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Reporters de guerre et ONG : coopération à risques ?
Les organisations non gouvernementales façonnent-elles la vision des conflits proposée par les médias ? C'est le sujet de notre émission de cette semaine.
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Derniers commentaires
Un peu hors-sujet : je viens de lire l'article de Roland Pourtier cité dans l'article.
Il n'ajoute pas à la fin, dans la description du problème démographique et foncier, que celui-ci est également une des causes profondes du génocide du Rwanda : l'augmentation très importante de la population du Rwanda depuis l'indépendance, suivie de la crise du café dans les années 80 qui a donné un coup au développement économique, a exacerbé les rivalités pour les terres et ressentiments inter-ethniques.
Le comportement des milices génocidaires, qui se partageaient immédiatement les biens des personnes tuées, montre aussi cet aspect "économique" du génocide.
Il n'ajoute pas à la fin, dans la description du problème démographique et foncier, que celui-ci est également une des causes profondes du génocide du Rwanda : l'augmentation très importante de la population du Rwanda depuis l'indépendance, suivie de la crise du café dans les années 80 qui a donné un coup au développement économique, a exacerbé les rivalités pour les terres et ressentiments inter-ethniques.
Le comportement des milices génocidaires, qui se partageaient immédiatement les biens des personnes tuées, montre aussi cet aspect "économique" du génocide.
Merci Justine, c'est très intéressant.
Pour en revenir (moi aussi) aux images de France 2, ce qui me paraît le plus éminemment problématique est leur date et l'absence de commentaires.
Les images datent du 22 juillet 1994 et, Justine le précise, proviennent probablement d'un camp de réfugiés.
Traduction : il s'agit probablement d'images de Goma.
Les camps de réfugiés de Goma se sont remplis lors de l'exode des hutus du Rwanda, à l'arrivée du FPR et donc à la fin du génocide des tutsis (commis par les milices en parties mêlées à la foule des fuyards). Les fuyards étaient protégés par la mise en place de la zone Turquoise par la France.
De fait, les caméras française ont ramené des tas d'images de Goma, alors qu'on en avait vu très peu du génocide ayant eu lieu juste auparavant, dont l'ampleur était pourtant beaucoup plus inédite. Ceci explique, entre autres, la perception tout à fait spéciale que nous avons du génocide en France, perception qui arrange bien nos autorités, puisque celles-ci étaient alliées du gouvernement sous lequel le génocide a été préparé.
Alors non, contrairement à ce qu'annonce le présentateur du JT, les images de ces malheureux enfants ne nous disent rien, absolument rien sur la situation. Les journalistes qui se sont lancés sans réfléchir dans le boulevard médiatique que provoquait l'intervention française ont joué le rôle d'alliés de fait de la politique étrangère française, ce qui pose autrement plus question que le fait d'être embedded dans une ONG.
Le fait de montrer des victimes ajoutées aux victimes (ce qui n'en fait pas moins des victimes - rien n'est simple) a empêché les questions qui, à défaut d'être résolues, auraient au moins mérité d'être posées.
Pour en revenir (moi aussi) aux images de France 2, ce qui me paraît le plus éminemment problématique est leur date et l'absence de commentaires.
Les images datent du 22 juillet 1994 et, Justine le précise, proviennent probablement d'un camp de réfugiés.
Traduction : il s'agit probablement d'images de Goma.
Les camps de réfugiés de Goma se sont remplis lors de l'exode des hutus du Rwanda, à l'arrivée du FPR et donc à la fin du génocide des tutsis (commis par les milices en parties mêlées à la foule des fuyards). Les fuyards étaient protégés par la mise en place de la zone Turquoise par la France.
De fait, les caméras française ont ramené des tas d'images de Goma, alors qu'on en avait vu très peu du génocide ayant eu lieu juste auparavant, dont l'ampleur était pourtant beaucoup plus inédite. Ceci explique, entre autres, la perception tout à fait spéciale que nous avons du génocide en France, perception qui arrange bien nos autorités, puisque celles-ci étaient alliées du gouvernement sous lequel le génocide a été préparé.
