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recette rapide pour réaliser une affiche de film d'horreur
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Derniers commentaires
Une autre proposition ici.
Avez-vous vu le film en question ? The kill List ?
C'est justement un film qui mélange les genre et je ne le qualifierait pas de film d'horreur, ni de thriller.
Sans spoilez ça commence même comme un film social Anglais...
Parfois il ne faut pas s'arrêter à l'affiche.
C'est justement un film qui mélange les genre et je ne le qualifierait pas de film d'horreur, ni de thriller.
Sans spoilez ça commence même comme un film social Anglais...
Parfois il ne faut pas s'arrêter à l'affiche.
Un peu de brouillard londonien n'est pas à négliger pour faire monter l'angoisse
http://horrornews.net/wp-content/uploads/2011/12/The-Lodger-photo-1-400x301.jpg
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/6/64/Jack-ripper-1988.jpg
http://horrornews.net/wp-content/uploads/2011/12/The-Lodger-photo-1-400x301.jpg
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/6/64/Jack-ripper-1988.jpg
De ce ciel bizarre et livide,
Tourmenté comme ton destin,
Quels pensers dans ton âme vide
Descendent ? Réponds, libertin.
- Insatiablement avide
De l'obscur et de l'incertain,
Je ne geindrai pas comme Ovide
Chassé du paradis latin.
Cieux déchirés comme des grèves,
En vous se mire mon orgueil,
Vos vastes nuages en deuil
Sont les corbillards de mes rêves,
Et vos lueurs sont le reflet
De l'Enfer où mon coeur se plaît.
Charles Baudelaire
Tourmenté comme ton destin,
Quels pensers dans ton âme vide
Descendent ? Réponds, libertin.
- Insatiablement avide
De l'obscur et de l'incertain,
Je ne geindrai pas comme Ovide
Chassé du paradis latin.
Cieux déchirés comme des grèves,
En vous se mire mon orgueil,
Vos vastes nuages en deuil
Sont les corbillards de mes rêves,
Et vos lueurs sont le reflet
De l'Enfer où mon coeur se plaît.
Charles Baudelaire
Voilà ma petite contribution :o)
Bon, on dirait plus une couverture de roman qu'une affiche de film en fait !...
Bon, on dirait plus une couverture de roman qu'une affiche de film en fait !...
Et la recette pour une chronique d'ete rapide, c'est quoi ?
T'as du partir en wouikend Maitre AK, non ?
T'as du partir en wouikend Maitre AK, non ?
Comme je ne sais pas faire une affiche, voici mon idée: fond noir, prêtre en pied se détachant sur un halo blanc; apposé sur sa soutane noire, un large A majuscule rouge. Titre du film: The Scarlet Letter d'après un roman de Hawthorne.
D'un point de vue strictement graphique, j'ai toujours aimé cette affiche de Destination Finale, malgré son aspect un peu "exercice Photoshop". :-)
Bonne chronique sinon, je pense qu'il ne faut pas chercher trop loin dans l'aspect cinématographique, elle n'avait pas cette prétention.
Digression par rapport aux symboles des camps de concentration : Pour les nazis, c'était quoi exactement la définition de "Associal" ?
Bonne chronique sinon, je pense qu'il ne faut pas chercher trop loin dans l'aspect cinématographique, elle n'avait pas cette prétention.
Digression par rapport aux symboles des camps de concentration : Pour les nazis, c'était quoi exactement la définition de "Associal" ?
Je rebondis sur les propos de Matthieu Vrignaud, mais plus contestable encore que la récupération de l'affiche de Super 8 (lequel, après tout, joue quand même un peu sur ce genre de codes...) me semble l'insistance plus loin dans la liste sur Zodiac, qui me semble mettre à mal le caractère systématique du raisonnement.
En effet il ne s'agit pas d'un film d'horreur ni même d'un film "angoissant" (dans le sens où on l'entend généralement, au moins). À lire la présentation qu'en fait Alain Korkos, un @sinaute qui ne connaîtrait pas le film pourrait s'imaginer qu'il s'agit d'un quelconque slasher, avec méchant tueur costumé occupé à décimer des adolescent-e-s pendant tout le métrage, alors que le film, inspiré de faits réels, traite avant tout de la façon dont une affaire de crimes en série non résolue tourne plus ou moins à l'obsession pour deux journalistes et un policier.
