Zidane, la main d'Henry et le sexe de Ribery, la "gravité" de la situation aurait dû, cette fois, les faire jouer avec leurs pieds...
Parce qu'avec vos estampes japonaises et votre taux de foutre dans l'article, le niveau de vos propos frôle le bas du ventre.
De mon côté, je suis passée maître à slalomer entre les sujets sur le foot, et finalement ici, je l'accepte, chez Judith ou chez vous, chez Daniel ou les autres chroniqueurs plus doués les uns que les autres.
Parce qu'ici ou chez Xavier Delaporte, c'est le niveau de langue que j'apprécie. N'avez-vous pas remarqué qu'à écouter les sujets des médias, on trouve un nombre de fautes de français astronomique, que les métaphores de type "tant va la cruche au moulin" font florès, qu'on nous assène de français approximatif, de gens médiocres et qu'on doit les subir en disant merci. Et ce n'est pas de l'élitisme. Nos amis du football aiment s'encanailler et le niveau de français va avec le niveau de foot, un peu comme ils aiment boire une pinte dans un rad du port, de la bonne régression façon macho-picho.
http://anthropia.blogg.org
De mon côté, je suis passée maître à slalomer entre les sujets sur le foot, et finalement ici, je l'accepte, chez Judith ou chez vous, chez Daniel ou les autres chroniqueurs plus doués les uns que les autres.
Parce qu'ici ou chez Xavier Delaporte, c'est le niveau de langue que j'apprécie. N'avez-vous pas remarqué qu'à écouter les sujets des médias, on trouve un nombre de fautes de français astronomique, que les métaphores de type "tant va la cruche au moulin" font florès, qu'on nous assène de français approximatif, de gens médiocres et qu'on doit les subir en disant merci. Et ce n'est pas de l'élitisme. Nos amis du football aiment s'encanailler et le niveau de français va avec le niveau de foot, un peu comme ils aiment boire une pinte dans un rad du port, de la bonne régression façon macho-picho.
http://anthropia.blogg.org
Très belle chronique, une de plus :-)
Surtout là : "Du foot, qui veut dire pied, au foutoir où on prend son pied, il n'y a qu'un pas" !
En ces temps de grande confusion, grand merci à ASI et aux Cahiers du Football qui savent prendre du recul.
Surtout là : "Du foot, qui veut dire pied, au foutoir où on prend son pied, il n'y a qu'un pas" !
En ces temps de grande confusion, grand merci à ASI et aux Cahiers du Football qui savent prendre du recul.