Alors non, contrairement à ce qu'annonce le présentateur du JT, les images de ces malheureux enfants ne nous disent rien, absolument rien sur la situation. Les journalistes qui se sont lancés sans réfléchir dans le boulevard médiatique que provoquait l'intervention française ont joué le rôle d'alliés de fait de la politique étrangère française, ce qui pose autrement plus question que le fait d'être embedded dans une ONG.
Le fait de montrer des victimes ajoutées aux victimes (ce qui n'en fait pas moins des victimes - rien n'est simple) a empêché les questions qui, à défaut d'être résolues, auraient au moins mérité d'être posées.
Encore, c'est tout ce qu'il y a à dire.
Je voudrais revenir sur le reportage de la 2 concernant le Rwanda et le commentaire qui l'accompagne.
Bien-sûr, montrer la misère ne suffit pas, bien-sûr, il faut que le journaliste reporter tente d'analyser les circonstances politiques de la situation et les possibles issues (si possible..)
Ceci-dit, je pense que ce qui est montré est une véritable conséquence humanitaire du conflit et d'autre part un journal qui ne se termine pas, après x mauvaises nouvelles par le sport, la météo et l'éternel "passez une bonne soirée avec nous" mérite peut-être d'être relevé...
Salomé
Bien-sûr, montrer la misère ne suffit pas, bien-sûr, il faut que le journaliste reporter tente d'analyser les circonstances politiques de la situation et les possibles issues (si possible..)
Ceci-dit, je pense que ce qui est montré est une véritable conséquence humanitaire du conflit et d'autre part un journal qui ne se termine pas, après x mauvaises nouvelles par le sport, la météo et l'éternel "passez une bonne soirée avec nous" mérite peut-être d'être relevé...
Salomé
Bravo, Justine pour cet article très "éclairant" sur les difficultés de faire son vrai travail de journaliste, même lorsqu'on est "embedded" du côté des ONG humanitaires !
Linda Polman a raison : montrer les zones d'abandon et les zombies qui y vivent, dans nos contrées, c'est s'exposer à être désapprouvé par le téléspectateur, mais surtout à un état qui, comme le dit galanga, veut absolument que certains détails restent cachés...
D'autre part, merci de nous aider à comprendre qu'au Sud-Kivu, il n'y a pas que les bons et les méchants, les rebelles et les gouvernementaux... mais tout d'abord un sous-sol extrêmement riche, et des états avec, à leur tête, des hommes qui tirent les ficelles, probablement aidés d'une masse d'Occidentaux qui ont des intérêts dans les matières premières... Personnellement, j'ai commencé à avoir un autre éclairage sur la région en lisant les bouquins d'une journaliste belge (traduite du flamand) sur le Rwanda, puis ses souvenirs du Congo (Lieve Joris)...
Pour le Liberia et la Sierra Leone, pendant que les journalistes s'intéressaient aux moignons exhibés par des ONG peu scrupuleuses du bien-être de ceux qu'elles soignaient, peu se sont intéressés à ce qu'il se passait derrière ce conflit... (les diamants, encore ce si riche sous-sol africain!).
Lorsque j'avais accompagné une équipe de télé à Mogadiscio dans les années 90, les journalistes étaient partout... sauf avec les humanitaires. Une équipe était avec l'armée française (très occupée à "livrer le riz des petits Français demandé par M. Kouchner"), l'autre en ville et n'avait pas grand chose à se mettre sous la caméra. Les réfugiés avaient enterré leurs morts, les ONG étaient sur-représentées... mais ne présentaient pour les journalistes qu'un seul intérêt : avoir des avions qui pourraient les faire monter à bord. J'ai, personnellement, peu vu de journalistes en contact avec des Somaliens... il y avait toujours des intermédiaires : armées ou humanitaires... Pour les Américains, c'était pire : ils étaient à des "années-lumière" de la moindre compréhension du terrain... en tout cas les trouffions, et certainement les journalistes. CNN et les autres se baladaient à bord de gros 4x4 protégés par des Somaliens armés jusqu'aux dents... et passaient beaucoup de temps à filmer les déclarations du Général Peck, qui connaissait l'Afrique aussi bien que je connais la Terre Adélie, c'est-à-dire pas du tout.
