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Quand un avocat-dentiste obstiné fait évoluer le droit de la presse
Le Conseil constitutionnel vient d'élargir le droit de la presse. Il a abrogé une disposition de la loi de 1881 sur la presse qui restreignait la capacité pour un journaliste d'apporter la preuve d'un fait prescrit ou amnistié dans le cadre d'un procès en diffamation. La décision est déjà très intéressante en soi. En outre, derrière celle-ci, se cache une histoire plus étonnante encore. Celle d'un chirurgien-dentiste avocat, radié de l'ordre des dentistes car en guerre contre les malversations de la dite institution.
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Derniers commentaires
décidément, le conseil contionnel, animé par son étrange présent, pèse de plus en plus lourd.
"Le Conseil explique de facto".
Euh non, il explique "de jure", puisque sa décision est fondée en droit, et que l'abolition de la disposition visant la prescription et l'amnistie est l'objet même de son argumentaire.
Commentaire pisse-vinaigre, mais quand même...
Euh non, il explique "de jure", puisque sa décision est fondée en droit, et que l'abolition de la disposition visant la prescription et l'amnistie est l'objet même de son argumentaire.
Commentaire pisse-vinaigre, mais quand même...
mettons le doigt dans le ventre des ordres médicaux..je suis sur que l'on trouvera autre choses que des..vieilles compresses!
"Un autre journaliste de "la grande presse parisienne toujours prompte à donner des leçons" m'a répondu "Mais monsieur, votre histoire est intéressante, mais elle ne comporte ni sexe, ni sang, ni argent, elle n'a donc aucun intérêt".
Ces journaleux...
gamma
Ces journaleux...
gamma
Voilà un excellent article, merci.