Bref, soit le chroniqueur ne connaît du film que son affiche, et n'a pas pris la peine d'aller chercher plus loin (ne serait-ce que vérifier le synopsis sur Wikipedia ou Allociné), ce qui est aller un peu vite en besogne... soit c'est sciemment une "petite" manipulation de sa part, tablant sur l'ignorance des lecteurs pour faire passer en force l'accumulation de références.....
En effet il ne s'agit pas d'un film d'horreur ni même d'un film "angoissant" (dans le sens où on l'entend généralement, au moins). À lire la présentation qu'en fait Alain Korkos, un @sinaute qui ne connaîtrait pas le film pourrait s'imaginer qu'il s'agit d'un quelconque slasher, avec méchant tueur costumé occupé à décimer des adolescent-e-s pendant tout le métrage, alors que le film, inspiré de faits réels, traite avant tout de la façon dont une affaire de crimes en série non résolue tourne plus ou moins à l'obsession pour deux journalistes et un policier.
Bref, soit le chroniqueur ne connaît du film que son affiche, et n'a pas pris la peine d'aller chercher plus loin (ne serait-ce que vérifier le synopsis sur Wikipedia ou Allociné), ce qui est aller un peu vite en besogne... soit c'est sciemment une "petite" manipulation de sa part, tablant sur l'ignorance des lecteurs pour faire passer en force l'accumulation de références.....
Voici ma modeste contribution.
Mais j'ai merdé, j'ai fait un truc en rapport avec le cinéma, j'avais mal lu la proposition comme un con.
Bon tant pis.
Mais j'ai merdé, j'ai fait un truc en rapport avec le cinéma, j'avais mal lu la proposition comme un con.
Bon tant pis.
Quand on arrive sur la page d'accueil d'asi, on voit à gauche l'affiche de KillList, en blanc et rouge sur fond noir et tout ça
et à droite, l'affiche de Inquisitio, en blanc et rouge, avec la croix cette fois ci, sur fond noir et tout ça...
effectivement, les vieux pots et les meilleures recettes
et à droite, l'affiche de Inquisitio, en blanc et rouge, avec la croix cette fois ci, sur fond noir et tout ça...
effectivement, les vieux pots et les meilleures recettes
Bon, je vais sûrement me faire taper mais....
Lors de la lecture de cet article, différents sentiments m'ont partagé. D'une part, la lecture qui est faite de l'affiche de "The Ring" de Gore Verbinski (pas mauvais remake d'un "classique" de l'horreur japonais "Ring" (Ringu) de Hideo Nakata), le cercle est ici présent de manière diégétique, en effet, pour ceux qui ont vu le film, toute l'histoire tourne autour d'une cassette vidéo et d'un puit. L'image du cercle est la vision d'un puit vu de l'intérieur de celui-ci. Pas de signe caballistique ici... (Même si, Ring = Cercle... il se devait d'y être présent).
D'autre part, lorsque j'arrive à l'affiche de "Super 8" de J.J. Abrams, là, c'est un autre sentiment qui m'étreint. Super 8 est un film pour "grands enfants" comptant les aventures d'une bande de gosse et de leur caméra en proie à un "alien" très proche d' E.T. L'affiche est certe très mensongère et vend mal le produit final mais nous n'avons pas affaire à un film d'horreur pour autant. (ni à un film d'angoisse).
A ce moment de ma lecture de l'article, j'avoue avoir décrocher un peu. Je me dis que nous ne sommes que dans de l'analyse picturale et que ça reste tout de même intéressant d'un point de vue "comment un publicitaire vend un film sans l'avoir vue" (croyez-moi ça arrive). Puis là.... c'est le drame. Notre chère Alain, atteint le point Godwin. Les signes caballistiques des films d'horreurs rappellent les signes infamant du "marquage juif"... et des autres marquages infamant. La disgression aurait pu aller jusqu'au symbale hippie, un sigle cabalistique évident, ou le symbole de Yin et du Yang (vous vous rendez compte, trois cercles sur la même figure????)
Las, je me dis que le cinéma d'horreur n'est pas prêt d'accèder à une haute considération.