Au retour de Somalie, j'avais été étonnée par le peu de connaissance du "terrain" qu'avaient les journalistes avec lesquels j'étais partie. Mais comment voulez-vous faire un travail de fond alors qu'on est dans l'urgence, qu'on vous demande du "spectaculaire" à Paris, et que votre culture vous tient à des lieues de celle des gens qui subissent le ou les conflits ?
La bonne info, elle doit se faire dans le calme après avoir très longuement observé, essayé de comprendre, de tenir tous les tenants et les aboutissants. En ce qui me concerne, après avoir vécu tous les conflits des années 80/90 "embedded au service étranger d'une rédaction audiovisuelle", c'est en lisant des bouquins écrits après par des journalistes (français ou étrangers, qui avaient délaissé l'urgence pour prendre du recul) que j'ai commencé à voir les événements sous un autre jour.
Quant aux humanitaires, après avoir très longtemps souhaité donner de mon temps et de mon énergie au sein d'une ONG, je me suis aperçue que leurs intérêts n'allaient peut-être pas toujours dans le "bon sens"... L'exemple le plus frappant a été cette ONG qui était au Tchad, prétendant s'occuper de réfugiés soudanais, puis d'enfants adoptables par des parents français, avait carrément volé des enfants tchadiens à leur famille. Jamais vu une affaire aussi louche que celle-ci d'ailleurs... Bien des bruits ont couru à l'époque sur les ramifications liant les dirigeants de cette ONG-bidon avec un laboratoire dont le directoire comportait un membre de la famille Sarkozy.
Conclusion : ne jamais prendre pour argent comptant la communication par l'image ! Et aller plutôt s'informer auprès des anthropologues spécialisés dans la région qui nous intéresse, ou de journalistes qui (comme Lieve Joris) ont une histoire personnelle les liant au pays.
Linda Polman a raison : montrer les zones d'abandon et les zombies qui y vivent, dans nos contrées, c'est s'exposer à être désapprouvé par le téléspectateur, mais surtout à un état qui, comme le dit galanga, veut absolument que certains détails restent cachés...
D'autre part, merci de nous aider à comprendre qu'au Sud-Kivu, il n'y a pas que les bons et les méchants, les rebelles et les gouvernementaux... mais tout d'abord un sous-sol extrêmement riche, et des états avec, à leur tête, des hommes qui tirent les ficelles, probablement aidés d'une masse d'Occidentaux qui ont des intérêts dans les matières premières... Personnellement, j'ai commencé à avoir un autre éclairage sur la région en lisant les bouquins d'une journaliste belge (traduite du flamand) sur le Rwanda, puis ses souvenirs du Congo (Lieve Joris)...
Pour le Liberia et la Sierra Leone, pendant que les journalistes s'intéressaient aux moignons exhibés par des ONG peu scrupuleuses du bien-être de ceux qu'elles soignaient, peu se sont intéressés à ce qu'il se passait derrière ce conflit... (les diamants, encore ce si riche sous-sol africain!).
Lorsque j'avais accompagné une équipe de télé à Mogadiscio dans les années 90, les journalistes étaient partout... sauf avec les humanitaires. Une équipe était avec l'armée française (très occupée à "livrer le riz des petits Français demandé par M. Kouchner"), l'autre en ville et n'avait pas grand chose à se mettre sous la caméra. Les réfugiés avaient enterré leurs morts, les ONG étaient sur-représentées... mais ne présentaient pour les journalistes qu'un seul intérêt : avoir des avions qui pourraient les faire monter à bord. J'ai, personnellement, peu vu de journalistes en contact avec des Somaliens... il y avait toujours des intermédiaires : armées ou humanitaires... Pour les Américains, c'était pire : ils étaient à des "années-lumière" de la moindre compréhension du terrain... en tout cas les trouffions, et certainement les journalistes. CNN et les autres se baladaient à bord de gros 4x4 protégés par des Somaliens armés jusqu'aux dents... et passaient beaucoup de temps à filmer les déclarations du Général Peck, qui connaissait l'Afrique aussi bien que je connais la Terre Adélie, c'est-à-dire pas du tout.
Au retour de Somalie, j'avais été étonnée par le peu de connaissance du "terrain" qu'avaient les journalistes avec lesquels j'étais partie. Mais comment voulez-vous faire un travail de fond alors qu'on est dans l'urgence, qu'on vous demande du "spectaculaire" à Paris, et que votre culture vous tient à des lieues de celle des gens qui subissent le ou les conflits ?
La bonne info, elle doit se faire dans le calme après avoir très longuement observé, essayé de comprendre, de tenir tous les tenants et les aboutissants. En ce qui me concerne, après avoir vécu tous les conflits des années 80/90 "embedded au service étranger d'une rédaction audiovisuelle", c'est en lisant des bouquins écrits après par des journalistes (français ou étrangers, qui avaient délaissé l'urgence pour prendre du recul) que j'ai commencé à voir les événements sous un autre jour.
Quant aux humanitaires, après avoir très longtemps souhaité donner de mon temps et de mon énergie au sein d'une ONG, je me suis aperçue que leurs intérêts n'allaient peut-être pas toujours dans le "bon sens"... L'exemple le plus frappant a été cette ONG qui était au Tchad, prétendant s'occuper de réfugiés soudanais, puis d'enfants adoptables par des parents français, avait carrément volé des enfants tchadiens à leur famille. Jamais vu une affaire aussi louche que celle-ci d'ailleurs... Bien des bruits ont couru à l'époque sur les ramifications liant les dirigeants de cette ONG-bidon avec un laboratoire dont le directoire comportait un membre de la famille Sarkozy.
Conclusion : ne jamais prendre pour argent comptant la communication par l'image ! Et aller plutôt s'informer auprès des anthropologues spécialisés dans la région qui nous intéresse, ou de journalistes qui (comme Lieve Joris) ont une histoire personnelle les liant au pays.
Je pourrais dire que c'est un excellent article, passionnant, incroyablement éclairant, et qui donne bien de la matière à refléxion... mais je trouve que ce vocabulaire ne convient pas, il est "pas assez".
J'ai un besoin frustrant de nouveaux mots pour ces articles, des mots qui soit plus adéquats.
Je propose (et je lance un concours, tiens, c'est la mode) comme nouvel adjectif celui-là : cet article est brabantissime. Et là, je trouve que tout est dit.
L'exemple donné par Linda Polman m'a beaucoup frappé : c'est sûr que si un(e) journaliste est "embedded" dans l'une des associations qui essayent de s'occuper des Roms ou des immigrés (avec ou) sans papier en France, soit-disant pays des Droits de l'Homme, on aurait l'impression en regardant ou en lisant le résultat que l'on a à faire à un pays incroyablement arriéré, raciste, xénophobe et s'attachant à fouler sciemment au pied les droits fondamentaux d'êtres humains.
(Ah ben non, ce ne serait pas qu'une impression : c'est la réalité. Bon.)
Je note aussi que la partie de l'article sur les prothèses du Sierra Leone ne reprend pas l'hypothèse indiquée dans l'émission, comme quoi ces mutilations auraient été décidées par les "Rebelles" dans le but (réussi) d'avoir une forte couverture médiatique de leur combat.
Est-ce juste pour ne pas répéter, ou bien est-ce que les doutes exprimés par les invités sur le plateau ont fait mettre de coté cette hypothèse ?
J'ai un besoin frustrant de nouveaux mots pour ces articles, des mots qui soit plus adéquats.
Je propose (et je lance un concours, tiens, c'est la mode) comme nouvel adjectif celui-là : cet article est brabantissime. Et là, je trouve que tout est dit.
L'exemple donné par Linda Polman m'a beaucoup frappé : c'est sûr que si un(e) journaliste est "embedded" dans l'une des associations qui essayent de s'occuper des Roms ou des immigrés (avec ou) sans papier en France, soit-disant pays des Droits de l'Homme, on aurait l'impression en regardant ou en lisant le résultat que l'on a à faire à un pays incroyablement arriéré, raciste, xénophobe et s'attachant à fouler sciemment au pied les droits fondamentaux d'êtres humains.