Lors de la lecture de cet article, différents sentiments m'ont partagé. D'une part, la lecture qui est faite de l'affiche de "The Ring" de Gore Verbinski (pas mauvais remake d'un "classique" de l'horreur japonais "Ring" (Ringu) de Hideo Nakata), le cercle est ici présent de manière diégétique, en effet, pour ceux qui ont vu le film, toute l'histoire tourne autour d'une cassette vidéo et d'un puit. L'image du cercle est la vision d'un puit vu de l'intérieur de celui-ci. Pas de signe caballistique ici... (Même si, Ring = Cercle... il se devait d'y être présent).
D'autre part, lorsque j'arrive à l'affiche de "Super 8" de J.J. Abrams, là, c'est un autre sentiment qui m'étreint. Super 8 est un film pour "grands enfants" comptant les aventures d'une bande de gosse et de leur caméra en proie à un "alien" très proche d' E.T. L'affiche est certe très mensongère et vend mal le produit final mais nous n'avons pas affaire à un film d'horreur pour autant. (ni à un film d'angoisse).
A ce moment de ma lecture de l'article, j'avoue avoir décrocher un peu. Je me dis que nous ne sommes que dans de l'analyse picturale et que ça reste tout de même intéressant d'un point de vue "comment un publicitaire vend un film sans l'avoir vue" (croyez-moi ça arrive). Puis là.... c'est le drame. Notre chère Alain, atteint le point Godwin. Les signes caballistiques des films d'horreurs rappellent les signes infamant du "marquage juif"... et des autres marquages infamant. La disgression aurait pu aller jusqu'au symbale hippie, un sigle cabalistique évident, ou le symbole de Yin et du Yang (vous vous rendez compte, trois cercles sur la même figure????)
Las, je me dis que le cinéma d'horreur n'est pas prêt d'accèder à une haute considération.
Pas mal l'affiche d' Horreur sur images, mais à la place du fond noir informe, j'aurais mis la silhouette (noire) d'un chroniqueur à chapeau.
Le genre de psychopathe qu'on aimerait pas croiser à minuit dans un quartier désert. Que Freddy des Griffes de la Nuit, à côté, c'est Barbapapa.
Le genre de psychopathe qu'on aimerait pas croiser à minuit dans un quartier désert. Que Freddy des Griffes de la Nuit, à côté, c'est Barbapapa.
Perso ce sigle de l'affiche de Kill List m'a plutôt suggéré le signe anar comme on le voit parfois dessiné sur les murs.
Une bonne occasion de citer ce collectif anarcho-punk et groupe (reformé en novembre 2011 pour un concert exceptionnel au Shepherds Bush Empire) dont le logo était formé de la croix chrétienne, la svastika et le drapeau grand breton entremêlés avec un serpent à deux têtes pour symboliser l'autodestruction du pouvoir http://www.stink-finger.com/wp-content/uploads/2009/06/crass.jpg.
Pour ceux que ça intéresse et qui comprennent l'angliche, je conseille c'est excellent docu There Is No Authority But Yourself, ou bien simplement une vieille chanson du groupe.
Et concernant les films d'horreur et/ou de suspense, un concert de Fantômas où ils jouent l'intégralité de leur Director's Cut devrait faire l'affaire ;)
Une bonne occasion de citer ce collectif anarcho-punk et groupe (reformé en novembre 2011 pour un concert exceptionnel au Shepherds Bush Empire) dont le logo était formé de la croix chrétienne, la svastika et le drapeau grand breton entremêlés avec un serpent à deux têtes pour symboliser l'autodestruction du pouvoir http://www.stink-finger.com/wp-content/uploads/2009/06/crass.jpg.
Pour ceux que ça intéresse et qui comprennent l'angliche, je conseille c'est excellent docu There Is No Authority But Yourself, ou bien simplement une vieille chanson du groupe.
Et concernant les films d'horreur et/ou de suspense, un concert de Fantômas où ils jouent l'intégralité de leur Director's Cut devrait faire l'affaire ;)
Et en plus, le personnage central m'a semblé, à première vue, ressembler étrangement à un ex ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité Nationale, 1er du genre sous la 5e République,, maniant l'humour auvergnat.
Si avec cela, on ne ressent pas l'angoisse du polar ...
Si avec cela, on ne ressent pas l'angoisse du polar ...