(Ah ben non, ce ne serait pas qu'une impression : c'est la réalité. Bon.)
Je note aussi que la partie de l'article sur les prothèses du Sierra Leone ne reprend pas l'hypothèse indiquée dans l'émission, comme quoi ces mutilations auraient été décidées par les "Rebelles" dans le but (réussi) d'avoir une forte couverture médiatique de leur combat.
Est-ce juste pour ne pas répéter, ou bien est-ce que les doutes exprimés par les invités sur le plateau ont fait mettre de coté cette hypothèse ?
Vraiment du bon boulot ! Bravo !
Passionnant.
Magistral article ! Bravo Justine !
Vous nous faites un retour en fanfare !
Vous nous faites un retour en fanfare !
Alors comme ça il y a des bons et des mauvais journalistes ?
sinon , je retiens ceci:
"L'explication est peut-être plus simple : les images de victimes ne provoquent-elles pas une forme de fascination chez le spectateur ?"
vexé je suis.
je propose ceci , qui va dans le sens de la suite de votre article:
L'explication est peut être plus simple, est-ce que les victimes, les images dégeus ne sont-elles pas immédiatement accessibles aux journalistes sur place, pour qui ça coûte cher de rester longtemps ; qu'ils ont la nécessaire envie de se tenir à distance des frapadingues kalash-machettes qui dégomment à tout va...
Et puis , en tant que spectateur obligé, parfois, des images répugnantes , je me rends compte que les plus sales sont celles issues des pays D'afrique. j'imagine que la guerre , les conflits, font le même genre de dégats, mais les images diffusées semblent beaucoup plus pudiques hors continent africain.
Je suis persuadé qu'ils font une grosse erreur en pensant nous donner ce que nous sommes supposés attendre de ces guerres, ça doit pourtant être pas trop difficile de ne pas nous prendre pour des cons assoiffés de sang , je n'ai pas du tout envie d'être un spectateur de ces saloperies , et puis si l'envie m'en prend, je me regarde un bon documentaire animalier.
sinon , je retiens ceci:
"L'explication est peut-être plus simple : les images de victimes ne provoquent-elles pas une forme de fascination chez le spectateur ?"
vexé je suis.
je propose ceci , qui va dans le sens de la suite de votre article:
L'explication est peut être plus simple, est-ce que les victimes, les images dégeus ne sont-elles pas immédiatement accessibles aux journalistes sur place, pour qui ça coûte cher de rester longtemps ; qu'ils ont la nécessaire envie de se tenir à distance des frapadingues kalash-machettes qui dégomment à tout va...
Et puis , en tant que spectateur obligé, parfois, des images répugnantes , je me rends compte que les plus sales sont celles issues des pays D'afrique. j'imagine que la guerre , les conflits, font le même genre de dégats, mais les images diffusées semblent beaucoup plus pudiques hors continent africain.
Je suis persuadé qu'ils font une grosse erreur en pensant nous donner ce que nous sommes supposés attendre de ces guerres, ça doit pourtant être pas trop difficile de ne pas nous prendre pour des cons assoiffés de sang , je n'ai pas du tout envie d'être un spectateur de ces saloperies , et puis si l'envie m'en prend, je me regarde un bon documentaire animalier.
Superbe article, que dire d'autre...
ah si : qu'il y a un bon nombre de liens qui ne s'ouvrent pas dans un nouvel onglet, mais c'est un détail,
et c'est pas pour souligner que je fais partie des 1 % ;-)
ah si : qu'il y a un bon nombre de liens qui ne s'ouvrent pas dans un nouvel onglet, mais c'est un détail,
et c'est pas pour souligner que je fais partie des 1 % ;-)
Rhô, encore un sujet qui me branche à donf, Justine... Merci... Pas vraiment le temps de lire et d'écouter aujourd'hui vu que j'ai un avion à prendre (donc un bus, un train, une navette pour y parvenir) tout à l'heure...
Mais dès demain, je sens que je vais me délecter...
Mais dès demain, je sens que je vais me délecter...